« Bonjour Monsieur le Marquis !

« Vous aviez le regard d'Hitler et maintenant vous parlez comme lui ; vous étiez un écrivain estimable et maintenant ça ne sent que médiocrité, bassesses (sur Navarre...), aigreur, égocentrisme forcené.

« Mais, et c'est une bonne nouvelle, tout est fini pour toi : adieu bourses (...), mondanités, voyages de gigolo et livres de 500p. tous les 6 mois (pauvre POL, qui me disait encore récemment..., mais bon...)

« Tu es fini, tu es laid, tu es antisémite. J'en connais quelques-uns qui seraient prêts à te casser la gueule. Vilaine gueule, au demeurant, sur LCI, pathétique ("Je joue mon honneur..." : toi ??? un honneur !)

« Cher Adolf, nous te laissons ruminer - seul, tout seul - tes haines qui sont devenues tes prisons.

« Et là, tu l'as compris, il n'y aura plus d'autre "Journal"... Tu es seul.

« Bien à vous tous les Renaud Camus misérables.

« "N. Cohen" »