Le Jour ni l’Heure
juillet 2018

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le lundi 2 juillet 2018, 7 h 51
modifiée le lundi 2 juillet 2018, 10 h 59
Dimanche 1er juillet 2018.
Géménos, relais de la Magdeleine, dimanche 1er juillet. Très mal dormi, insomnie carabinée mais pas trop désagréable grâce à P. (vin blanc, trop de soleil, fatigue, couché trop tôt ?). Endormi vers six heures du matin mais réveillé à huit par les aboiements de l’insupportable chien — c’est pour le coup qu’on se croirait à la maison… Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et Vieux Port de Marseille vu du Pharo. Déjeuné en bas, beaucoup trop mangé, bêtement, jambon sous les deux espèces, saucisson itou, fromages divers, muesli dans du jus de pruneaux, pruneaux, excellent gâteau genre cake, richissime, arrosé de sirop d’érable pour la bonne mesure. Tour des jardins, jolis, mais un peu gâtés par l’adaptation croissante, comme l’intérieur, à la fonction hôtelière (chaises longues de bords de piscine, aux plus jolis endroits). Propriétaire, aimable, mais confirme à son vif regret qu’il n’y a pas d’Internet dans toutes les chambres, et en particulier pas dans la nôtre. Re-chambre, re-chien. Agenda, que je ne pourrai donc pas mettre en ligne. 10:58 :59 ////////// Bain. Quitté le Relais de la Madeleine et Géménos vers midi. Retournés à Marseille. Parc de stationnement de la Préfecture. Musée Cantini, exposition “Collection Burrell, chefs-d’œuvre réalistes et impressionnistes”, les Hervier, Boudin, Daumier, Ribot, Manet, Degas, Cézanne, etc, d’un collectionneur écossais, salle complémentaire sur les mêmes artistes au palais de Longchamp, puis assez maigre collection permanente “moderne” de Cantini (Bacon Vieira da Silva, Dubuffet, d’horribles Max Ernst et Brauner, etc. ). Vieux Port, pris sous le fort soleil des billets pour le château d’If, expédition hautement collective, avec pour voisin un insupportable guide chinois gueulard qui arrange au téléphone la suite de ses expéditions. Château d’If, San Pellegrino au petit café, assez long tour extérieur, agréable, puis visite intérieure, lieux gâchés par la sursignalisation, en particulier dans la cour, rendue affreuse par les panneaux explicatifs. Voyons le bateau de la plus haute tour, courons comme des dératés pour le prendre, mais ce n’est pas le bon. Attendons le suivant parmi force Chinois, comme dans le château. Suivant, mais va d’abord aux îles du Frioul. Retour au Vieux Port. Granité de menthe à un kiosque. Parc de stationnement de la préfecture. Quittons Marseille vers six heures. Martigues. Arles. Montpellier. Béziers. Narbonne. Carcassonne. Toulouse. À Plieux vers minuit. Dîné dans la cuisine, restes de quiche lorraine, salade verte, poire à la vapeur et framboises. Le Jour ni l’Heure, tentatives de rattrapage. Troisième nuit de fête du village (nous avons coupé aux deux premières…), soirée troisième âge, théoriquement, mais c’est toujours le gros cœur artificiel qui bat, doum-doum, doum-doum, doum-doum (Marcel Meyer parle de “musique doum-doum”, comme les balles du même nom (ou dum-dum ?)). Ce n’est même pas fini quand je me couche à deux heures. 

lire l’entrée du dimanche 1er juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le lundi 2 juillet 2018, 11 h 07
modifiée le mardi 3 juillet 2018, 16 h 47
Lundi 2 juillet 2018.
Saint Martinien, sem. 27 — 183/182. Plieux. Levé à 7 heures. Le Jour ni l’Heure, suite des efforts de rattrapage,  autoportrait à Marseille, dans la crypte de Saint-Victor, le 30 juin 2018 ; vue sur la tour du roi René et le Vieux Port le même jour ; autoportrait à Géménos, Relais de la Magdeleine, le dimanche 1er juillet 2°18, et château d’If le même jour. Agenda, transposé ce qui était sur l’autre ordinateur, puis mise à jour sur celui-ci. L’Arrière-pays, peu. Agenda. 11:06:59 ///////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de l’avant-veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, trois photographies de la veille, joli nu de Pissarro, c. 1895, à l’exposition Burrell du musée Cantini, portrait de Pierre au même endroit, autre vue du château d’If, du sud-est. Bain. Communiqué pour le CNRE n° 38, en soutien à l’ambassadeur de France en Hongrie, qui a été démis de ses fonctions par le pouvoir (français) pour appui au gouvernement (hongrois). Nouvelle crise, toujours d’origine robinienne, portant cette fois sur mon islamo-collaborationnisme, à cause de ma participation au colloque de Fédération musulmane de Bordeaux, avec Tarek Oubrou et Denis Tillinac. Partagé entre l’amusement (c’est tellement bête) et l’exaspération (l’incident nous coûte tout de même Alain de Peretti, président de “Vigilance Hallal”, que j’aimais bien). Tél. de M. Mercier, de l’agence Mercure, qui livre enfin son évaluation, très précise : entre 710 et 730.000 euros. Atelier, Europe toujours, reblanchi le taureau qu’avait jauni un épaississant, repris le ciel, morceau de bois. Lecture par Pierre de la préface du Lys dans la vallée, obscure histoire de procès, à laquelle je ne comprends pas grand chose, comme chaque fois que les gens racontent leurs procès. Dîné aux nouvelles, raviolis aux cèpes, pesto, carottes, courgettes, etc. Poire à la vapeur, confiture de poire. Promenade avec Pierre dans la vallée, rivière toujours non guéable. Remontés par l’avenue Delmas. L’Arrière-Pays. Journal de la veille. Journal. Couché vers deux heures.   

lire l’entrée du lundi 2 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mardi 3 juillet 2018, 17 h 09
modifiée le mercredi 4 juillet 2018, 8 h 17
Mardi 3 juillet 2018.
Saint Thomas, sem. 27— 184/181. Plieux. Réveillé à six heures et demie par Pierre mais rendormi, pour une fois, levé peu avant huit heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et petit déjeuner au Relais de la Magdeleine, à Géménos (un couple noir). Agenda, mais perds tout à l’arrivée du visiteur, M. Fritsch, en me contentant de copier le texte que j’oublierai ensuite de restituer avant de copier autre chose en urgence. Suite de la crise de la veille, qui fusionne avec la précédente. Échanges à ce propos avec François Jay. M. Fritsch ici vers dix heures et demie, de l’agence Patrice Besse. Longs échanges avec lui, puis visite exhaustive des lieux, extérieur, salles de gardes, premier étage, deuxième étage, puis les trois étages de la tour. Prend mes tableaux du cycle des Saisons pour des Michaux. Suite de la conversation dans la bibliothèque de nouveau. M. Fritsch ne livre pas d’expertise à proprement parler mais laisse entendre qu’un million d’euros ne lui semblerait pas inconcevable. S’en va vers deux heures, le raccompagne sur la Plaza Mayor. Entre temps, Pierre, rentré impromptu, a tondu le gazon, ce qui me semble un miracle. Communiqué n° 39 sur l’imam de Toulouse, à la demande François Jay. Suite des échanges avec Alain de Peretti, message de lui à l’instant.  Agenda, dû reconstituer l’entrée à propos de la veille. 17:09:10 ///////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de l’avant-veille, journal de la veille. Écrit encore à Alain de Peretti. Atelier, remis Europe sur le chevalet. Morceau de bois. Dîné aux nouvelles, gnocchis, carottes, poires à la vapeur et framboises. Vague surf télévisuel, documentaire sur les guerres de religion en Europe. Promenade avec Pierre au Cassé. Journal de la veille, journal du jour (échanges de lettres avec Alain de Peretti). Relecture corrective des Inhéritiers (reçu un premier exemplaire de la nouvelle édition de La Grande Déculturation, bien). Couché vers une heure. 

lire l’entrée du mardi 3 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mercredi 4 juillet 2018, 8 h 23
modifiée le jeudi 5 juillet 2018, 9 h 48
Mercredi 4 juillet 2018.
Saint Florent, sem. 27— 185/180. Plieux. Réveillé par Pierre à six heures et demie, pas pu me rendormir, levé. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et huile sur bois de Daumier, Don Quichotte et Sancho Pança, qui n’est pas celle qui est dans le catalogue de l’exposition de la collection Burrell à Marseille, au musée Cantini, 1er juillet 2018 (dans celle-ci Sancho Pança défèque). Beau temps. /// Comptes : Dernière connexion le 29/06/2018 à 09h23 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.642,81 € /// Crédits -92.502,97 € /// Solde au 03/07/2018 -2.642,81 € À venir -1.372,97 € | Prévisionnel -4.015,78 € /// Débiteur depuis 5 jours /// 03/07 COMMISSIONS COTISATION ESPRIT LIBRE -22,75 € /// 03/07 FRAIS DE TENUE DE COMPTE AVEC REMISE -1,25 € /// 02/07 VIR SEPA RECU /DE AMAZON MEDIA EU SARL /MOTIF PAYMENT. +728,51 € (ventes livres Amazon) /// 02/07 VIR SEPA RECU /DE AMAZON MEDIA EU SARL /MOTIF PAYMENT. +65,70 € //// 02/07 COMMISSIONS FRAIS LETTRE INFORMATION COMPTE DEBITEUR -20,00 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU 110618 BOURGOGNE MONTA PARIS 7 CARTE -2.492,24 € /// 29/06 PRLV SEPA URSSAF RHONE ALPES - CNCESU CE ECH/29061 -367,59 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU 050618 FINN AUSTRIA PARIS CARTE 4974X -325,00 (veste autrichienne) /// € 29/06 FACTURE CARTE DU 30/05/18 GERSALI SA LECTOURE CARTE 4974 -282,90 € (champagne pour le 2 juin) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 100618 INDIGO PARIS 000000750701/ CAR -277,20 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU 01/06/18 MERCURE ORLEANS CARTE 4974XXXX -163,65 € (avant l’audience de la XVIIe Chambre) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 040618 PRINTEMPS HAUSS PARIS 9 CARTE-159,00 € (chemise) /// 29/06FACTURE CARTE DU 02/06/18 ALLO BERNARD TA CORNEBARRIEU C -150,00 € (taxi pourAnne-Marie Waters) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 040618 PRINTEMPS HAUSS PARIS 9 CARTE -135,00 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU 04/06/18 PRINTEMPS HAUSS PARIS 9 CARTE-120,00 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU 010618 SHELL 3318 FRESNAY L EVE CARTE -109,48 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU 09/06/18 HPS PARIS CARTE 4974XXXXXXXX45 -107,00 € (dîner avec Flatters et Pierre, puis Matthieu du Bertrand, bourse du Commerce) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 010618 L’ESCALE DEOLS CARTE 4974XXXXX -107,00 € (dîner avec Me Rimokh, Karim Ouchikh et Danielle Levin, entre la XVIIe Chambre et Plieux) /// 29/06VIR SEPA RECU /DE DAVID JORDAN /MOTIF VERSEMENT DE SOUTIEN +100,00 € (mécénat) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 29/05/18 AMAZON EU SARL PARIS2090401/ C-84,48 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU 290518 AMAZON EU SARL PARIS2090401/ C -84,48 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU 290518 AMAZON EU SARL PARIS2090401/ C -81,44 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU 29/05/18 AMAZON EU SARL PARIS2090401/ C -77,71 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU 08/06/18 REST.METROPOLE PARIS CARTE 497 -75,00 € (dîner au rest. japonais de la rue de Bourgogne avec Jean-Philippe Boursier (Métropole ???)) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 17/06/18 LE TROUBADOUR CLERMONT DESS CA -60,90 € (dîner à la crêperie de Clermont-Dessous avec Pierre et Jeanne) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 03/06/18 COFIR RUEIL MALMAIS CARTE 4974 -50,30 € (autoroute) /// 29/06 FACTURE CARTE DU lundi 04/06/18 PRINTEMPS HAUSS PARIS 9 CARTE -50,00 € (chaussettes, caleçons) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 08/06/18 LIB MUSEE ART M PARIS CARTE 49 -39,80 € (catalogue Zao Wou-Ki) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 29/05/18 AMAZON EU SARL PARIS2090401/ C-38,79 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU dimanche 10/06/18 MUSEE MARMOTTAN PARIS CARTE 49-34,00 € (catalogue de l’exposition Corot et le Modèle au musée Marmottan, avec Pierre) /// 29/06 FACTURE CARTE DU jeudi 07/06/18 CULTURESPACES PARIS CARTE 4974 -30,00 € (catalogue de l’exposition Foujita au musée Maillol) //// 29/06 FACTURE CARTE DU 29/05.18 AMAZON EU SARL PARIS2090401/ C -25,99 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU 31/05/18 L ESCALE DEOLS CARTE 4974XXXXX -22,25 € (dîner à L’Escale en route vers le Mercure d’Orléans avant la XVIIe Chambre, procès Moix) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 31/05/18 FACEBK M9PMRE6C CARTE 4974XXXX -20,00 € (publicité CNRE, diffusion de communiqués) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 05/06/18 YAKI RAMEN PARIS CARTE 4974XXX -19,00 € (dîner seul, restaurant japonais rue Gay-Lussac, face au magasin autrichien) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 10/06/18 MUSEE MARMOTTAN PARIS CARTE 49 -18,50 € (exposition Corot avec Pierre) /// 29/06 FACTURE CARTE DU dimanche 03/06/18 ASF RUEIL MALMAIS CARTE 4974XX -18,40 € (autoroute) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 01/06/18 STATIOMT06HORO7 PARIS CARTE 49 -16,80 € (stationnement rue Stéphne-Grapelli pendant l’audience de la XVIIe Chambre, procès contre Moix) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 05/06/18 AMAZON EU SARL PARIS2090401/ C -15,35 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU jeudi 07/06/18 MUSEE MAILLOL PARIS CARTE 4974-13,00 € (exposition Foujita) /// 29/06 FACTURE CARTE DU vendredi 08/06/18 MUSEE ART MODER PARIS CARTE 49 -12,00 € (exposition Zao Wou-Ki) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 04/06/18 MONOPRIX PARIS CARTE 4974XXXXX -9,78 € (courses au Monoprix d’Auteuil, après l’émission avec Rémi Soulié, pour dîner dans la chambre d’hôtel) /// 29/06 FACTURE CARTE DU jeudi 31/05/18 ASF GIGNAC RUEIL MALMAIS CARTE -9,20 € (autoroute, veille du procès Moix) /// 29/06 FACTURE CARTE DU lundi 04/06/18 RATP PARIS CEDEX 1 CARTE 4974X-7,45 € (10 billets de métro, en route pour Radio Courtoisie pour l’émission avec Rémi Soulié) /// 29/06 FACTURE CARTE DU 010618 COFIR ORLEANS-C RUEIL MALMAIS -7,00 € /// 29/06 FACTURE CARTE DU 29/05/18 AMAZON EU SARL PARIS2090401/ C -5,89 € (prototypes nouvelles éditions) //// 29/06 FACTURE CARTE DU 260618 AMAZON EU SARL PARIS2090401/ C -5,26 € (id.) /// 29/06FACTURE CARTE DU 03/06/18 AVIA TRANSCENTR SALBRIS CARTE -4,60 € ////  29/06 FACTURE CARTE DU 29/05/18 AMAZON EU SARL PARIS2090401/ C-1,96 € /// Agenda. 09:25:24 ///// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Les Inhéritiers, relecture et correction du texte en ligne. Bain. Retour plus tôtif que prévu de Pierre. M. Philippe-Joseph Salazar ici vers midi, venu de Tarbes et plus lointainement de l’université du Cap où il enseigne. Verre avec lui, apéritif de l’auberge de Gramont, vestige de la réunion du 2 juin. Déjeuner vers une heure et demie, salade du chef,  poulet tiède, jambons, champignons, lardons, salade verte, gorgonzola. Glace rhum raisin et macarons de Valence. Café upstairs, suite d la conversation. Raccompagné M. Salazar à sa voiture sur la plaza Mayor vers 4 heures. Suite de la relecture des Inhéritiers. Atelier,  morceau de bois. Lecture par Pierre de la préface du Lys dans la vallée, interminable explications de Balzac sur ses démêlés judiciaires. Dîné de restes (considérables), même repas qu’à midi, rosé en moins, remplacé à tort par l’apéritif aux mûres.  Documentaire sur “Les Trois Morts de Mussolini”, mystères autour de son exécution à Dongo le 28 avril 1945. Promenade avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement — chemin boueux après l’orage. Les Inhéritiers, suite. Journal. Couché à une heure. 

lire l’entrée du mercredi 4 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le jeudi 5 juillet 2018, 10 h 01
modifiée le vendredi 6 juillet 2018, 11 h 20
Jeudi 5 juillet 2018.
Saint Antoine, sem. 27. — 186/179. Plieux. Levé à sept heures. Temps gris. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et portrait par Thomas Couture, 1843, de l’avocat et collectionneur Henri ou Henry Didier, “ami de Victor Hugo” mais trois fois député gouvernemental de l’Ariège, dont son frère est préfet, sous le Second Empire, ce qui paraît peu compatible (à moins de distinguer les époques ?) — tableau de la collection Burrell de Glasgow vu au musée Cantini de Marseille le dimanche 1er juillet 2018. Émission de la Fabrique de l’histoire sur l’homosexualité à Parus entre 1870 et 1918, mais Céline fait le ménage dans la pièce, ça devient un peu embarrassant. Comptes :    Dernière connexion le 04/07/2018 à 08h34 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.758,71 € /// Crédits -92.502,97 /// Solde au 04/07/2018 -2.758,71 € /// À venir -1.257,07 € | Prévisionnel -4.015,78 € /// Débiteur depuis 6 jours /// 04/07 PRLV SEPA CANALSAT - GROUPE CANAL PLUS ECH/040718-76,00 € /// 04/07 PRLV SEPA CANAL PLUS ECH/040718 ID EMETTEUR/FR16ZZ -39,90 € /// 03/07 COMMISSIONS COTISATION ESPRIT LIBRE -22,75 € /// 03/07 FRAIS DE TENUE DE COMPTE AVEC REMISE -1,25 € /// Agenda. 10:01:22 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Les Inhéritiers, relecture (c’est vraiment très bien…). Le Jour ni l’Heure, trois photographies du 30 juin dernier à Marseille, femme voilée au Pharo, façade du palais du Pharo, vue mêlée de Saint-Victor, Notre-Dame de la Garde et la maison de Valéry (ou sa voisine). Bain. Rodolphe Bruneau-Goulmier sur Chopin, mais dois interrompre crainte de ne pas entendre d’éventuels visiteurs, mais en fait il n’y en aura pas. Après-midi tranquille, Les Inhéritiers, bien avancé. Atelier, morceau de bois. Excellent dîner solitaire, Pierre au dîner de fin d’année du collège : restes de restes, J’y-fous-tout, poulet, jambon, salade verte, bleu d’Auvergne, rosé pâle (néanmoins trop sucré), glace rhum-raisins. Vu l’émission de Stéphane Bern sur Blanche de Castille. Promenade solitaire sous les étoiles ensuite, sur le chemin de la Rouquette jusqu’au bout du goudron (Céline me reproche gentiment de traîner mes chaussures dans la boue et il a beaucoup plu). Les Inhéritiers. Journal. Retour de don Pèdre. Couchés vers une heure. 

lire l’entrée du jeudi 5 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le vendredi 6 juillet 2018, 11 h 35
modifiée le samedi 7 juillet 2018, 11 h 56
Vendredi 6 juillet 2018.
Sainte Mariette, sem. 27 — 187/178. Plieux. Bien dormi, levé à huit heures moins dix, Pierre parti depuis longtemps. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et tableau d’Adolphe Hervier, Barbizon (?), sans date (c. 1860 ?), vu au musée Cantini de Marseille, exposition de la collection Burrell de Glasgow, dimanche 1er juillet 2018. L’Arrière-Pays, échanges avec Paul-Marie Coûteaux (sur le concept d’“union des droites”). Comptes : Dernière connexion le 05/07/2018 à 09h57 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -3.849,22 € /// Crédits -92.502,97 € /// Solde au 05/07/2018 -3.849,22 € /// À venir 96,94 € | Prévisionnel -3.752,28 € /// Débiteur depuis 7 jours ///      05/07 PRLV SEPA CREDIPAR ECH/050718 ID EMETTEUR/FR21ZZZ1 -742,05 € (crédit voiture) /// 05/07CHEQUE 5947180 -658,35 € (Céline) /// 05/07 VIR SEPA RECU /DE SOFIA /MOTIF CPN /REF +405,27 € (lectures en librairie) /// 05/07 PRLV SEPA CARDIF ASSURANCE VIE ECH/050718 ID EMETT -111,96 € (assurances sur l’emprunt pour travaux) /// 05/07 VIR SEPA RECU /DE APPLE DISTRIBUTION INTERNATIONAL /MO +16,58 €  /// Agenda. 11:34:17 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, trois photographies du 30 juin 2018 à Marseille, un « Arrêtez le massacre ! », panneau publicitaire (en anglais !) pour une exposition de Claude Lévesque à la Vieille Charité, sur la grille, empêchant de la voir et en tout cas de la photographier ; affiche d’un autre exposition, “Avoir vingt ans ç Marseille”, montrant exclusivement une jeune fille noire ; beau détail du sarcophage de “La Remise de la Loi”, à Saint-Victor, Christ imberbe guérissant un jeune aveugle, début du VIe siècle. 45. 60. 30. Anne-Charlotte Rémond sur Liszt à Weimar en 1877. Bain, tiré duquel par un coup de téléphone de Me Rimokh, qui m’annonce que nous sommes déboutés de notre demande de condamnation de Yann Moix pour diffamation, “faute de preuve”, parce que nous n’avons pas produit d’enregistrement de l’émission (qu’ont vue trois millions de personnes et qui est partout sur la Toile). Retour de Pierre. Passé l’après-midi à finir de relire et à corriger Les Inhéritiers, pour la nouvelle édition (n’y ai finalement pas changé grand chose). Longue conversation avec M. Pohon, à Vannes, sur ce projet-là et sur celui qu’il permet, une édition du Petit Remplacement, volume jumeau du Grand Remplacement et recueil de cinq essais parus séparément. Atelier, mais à titre purement symbolique, cinq minutes seulement, morceau de bois, lecture par Pierre du long texte de Balzac sur ses démêles judiciaires (ça tombe bien — mais toutes ces explications sont fastidieuses et ne font sans doute qu’indisposer le lecteur). Dîner aux nouvelles, pizza et salade verte, glace rhum raisins et vanille avec la poire à la vapeur. Vu un peu de Batman contre Superman, qui amuse Pierre mais qui m’ennuie beaucoup (il est vrai que je ne suis guère d’humeur…). Promenade au Cassé avec Pierre. Croisé les Coulet-Lavaudan au retour, échangé quelques mots avec eux. Suite des travaux pour les projets éditoriaux. Choisi un couverture pour Le Petit Remplacement (couverte 100x100 n° 43, Les Cendres de ma mère), une dédicace (à la mémoire de Roland Barthes), une épigraphe (« Du bon fonctionnement des machines dépendait l’éternité de Morel »). Surtout, écrit une “quatrième de couverture” pour Le Petit Remplacement (dont je suis assez satisfait. Journal. Couché vers une heure. 

lire l’entrée du vendredi 6 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le dimanche 8 juillet 2018, 13 h 39Samedi 7 juillet 2018. Saint Raoul, sem. 27 — 188/177. Plieux. Bien dormi, levé vers 8 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et joli tableau de François Bonvin, L’Épinette (en fait un vulgaire piano droit, et la femme du peintre qui allait le quitter juste après), coll. Burrell, musée Cantini, Marseille, dimanche 1er juillet 2018. L’Arrière-Pays. Avec l’aide de Pierre, fait de nouvelles photographies des deux Verklärte Nacht envisagées pour la couverture de la nouvelle édition de Le Grand Remplacement (en symétrique au Petit Remplacement, qui paradoxalement va être plus gros). Le Jour ni l’Heure, les deux Verklärte Nacht, justement, III et IV, et détail de Catharsigne, 1954, de Camille Bryen, musée Cantini, Marseille, samedi 30 juin 2018, avec Pierre. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, année 1592, situation difficile d’Henri IX, les Politiques menacent de rejoindre la Ligue s’il tarde plus longtemps à se convertir, et la victoire militaire ne se dessine pas malgré de nombreux succès partiaux. Mêmes problèmes pour Mayenne pris entre Philippe II et ses propres “Politiques” — très intéressant, et très bien décrit. Visiteurs d’Agen, visités (sic) par Pierre. Ah oui, dormi un peu, mais ils nous ont réveillés. Travaillé à You Will Not Replace Us (30.000 signes). Été vers 7 h et demie chez les Coulet-Lavaudan, date arrêtée depuis longtemps. Champagne dans leur salon d’hiver, volets demi-clos, très mauriacien [mais qu’il est con ce correcteur automatique, et inculte ! Si on écrit mauriacien il met aussitôt mauricien !!!!!]. Dîner sur la terrasse, au nord, très jolie table, accords de roses du jardin et de crevettes. Délicieux merlu (je ne savais pas que c’était si bon, le merlu). Fromages (un peu forcé sur les). Gâteau, sorte de charlotte au caramel (avec crème au chocolat pour le gamin). Lemoncello dans le salon d’été (autre coin de la terrasse). Infusion. Très agréable soirée, très amicale et apaisante (après tous les combats du front). Rentrés vers minuit. Autoportrait au portillon. Journal. Couché vers une heure. 

lire l’entrée du samedi 7 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le dimanche 8 juillet 2018, 14 h 59
modifiée le lundi 9 juillet 2018, 11 h 03
Dimanche 8 juillet 2018.
Saint Thibaut, sem. 27 — 189/176. Plieux. Bien dormi mais réveillé, et Pierre, par une horrible crampe au mollet droit. Levé à huit heures. Autoportrait de la nuit, au portillon, comme nous rentrions de chez les Coulet-Lavauden, et jolie table de Mme Lavauden, sur la terrasse, pour le dîner. Déjeuné en bas avec Pierre (atterré par la “musique” des protestants, comme d’habitude). L’Arrière-Pays, matinée très animée, sur un mode plutôt plaisant et bon enfant, parfois très drôle. Agenda, journée de la veille. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, année 1593, Paris, pseudo-États Généraux de la Ligue, le légat, l’ambassadeur d’Espagne duc de Feria, etc. Agenda, suite, jour même. 14:58:00. Lutte contre le sommeil. /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Dormi un peu avec Pierre, mais réveillés par des visiteurs. Beaucoup travaillé avec le très gentil M. Pohon (enfin, c’est surtout lui qui travaille !) qui part en mer le lendemain et se donne un mal fou pour mener à terme avant cela, avec moi, nos grands projets éditoriaux, notamment la publication de Le Petit Remplacement, recueil de six textes antérieurs (La Dictature de la Petite Bourgeoisie, La Grande Déculturation, Décivilisation, Les Inhéritiers, La Civilisation des prénoms, Le mot “musique”), une nouvelle couverture pour Le Grand Remplacement, afin de souligner la symétrie et le caractère complémentaire, une nouvelle édition, légèrement revue de Les Inhéritiers, une édition très légèrement corrigée de La Grande Déculturation, etc. Atelier, Europe, yeux du taureau, bloc de bois, etc., lecture par Pierre de Balzac, préface et début du Lys dans la vallée. Dîné aux nouvelles, restes, poulet, pizza, alcool apéritif du Petit Feuillant, vin rosé, glace à la vanille et au rhum & aux raisins. Revu un bonne partie (raté le début) de Another Happy Day, 2011, de Sam Levinson, avec Ezra Miller, Ellen Barkin et Demi Moore, bien. Promenade ensuite au Cassé avec Pierre. Autres échanges très tardifs avec M. Pohon, avant son départ en mer le lendemain matin — les livres sont prêts et en vente sur Amazon, quitte à subir quelques corrections après réceptions des exemplaires de test. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Journal. Couché à deux heures et demie. 

lire l’entrée du dimanche 8 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le lundi 9 juillet 2018, 11 h 07
modifiée le mardi 10 juillet 2018, 10 h 48
Lundi 9 juillet 2018.
Sainte Amandine, sem. 28 — 190/175. Plieux. Peu dormi. Réveillé peu après sept heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et couverture du Petit Remplacement, puis du Grand. L’Arrière-Pays. Agenda. 11:06:49 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Relecture et mise en ligne de l’entrée de la vie du Journal. Le Jour ni l’Heure, photographies des nouveaux livres, nouvelles éditions, couvertures et quatrièmes de couverture : Le Petit Remplacement, Le Grand Remplacement, Les Inhéritiers, La Grande Déculturation, etc. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, année 1593, dernières tentatives espagnoles, projet de mariage de l’Infante avec le jeune duc de Guise. Nouvelles éditions, nouvelles couvertures, suite — malheureusement M. Pohon n’a pas pu faire enregistrer Le Petit Remplacement, sans doute trop épais (650 p.) par Amazon avant de partir en mer, de sorte que mes efforts de publicité tombent un peu à plat. Dormi un peu avec Pierre. Tél. de Me Rimokh, envisageons de retirer notre plainte contre Frédéric Martel qui a retiré son tweet (où il me traitait de “négationniste” et dont nous n’avons que des copies d’écran, pas de constat d’huissier). Atelier, vernis Pour une Europe III, ce qui a l’inconvénient de déblanchir les blancs, très nombreux (le taureau). Dîner aux nouvelles, omelette aux champignons, salade verte aux avocats, poire à la vapeur et myrtilles. Vu Paterno, de Barry Levinson, avec Al Pacino. Promenade avec Pierre sur le plateau, ensuite, par une nuit claire. Journal. Couché vers une heure. 

lire l’entrée du lundi 9 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mardi 10 juillet 2018, 11 h 02
modifiée le mercredi 11 juillet 2018, 10 h 33
Mardi 10 juillet 2018.
Saint Ulrich, sem. 28 — 191/174. Plieux. Bien dormi, levé peu avant huit heures. Très beau temps, matinée très lumineuse et tranquille, Plieux à son meilleur. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et exquise Jeune Fille à la boucle d’oreille, de Corot, 1850-1855, coll. Burrell, Glasgow, musée Cantini, Marseille, exposition de la collection Burrell, dimanche 1er juillet 2018 (excellent complément à l’exposition “Corot, Le peintre et ses modèles” de Marmottan). Rare moment de paix, de beauté et de tranquillité (mais l’angoisse sourde est là, bien présente). Agenda. 11:01:58 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. You Will Not Replace Us. Le Jour ni l’Heure, trois photographies de Saint-Vicor de Marseille le 30 juin 2018, une « Arrêtez le massacre ! » (affreux praticable publicitaire au milieu du meilleur point de vue sur l’abbaye ; sacrifice d’Abraham, détail du sarcophage de la “Traditio Legis” ; vue d’“ensemble” de la crypte, en échappant aux omniprésents panneaux didactiques. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, année 1593, messe de conversion d’Henri IV à Saint-Denis, forte résistance du pape Clément VIII, extrémisme au sein de la Ligue. You Will Not Replace Us. (32.000 signes). Sortie promenade avec Pierre, qui doit aller à Mansonville porter un présent à une collègue qui quitte le collège. Découverte de Mansonville, plus intéressant que prévu. Saint-Antoine. Saint-Cirice. Recherche du “château de Laval”, comme tous les dix ans. Château d’Agre, très prospère. Miradoux. Tél. pour une pizza mais l’homme du mardi à L’Isle-Bouzon est en vacances. Passé au restaurant de Castet-Arrouy mais il est fermé (la patronne est la femme du pizzaiolo). Rentré vers huit heures et demie. Vu quelques minutes du match France-Belgique à Saint-Pétersbourg et pas mal d’Éternité, film pourtant très ennuyeux et plat de Tran Han Hung, 2016, avec Jérémie Rénier. Rouleaux chinois, œuf à cheval, salade verte, glace et poire à la vapeur. Promenade avec Pierre sur le plateau, été jusqu’à l’embranchement La Rouquette/La Bonnefont. L’Arrière-Pays, beaucoup d’agitation autour de la victoire de la France sur la Belgique en coupe du monde de football. Journal. Couché à une heure et demie. 

lire l’entrée du mardi 10 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mercredi 11 juillet 2018, 11 h 01
modifiée le jeudi 12 juillet 2018, 11 h 06
Mercredi 11 juillet 2018.
Saint Benoît, sem. 28 — 191/174. Plieux. Levé à sept heures 20. Beau temps, beau matin clair. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et vue de Mansonville prise des environs de Saint-Antoine, avec la belle maison Restauration ou plus probablement Louis-Philippe. L’Arrière-Pays, victoire française sur la Belgique, suite. Comptes : Dernière connexion le 06/07/2018 à 11h28 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -3.280,22 € /// Crédits -91.574,83 € /// Solde au 10/07/2018 -3.280,22 € À venir -497,14 € | Prévisionnel -3.777,36 € Débiteur depuis 12 jours /// 10/07 ECHEANCE PRET 01038 60311711 -1.117,77 € (travaux de la tour) /// 09/07 VIR SEPA RECU /DE CAISSE D ASSURANCE RETRAITE ET DE LA +1.186,77 € (retraite) /// 06/07 VIR SEPA RECU /DE PAYPAL EUROPE SARL ET CIE SCA /MOTIF +500,00 €  (livres, abonnements) /// Agenda. 11:00:36 ///////  Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, trois photographies de notre excursion du 10 juillet 2018 dans la basse vallée de l’Arratz, commanderie-château de Saint-Antoine, église Saint-Cir et Sainte-Julitte de Saint-Cirice, château d’Agre à Saint-Loup. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, année 1594, entrée nocturne d’Henri IV dans Paris (22 mars ?). Visite de M. et Mme Christophe Fois, couple de lecteurs qui séjournent à Terraube (et cherchent une maison dans la région). M’apportent à dédicacer huit volumes (comme l’année dernière). Café. Tél. d’un M. Dozoul, autre lecteur très consolant, qui nous invite dans le Bugey, dans un joli château Napoléon III au pied d’une cascade. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Atelier, cadre de fer, ancien vasistas de la tour, reprise. Lecture par Pierre du Lys dans la Vallée, première et deuxième rencontre de Félix et de Mme de Mortsauf. Dîné aux nouvelles, gnocchi au pesto, carottes, glace à la vanille et poire à la vapeur, biscuits. Vu Chéri, de Stephen Frears, bien ennuyeux et plat, serait-ce seulement parce que Chéri n’a aucune espèce de séduction, ce qui fout tout en l’air. Promenade avec Pierre au Cassé, retour par le boulevard extérieur. L’Arrière-Pays, beaucoup d’agitation autour de la Coupe du monde de football, prends position contre l’équipe emblématique du Grand Remplacement et pour l’équipe européenne, la Croate. Remous. Journal. Couché à une heure et demie. 

lire l’entrée du mercredi 11 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le jeudi 12 juillet 2018, 11 h 13
modifiée le vendredi 13 juillet 2018, 9 h 10
Jeudi 12 juillet 2018.
Saint Olivier, sem. 28 — 193/172. Plieux. Levés à huit heures moins dix. Temps assez gris. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et belle maison Restauration (ou Louis-Philippe ?) de Mansonville. L’Arrière-Pays. Comptes : Dernière connexion le 11/07/2018 à 10h56 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -3.280,22 € /// Crédits -91.574,83 € /// Solde au 11/07/2018 -3.280,22 € /// À venir -497,14 € | /// Prévisionnel -3.777,36 € /// Débiteur depuis 13 jours (aucun mouvement) /// Agenda. 11:12:32 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, trois photographies du mardi 10 juillet, cour et façade nord de Plieux, vues du portillon, façade d’une maison Louis-Philippe de Mansonville victime d’un arrachement d’enduit, communs d’une autre avec un pigeonnier à chien assis et beau traitement d’angle, XVIIIe s., également victime d’arrachement. 40. 50. 20. Émission d’Anne-Charlotte Rémond sur Poulenc. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, 1594, sacre d’Henri IV à Chartres, reprise des hostilités contre Mayenne et les Espagnols. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Atelier, Was ist das ? Lecture par Pierre du Lys dans la vallée, dîner à Clochegourde, portrait de M. de Mortsauf, portrait de l’hôte Durand. Dîner aux nouvelles, jardinière de légumes et semoule. poire à la vapeur, glace et légumes. Vu l’émission de Stéphane Bern sur Madame Royale, la duchesse d’Angoulême. Promenade avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement. L’Arrière-Pays. Journal. Couché après deux heures.  

lire l’entrée du jeudi 12 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le vendredi 13 juillet 2018, 9 h 17
modifiée le samedi 14 juillet 2018, 10 h 52
Vendredi 13 juillet 2018.
Saints Henri et Joël, sen. 28 — 194/171. Plieux. Levé un peu avant huit heures. Temps incolore. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit, bien dur, mais je le “traite” au maximum (Autoportraité), et correct chapiteau roman de l’église Saint-Saturnin de Mansonville. Comptes : Dernière connexion le 12/07/2018 à 11h10 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.780,22 € /// Crédits -91.574,83  /// Solde au 12/07/2018 -2.780,22 € /// À venir -557,14 € | Prévisionnel -3.337,36 € /// Débiteur depuis 14 jours /// 11/07 REMISE CHEQUES BORDEREAU 09255686 /NOPT/NB CHQ TRAITE / +500,00 € (chèque de location-vente de Mme Levin pour tableau). Agenda. 09:20:06 ///////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Communiqué du CNRE n° 40, Équipe de France et génocide par substitution. Le Jour ni l’Heure, trois autres photographies de Mansonville le 10 juillet, belle maison Louis-Philippe, porche de l’église Saint-Saturnin, modeste abside romane (pas le temps de les légender). Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, année 1594, tout va décidément très bien pour Henri IV, les villes ligueuses font leur soumissions les unes après les autres. La Satire Ménippée. Groupe de visiteurs-lecteurs, reçus par Pierre, un M. Croisat et un sien ami, avec un couple d’universitaires américains qui “fait la gueule” (d’après Pierre), mais, pendant qu’ils sont dans la tour (moins les Américains, qui reviennent dans la bibliothèque tandis que je m’habille précipitamment), arrivée d’un couple de Gersois très aimable, de l’autre bout du département, et qui trouve d’ailleurs que cette partie-ci du département est beaucoup plus jolie et riche en monument que la leur. Leur fais visiter, donc. Pendant ce temps, Pierre, redescendu (et moi dans la tour avec les Gersois) reçois un coup de téléphone de la gendarmerie, nouvelle convocation pour le 20 (cette fois-ci je me demande bien de quoi il peut bien s’agir — considérations sur l’“équipe de France” ? Ça paraît bien rapide) (et le 20 je dois aller au centenaire de ma tante). Tél. à Jeanne à ce sujet (le centenaire). L’Arrière-Pays, rare déversement d’injures et de dénonciations (à des éditeurs qui m’ont chassé depuis longtemps…), à propos de mes considérations sur l’équipe de France. Atelier, Was ist das ? Lecture par Pierre du Lys dans la vallée. Rencontre dans les champs de Félix et de M. de Mortsauf (mais pourquoi le château des Mortsauf porte-t-il un nom aussi peu seyant que Clochegourde, qui semble une plaisanterie ?). Dîné aux nouvelles, jardinière de légumes et lentilles, œuf à cheval. Poire à la vapeur et biscuits-chocolats de Fleurance. Vu et en partie revu An Unfinished Life, de Lasse Halström, 2005, avec Robert Redford, Jennifer Lopez et Morgan Freeman. Promenade avec Pierre sur le plateau, beaucoup d’étoiles. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. L’Arrière-Pays. Journal. Couché vers deux heures. 

lire l’entrée du vendredi 13 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le samedi 14 juillet 2018, 11 h 01
modifiée le dimanche 15 juillet 2018, 12 h 39
Samedi 14 juillet 2018.
Saint Camille, Fête nationale, sem. 28 — 195/179. Plieux. Levés à 8 heures moins vingt. Beau temps. Le Jour ni l’Heure, Chronologie, autoportrait de la nuit et beau détail, vieille femme au tablier,  du Bouleau, petite toile de Corot de la collection Burrell, musée Cabrini, Marseille, dimanche 1er juillet 2018. Déjeuné en bas avec Pierre. Grands scouts dans le jardin, fort dénudés, pour un jeu de piste (?). Agenda. Comptes :    Dernière connexion le 13/07/2018 à 09h15 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.780,22 € /// Crédits -91.574,83 € /// Solde au 13/07/2018 -2.780,22 € À venir -557,14 € | Prévisionnel -3.337,36 € (aucun mouvement) /// Débiteur depuis 15 jours /// Agenda. 11:00:02 ///////////  Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Pierre réaccroche Pour une Europe III, retouchée et vernie, au-dessus de la cheminée de la bibliothèque. Le Jour ni l’Heure, portrait de Mlle Aubé de la Holde par Courbet, 1865, coll. Burrell ; « Arrêtez le massacre ! », cour massacrée par les panneaux didactiques du château d’If ; château d’If vu du bateau qui nous ramenait de l’archipel du Frioul — le tout le dimanche 1er juillet 2018, à Marseille. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, années 1594 et 1595, réconciliation d’Henri IV et du Saint-Siège. Attendons pour trois heures M. Dominique Jeangette, professeur à Liège, mais il est très en retard, ayant du mal à venir de Lectoure, où il a couché. Arrive peu avant quatre heures, m’offrant un très joli volume d’Henri de Régnier, Couleur du temps, Mercure de France, 1921. Thé avec lui, assez médiocres pâtisseries orientales trouvées par Pierre à Fleurance. L’ai rencontré à Liège vers 1995 (?), chez Vincent Louis qui m’avait invité à prononcer une conférence qui n’a pas dû beaucoup marquer les esprits car je l’avais pour ma part complètement oubliée. Il visite les lieux avec un groupe mené par Pierre. Se rend à Auch. Tentatives de mise à jour, en particulier du Jour ni l’Heure. Chien de Mme Le Coz aboie beaucoup et férocement tout l’après-midi, au moindre mouvement, alors que la rumeur publique m’avait laissé espérer quelques vacances — stupéfiant qu’on soit arrivé à faire une telle sale bête d’un chien de cette race si aimable et affectueuse. L’Arrière-Pays. Atelier, fini Was ist das ? Lecture par Pierre du Lys dans la vallée, folle colère de M. de Mortsauf quand il perd au tric-trac. Dîné aux nouvelles, jardinière de légumes, champignons et semoule, poire à la vapeur et biscuits-chocolats de Fleurance. Vu un long documentaire assez médiocre sur Christine de Suède, mise au goût du jour comme elle s’y prête. Promenade au Cassé avec Pierre, retour par le boulevard extérieur. L’Arrière-Pays, Afrique-Croatie, suite. Journal, me contente de recopier paresseusement un des traditionnels dépôts de M. Defalvard sous un de mes autoportraits quotidiens. Couché vers deux heures.  

lire l’entrée du samedi 14 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le dimanche 15 juillet 2018, 12 h 30
modifiée le lundi 16 juillet 2018, 10 h 40
Dimanche 15 juillet 2018.
Saint Donald, sem. 28 — 196/169. Plieux. Très peu dormi, réveillés à six heures et quart par les aboiements du chien de Mme Le Coz. Essayons de nous rendormir, impossible. Levés à six heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et Le Cuisinier comptable, 1862, de Théodule Ribot,  musée des Beaux-Arts de Marseille, vu au musée Cantini en complément à l’exposition de la collection Burrell le 1er juillet 2018. Déjeuné en bas avec Pierre, restes des pâtisseries orientales. L’Arrière-Pays, toute la matinée. Agenda. 12:29:57 ////////  Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, année 1595, soumission des chefs ligueurs, largement achetée et rétribuée. Pas de visiteurs. L’Arrière-Pays. Victoire d la France à la Coupe du monde de football, célébrée par les aboiements du chien Le Coz. Atelier, dernière main à Was ist das ? Lecture par Pierre du Lys dans la vallée, confession de Mme de Mortsauf, un peu brusque et peu vraisemblable. Dîné aux nouvelles, crèpes au tarama, aubergines, riz, poires à la vapeur avec des chocolats-biscuits. Fort orage, la télévision ne marche pas pendant une demie heure. Vu Un Prince à New York, Coming to America, 1989, de John Landis, avec Eddie Murphy, incroyablement bâclé. Promenade sur le plateau, ensuite, croisé les Coulet-Lavaudan, échangé quelques mots avec eux. L’Arrière-Pays, large triomphe rempla, gâché de minute en minute par les formes qu’il revêt. Couché vers trois heures. 

lire l’entrée du dimanche 15 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le lundi 16 juillet 2018, 11 h 05
modifiée le mardi 17 juillet 2018, 15 h 24
Lundi 16 juillet 2018.
Notre-Dame du mont Carmel — sem. 29 — 197/168. Plieux. Pierre part à six heures pour son village. Levé à huit heures moins vingt. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Dans un parc, de Monticelli, musée des Beaux-Arts de Marseille, en prêt au musée Cantini pour l’exposition de la collection Burrell de Glasgow, dimanche 1er juillet 2018. Temps sinistre, très sombre, on dirait que le jour ne se lève pas. À l’instant, tél. de Mrs Atkinson, députée britannique au Parlement de Bruxelles, qui veut faire traduire et publier Le Grand Remplacement en anglais et discuter des arrangements commerciaux avec moi. Agenda. 11:04:40 ///// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, portrait-charge de Montlosier par Daumier, La Baignade, du même, L’Impératrice Eugénie et sa suite sur la plage de Trouville, 1863, par Eugène Boudin, musée Cantini, dimanche 1er juillet 2018. Bain. L’Arrière-Pays. Deux visiteuses très aimables, une dame très distinguée de Castet-Arrouy et une autre femme plus jeune, très gentille et  intéressée — visite en partie gâchée, toutefois, par les violents aboiements du chien Le Coz, on s’entend à peine. Journal de la veille, relecture et mise en place. Nouvelle flambée de harcèlement, y tiens tête assez vaillamment et efficacement, mais l’heure d’atelier y est sacrifiée. Dîner aux nouvelles, seul, plat préparé de pâtes au saumon, saint-nectaire industriel sans aucun goût, vin rosé pâle beaucoup trop sucré, fruits secs. Vu, en ratant le début, Arletty, une passion coupable, d’Arnaud Sélignac, avec Laetitia Casta. Promenade solitaire sur le plateau, jusqu’à l’embranchement La Rouquette / La Bonnefont. Pierre vient ma rencontre au retour. L’Arrière-Pays. Journal. Couché vers deux heures. 

lire l’entrée du lundi 16 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mardi 17 juillet 2018, 15 h 39
modifiée le mercredi 18 juillet 2018, 11 h 34
Mardi 17 juillet 2018.
Sainte Charlotte, sem. 29 — 197/168. Plieux. Assez bien dormi, réveillés à huit heures vingt par Céline dans la bibliothèque (elle croit que Pierre n’est pas là, un seul petit déjeuner). Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et La Servante studieuse, 1870, collection Burrell, vue au musée Cantini le 1er juillet 2018. Très agacé par M. de M. que j’avais invité à déjeuner, qui avait dit “chercher un avion” et nous laisse sans nouvelles. Le Jour ni l’Heure, le MACRON. Bain. Été avec Pierre à Lectoure, vue Mme le docteur Capdecomme pour mon œil gauche. Lu Bernanos dans la salle d’attente (La France contre les robots). Rentrés vers deux heures. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, Corot, Bateaux de pêche aux voiles colorées, c. 1830-1840, collection Burrell, Glasgow, Marseille, musée Cantini, dimanche 1er juillet 2018. Agenda. 15:37:29 ///////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. You Will Not Replace Us, 35.000 signes. Atelier, améliorer certaines couvertes anciennes. Lecture par Pierre du Lys dans la vallée, visite à Clochegourde de la duchesse de Lenoncourt, transformation de la situation des Morsauf. Dîné aux nouvelles, pizza de L’Isle-Bouzon et salade verte, bu du Tokay naguère offert par M. et Mme Szalai, ouvert par moi par erreur la veille et que dans ma mirosité j’avais pris pour du vin rosé. Poire à la vapeur et myrtilles. Vague surf télévisuel, rien d’intéressant. Promenade avec Pierre sur le plateau, été au Cassé, revenus par le boulevard extérieur (du Cassé). L’Arrière-Pays. Journal. Couché vers deux heures. 

lire l’entrée du mardi 17 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mercredi 18 juillet 2018, 11 h 43
modifiée le jeudi 19 juillet 2018, 9 h 21
Mercredi 18 juillet 2018.
Saint Frédéric, sem. 29 — 199/166. Plieux. Levé à huit heures vingt, beau temps. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Pour une Europe, III, photographiée le matin même dans la bibliothèque. Plusieurs crises d’aboiement du chien Le Coz. L’Arrière-Pays. Comptes : Dernière connexion le 14/07/2018 à 10h58 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.812,76 € /// Crédits -91.574,83 € /// Solde au 17/07/2018 -2.812,76 € /// À venir -497,14 € | Prévisionnel -3.309,90 € /// Débiteur depuis 19 jours ///      17/07 VIR SEPA RECU /DE KOBO INC PUBLISHER PAYMENTS (ACC.: K +45,36 € /// 17/07 PRLV SEPA EDITION ABONNES DU MONDE.FR ECH/170718 I-17,90 € /// 16/07 PRLV SEPA ORANGE ECH/160718 ID EMETTEUR/FR18ZZZ002 -60,00 €  /// Agenda. 11:42:49 ///////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, relecture. Le Jour ni l’Heure, trois œuvres vues au musée Cantini de Marseille le dimanche 1er juillet 20128 : Dupin Aîné, portrait-charge par Daumier ; touristes sur la plage, détail du petit tableau de Boudin, L’Impératrice Eugénie et sa suite sur la plage de Trouville, 1863, collection Burrell ; très beau Daubigny, Le Moulin de Kérity, 1872, id. 50.50.50. Bain, lecture par Pierre d’Henri Martin, année 1596, Béthune-Sully, catastrophique état des Finances, Henri IV a largement acheté la paix (ce que j’ignorais— les Ligueurs ont vendu leurs places et leurs gouvernorats, et en plus les ont gardés). L’Arrière-Pays. Visiteurs,  deux dames, puis un jeune homme avec sa mère, lecteur du Grand Remplacement qu’il veut faire dédicacer — il  a été attaqué et roué de coups par l’occupant à Villeneuve-sur-Lot. Thé avec eux, assez longuement. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Atelier, retouches à un paysage avec un arbre en fleurs, puis commencé une couverte 60x60 d’après une photographie de Pierre au lit le matin, draps rejetés. Dîné aux nouvelles, gnochis, carottes, pesto, poire à la vapeur et myrtilles. Vu pas mal de la série sur l’enlèvement de Paul Getty III, le début, alors que nous avions vu la fin plus tôt. Promenade avec Pierre sur le plateau, chemin de la Rouquette, mais seulement jusqu’au bout du goudron et un peu au-delà, car il a beaucoup plu pendant la visite des Pérès et le sol est très boueux. L’Arrière-Pays. You Will Not Replace Us, 37.000 signes. Journal. Couché à une heure. 

lire l’entrée du mercredi 18 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le jeudi 19 juillet 2018, 9 h 32
modifiée le vendredi 20 juillet 2018, 10 h 11
Jeudi 19 juillet 2018.
Saint Arsène, sem. 29 — 200/165. Plieux. Levé peu avant sept heures. Beau temps. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et dét. de Corot, Le Petit Pont (à La Ferté-sous-Jouarre), c. 1860, musée des Beaux-Arts de Marseille, en prêt au musée Cantini à l’occasion de l’exposition de la collection Burrell. Lettre ennuyeuse de Mme Levin, à propos du forum de l’In-nocence (que je ne suis guère et qui est d’autre part très déglingué à la suite de sabotages — le forum des membres est h.s., d’où d’ailleurs la lettre de Mme Levin). Comptes :  Dernière connexion le 18/07/2018 à 11h39 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.812,76 € /// Crédits -91.574,83 € /// Solde au 18/07/2018 -2.812,76 € /// À venir -197,14 € | Prévisionnel -3.009,90 € /// Débiteur depuis 20 jours /// (aucun mouvement). Agenda. 09:32:38 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Retenu une chambre à M. Conversation avec Marcel Meyer, avons décidé de supprimer un fil du forum public de l’In-nocence. Le forum privé est h. s. suite au sabotage. Journal de la veille, relecture. Le Jour ni l’Heure, trois tableaux de la collection Burrell vus au musée Cantini de Marseille le dimanche 1er juillet 2018, Adolphe Hervier, Les Moulins à vent, 1851 ; Eugène Boudin, Laveuses au bord de la Touque, c. 1888-1895 ; et Manet, Le Jambon, c. 1875, qui appartint à Degas et inspira Gauguin. 50.50.50. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, années 1597-1598, suite de la politique de pacification d’Henti IV à force de millions qu’il n’a pas ; il achète la soumission des derniers chefs ligueurs et les comble d’honneurs et de prébendes (notamment Mercœur). Perte et récupération d’Amiens. L’Arrière-Pays. Journal de la veille, mise en ligne. You Will Not Replace Us, 40.000 signes. Atelier, Pierre au lit (L’Été, La Chambre, Horus ?). Lecture par Pierre du Lys dans la vallée, l’exploitation de Clochegourde. Dîné aux nouvelles, restes de pizza, bleu d’Auvergne, tokay, crémant de Bordeaux. Tarte au citron, tarte au chocolat (partagées). Vu l’émission de Stéphane Bern sur Marie de Médicis, bien, mais il n’est pas assez question de politique (par ex. : on nous parle de divergences politiques avec Richelieu, au Conseil, mais pas un mot sur ce qu’elles sont). Promenade avec Pierre sur le plateau, chemin de la Rouquette sous les étoiles, demi-lune très éclairante. L’Arrière-Pays. Journal (copié le texte d’“Ulysse”). Couché vers deux heures. 

lire l’entrée du jeudi 19 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le vendredi 20 juillet 2018, 10 h 08
modifiée le samedi 21 juillet 2018, 9 h 26
Vendredi 20 juillet 2018.
Sainte Marina, sem. 29 — 201/164. Plieux. Levé à huit heures moins vingt. Temps gris, humide et frais. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, et Manet, Roses dans un verre à champagne, dét., 1882, coll. Burrell, Marseille, musée Cantini, dimanche 1er juillet 2018. Comptes :  Dernière connexion le 19/07/2018 à 09h29 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.512,76 € /// Crédits -91.574,83 € /// Solde au 19/07/2018 -2.512,76 € À venir -486,14 € | Prévisionnel -2.998,90 € /// Débiteur depuis 21 jours /// 19/07 VIR SEPA RECU /DE PAYPAL EUROPE SARL ET CIE SCA /MOTIF +300,00 € (vendetta livres et d’abonnements) ///  Agenda. 10:07:32 //////////  Le Jour ni l’Heure, Chronologie. 50.50.50. Bain. Bagages. Quitté Plieux à 12:06. Valence-d‘Agen. Lauzerte. Pern. Cahors-Sud. Brive. Tulle. Laqueuille. Rochefort-Montagne. Col de la Moréno. La Font-de-l’Arbre. Royat. Chez ma tante Suzanne qui a aujourd’hui cent ans à quatre heures et demie. Pierre Chassaigne. Guy O’Lanyer et sa femme Françoise. M. de Reignac et sa femme Chantal. Ma cousine Bernadette. Mon cousin Yvan Gourdiat et sa fille Anne. Pierre. Quatre dames de compagnie de ma tante. Champagne. Gâteaux divers. Partons vers six heures, ma tante étant fatiguée. Manson. Laschamps. Eté voir la château d’Allagnat, pas mal, mais débuts de lotissement. Quatre routes de Nébouzat. Le paysage, superbe à distance, est assez abîmé à proximité par le développement démographique, les stabulations, une profusion désespérante d‘affreux “carrefours européens“, qui artificialisent en diable. Été à Monteribeyre, où une Mme Robert, je crois, recevait beaucoup ma tante la Grande Madeleine. Temps affreux, pluie diluvienne. Été à Polagnat, où se mènent de grands travaux, hélas assez “flashy”. Saint-Martin-de-Tours. Approché de Cordès, naturellement fermé. Olby. Coheix. Mazaye. Auberge de Mazaye, où  nous avons réservé une chambre (Aydat). Dîné sur place, menu, terrine, coq au vin, fromages locaux divers, poire belle Hélène, vin de Châteaugay (beaucoup trop mangé, devrais éviter les menus). Voulu marcher, mais il pleut trop. Autoportrait. Journal. Agenda. 00:09:17 //////// Journal. Couché vers une heure. 

lire l’entrée du vendredi 20 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le samedi 21 juillet 2018, 9 h 34
modifiée le dimanche 22 juillet 2018, 9 h 50
Samedi 21 juillet 2018.
Auberge de Mazaye, ch. “Aydat“. Très mal et peu dormi, malgré un silence parfait (ne peux plus faire ce genre de repas). Levé finalement à sept heures et demie, après d‘interminables insomnies, pas spécialement désagréables, d’ailleurs. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit, église et château d’Allagnat, la veille. Déjeuné en bas avec Pierre, style “continental”, mais de toute façon nous n’avons guère faim. Le Jour ni l’Heure, traitement des photographies. Agenda. 09:33:20 ////////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Douche. Sortis de l’hôtel à deux heures et demie. À Cordès pour la visite de onze heures. Famille de co-visiteurs peu polis mais guide très gentil. Assez long moment dans les jardins après. Nouvelle tentative, après celle de la veille, pour voir un modeste château à vendre sur la commune de Saint-Bonnet-d’Orcival, en fait à Voissieux — plus de qualités que je ne pensais, mais beaucoup de défauts, et trop cher pour ce qu’il est (460.000 €). Été à Vernines, site magnifique, village terriblement massacré comme la plupart des autres, assez touchant vieux château très délabré, mais l’environnement immédiat est décourageant et la plus belle vue est gâchée par d’affreuses maisons neuves. Très belle route entre Vernines et Aurières, détour pour Fonsalives. Aurières, très laid. Été au château de Montlosier, bien abîmé lui aussi par l’environnement. On ne peut plus voir la tombe. Recoleine, où vécut Montlosier, village massacré comme tous les autres. Olby. Coheix. Bonnabaud. Bannières. Tournemire, château sans intérêt mais beau porche. Pontgibaud, Château-Dauphin, tour dans le parc et les bois en attendant la visite. Visite, bien,  intérieur 1887,  arch. Moreau (?).  Église de Pontgibaud, pour un Parocel qu’on distingue à peine. Montés au petit château de X.,  Napoléon III, sans intérêt,  mais premier exemple des deux vues, les Dômes et les Dores, le fin du fin.  Route de Gelles, Mont-la-Côte, site sublime au-dela du chemin qui mène à la Pierre-Branlante : les deux chaînes dans toute leur splendeur, et de haut. Gelles, bien laid comme tous les autres bourgs et villages de la région. Tour du puy de Banson. Le Montel. Banson, merveilleux petit château à mille mètres d’altitude, vue admirable sur les Dores et la banne d’Ordanche. Monge,  très belle maison de notable XVIIIe, dite  “le château”, excellemment administrée. La Rochette et au-dessus, route et chemin menant à Gelles, chemin à droite, une splendeur. Faible clairée, même. Vareilles. Hésitons à poursuivre nos explorations dans l’angle sud-ouest du département mais il est déjà tard, renonçons  et rentrons à l’auberge de Mazaye.  Dîner plus léger que la veille, punti au pruneau, saumon en croûte de cantal, demi-bouteille de rosé de Corenc à deux. Magnifique et longue promenade post-prandiale, partis à droite en sortant de l’auberge, revenus par la gauche, après être montés sur le plateau vers Chambois, je crois, et avoir suivis de superbes chemins sous la lune, avec vue sur la banne d’Ordanche et le puy du Barbier. Rentrés vers onze heures.  Agenda. Appareil ou connexion marchent mal, quinze secondes de délai après chaque click, épuisant.  23:52:34 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal. Couché à minuit.  

lire l’entrée du samedi 21 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le dimanche 22 juillet 2018, 9 h 58
modifiée le lundi 23 juillet 2018, 7 h 33
Dimanche 22 juillet 2018.
Auberge de Mazayes, ch. “Aydat”. Bien dormi, levé à 8 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, sous la lune avec la banne d’Ordanche, et château de Cordès, la veille également. Nous apercevons que j’ai oublié la recharge de l’appareil photographique. Déjeuner en bas, encore plus minimal que la veille — demandons si nous ne pourrions pas avoir, moyennant supplément, un peu de fromage et de jambon, mais la serveuse, seule, ne peut pas prendre cette responsabilité. N’ont pas non plus de recharge pour la batterie. Grand retard. Agenda. 09:57:25 ////////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Bain. Me suis aperçu que j‘avais oublié la recherche de batterie de l’appareil photographique, ne pourrai donc plus prendre que très peu de photographies. Quitté l’hôtel et Mazayes vers onze heures et demie. Coheix. La Miouze. Gelles. Cisternes-la-Forêt. Sauvagnat. Puy-Saint-Gulmier. Saint-Étienne-des-Champs. Voingt. Châteaubrun, vilain châteaux du XXe s. avec une très belle vue sur les Dômes. Étang de Tyx, cherché en vain des ruines indiquées sur la carte Michelin, belle maison néo-XVIIIe du début du XXe, avec un toit récent bien vilain mais dans un cadre superbe  (“château de Tyx”, propriétaire très aimable). Petit château du Ronzet, en partie Louis XIV,  extrêmement isolé dans un beau paysage intact, mais sans vue, sans doute assez triste. Giat, amusant petit château Napoléon III dont nous découvrirons peu après qu’il est à vendre (330.000 €). Verneugheol. Herment, fait le tour des remparts, jolis jardins, belle vue sur le massif du Sancy. Belle collégiale romano-gothique, très austère, avec  de beaux chapitaux très rustiques. Cherché en vain entre Herment et Sauvagnat la maison de la cousine Trille, Hélène (est-ce bien Hélène ?) Belloc. Tortebesse. L’Éclache. Heume-l’Église, superbe position, superbe église qui ne paie pas de mine à l’extérieur avec un vilain clocher XIXe mais magnifique à l’intérieur, double nef,  beaux chapiteaux. Montés jusqu’à Valleix, à deux pas de Banson, vues  splendides. Chalusset. Rochefort-Montagne, où pris de l’essence. Laqueuille. Saint-Sauves. La Tour-d’Auvergne. Chastreix. Été voir le château de Labro, assez joli, très restauré récemment, mais la propriétaire, qui s’en va avec son mari, me dévisage avec tant d’insistance que nous battons en retraite et allons faire un tour ; malheureusement, quand nous revenons, le couple est encore là et nous ne pouvons pas voir grand chose de plus. Chambourguet (où j’ai dispersé selon ses vœux une partie des cendres de ma mère). Le Mont-Dore. Route du col de Diane, magnifique chemin à gauche avant le col, longue promenade à pied, un peu embarrassée par un gros troupeau de vaches sur le chemin, mais gravissons un puy, à droite, vue de toute beauté sur les Dômes et les Dores. Temps superbe, paysage sublime, âme qui vive. Regagnons la voiture vers sept heures et demie. Auberge du lac de Guéry. Autre promenade le long du lac, dîner, suprême de poulet aux girolles, baba au rhum, rosé de Corenc. Autre promenade le long du lac, de l’autre côté, dans les bois. Chambre 5, aucune isolation, voisins assez bruyants, un enfant surtout, vais demander s’il serait possible de parler moins fort et pour une fois suis très bien accueilli, force excuses. Agenda. 23:29 :32 /////// Journal.  Couché vers une heure. 

lire l’entrée du dimanche 22 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le lundi 23 juillet 2018, 7 h 40
modifiée le mardi 24 juillet 2018, 11 h 07
Lundi 23 juillet 2018.
Auberge du lac de Guéry, ch. 5. Chambre très mansardée, me réveille à six heures en changeant de côté et en tombant du lit, en me heurtant violemment à la tête contre la cloison et contre un court meuble de toilette. Cri, qui a dû réveiller les voisins. Crains longtemps un effet différé du choc, à la Charles VIII, mais apparemment pas. Ne peux pas me rendormir, toutefois, et Pierre non plus. Agenda. 07:39:28 //////// Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Petit déjeuner en bas, plus généreux qu’à Mazayes, mais tout de même un peu chiche — Pierre fait des plaisanteries sur l’avarice auvergnate et sur le traitement “coréen” de la confiture (une minuscule coupe de confiture pour deux). Douche. Quittons l’auberge du lac de Guéry un peu après dix heures. Lac Servières, très beau, assez solitaire. Hameau de Pessade, très enlaidi par ses fonctions de point de départ de randonnées sympa(s). Saulzet-le-Froid, id., plus l’agriculture industrielle (stabulations), plus le mauvais goût local (“vérandas”, élargissement de fenêtres, bâtiments collectifs, etc). Zanières. Murol. Besse, devenue absolument horrible, un cauchemar. Saint-Anastaise. Été à Valbeleix, sur la foi de la carte Michelin qui donne deux étoiles à l’église mais c’est certainement une erreur, elle n’a rien d’extraordinaire (confusion avec celle de Boslabert, à Roche-Charles ?). Gorges de Courgoul. Sauriez. Saint-Floret, essayé de voir les fresques, mais c’est fermé entre midi et deux heures. Issoire, entrés dans l’église, totalement massacrée par la sursignalisation. Parentignat, aujourd’hui dans la vilaine banlieue d’Issoire. Le Vernet-la-Varenne, très abîmé aussi (village de vacances au pied du château). Saint-Germain-l’Herm. Saint-Bonnet-le-Chastel, assez joli château, belle église. Été voir la château du Cluzel, à vendre, étonnante villa italienne Renaissance, très séduisante malgré les arrachements d’enduits, assez solitaire, assez beaux paysages mais pour moi peu familiers et très éloignés de mon Auvergne d’enfance. Saint-Bonnet-le-Bourg. Doranges. Château de Scis, à l’extrême sud du Puy-de-Dôme, mais sans intérêt. Laval-sur-Doulon. Champagnac-le-Vieux. Les Gleizes, beau château. Lamothe, autre, dans le bourg. Brioude, très touristisée. Autoroute à Saint-Bauzire. Sortis à Saint-Flour. Paulhac, petit château de village,  parfait pour moi, architecturalement,  mais il faudrait qu’il soit ailleurs — de  toute façon il n’est pas à vendre.  Étonnante maison forte du Chambon, fausse ruine, mais vraiment du XIVe siècle, qui elle est bel et bien à vendre, et pas cher.  Reçus  très aimablement par le propriétaire et son ami, qui veulent aller vivre sur la Costa Blanca. Intérieur entièrement moderne. 1100 m. d’altitude.  Coupé par une route qui n’est pas sur la carte, indiquée par nos hôtes,  et qui fait le tour du puy de Mercou. Beau château de Belinay, 1260 m., naguère à vendre mais qui  ne l’est plus, donnant sur de superbes prairies, au fond d’une vallée mais à cinq minutes de hauts plateaux sublimes.  Plomb du Cantal. Passés au pied du château de la Bohal, magnifique mais dans un environnement massacré par les stabulations. Vigouroux, beau château de village, qui semble abandonné.  Lacapelle-Barrès. Jou-sous-Monjou. Château de Cropières, toujours bien  délabré malgré les efforts de la Société des Amis. Carlat. Aurillac,  devenue une véritable poubelle urbanistique. Figeac. Traversé le  causse, bien solitaire.  Autoroute à Cahors-Nord. Sortis à Cahors-Sud. Pern.  Sainte-Alauzie. Lauzerte. Valence-d’Agen. À Plieux vers 11 heures. Dîné, raviolis aux cèpes, courgettes, glace rhum raisins. Vu un peu de Cible émouvante, de Pierre Salvadori, 1991, avec Jean Rochefort, Guillaume Depardieu et Marie Trintignant. Journal. Couché vers  deux heures. 

lire l’entrée du lundi 23 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mardi 24 juillet 2018, 11 h 15
modifiée le mercredi 25 juillet 2018, 17 h 58
Mardi 24 juillet 2018.
Sainte-Christine, sem.  30 — 205/160. Plieux. Levé à sept heures vingt. Beau temps. Tâché de rattraper les retards, Le Jour ni l’Heure, quatre photographies dont deux n’avaient pu être “traitées” du fait de l’oubli du rechargeur de pile, autoportrait de dimanche, sur le puy de Baladou (dommage qu’il ait un aussi vilain nom…), lac de Tyx, dimanche également, autoportrait de la nuit et “villa italienne” du Cluzel, à Saint-Bonnet-le-Chastel, hier. Agenda, avec le correcteur automatique et le chien Le Coz particulièrement insupportables (le chien de la chartreuse s’y met aussi, avec son horrible voix). 11:14:20 ////////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, château de Labro à Chastreix et chemin du col de Diane le dimanche 20 juillet, auberge du lac de Guéry le lundi 21 juillet 2018. 50 50 50. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, année 1598, l’édit de Nantes, mort de Philippe II, fin du volume XI. L’Arrière-Pays. Fait un communiqué pour le CNRE, n° 42, sur l’affaire Benalla. Écrit à M. Pohon. Étrange invitation à Berlin d’un certain ICD (Institute for Cultural Diplomacy), en très mauvais anglais et pour le …9 juillet. Cru à une erreur, transmis à Jean-Yves Camus. Échanges avec lui. À sept heures chez les Coulet-Lavaudan, en voiture, pour leur montrer une maison à vendre. Saint-Créac. Embarthe. Le magnifique domaine du bout du hameau est sans doute déjà vendu, il paraît très pimpant, et l’herbe y est admirablement entretenue. De toute façon M. Coulet, bien qu’il partage mon enthousiasme,  trouve le prix trop élevé. Été aussi aux Cèdres, mais la maison est très ouverte, nous n’osons trop nous aventurer dans le parc. La salle de Saint-Créac, dont nos amis nous disent qu’elle vient de se vendre. Saint-Créac. Rentré à Plieux vers neuf heures. Les C.-L., qui avaient décliné lors des arrangements préalables notre invitation à l’auberge de Gramont, nous invitent à prendre un verre chez eux, qui turns out to be un vrai dîner. Champagne et foie gras dans le salon “mauricien”, comme dit ce crétin de correcteur automatique (pour “mauriacien”) (il recommence). Accras et triangles feuilletés “gersifiés” [correcteur automatique : versifiés] au canard sur la terrasse, ensuite. Glace et salade de fraise à la menthe, infusion dans le “coin salon” de la terrasse. Parlé de maisons, et de tableaux, d’expositions. Rentrés vers onze heures. L’Arrière-Pays, suite, l’affaire Benalla, Macron a parlé. Journal. Couché vers une heure et demie. 

lire l’entrée du mardi 24 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mercredi 25 juillet 2018, 18 h 19
modifiée le jeudi 26 juillet 2018, 11 h 11
Mercredi 25 juillet 2018.
Saint Jacques, sem. 30 — 206/159. Plieux. Bien dormi, levé à huit heures. Beau temps. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et autre vue, en noir et blanc, du château du Cluzel le 23 juillet 2018. L’Arrière-Pays, très intensément et un peu bêtement, toute la matinée et au-delà. Tél. de Danielle Lavauden, chez qui j’ai oublié ma canne. Échanges avec l’ICD de Berlin, très apologetic, si c’est bien d’eux qu’il s’agit. Suite des échanges avec Jean-Yves Camus à ce sujet — il fait remarquer qu’aucun colloque n’est annoncé sur le site de l’ICD pour le 9 août (car ce serait finalement le 9 août, jusqu’au 11). Le Jour ni l’Heure, une seule livraison, et tardive, château de Saint-Bonnet-le-Chastel le 23 juillet 2018. Pas de gym., trop de retard. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, débuts du volume XII, situation financière de la France au retour de la paix civile, mesures de Rosny, le futur Sully. Excellente conversation téléphonique avec M. Pohon, plus enthousiaste que moi face à l’ouvrage. Visiteurs belges, lu Bernanos dans la tour (Saint-Clar) (La France contre les robots). Comptes : Dernière connexion le 20/07/2018 à 10h04 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.422,68 € /// Crédits -91.574,83 € /// Solde au 24/07/2018 -2.422,68 € /// À venir -946,17 € | Prévisionnel -3.368,85 € /// Débiteur depuis 26 jours /// 23/07 COMMISSIONS - CHEQUES ETRANGERS -8,78 € /// 20/07 REMISE CHEQUE/ETRANGER RECOUVREMENT DE LA REMISE DE 001 CHEQUES +87,86 € (Amazon) /// 20/07 VIR SEPA RECU /DE C.P.A.M. AUCH /MOTIF 182000000134182 +11,00 €  (consultation médecin, remboursement partiel) /// Agenda, 18:17:50 ////////  Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Écrit une mettre rasoir à Amazon qui fait des difficultés pour publier Le Petit Remplacement (questions de droits). Journal de la veille. Passé chez les Coulet de Lavauden pour y récupérer ma canne et leur remettre La Civilisation des prénoms, mais il n’y a personne — laissé le livre dans la boîte. Atelier. Pierre au lit. Lecture par Pierre du Lys dans la vallée, lettre de conseils de Mme de Mortsauf. Dîné aux nouvelles, omelette aux champignons, salade verte, poire à la vapeur et framboises. Vu un peu de Overdrive, 2017, d’Antonio  Negret, avec Scott Eastwood, et de Gauguin — Voyage de Tahiti, d’Édouard Deluc, avec Vincent Cassel. Sortis relativement tôt. Passés chez les Coulet-Lavauden, mais il n’y toujours personne. Marché sur le chemin de La Rouquette. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Cherché des photographies de tableaux miens pour les couvertures de nouvelles éditions. Écrit à M. Pohon. Journal. Couché vers une heure. 

lire l’entrée du mercredi 25 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le jeudi 26 juillet 2018, 11 h 24
modifiée le vendredi 27 juillet 2018, 15 h 53
Jeudi 26 juillet 2018.
Saints Anne & Joachim, sem. 30 — 207/158. Réveillé à sept heures par le chien Le Coz, mais, extraordinairement, rendormi. Même pas entendu Céline dans la bibliothèque. Levé à neuf heures moins le quart. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et pauvre château du Rouzet, près de Giat, Puy-de-Dôme. Photographié de nouveau, avec Pierre, un peu partout, dans la chambre, dans la salle des Vents, dans la cour, L’Arrivée de Louis IV d’Outremer à Boulogne-sur-Mer, 31 mai 936, couverte 60x60 n° 53, 28 mars 2014. L’ai envoyée à M. Pohon pour la couverture modifiée de Le Mot “race”. Comptes :  Dernière connexion le 25/07/2018 à 18h12 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.415,18 € /// Crédits -91.574,83 € /// Solde au 25/07/2018 -2.415,18 € /// À venir -953,67 € | Prévisionnel -3.368,85 € /// Débiteur depuis 27 jours /// 25/07 VIR SEPA RECU /DE AXA FRANCE VIE /MOTIF FRAIS DE SOINS +7,50 € /// Agenda. 11:23:40 /////////  Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, suite. Le Jour ni l’Heure, trois photographies du dimanche 22 août dans les Combrailles, “château de Giat”, 1868, façade de la collégiale Notre-Dame d’Herment, XIIe-XIIIe s., un chapiteau de la collégiale d’Herment, un chevalier ou un drôle. 50.50.32. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, tableau économique de la France sous Henri IV, Olivier de Serres. Journal de la veille, mise en ligne. Me suis occupé toute l’après-midi de couvertures pour les nouvelles éditions — ah, et Amazon, est-ce l’effet de ma lettre, paraît avoir accepté Le Petit Remplacement. Voulu aller chercher ma canne chez Mme Lavauden mais la croise en chemin qui bavarde avec Mmes de La Guéronnière et X. Elle nous portait de la confiture de figues (et ma canne). Retournons ensemble à la maison. Verre avec elle (floc) et Pierre tandis que je peins dans l’atelier (Pierre). Elle part assez vite car elle attend ses enfants. Dîné aux nouvelles, gnocchi aux carottes. Poire à la vapeur et framboises. Vu une émission de Stéphane Bern sur Marie-Tlérèse. Promenade nocturne avec Pierre sous la pleine lune, plateau, été jusqu’à l’embranchement de La Rouquette. Continué à travailler aux couvertures, dont celle, plus délicate, de La Dictature (fragment et non pas tableau entier). Écrit à M. Pohon à ce propos. L’Arrière-Pays. Couché à trois heures du matin. 

lire l’entrée du jeudi 26 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le vendredi 27 juillet 2018, 16 h 12
modifiée le samedi 28 juillet 2018, 10 h 30
Vendredi 27 juillet 2018.
Sainte Nathalie sem. 30 — 208/157. Plieux. Bien dormi, réveillés par Céline dans la bibliothèque, à huit heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et La Rencontre (de l’avant-garde du troupeau de vaches (échappées ?)), sur le chemin du col de la Croix-Morand à Pessade [corr. autom. : Passade], dimanche 23 juillet 2018. L’Arrière-Pays, très intensément toute la matinée. Le Jour ni l’Heure,  trois photographies en fait effectuées par Pierre avec le téléphone portable, après extinction de l’appareil habituel faute de pile, Cantal, lundi 23 juillet 2018 : château de Paulhac (village) ; château du Chambon, commune de Paulhac ; château de Bélinay, à 1260 mètres d’altitude, id. 50.50.50. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, commerce extérieur de la France en 1600, mais nous sommes interrompus pour la deuxième fois) par un homme qui, dit-il, veut vendre la collection de tapisseries, de tapis et de bronze héritée de son père. Comptes : Dernière connexion le 26/07/2018 à 11h21 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.415,18 € /// Crédits -91.574,83 € /// Solde au 26/07/2018 -2.415,18 € ///À venir -1.496,58 € | Prévisionnel -3.911,76 € /// Débiteur depuis 28 jours /// Aucun mouvement. Agenda. 16:10:52 ///////// Dormi cinq minutes, mais réveillé presque aussitôt par le chien de Mme Le Coz. Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. You Will Not Replace Us. Atelier, Pierre l’été, les bords. Retouches diverses. Lecture par Pierre du Lys dans la vallée, Félix à Clochegourde pendant les Cent-Jours. Dîné aux nouvelles, tarte aux restes, champignons, courgettes, aubergines, carottes. Salade verte. Poire à la vapeur et framboises. Vu Gueule d’amour, 1937, de Jean Grémillon, avec Jean Gabin et Mireille Balin. Promenade sur le plateau, tout le village est dans la rue pour voir l’éclipse de lune. Marchons jusqu’à l’embranchement. You Will Not Replace Us, suite, 45.000 signes. Journal. Couché à une heure et demie. 

lire l’entrée du vendredi 27 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le samedi 28 juillet 2018, 10 h 40
modifiée le dimanche 29 juillet 2018, 11 h 05
Samedi 28 juillet 2018.
Saint Samson, sem. 30 — 209/156. Plieux. Levés à huit heures. Temps gris et frais, assez agréable. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et château des Grèzes, ou des Greizes, à Agnat, Haute-Loire, photographies prise de la route par Pierre avec le téléphone portable, entre le Cluzel et le Chambon, lundi 23 juillet 2018. Comptes : Dernière connexion le 27/07/2018 à 16h07 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.415,18 € /// Crédits -91.574,83 € /// Solde au 27/07/2018 -2.415,18 € /// À venir -1.498,78 € | Prévisionnel -3.913,96 € /// Débiteur depuis 29 jours /// Aucun mouvement. Agenda. 10:39:54 ///////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, trois photographies du lundi 23 juillet 2018, dans l’ordre inverse de la prise de vue : château de Vigouroux à Saint-Martin-sous-Vigouroux, Cantal, photographié avec le téléphone portable (plus de batterie) ; « Arrêtez le massacre ! », affreuse bannière pies gâchant le chœur de l’abbatiale Saint-Austremoine d’Issoire, plus tôt ; lac Servières le matin. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, les arts et la littérature sous Henri IV (ce n’est pas brillant). Visite impromptue de M. Dellinger, qui rapporte Conversations en Sicile, de Vittorini. M. Dellinger, bien abattu, est désormais sur la ligne “Ulysse” (les carottes sont cuites). Visite sur rendez-vous pris le matin d’Éric Dupont et de sa fille Théodora qui séjournent en famille près de Combarrau chez les Martin. Visite de l’atelier. Quelques visiteurs “payants”. Chien Le Coz insupportable toute la journée. En fin d’après-midi, nouvelle convocation à la gendarmerie, dois me présenter vendredi prochain devant le gendarme Matthieu, tout à fait poli (ces messieurs se repassent cette corvée, apparemment). Atelier, dernière main à Pierre l’été, puis fais les bords d’un paysage montagneux du printemps dernier. Lecture par Pierre du Lys dans la vallée, retour triomphant de Félix de Vendenesse, favori du roi, à Clochegourde, aggravation de la folie de M. de Mortsauf et des maux de son épouse. Dîné aux nouvelles, raviolis aux cèpes, carottes, poire à la vapeur et framboises mais sévères tranchées qui seront suivies de débâcle intestinale, comme la veille — médicament pour les yeux ? Vu Les Acteurs, de Bertrand Blier, 1999, avec tous le monde — film curieux, qui devrait être complètement réussi et qui ne l’est pas. Promenade au Cassé avec Pierre. You Will Not Replace Us (48.000 signes). Journal. Couché à une heure et demie. 

lire l’entrée du samedi 28 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le dimanche 29 juillet 2018, 11 h 12
modifiée le lundi 30 juillet 2018, 10 h 35
Dimanche 29 juillet 2018.
Sainte Marthe, sem. 30 — 210/155. Plieux. Levés à huit heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et chœur peint de l’abbatiale Saint-Austremoine d’Issoire. Déjeuné en bas avec Pierre. Il accroche Was ist das ? dans l’escalier, mais ce n’est pas une réussite, l’accrochage commence à devenir beaucoup trop dense, il n’y a plus d’espace, il faudrait vendre des œuvres (et pas seulement pour faire de l’espace). Beau temps. Chien Le Coz silencieux jusqu’à présent, matinée tranquille, angoisse sourde. 11:11:20 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, trois photographies de Saint-Austremoine d’Issoire, extérieur et intérieur, le lundi 23 juillet 2018. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, la littérature en France au temps d’Henri IV, éloge de Mathurin Régnier puis, plus réticente, de Malherbe. Visiteurs. Dormi un peu, je crois. You Will Not Replace Us. Longue conversation téléphonique avec Mme Eliana Benador, en Suisse. Atelier, retouches à deux paysages, La Montagne bleue, pas mal, et Freux, irrécupérable. Dîné aux nouvelles, salmigondis, mais qui passe, malgré le médicament pour les yeux, qui m’upsète l’estomac. Poire à la vapeur et framboises. Essayé de voir un peu de Dunkirk, film récent, mais c’est vraiment d’un ennui mortel. Promenade avec Pierre, flanc nord. You Will Not Replace Us, 52.000 signes. Journal (copié Bernanos). Couché à une heure. 

lire l’entrée du dimanche 29 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le lundi 30 juillet 2018, 10 h 41
modifiée le mardi 31 juillet 2018, 9 h 22
Lundi 30 juillet 2018.
Sainte Juliette, sem. 31 — 211/154. Plieux. Levés à huit heures. Temps gris, assez frais jusqu’à présent. Envie d’Auvergne. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Un soir sur le lac de Guéry. Pierre, très inquiet pour ses buis, va acheter du produit de défense et va poster deux exemplaires du Grand Remplacement pour Mme de Bénador. 10:39:43 ///////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal, entrée de la veille, longue citation de Bernanos. Le Jour ni l’Heure, la chaîne des Puys vue du sommet du puy de Baladou le dimanche 22 juillet 2018, deux vues du château de Banson à Gelles le samedi 21. 50 50 50. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, projets européens d’Henri IV, démêlés avec le duc de Savoie à propos du marquisat de Saluces, échange avec la Bresse. L’Arrière-Pays. Visite sur rendez-vous du couple de la mouline de Belin à Lectoure, thé avec eux, parlé de maisons et de château divers. Châteaux et maisons en Auvergne. Atelier. Tentatives d’amélioration de toiles anciennes (Les Freux). Lecture par Pierre du Lys dans la vallée, maladie de M. de Mortsauf. Dîné aux nouvelles, jardinière de légumes et semoule, poire à la vapeur et framboises. Voulu revoir le début des Grandes Familles et regardé en fait tout le film, décidément remarquablement ficelé. Promenade avec Pierre sur la plateau, jusqu’à l’embranchement La Rouquette / La Bonnefont — me fais six fois tremper par les tuyaux d’arrosage, mais ce n’est pas trop désagréable. You Will Not Replace Us, 53.000. Journal. Couché à une heure et demie. 

lire l’entrée du lundi 30 juillet 2018 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mardi 31 juillet 2018, 9 h 30
modifiée le mercredi 1er août 2018, 23 h 55
Mardi 31 juillet 2018.
Saint Ignace de Loyola, sem. 31 — 212/153. Plieux. Levé à sept heures et demie, temps très gris. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et autre vue du château de Banson, côté cour, purement documentaire. Inlassables petits crottes defalvardesques. Devions aller avec Jeanne au château de Biron,  dans la  Dordogne, pour y voir une exposition de Damien Cabannes très recommandée samedi par Éric Dupont mais le temps et les prévisions météorologiques nous font renoncer à ce projet. Agenda. 09:27:58 /////////  Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays, beaucoup d’interventions, toute la matinée (Un charter qui décolle, c’est…). Le Jour ni l’Heure, deux photographies du samedi 21 juillet, château et chapelle de Banson, et une du dimanche 22, la chaîne des Puys vue de Châteaubrun près de Voingt. 32.50.50. Bain, lecture par Pierre d’Henri Martin, mariage d’Henri IV avec Marie de Médicis. Fatigué, voudrais faire la sieste, mais c’est évidemment impossible à cause du chien Le Coz qui aboie comme un possédé toutes les cinq minutes. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Atelier, retouches hasardeuses à des tableaux anciens. Lecture par Pierre du Lys dans la vallée, maladie de Mme de Mortsauf. Dîné aux nouvelles, pizza de L’Isle-Bouzon, salade verte, poire à la vapeur. Surf télévisuel peu concluant, marché avec Pierre sur le plateau. L’Arrière-Pays. You Will Not Replace Us. Couché vers une heure et demie.   

lire l’entrée du mardi 31 juillet 2018 dans le journaljournal

Le Jour ni l’Heure
Ce bouton permet de se déplacer rapidement dans le site de Renaud Camus.

masquer les messages d’aide
Ces boutons fléchés permettent de se déplacer dans les différentes pages de la chronologie Le Jour ni l’Heure.

Les autres boutons vous proposent diverses options. Survolez-les avec la souris pour en savoir plus.

masquer les messages d’aide
Journal Vaisseaux brûlés Livres en ligne Le Jour ni l’Heure Plickr Librairie Galerie Vie & œuvre Index Liens Courrier
accueil général du site