créée le lundi 11 août 2014, 17 h 55
modifiée le lundi 11 août 2014, 18 h 00Dimanche 10 août 2014, minuit et demi. Marcel Meyer et moi avions pensé dissoudre le NON après une année d’existence décevante, pour ses promoteurs, et l’absorber dans l’In-nocence, qui a moins de militants (fort peu militants, dans l’ensemble) mais (un peu) plus d’activité, sur ses forums. Cependant quelques petits succès et ralliements, tout à fait modestes il va sans dire, sur les réseaux sociaux, me donnent à penser que l’affaire n’est peut-être pas jouée après tout et m’incitent à faire une tentative de relance, qui sera peut-être plus largement entendue (ce ne serait pas difficile) que mon appel initial. J’en ai donc émis un autre, cette après-midi. Mes idées n’ont guère varié. Il s’agit toujours de constituer une force disponible, hors partis, contre le Grand Remplacement ; de proposer un lieu de rendez-vous et de rassemblement, virtuel d’abord, puis si possible réel, par la suite, pour tous ceux, Français indigènes et assimilés, qui n’en peuvent plus de la colonisation de la France, du changement de peuple et de civilisation, de la submersion démographique et de ses conséquences, parmi lesquelles nous vivons.
D’aucuns ont prétendu que c’était moi qui faisais barrage, pour la constitution de cette force si nécessaire ; que je n’étais pas l’homme de la situation. Il est bien possible qu’il en aille ainsi, et bien vrai que je n’ai rien, absolument rien, d’un homme politique (j’aurais plutôt tendance à m’en targuer…) ; mais il serait vraiment trop bête que ce soit cela, ce détail insignifiant — moi, et que je sois à l’origine du mouvement — qui empêche un accomplissement si nécessaire. Je ne fais que proposer un point de convergence, pour tous ceux qui sont accablés par le désastre en cours, et qui souhaitent agir en conséquence. Une fois qu’ils seront constitués en puissance capable d’influer sur le cours de l’Histoire, et si possible de le renverser, ils pourront se donner les chefs qu’ils voudront. Et si l’on ne veut pas de moi on m’écartera. La petite déception que j’en éprouverais ne serait absolument rien au regard du bonheur d’avoir mis sur pied une possibilité de réaction.
voir l’entrée du dimanche 10 août 2014 dans Le Jour ni l’Heure
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