Le Jour ni l’Heure
mai 2013

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créée le jeudi 2 mai 2013, 11 h 00Mercredi 1er mai 2013. Fête du Travail, 121/244. Plieux. Levés à 8 h. Tour de rein toujours (lumbago ?). L’IN-NOCENT. Déjeuné en bas. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et dét. d’un vitrail de Maurice Denis au Prieuré de Saint-Germain-en-Laye, mardi 21 août 2012. Comptes : - 541,54 (prélèvement Ursaff, - 656,76). Agenda. 10:31 ///  Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda de la veille, vitraux du Prieuré de Maurice Denis le 21 août 2012, cinq journées de mars 1981. Journal 2013, relecture et mise en ligne de l’entrée de la veille. Le Jour ni l’Heure, vitraux de Maurice Denis et Marcel Poncet, chapelle du Prieuré, mardi 21 août 2012. Requiem de Fauré, deux fois. Bain, lecture de Démier, le milliard des émigrés. Belle promenade sur le plateau, Balignac, Heuré-Bartens, ciels énormes, très belle lumière. L’IN-NOCENT. Demeures de l’esprit 10, 4. Dîné aux nouvelles. Demeures de l’esprit 10, 4, Rousseau à Montmorency, terminé le texte, qui a près de 40.000 signes ! Pierre le relit et corrige. L’IN-NOCENT. Anthologie générale, ajouté sept phrases de la réserve (Céline). Lettres reçues, paratexte et scans de la lettre 74, W., 8 juillet 1980. Journal. Couché à 2 h.

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créée le vendredi 3 mai 2013, 10 h 48Jeudi 2 mai 2013. Saint Boris 122/243. Plieux. Levé à 7 h & ½. Ordinateur marche de plus en plus mal, il faut chaque fois l’allumer deux fois et faire toute une comédie, et il est de plus en plus lent. L’IN-NOCENT, clash avec un certain M. Bourrinet à propos de Tagore ! (il prétend que Tagore écrit en anglais !). Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, sous un nuage, et grande vue (prise) de la bibliothèque. Comptes : - 541,54 (inchangé). Agenda. 10:27 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda de la veille, Le Prieuré le 21 août 2012 et cinq journée d’avril 1981. Envoyé à Hélène Guillaume le texte 4, Rousseau au Petit-Montlouis, Montmorency, de Demeures 10, France V. Commencé à faire un peu d’ordre sur le bureau. L’IN-NOCENT. Journal 2013, relecture et mise en ligne de l’entrée de la veille. Le Jour ni l’Heure, paysages de la veille. Lumbago, pas de gymnastique. Bain, lecture par Pierre de Démier, l’Église et le sentiment religieux sous la Restauration. Promenade en 8 avec Pierre. Le Monde. Pas de communiqué du parti. Décidé, au lieu de passer à Demeures 10, 5 (Rodin à Meudon), d’écrire en vitesse un petit Le Changement de peuple, de 100.000 signes à peu près. Dîné aux nouvelles. Regardé une bonne partie de Casino, de Scorsese, jusqu’à la fin. Continué Le Changement de peuple, 6.500 signes. Journal. Couché à 2 h.

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créée le samedi 4 mai 2013, 10 h 56Vendredi 3 mai 2013. Saints Philippe & Jacques — 124/241. Plieux. Levé à 7 h & 1/2, toujours bloqué du milieu. Orage aboie ou geint, comme tous les matins désormais, jusqu’à l’arrivée de Céline. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, dans le jardin, et Maurice Denis, 21 août 2012. Comptes : - 984,22 (factures carte bleue : Blurb, 161,65 (Le Jour ni l’Heure, album), Blurb, 58,77 (2 Paysages provisoires 1, reliés), Blurb, 58,77 (2 Paysages provisoires 2, reliés), Blurb, 42,50 (2 Paysages provisoires 1, brochés), Blurb, 42, 50 (2 Paysages provisoires 2, brochés), Blurb, 26,23 (2 Inhéritiers), Lulu, 23,46 (2 Inhéritiers), Cofiroute, 14,40 (Dourdan aller), Cofiroute, 14,40 (Dourdan retour)) /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda de la veille, autoportrait, paysages de l’avant-veille, un tableau du Prieuré de Saint-Germain-en-Laye, 21 août 2012, et cinq journées d’avril 1981, agenda. Journal 2013, relecture et mise en ligne de l’entrée de la veille. Le Jour ni l’Heure, tableaux de Saint-Germain-en-Laye, 21 août 2012. Pas de gymnastique. Première et deuxième sonate pour violoncelle et piano de Brahms. Démier, l’anticléricalisme sous la Restauration (Montlosier). Promenade en 8 avec Pierre. Le Monde. Pas de communiqué du parti. Le Changement de peuple. Dîné aux nouvelles. Revu une partie du Grand Alibi. L’IN-NOCENT. Le Changement de peuple, mais lutte péniblement contre le sommeil. Journal. Couché à 1 h & ½.

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créée le dimanche 5 mai 2013, 10 h 39Samedi 4 mai 2013. Saint Sylvain — 124/241. Plieux. Mal et peu dormi, réveillé à 6 h & ½, Orage aboie et geint, levé à 7 h et ½. L’IN-NOCENT, Notturno de Schoeck. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et détail de la Galatée de Maurice Denis, mise en ligne la veille. “Répliques”, Finkielkraut reçoit Marcel Cohen. Comptes : - 474,07 (virement PayPal + 400,00, virement PayPal + 100, virement européen Sepa FRM APPLE EID (?)). Agenda ///  Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda de la veille, Prieuré de Maurice Denis le 21 août 2012 et cinq jours en mai, 1981, agenda. L’IN-NOCENT. Journal 2013, relecture et mise en ligne de l’entrée de la veille. Le Jour ni l’Heure, tableaux du Prieuré, 21 août 2012. Sieste avec Pierre *. Parlé à Jean-Paul Marcheschi. Promenade en 8, autoportrait sous un chêne, paysage préposthume. Le Monde. Communiqué du parti, sur la réforme du droit d’asile. Le Changement de peuple, 15.000 signes. Dîné aux nouvelles. Vu L’Assassin habite au 21, de Clouzot, 1942. L’IN-NOCENT, échanges avec le frère Hermann Delplanque. Le Changement de peuple, suite, 18.000 signes. Journal. Couché à 1 h & ½. 

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créée le lundi 6 mai 2013, 11 h 37Dimanche 5 mai 2013. Sainte Judith — 125/240. Plieux. Levé à 7 h, Orage aboie et geint, le sors ainsi qu’Ottokar. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, sous un chêne, et Paysage préposthume n° 108. Importé 300 € de PayPal (800 en tout cette semaine). Agenda. 10:01 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda de la veille, & 21 août 2012, & fin de mai 1981. Journal 2013, relecture et mise en ligne de l’entrée de la veille. Le Jour ni l’Heure, trois tableaux ou détails de vitraux du Prieuré de Saint-Germain-en-Laye, 21 août 2012. L’IN-NOCENT. Rangements des différents bureaux, en prévision des visiteurs, mais c’est une tâche désespérée, et qui ne fait qu’élargir les gouffres. Bain. Pas de Démier. Société archéologique du Gers, une centaine de personnes vers 6 heures, menées par leur président M. Courtès. Allocution à l’ensemble, puis la compagnie se divise en deux groupes de cinquante personnes, que je fais visiter successivement, Pierre inaugurant le parcours pour le deuxième groupe, le tout avec l’assistance de Jeanne Lloan. J’avais l'impression que tout s’était très bien passé mais Jeanne me dit qu’une dame à l’arrière critiquait tout et en particulier Marcheschi (« N’importe qui pourrait faire ça… », classique) et, d’autre part, M. Courtès m’interrompt sur la fin, trouvant peut-être que je suis trop long (la dame se plaignait aussi de cela). Bref, ce n’était pas si réussi que je l’imaginais, et d’ailleurs personne n’a rien acheté des livres de notre petite “librairie” (catalogues, marcheschiana, Demeures de l’esprit, albums de photographies, etc.). Quelques enthousiastes tout de même, ou très polis. Dîné avec Jeanne. Après son départ, vu la fin de Sabrina. L’IN-NOCENT. Le Changement de peuple, arrivé péniblement à vingt mille signes. Journal. Couché à 1 h & ½. 

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créée le mardi 7 mai 2013, 11 h 36Lundi 6 mai 2013. Sainte Prudence — 126/239. Plieux. Levé à 7 h – le ¼ avec Pierre dont les vacances sont finies. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et portrait de Paul Tampier par Anquetin, 21 août 2012. Longue conversation avec Paul-Marie Coûteaux que j’avais appelé la veille et l’avant-veille et qui me rappelle. Émission le 15 mai, avec Ivan Rioufol. Appel d’un président d’association pour une conférence à Troyes (le 19 juin ?). Agenda. 11:25 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, la veille, & 21 août 2012 & juin 1981. Journal 2013, relecture de l’entrée de la veille. Le Jour ni l’Heure, Saint-Germain-en-Laye & Paris, 21 août 2012. 50 50 50 70 30 12. L’IN-NOCENT. Parlé longuement à Alain Finkielkraut, pas trop content d'un passage le concernant dans Vue d’œil mais très gentil comme d’habitude. Me donne des conseils médiatiques (envois de “services de presse” des Inhéritiers, dont il dit grand bien). Essaie de joindre Élisabeth Lévy, qui me rappelle un peu plus tard, très cordiale elle aussi (autres conseils médiatiques, mais pour les suivre il faudrait d’autres exemplaires du livre). Entre temps, promenade en 8 avec Pierre, rentré tôt. Pas de Monde, pas de communiqué du parti, pas de temps. Dédicacé des exemplaires disponibles à Coûteaux, à Rioufol, à M. Daoud Boughezala, de Causeur. Dîné aux nouvelles. Vu Primary Colors, 1998, de Mike Nichols, avec John Travolta. Écrit à ma tante pour rendez-vous lundi prochain. Essayé de commander 10 exemplaires des Inhéritiers mais maelstrom de complications car où les faire livrer ? Ici je serai déjà parti, chez Emmanuel Michon mais il faut un code d’accès et un numéro de téléphone fixe, finalement chez Jean-Michel Leroy avenue de Saxe. Exaspération d’impuissance pour tout le temps perdu. Le Changement de peuple, 1500 signes (21.000). Journal. Couché à 1 h.

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créée le mercredi 8 mai 2013, 10 h 23Mardi 7 mai 2013. Sainte Gisèle — 127/238. Plieux. Levé à 8 heures. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, bien, et Saint-Sulpice le 21 août 2012. Parlé à M. Delautremer. Comptes : - 2552 (prél. Sofinco, crédit isolation, - 310, 80 / chèque Céline, - 999,95 / prél. Cetelem (voiture), - 1013,44) / virement PayPal, + 300 / virement PayPal, + 100 / prél. Le Monde interactif, - 15,00 / prél. Télérama, - 23,00 / prél. Canal Satellite, - 79,00 / prél. Canal Plus, - 39,90). Agenda. 11:23 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda de la veille, photographies des 21 et 22 août 2012, cinq journées de juin 1981. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, trois photographies de la maison de Debussy à Saint-Germain-en-Laye, 22 août 2012. 50 50 50 70 30 12. Journal 2013, relecture et mise en ligne de l’entrée de la veille. Jeune femme et jeune homme de Lectoure, font un travail sur les châteaux gascons et prennent des photographies. Le Monde. Communiqué sur Gaston Flosse. Essaie de commander cinq exemplaires des Inhéritiers pour M. Georges Liebert mais exaspérantes difficultés du côté de Blurb pour dissocier adresse de facturation et d’envoi. M’adresse à l’aide en ligne, sans grand résultat. Le Changement de peuple, de 22.000 à 23.000 signes. Dîné aux nouvelles. Vu un documentaire sur la duchesse de Windsor, puis une partie de Et au milieu coule une rivière, de Robert Redford, avec Brad Pitt. Démêlés avec Blurb pour les livres de M. Liebert (ou Liébert ?), suite, perdu un temps fou (en plus j’ai coupé en deux le chèque de ce monsieur en ouvrant son enveloppe...). Écrit à M. René Marchand. Le Changement de peuple, de 23.000 à 25.000 signes, en luttant héroïquement contre le sommeil. Journal. Couché à 1h & ½.

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créée le jeudi 9 mai 2013, 11 h 14Mercredi 8 mai 2013. Victoire 1945 (Férié) — 128/237. Plieux. Réveillé à 6 heures et demie. Douleur au bas-ventre à droite. Orage aboie et geint comme tous les matins désormais. Levé à 8 heures. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et La Musique, de Maillol, hommage à Debussy, Saint-Germain-en-Laye, 22 août 2012. Comptes : - 3059,16 (prélèvement SCAM, 507,00). Agenda. 10:13 ///  Le Jour ni l’Heure, Chronologie, la veille, & 22 août 2012 chez Debussy à Saint-Germain-en-Laye & cinq journées de juin 1981 à Florence. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, trois photographies de la maison natale de Debussy à Saint-Germain-en-Laye, 22 août 2012. Bain, longue lecture de Démier, le ministère Martignac, 1827-1828. L’IN-NOCENT. Promenade en 8 avec Pierre. Sieste avec lui. Le Changement de peuple. Dîné aux nouvelles. L’IN-NOCENT. Le Changement de peuple. 32.000 signes. Journal. Couché à 1 h.

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créée le vendredi 10 mai 2013, 11 h 16Jeudi 9 mai 2013. Ascension — 129/236. Plieux. Levé à 7 h - le ¼. Autoportrait pour la veille, oublié. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait & lampe chez Debussy, 22 août 2012. Déjeuné en bas. Agenda. 10:02 ///  Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda & autoportrait de la veille, quatre photographies de la maison natale de Debussy à Saint-Germaine-en-Laye le 22 août 2012, et cinq journées de juin 1981 à Florence, agenda. Journal 2013, relecture et mise en ligne de l’entrée de la veille. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, chez Debussy à Saint-Germain-en-Laye, suite. Bain, lecture de Démier, Martignac aux affaires, ça se gâte. L’IN-NOCENT. Promenade au champ du bas avec Pierre, sous la pluie. Le Changement de peuple. Dîné aux nouvelles. Le Changement de peuple, 37.000 signes. Journal. Couché à 1 h.

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créée le samedi 11 mai 2013, 11 h 13Vendredi 10 mai 2013.  Sainte Solange — 130/235. Plieux. Levé à 7 h & ½. L’IN-NOCENT. Chiens. Déjeuné seul en bas (Pierre au collège, Céline fait le pont). L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et paysage préposthume du matin même. Comptes : - 3059,16 (inchangé). Agenda. 11:05 //// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, maison natale de Debussy à Saint-Germain-en-Laye le 22 août 2012, fini juin 1981, agenda. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, Louveciennes, 22 août 2012. 50 50 50 70 30 12. Promenade en 8. Le Monde. Pas de communiqué du parti (la race et la constitution, mais ce n’est pas vraiment d’actualité). Retenu une chambre à Lyon. Le Changement de peuple. Dîné aux nouvelles. Vu Cosmopolis, de David Cronenberg. Le Changement de peuple, 42.000 signes. Journal. Couché à 2 heures.

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créée le dimanche 12 mai 2013, 11 h 13Samedi 11 mai 2013. Sainte Estelle — 131/234. Plieux. Levés à 8 heures. L’IN-NOCENT. Déjeuné en bas. Pierre va à Auch porter la voiture pour une révision. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et portrait de la chienne Hola le 5 mai. Parlé à ma tante mais elle n’a pas encore reçu ma lettre et ne tient pas à un dîner. Retenu une chambre à l’hôtel Radio pour lundi soir, mais celle que j’aime est déjà prise et l’hôtel est très plein. Comptes : - 1821,07 (retraite : + 1138,09 / virement PayPal : 100,00). Agenda. 10:58 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, autoportrait de la veille, photographies du 22 août 2012, cinq journées de juillet 1981, agenda. Journal 2013, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, chienne Hola le 5 mai, photographies des 22 et 23 août 2012, Saint-Germain-en-Laye, Auvers-sur-Oise. 50 50 50 70 30 12. Musique pour piano de Vitezslava Kapralova, disque offert par Philippe Jullien, ainsi que la correspondance Duparc/Cras (on n’est pas plus églogual...). Visite de deux hommes, hôtes d’Ève Ruggieri, qui envisagent d’acheter le château. Famille de touristes, nous voyant dans le jardin, croit à une visite à billets et visite aussi (gens très sympathiques). Promenade en 8 avec Pierre. Le Monde. Pas de communiqué du parti. Le Changement de peuple, 45.000 signes. Dîné aux nouvelles. Vu une émission de Lorant Deutsch sur les lieux de Céline, texte de Patrick Buisson. Le Changement de peuple, 48.000 signes. Journal. Couché à 1 h et ½.

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créée le lundi 13 mai 2013, 10 h 18Dimanche 12 mai 2013. fête de Jeanne d’Arc — 132/233. Plieux. Douleurs au bas-ventre à droite. Levé à 7 heures. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, bon autoportrait de la veille, ignominieusement “flatté”, et maison de Charles Daubigny à Auvers-sur-Oise, mercredi 23 août 2012. Déjeuné en bas. Tél. d’Émilia Bascou. Agenda. 10:37 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda, Auvers-sur-Oise, 23 août 2012, deux journées de juillet 1981. L’IN-NOCENT. Sieste avec Pierre *. Symphonie de Bizet, concerto pour violoncelle de Lalo. Bain, Démier, le ministère Polignac. Promenade avec Pierre au champ du bas et aux Trônes. Le Changement de peuple. Dîné aux nouvelles. Revu Matchpoint, de Woody Allen, et un documentaire sur la Finlande et Mannerheim pendant la guerre. Écrit à Philippe Jullien et à Georges Courtès. Le Changement de peuple, 50.000 signes. Journal. Couché à 1 et ½.

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créée le mardi 14 mai 2013, 7 h 50Lundi 13 mai 2013. Sainte Rolande — 133/232. Levé avec Pierre à 7 h. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et paysage atomique du matin. Tél. de M. Chaton, de Troyes. Agenda. 09:57 /// Le Jour ni l’Heure, agenda de la veille, Auvers-sur-Oise le 23 août 2012 et agenda copié, huit entrées de juillet 1981. Relecture et mise en ligne du journal de la veille. Messages à Charles Consigny, à Pierre Sauty, à Julien Rochedy, à Karim Ouchikh, à Élisabeth Lévy pour les invités à la soirée de vendredi. Céline va à Miradoux chercher un colis de M. Delautremer, nouvelles pilules que j’emporte en voyage. Le Jour ni l’Heure, Auvers-sur-Oise, jeudi 23 août 2012. 50 50 50 70 30 12. Bagages. Quitté Plieux à 4 heures et ½. Croisé Pierre en çà de Valence-d’Agen mais il ne me voit pas. Lauzerte. Castelnau-Montratier. Autoroute. Brive. Rate la sortie près de Laqueuille. Bromont-Lamothe. Orcines. Avenue Thermale. Chamalières, hôtel Radio, un peu avant neuf heures. Chambre 12 bis, peu isolée. Tél. à ma tante, mais il est trop tard pour une visite d’avant-dîner et il sera trop tard pour une visite d’après-dîner. Erre dans Royat à la recherche d’une brasserie ou d’un café, tentative à côté de l’église du bas, monté en vain jusqu’à l’église du haut, redescendu par l’autre côté, finalement maigre “assiette composite” dans la chambre. L’IN-NOCENT, peu. Journal. Lu Pierre Merle, La Ségrégation scolaire, mais on n’y voit rien. Couché à 1 h.

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créée le mercredi 5 juin 2013, 13 h 26Du lundi 13 mai 2013 au samedi 1er juin 2013. Voyage à Lyon puis séjour à Paris.

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créée le mercredi 15 mai 2013, 11 h 04Mardi 14 mai 2013. Royat-Chamalières, hôtel Radio, ch. 12 bis. Mal dormi, sommeil agité, sans doute à cause du magnésium (Dyno-Mins) pris juste avant de me coucher. Bizarre et désagréable tourbillon autour du mot “bulle” (?). Levé à 6 heures et ½. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, dans la chambre, et vue confuse du Paradis, au-dessus de Royat, prise à la nuit tombante. Comptes : - 1721,07 (virement PayPal, + 100). Agenda. 07:44 /// Déjeuné en bas. Très gentil coup de fil de Joseph Vebret, invitation à déjeuner, mais dois prendre le large. Quitté l’hôtel Radio peu après 10 heures. Été en voiture dans le centre de Chamalières pour acheter des fleurs (au-dessous de l’ancien cabinet de mon grand-père). Visite à ma tante à l’ancien Royat-Palace. Éloge inattendu de Rachida Dati (et de Charles-Philippe d’Orléans, duc d’Anjou). Quitté Royat peu après-midi. Passé au pied de Montjuzet (petite fille disparue avant-hier). Autoroute. Sorti à Pont-de-Dore. Photographie de la Dore (Ladore → Ada). Néronde. Manoir de Bélîme, la tour du More de la romance de Chateaubriand, citée dans Ada. Courpière. Château de la Barge, très beau, grand beau temps, mais ne peux approcher vraiment. Tentatives d’exploration des rives de la Dore, au nord de La Barge. Rejoins l’autoroute. Thiers. Chabreloche. Montbrison. Saint-Étienne. À Lyon vers 4 heures et demie. Installation à l’hôtel Villa Fiorentina, sur les pentes de Fourvière. Chambre 12, jolie vue, mais Internet marche mal. On me change de chambre, ch. 14, “suite”, mais sans vue. Pataquès avec Damien de Saint-Exupéry qui avait retenu une chambre ailleurs, mais ne m’en avait pas parlé. Parlé à Pierre. À 7 h et ¼ à “la Traboule”, local des identitaires montée du Change, à deux pas de l’hôtel. Parlé longuement à un lecteur lyonnais. “Conférence” ne commence qu’à 8 heures. Salle bien pleine, improvisation, nombreuses questions, tout va bien. Rencontré Gérard Pichon. Saint-Éxupéry me donne 200 €, bien qu’il ait dû payer l’autre chambre. Les quitte vers 10 heures. Repasse à l’hôtel, parle à Pierre. Descends dans le Vieux-Lyon, dîne place Neuve-Saint-Jean, en lisant La Ségrégation scolaire. Rentré vers minuit et demi. Journal. Couché à 1 h et ½.

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créée le jeudi 16 mai 2013, 12 h 24Mercredi 15 mai 2013. Lyon, hôtel Villa Fiorentina, ch. 14. Levé à 8 heures. Petit déjeuner décevant, pas de “buffet”, il faut tout commander et attendre, pas du tout mon genre. Appel de Pierre. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et manoir de Bélîme. L’IN-NOCENT. Agenda. 10:56 /// L’IN-NOCENT. Journal 2013, relecture et mise en ligne de la (brève) entrée de la veille. Quitté la chambre et payé l’hôtel (330 €) à midi. Pluie. Monté à pied à Fourvière à travers les jardins du Rosaire, en passant par la maison de Pauline-Marie Jaricot, fondatrice des Réparatrices de Jésus-Christ. Basilique & chapelles annexes. Redescendu par la rue. Récupéré la voiture à l’hôtel. Quitté Lyon à deux heures. Autoroute, pluie. Thé & sandwich à la hauteur de Sens. À Paris à 7 h & ½. Retrouvé Jean-Michel Leroy & son amie Jeanne Henry devant le porche du passage de la Tombe-Issoire, dont Leroy a la clef. Installation. Voiture rue Sarette. Courses avec Leroy au Franprix d’en face. Parlé à Pierre. Avec Leroy à Radio Courtoisie un peu avant 9 h et ½. Émission en direct de 9 h & ½ à 11 heures avec Paul-Marie Coûteaux, son assistante, un jeune homme noir qui est là mais ne parle pas, Denis Bachelot et, donc, Leroy. Raccompagné Coûteaux & le jeune homme noir à Saint-Germain-des-Près, puis Leroy place d’Italie. Mis la voiture au parking d’Alésia. Zeyer fermé, dîné d’un paillard de poulet, d’un plateau de fromages et de deux verres de vin rouge au Bouquet, en face. Rentré rue de la Tombe-Issoire vers 1 heure du matin. Autoportrait au piano. Journal. Installation, etc. Feuilleté un album vaguement pornographique qui traînait là. Couché à 3 h du matin.

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créée le vendredi 17 mai 2013, 9 h 01Jeudi 16 mai 2013. Paris, chez Emmanuel M., passage de la Tombe-Issoire. Levé à 7 heures. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, au piano, et détail de la mosaïque représentant la bataille de Lépante, à Fourvière. Comptes : - 1721,07 (inchangé). Agenda. 12:18 /// Toute la journée dans l’atelier de la Tombe-Issoire, lu La Ségrégation scolaire, de Pierre Merle. Parlé à Flatters. L’IN-NOCENT. Dormi un peu. Pluie. Sorti à 7 h et ½, courses au Monoprix d’en face, vu un très sexy Turc (???) qui fait également des courses avec un compatriote. Dîné ici. Continué la lecture de La Ségrégation scolaire. Autoportrait avec le piano, en pull-over rouge “emprunté” à Emmanuel M. Tél. de Pierre. Journal. Couché à 1h.

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créée le samedi 18 mai 2013, 11 h 52Vendredi 17 mai 2013. Paris, chez Emmanuel M., passage de la Tombe-Issoire. Levé à 7 heures et ½, petit déjeuner, L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et Pie V à la bataille de Lépante, Fourvière. Agenda. 08:56 /// Bain. Station de métro Alésia fermée, dû aller jusqu’à Denfert-Rochereau. Bir-Hakeim. Maison de la Radio, travaux également, porte C. Alain Finkielkraut, puis Pierre Merle, qui nous attendait dans le studio. Enregistrement de “Répliques”. Moi assez tendu car m’attendant à ce que Pierre Merle soit très agressif, en fait il est tout à fait courtois. Je me trouve très mauvais, plusieurs lapsus, mais Finkielkraut arrive à limiter les dégâts. Rentre en taxi dans le centre avec lui, jusqu’au pied de chez lui rue Vavin. De là à pied rue de la Tombe-Issoire, assez beau temps. L’IN-NOCENT. Journal. Ressorti vers 4 heures. Difficultés de nouveau à trouver un métro, la station Saint-Jacques est très difficile d’accès. Me perds sur des lignes que je ne connais pas. En retard au rendez-vous à cinq heures chez Marcheshi avec MM. Bily & Leroy. Courses avec eux en trois voyages, au Franprix voisin, chez un traiteur de la rue du Roule et à la boulangerie voisine, rue Saint-Honoré, puis chez un caviste voisin des Saints-Innocents. Bily et moi dépensons cinq ou six cents euros, théoriquement remboursables par le trésorier du parti. Rentrés rue Berger, aménageons les lieux pour la soirée des in-nocents et disposons les victuailles acquises. Soirée de huit heures à deux heures du matin, donc : Philippe de Saint-Robert, Alain Finkielkraut, Élisabeth Lévy, Paul-Marie Coûteaux, Karim Ouchikh et son épouse, Pierre Cassen, Christine Tasin, Pierre Sautarel, Charles Consigny, Richard Millet, Sylvia Bourdon, Farid Tali, Erik Kjørveld et trente ou quarante autres personnes dont un fort contingent des amis et amies de Jean-Michel Leroy, à commencer par son très beau jeune frère, qui contredit tout à fait, lui aussi, les vues de Camus sur la décadence culturelle de la jeunesse. Curieuse disparition de Stéphane Bily. Finkielkraut prend la parole comme il avait annoncé qu’il le ferait pour m’interroger sur la décision du parti et de moi d’appeler à voter pour Marine Le Pen l’année dernière. Intervention d’Élisabeth Lévy, beaucoup plus virulente que Finkielkraut. Je réponds. Re-Lévy, puis Millet dans le même sens mais sur un ton plus modéré, puis Christine Tasin, puis Farid Tali. Soirée retrouve son cours ensuite, assez animé mais très courtois et amical. Pierre arrive vers minuit et demi. Partageons au retour un taxi, que nous avons beaucoup de mal à trouver, avec Farid Tali. Couchés à trois heures.

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créée le dimanche 19 mai 2013, 11 h 27Samedi 18 mai 2013. Paris, Tombe-Issoire, samedi 18 mai. Assez mauvaise nuit, douleurs rhumatismales aux genoux. Autoportrait pour la veille, oublié. Levé à 8 heures. Écouté avec Pierre l’émission “Répliques” enregistrée la veille, correcte malgré mes lapsus, assez terne (il n’y a pas vraiment d’échange entre Merle et moi, les fleurets sont mouchetés à l’excès). Le Jour ni l’Heure, autoportrait du matin pour la veille et maison de Daumier à Valmondois, 23 août 2012. Agenda /// Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Sortis vers deux heures, pris le métro à Saint-Jacques, changé à Place d’Italie, sortis à Pont-Neuf. Passés à l’atelier de Flatters, mais il n’y est pas. Galerie Éric Dupont, 138, rue du Temple, vernissage de l’exposition de Damien Cabannes. Parlé à Éric Dupont, qui nous offre le catalogue rétrospectif de Cabannes. Parlé à Damien Cabannes. Courses pour la réunion du soir, bocal de foie gras et deux bouteilles de châteaugay dans une boutique auvergnate de la rue Rambuteau. Retourné à l’atelier de Flatters rue des Deux-Boules, cette fois il y est, passons un assez long moment avec lui. Métro Louvre-Étoile. À 6 heures et 1/2, 18, rue de Tilsitt, réunion organisée par Sylvia Bourdon avec de jeunes avocats et journalistes plus Jean Barbier et “Casus Belli”. Discussion “dînatoire” autour de l’In-nocence. Rentrons en métro (Charles-de-Gaulle-Nation, sortis à Saint-Jacques) vers 10 heures et ½. Autoportrait dans l’allée. Journal. Couché à minuit.

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créée le lundi 20 mai 2013, 11 h 54Dimanche 19 mai 2013. Paris, Tombe-Issoire, dimanche 19 mai 2013, Pentecôte. * Levés à 9 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et château de Méry, 23 août 2012. L’IN-NOCENT. Comptes : - 1783,41 (prélèvement Internet Orange num, - 62,34). Agenda. 11:10 /// Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Bain. Sortis vers 3 heures, métro Saint-Jacques, Nation, ligne 1, sortis dans les galeries du Louvre. Louvre, file d’attente, mais à l’intérieur, au moins, grâce à cette précaution. Exposition “De l’Allemagne”, intéressante, mais terriblement incomplète et ne rendant toujours pas justice à la peinture allemande (les expressionnistes de la première génération, Nolde, “Die Brücke”, Schmitdt-Rottluff, etc., totalement absents, ce qui est absurde). Rencontré Pascale Gilbert et son amie Florence M[énard ?], conversation sur le dépôt légal. Moment à la librairie, aperçu le fameux Mr-Pan, of Flickr fame, mais impression qu’il me bat froid. Pluie diluvienne, à la sortie. Gagnons tout de même les arcades de la rue de Rivoli, puis Pierre va chercher à l’atelier de Flatters la clef de son appartement, je l’attends dans le hall de la rue Berger en feuilletant le catalogue “De l’Allemagne”. Nous sommes tous les deux trempés. Surabondant dîner de restes (mais on pourrait en faire dix pareils) en compagnie de Farid Tali, qui nous a rejoints sur notre invitation peu après 8 h. Flatters rentre de l’atelier vers 11 heures, longue conversation à quatre, Pierre et moi partageons un taxi avec Tali comme vendredi. Ici à deux heures du matin. Autoportrait. Journal (héroïque). Couché à trois heures. 

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créée le mardi 21 mai 2013, 10 h 08Lundi 20 mai 2013. Paris, rue de la Tombe-Issoire. Levé à 8 heures et demie. L’IN-NOCENT. Divers échanges avec Sylvia Bourdon, Farid Tali, Stéphane Bily — idée d’une autre soirée des in-nocents de Paris, cette fois en petit comité, mardi, mercredi ? Le Jour ni l’Heure, bon autoportrait de la veille et château de Méry, 23 août 2012. Agenda. 11:48/// Le Jour ni l’Heure, agenda de la veille et château de Méry. Relecture et mise en ligne du journal de la veille. Parlé à Flatters. Sortis vers 2 heures et demie, métro Saint-Jacques, voulons changer à La Motte-Piquet mais ligne interrompue, retournons sous la pluie à Pasteur, sortons à Concorde. Orangerie, attendons une heure sous la pluie et dans le froid pour accéder à l’exposition Macchiaioli, que nous quittons vers 5 heures (catalogue, cartes). Toujours avec Pierre, en métro, jusqu’à la station Montparnasse-Bienvenüe où nous nous quittons, lui pour prendre le train pour Agen, moi pour aller jusqu’à la station Saint-Jacques et rentrer à “la maison”. Courses au chinois voisin et plus tard au Monoprix pour des crackers. L’IN-NOCENT. Divers échanges pour tâcher d’organiser une autre réunion des in-nocents parisiens (ce sera finalement vendredi). Dîner sur place, poulet, poulet chinois, fromage et vin disposés par Emmanuel Michon. L’IN-NOCENT encore, parlé à Flatters. Communiqué du parti (sur l’effacement du mot “race”). Journal. Autoportrait (dans l’escalier, sans intérêt). Lu les souvenirs de Thadée Klossowski de Rola, livre offert par Madeleine Gobeil. Couché à 2 heures.

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créée le mercredi 22 mai 2013, 13 h 20Mardi 21 mai 2013. Paris, rue de la Tombe-Issoire. Levé à 8 heures, très rhumatisant, comme tous ces jours-ci. Petit déjeuner, L’IN-NOCENT, divers sites, l’In-nocence, Flickr péniblement transformé, vives protestations de toute part des usagers. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et château de Méry, 23 août 2012. Agenda. 09:59 /// Bain. À onze heures chez Robert Ménard, au fond d’un jardin à côté de Denfert-Rochereau, avec Sylvia Bourdon qui lui propose comme à d’autres de se rallier derrière moi. Il accepte, estimant sans doute, à juste titre, que pour le moment ça ne l’engage pas à grand-chose. Emmanuelle Duverger. Vu aussi leur fils Samuel, très joli. Rentre vers 1 heure, ayant décliné la proposition de Sylvia Bourdon d’un déjeuner au motif que je ne déjeune jamais moyennant quoi, à peine rentré rue de la Tombe-Issoire je me gave, après une semaine de résistance, des provisions généreusement laissées par Emmanuel Michon dans le réfrigérateur et dont je n’avais pas compris, d’abord, qu’elles nous étaient destinées (pâté en croûte, excellent fromage, vin, etc.). L’IN-NOCENT. Me remets au Changement de peuple, mais nouvelle du suicide de Dominique Venner à Notre-Dame et beaucoup d’activités sur Facebook autour de ce drame. Visite de Jean-Michel Leroy, conversation très intéressante sur sa famille. Il prend son tableau et un exemplaire des Inhéritiers. Courses au Monoprix. Dîné “à la maison”, seul. L’IN-NOCENT (Dominique Venner). Parlé à Pierre. Le Changement de peuple, 55.000 signes. Journal. Lu Thadée Klossowski. Couché à 2 heures.

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créée le jeudi 23 mai 2013, 12 h 24Mercredi 22 mai 2013. Paris, rue de la Tombe-Issoire. Levé à 7 heures moins vingt. Déjeuné. L’IN-NOCENT. Nombreux messages de Sylvia Bourdon. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et château de Méry, 23 août 2012. Message d’Emmanuelle Duverger, demande d’entretien pour “Boulevard Voltaire”. Réponds par écrit (4000 signes). Entretien téléphonique, celui-là, pour les identitaires bretons (Ker quelque chose) (Venner m’ayant cité dans son message préposthume, une certaine curiosité à mon égard). Comptes : - 1783,41 (inchangé). Agenda. 12:26 /// Déjeuné, pâté en croûte, fromage, vin, barre de céréales, fruits secs. Le Jour ni l’Heure, agenda de la veille. Journal 2013, relecture et mise en ligne des entrées de la veille et de l’avant-veille, oubliée. Communiqué du parti sur la mort de Dominique Venner. Voulu porter chez Fayard le tableau destiné à Claude Durand mais m’aperçois in extremis qu’il n’est ni signé ni daté ni dédié, contrairement à ce que je croyais ; dois rouvrir le bel emballage fait par Céline, fiche tout en l’air, n’arrive pas à refermer, scotch partout, y compris contre la peinture, nouvel emballage chaotique et misérable. Vais tout de même chez Fayard avec l’objet ridicule. Mme Marion ne me dit même plus bonjour, sauf contrainte et forcée. Hélène Guillaume très aimable au contraire, mais très pressante quand à Demeures 10. Réclame d’urgence fiche de présentation pour les représentants et photographie de couverture (!). Rentre à pied vers 6 heures et ½. Parlé à Pierre. Dîné debout, comme toujours ici, en regardant l’e(ffrayant) journal de France 2 (les conversions à l’islam en France, les troubles de Stockholm (qui “remettent en cause le modèle social suédois”)) en plein écran sur l’ordinateur. Texte pour les représentants à propos de Demeures 10. Communiqué du parti sur la mort d’Henri Dutilleux (dont il n’a pas été question au journal de 20 heures, maintenant que j’y pense !!!). Longues et assez vaines recherches d’une photographies de couverture pour Demeures 10. Reparlé à Pierre. L’IN-NOCENT. Journal. Lu un peu Thaddée Klossowski (Vie rêvée). Couché à 2 heures. 

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créée le vendredi 24 mai 2013, 11 h 38Jeudi 23 mai 2013. Paris, Tombe-Issoire. Levé à 7 h et ½. Essayé d’entendre Jean-Michel Leroy sur Radio Courtoisie mais tout saute, plus de connexion. Une heure de perdue à tâcher de rétablir les services. Connexion rétablie miraculeusement un peu après 10 heures (c’était peut-être collectif ?). L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et maison natale de Louis Braille à Coupvray, vendredi 24 août 2012. Comptes : - 1783,41 (inchangé). Agenda. 12:14 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda de la veille et Coupvray, 24 août 2012. Déjeuné, fini le pâté en croûte disposé par Emmanuel Michon, le fromage et le vin. Trouvé grâce à Pierre Sautarel un texte de Didier Éribon à propos de la réunion de vendredi dernier ; il confond l’agenda et le journal et juge de mes mérites littéraires (insignifiants) d’après l’agenda, celui-ci. J’apporte quelques précisions sur ce point sur sa page Facebook, où se trouve son texte, mais elles sont aussitôt effacées. Communiqué du parti, “Sur un faisceau d’événements récents”. Beaucoup d’échanges avec les uns et les autres, et par exemple Sylvia Bourdon. Entretien avec une journaliste du Temps, de Genève, que je dirige vers Rémi Soulié car elle désire un ami de Dominique Venner. Nouvelles de France 2 sur le Net. L’IN-NOCENT. Le Changement de peuple (57.000 signes). Journal. Autoportrait. Lu Thaddée Klossowski. Couché à 2 heures.

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créée le samedi 25 mai 2013, 14 h 49Vendredi 24 mai 2013. Rue de la Tombe-Issoire, Paris. Très peu dormi, réveillé à 6 heures. Autoportrait au lit. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et buste de Louis Braille par François Jouffroy, 1853. Nombreux échanges avec Richard Millet et Sylvia Bourdon. Courses au Monoprix. Agenda. 11:34 /// Le Jour ni l’Heure, agenda de la veille et buste de Braille. Nouvelle demande d’entretien de “Boulevard Voltaire”, répondu précipitamment. Bain. Métro. Alésia. Denfert-Rochereau. Étoile. Courcelles. Rendez-vous à 3 heures au Hilton-Courcelles, auj. “Le Collectionneur”, Sylvia Bourdon, puis M. Le Gallou. Entretien avec lui jusqu’à 5 heures. Repassé à la Tombe-Issoire, brièvement. Parlé à Pierre, à Finkielkraut. À 7 heures rue Berger, retrouvé M. Bily. Courses encore pour la soirée, pain, fromage, petits fours. Réunion des in-nocents chez Flatters, donc, M. Daniel Teyssier, Jonas Aschenbaum-Lenglet, Sylvia Bourdon, Jean-Michel Leroy, Me Mitrani, “Théodulfe de Lôme”, Marion Naas, Florence Ménard, Pauline Chevalier, Michel Le Floch, etc. Fait la vaisselle et tout remis en ordre avec M. Bily. Flatters arrive comme nous allons partir, enchanté du spectacle ”Judith et Holopherne”, de Baker. Rentré en taxi vers 1 h. Journal. Couché à 2 heures.

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créée le dimanche 26 mai 2013, 10 h 04Samedi 25 mai 2013. Rue de la Tombe-Issoire, Paris. Très bien dormi, bizarrement. Levé à 8 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et intérieur rue de la Tombe-Issoire. Écouté l’émission de Finkielkraut, à propos de Canal Plus. Parlé à Pierre, aussitôt après. L’IN-NOCENT. Matinée très traînassante, carabinée par une panne de connexion. Déjeuné, poulet froid, fromage, barre de céréales, café. Comptes : - 1783,41 (inchangé). Agenda. 14:36 /// Journal 2013, entrée de la veille et de l’avant-veille, relecture et mise en ligne. Bain. Sorti à 5 heures. Métro Alésia, changé à Denfert-Rochereau, Étoile. Comme je me dirige vers l’hôtel Intercontinental-Marceau, croise deux groupes de personnes qui, me reconnaissant, m’avertissent que la séance des identitaires en faveur des “4 de Poitiers” ne peut y avoir lieu, que la direction, objet de diverses pressions, a refusé, que la réunion est transportée dans une boîte de nuit, rue de la Croix-Nivert. Re-métro Étoile, station Convention. 18, rue de la Croix-Nivert. Longue, interminable attente. Parlé à Jean-Yves Le Gallou. Dame me parle du rôle des assistantes sociales dans le Grand Remplacement. Jean-Yves Le Gallou parle. Robert Ménard, filmé, parle (il est à Béziers pour sa campagne). Damien Rieu (Saint-Exupéry) raconte l’affaire de Poitiers. Le responsable d’une association culturelle parallèle traite des grandes batailles qui ont sauvé l’Occident, et surtout de Poitiers. Le porte-parole de “Génération identitaire” s’exprime et c’est fini, personne ne m’a donné la parole, alors que je suis resté une semaine à Paris, après l’enregistrement de Finkielkraut et la deuxième soirée de l’In-nocence, pour cette soirée-ci. L’ai un peu mauvaise. Reparle à Le Gallou, à propos des funérailles de Venner (il est en relation avec la famille). M’en entretiens avec Fabrice Robert et Pierre Sauty. Rentre en métro (aérien), très belle lumière sur Paris, d’après la pluie. Courses au Monoprix, plus importantes que prévu car j’ai décidé de rester à Paris jusqu’aux funérailles. Parlé à Pierre. L’IN-NOCENT. Découvert d’un article du Nouvel Observateur (en ligne ?) qui me présente comme le “maître-tweeteur” du “Printemps français” (sic) et souligne le succès de l’expression “Grand Remplacement”. Petit texte parfait de Guillaume Cingal en réponse à Éribon, mais celui-ci, fidèle à lui-même, l’a effacé de sa page. Journal. Autoportrait dans la salle de bain. Couché à deux heures et demie.

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créée le lundi 27 mai 2013, 16 h 51Dimanche 26 mai 2013. Paris, rue de la Tombe-Issoire. Levé à 8 heures moins vingt. Petit déjeuner, vaisselle, un peu d’ordre & de ménage dans la cuisine (invasion de fourmis). Connexion ne marche pas. Agenda. 09:03 /// Le Jour ni l’Heure, autoportrait et intérieur de la veille. Journal 2013, relecture de l’entrée de la veille. Retour de la connexion vers 11 heures, mise en ligne de ceci et de cela. L’IN-NOCENT, intense activité toute l’après-midi, autour des funérailles de Dominique Venner. Sorti faire un tour dans le quartier pour prendre l’air, petite brocante sur le trottoir, curieusement misérable. Parc Montsouris. Le Changement de peuple. Parlé plusieurs fois à Pierre. Nouvelles de 8 heures sur France 2 via la Net, sur mon ordinateur, puis deuxième épisode du téléfilm sur Daniel Cordier sur France 3. Parlé à Pierre. Le Changement de peuple, 60.000 signes. Journal, à propos d’un message peu agréable de Mme Riffaud. Couché à 2 heures, lu un peu Thaddée Klossowski. 

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créée le mardi 28 mai 2013, 10 h 36Lundi 27 mai 2013. Paris, rue de la Tombe-Issoire. Levé à 8 heures. Déjeuné. Pas de problèmes de connexion. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et vue de l’allée. L’IN-NOCENT. Parlé à Jean-Yves Le Gallou mais famille Venner tergiverse. Décidé d’aller de l’avant, rédige un communiqué à propos des funérailles et le publie sans attendre de vote des militants, après avoir prévenu (c’est la première fois que cela arrive). Parlé à la gardienne du passage, très aimable, lui demande où il y aurait dans le quartier une blanchisserie, prolongement de mon séjour rend nécessaire de faire laver des chemises. Ai perdu ma carte bleue, longue recherche. Elle est restée au Monoprix, où ils sont très gentils et m’interpellent à ce sujet dès qu’ils me voient, comme s’ils ne connaissaient que moi. Tél. de Philippe Martel, dîner avec Zemmour demain (prévenir Éribon !). Blanchisserie, donné sept chemises et un peu de linge. L’IN-NOCENT, publication du communiqué. Nombreux échanges avec Sylvia Bourdon, en particulier à propos du mot “race”. Tél. de Flatters. Agenda. 16:43 /// Le Changement de peuple. Dîné aux nouvelles, magret de canard, compote de poires au muesli. Communiqué du parti sur les agités de fin de manif pour tous. Pierre le désapprouve. Parlé aussi à Flatters. Le Changement de peuple, 69.000 signes. Journal. Lu Thadée Klossowski. Éteint vers 2 heures et demie.

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créée le mercredi 29 mai 2013, 22 h 50Mardi 28 mai 2013. Paris, Tombe-Issoire. Très peu dormi, réveillé à 6 heures et demie, levé bien fatigué. L’IN-NOCENT, plusieurs échanges avec Sylvia Bourdon, qui m’envoie un bon entretien de Le Gallou pour “La Voix de la Russie” (j’ai un peu lu son livre, qu’il m’a remis vendredi). Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et maison de Louis Braille à Coupvray. Comptes : - 1183,41 (virement PayPal, + 600,00). Agenda. 10:31 /// Le Jour ni l’Heure, agenda de la veille et Coupvray, 23 août 2012. Journal de la veille, relecture. Visite d’Afchine Davoudi, qui, sur la requête de Leroy, m’apporte deux ouvrages de Dominique Venner. (Nes-)Café. Mise en ligne de l’entrée de la veille du journal 2013 et de celle de 24, oubliée. Force échanges de toute sorte, toute l’après-midi, à propos de l’hommage à Venner. Interviens à plusieurs reprises sur le site Fdesouche. Bain, mais de moins en moins d’eau chaude (?). Juste avant de sortir, message de la famille Venner, faire-part pour la crémation, assortie d’une demande de secret quant au lieu et l’heure. Premier projet tombe donc à l’eau, communiqué sur les funérailles caduc. Transmission à Sylvia Bourdon, qui est indignée par l’attitude de la famille. Sors à 8 heures, métro Alésia, sors une première fois à Étienne-Marcel, mais ce n’est pas la bonne station, reprends la ligne 4, changement à Strasbourg-Saint-Denis, sors à Grands Boulevards. Nettement en retard pour le dîner Zemmour, organisé par Philippe Martel, en présence de “la Belle Albanaise”, au restaurant italien I Golosi, rue Grange-Batelière. Excellente conversation, très amicale. Zemmour nous montre le numéro de Valeurs actuelles qui doit paraître jeudi où il est sur la couverture avec le titre “La France de Zemmour”. Marchons tous ensemble jusqu’aux Grands Boulevards. Les remonte seul jusqu’à Réaumur-Sébastopol. Métro jusqu’à Alésia. Rentre vers minuit. Toute sorte d’échanges encore avec Sylvia Bourdon, Christine Tasin, Philippe Martel, etc., sur la manifestation que j’essaie d’organiser vendredi devant Notre-Dame. Journal. Autoportrait. Essaie de lire Venner mais la lampe de chevet ne marche plus. Couché à 2 heures et ½.

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créée le jeudi 30 mai 2013, 11 h 10Mercredi 29 mai 2013. Paris, rue de la Tombe-Issoire. Levé à 7 heures et ½. Déjeuner. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et portrait de Davoudi, pas mal. Nombreux échanges toute la matinée avec Sylvia Bourdon, Christine Tasin, Philippe Martel, etc., surtout à propos de la déclaration à la Préfecture de police, pour le rassemblement de vendredi. Finalement il suffit de l’opérer par voie électronique, sans attendre de réponse. Rédige cette déclaration, donc, bien poliment. Puis rédige en hâte le communiqué corrigeant le précédent et appelant à un rassemblement en hommage à Dominique Venner sur la place du Parvis de Notre-Dame, au pied de la statue de Charlemagne, après-demain à 11 heures. Il est prêt à 1 heure. Demande à Christine Tasin et à Sylvia Bourdon de ne le publier et envoyer, de leur côté, qu’après que l’In-nocence l’aura mis en ligne. Mais l’In-nocence ne le met pas en ligne, des heures durant, parce qu’aucune des personnes qui pourraient le faire ne consulte le site réservé, alors que chaque minute compte pour préparer en moins de deux jours une manifestation que nous organisons pratiquement seuls. Sens la fureur monter en moi à chaque minute qui passe, ne peux pas travailler, rien faire d’utile. Décide à quatre heures de démissionner de la présidence et du parti à cinq heures si le communiqué n’est pas publié. Il ne l’est pas, je m’exécute. Démission, prenant effet lundi prochain (ce serait trop compliqué à expliquer aux autres dans les négociations actuelles). Le communiqué est publié à 17:12, ce qui me permet de le mettre en ligne sur Facebook et Twitter, où d’ailleurs il n’est guère reproduit. Tél. de Jean-Yves Le Gallou, très froid (mais je le suis aussi, paralysé encore par la fureur depuis plusieurs heures). Tél. de Philippe Martel, de Marcel Meyer qui était en promenade, échanges encore avec Sylvia Bourdon et Christine Tasin. Peux à peine travailler, travaux avancent très peu. Blanchisserie, récupéré sept chemises, Monoprix. Tél. de Pierre. Dîner aux nouvelles, trop mangé, pour calmer l’exaspération et le froid. Échanges avec Farid Tali, qui partirait avec moi samedi. Nouveau téléphonage de Marcel Meyer, qui viendra de Bretagne vendredi. Temps perdu sur les sites divers, aucun écho notable aux communiqués. Agenda. 22:22. Comptes : miracle, + 813,73 (virement Fayard, 1997,14 (????? revenus Décivilisation ???)), mais “à venir” : -2266,96 — n’empêche, “repassé positif” de façon inespérée). 22:30 /// L’IN-NOCENT. Le Changement de peuple, 75.000 signes. Journal. Couché à 2 heures.

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créée le samedi 1er juin 2013, 1 h 28Jeudi 30 mai 2013. Paris, rue de la Tombe-Issoire. [Entrée perdue, reconstituée] Levé à 7 heures. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait et autre photographie de la veille. Très nombreux échanges avec les uns et les autres à propos du rassemblement de Notre-Dame. Journal 2013, relecture et mise en ligne. Déjeuner. L’IN-NOCENT, etc. Commencé vers 4 heures le discours du lendemain, y travaillé assez mollement jusqu’au dîner, puis dans l’affolement durant la soirée. Beaucoup d’échanges avec Philippe Martel, très secourable. Difficulté pour l’impression, effectuée d’une part par Sylvia Bourdon, de l’autre par l’ex-épouse de Martel. Parlé une ou deux fois à Pierre. Couché à 3 heures et demie.

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créée le samedi 1er juin 2013, 9 h 11Vendredi 31 mai 2013. Paris, 83, rue de la Tombe-Issoire. Mal et peu dormi. Levé à 7 heures. Ultime relecture corrective du discours. L’IN-NOCENT, mis en ligne encore une annonce du rassemblement. Sorti à dix heures. Métro Alésia. Sorti à l’Odéon, tour dans le quartier. Rendez-vous à 11 heures moins le quart à la fontaine Saint-Michel, au pied de l’Archange. Marcel Meyer, venu de Bretagne, Philippe Martel, Michel Gandilhon, Francis Marche mais pas Leroy malgré le rendez-vous. Marché avec eux jusqu’à la place du Parvis Notre-Dame, encombrée par des tribunes très laides dressées à l’occasion du huitième centenaire de la cathédrale. Trois cars de CRS (!). Parlé au commandant X., dépêché pour la circonstance, parfaitement civil bien qu’ignorant que nous avons déposé une déclaration. Sylvia Bourdon, Christine Tasin, Karim Ouchikh, Stéphane Bily, Afchine Davoudi, Jonas Ajchenbaum-Leglet, Rémi Soulié, Rémi Pellet, Pauline Chevalier et finalement Leroy. Une centaine de personnes, me dit-on, en marge de la file de touristes attendant d’entrer à Notre-Dame. Journaliste du Point. Homme qui filme pour Fdesouche. Prononcé mon discours au pied de la statue de Charlemagne, pas très bien, en le lisant. Succès raisonnable, sans plus. Christine Tasin parle après moi, sans papier, bien. Une minute de silence. Le tout a duré à peu près trois quarts d’heure. Moment de flottement ensuite entre une réunion large dans un café avec Mmes Bourdon et Tasin et une formule plus étroite réservée aux membres de l’In-nocence et concentrée sur la crise récente. C’est l’arrangement qui prévaut et nous allons tous, ceux de l’In-nocence + un ami de Jonas Ajchenbaum-Lenglet chez Rémi Pellet rue Saint-Martin qui nous reçoit très gentiment pour une sorte de déjeuner, finalement. Très beaux Marcheschi (Pétrés), splendide grand Leroy, déjà vu à la galerie de France. Balcon, belle vue sur la tour Saint-Jacques. Vide mon sac sur l’“affaire Leroy” et le manque de soutien dont je me plains mais dans l’ensemble c’est plutôt cordial. Comme j’ai démissionné et que je ne peux reprendre ma parole je suis réélu, sans aucun tralala. Beaucoup parlé de mon procès, totale incompatibilité, comme d’habitude, entre les approches juridiques (Pellet) et politiques, idéologiques, morales. Une nette majorité se dégage contre ma participation à la séance d’hommage à Dominique Venner à l’Équinoxe, dans le XVe arr. N’y vais donc pas, non sans quelque regret, d’autant que j’y ai donné rendez-vous à Karim Ouchikh et à d’autres. Longue conversation sur divers trottoirs avec Meyer et Leroy. Idée d’une nouvelle université d’été à Belle-Fontaine en septembre. Rentre en partie à pied. Quais, bouquiniste, achète un vol. ancien de la Pléiade, prose de Racine (20 €). Rue Bonaparte. Pris le métro à Saint-Germain-des-Près. Alésia. Courses au Monoprix, encore ces fatals cornets au poulet, farfales au basilic et au poulet, champagne pour Emm. Michon. Rentré ici vers 5 heures. Mangé les cornets, fait un autoportrait au piano, puis dormi comme une souche jusqu’à 9 heures. Parlé à Pierre. Échange avec Sylvia Bourdon (qui déteste l’In-nocence, “ramassis de bras cassés”), Emm. Michon (qui rentre demain), Jonas Ajchenbaum-Lenglet, Farid Tali. Mis en ligne sur Facebook le discours de Notre-Dame. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille (en catastrophe, à 3 heures du matin…) et belle maison XVIIIe à Coupvray, deuxième version, en noir et blanc. Lettre très enthousiaste d’un inconnu. Agenda de la veille, disparu, à reconstituer. 01:23 (le 1er juin) /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda de la veille, belle maison à Coupvray. Journal, me suis contenté de recopier une lettre (électronique) reçue à minuit. Couché à 2 heures et ¼.

lire l’entrée du vendredi 31 mai 2013 dans le journaljournal

Le Jour ni l’Heure
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