NON. Journal 2013

créée le jeudi 17 janvier 2013, 17 h 33
modifiée le jeudi 17 janvier 2013, 23 h 03
Jeudi 17 janvier 2013, onze heures et demie, le matin.
Chassé une bonne fois des “Matins de France Culture” par la musiquette, que je ne peux pas supporter (moins encore que la propagande permanente, qui ne m’avait pas décidé à faire mes bagages, tant les habitudes de toute une vie sont ancrées), il m’arrive de plus en plus souvent d’écouter, sur la Toile, Radio Courtoisie, bien que ce soit assez difficile à concilier, techniquement, avec mes autres activités webmatiques ; et bien que cette station puisse m’exaspérer comme une autre, à l’occasion.

Ce matin y était reçu Alexandre Giuglaris, délégué général de l’Institut pour la Justice, puissante association qui œuvre pour une application rigoureuse des lois et décisions pénales. Or, pas un instant — sauf, in extremis, grâce à l’intervention d’une auditrice — il n’a été question de la réalité de la délinquance et de l’insécurité en France : à savoir qu’elles sont très majoritairement le fait de communautés ethniques bien déterminées, celles des néo-colonisateurs, comme les nomme l’In-nocence, les remplaçants, les conquérants, les Sensibles des quartiers sensibles, c’est-à-dire les acteurs actifs, si l’on peut ainsi parler, du Grand Remplacement. C’était le thème de mon discours aux Assises sur l’islamisation de nos pays, en décembre 2010 : “La Nocence, instrument du Grand Remplacement”. Et c’est d’avoir soutenu précisément cela, que je crois à la fois incontestable et capital, qui me vaut d’être poursuivi devant la justice par le Mrap, pour incitation à la haine raciale.

Ainsi l’on est sur une station de radio qui passe pour se situer idéologiquement à la droite de la droite et pour promouvoir seule la liberté d’expression, au moins pour les idées issues de ce bord-là de l’opinion ; et on y entend longuement un homme fort éloquent et distingué, très modéré dans son expression, qui représente une association nombreuse et solidement constituée, dont la préoccupation essentielle est la nocence, pour employer mon propre vocabulaire, sa croissance, sa diffusion et les moyens de la contrer. Mais, si n’était intervenue très brièvement et indirectement une auditrice, au moment de la tombée du rideau, rien n’aurait été dit de ce qui me paraît l’évidence, l’énorme évidence, et que je suis à peu près le seul, avec le parti de l’In-nocence, à mettre incessamment en avant : que le problème ne relève pas, ou pas seulement, de la police, de la Justice, des tribunaux, de la loi, mais qu’il est politique, et même historique, étroitement lié au destin de la patrie et de son peuple. Il n’y a pas d’un côté les incivilités petites et grandes, la violence, la délinquance, et, de l’autre, le Grand Remplacement. La nocence, la criminalité, l’insécurité ne sont pas des phénomènes parallèles au changement de peuple et indépendants de lui. Elles sont, avec la démographie, l’instrument de la conquête, son expression armée et, on peut le dire, militaire.

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