créée le mardi 18 novembre 2014, 11 h 15
modifiée le mardi 18 novembre 2014, 11 h 25Plieux, lundi 17 novembre 2014, une heure et demie du matin. Je viens de perdre deux heures à d’absurdes passes d’armes sur les réseaux sociaux à propos de la précédente entrée. M. de Boissieu est particulièrement ulcéré. Voici une petite partie de ce qu’il écrit, et que je recopie sans y changer un iota et sans commentaire, ce qui m’arrange d’autant plus qu’il est affreusement tard et que je suis bien fatigué :
« Monsieur Renaud Camus, vous mentez.
« 1. Lorsque j’ai lu la phrase qui vous était attribuée, j’en ai été étonné et j’ai aussitôt tweeté : “Quoi, Renaud Camus a dit ça ???!!!” C’est d’ailleurs moi qui vous ai volontairement interpellé par ce tweet en mentionnant votre compte, afin précisément d’avoir votre propre version.
« 2. Après avoir eu confirmation que ce n’était pas vous, mon seul souci fut de savoir qui en était l’auteur, j’ai alors aussitôt tweeté : “Et donc, c’était qui ???”
« 3. Mon “Là, c’est imparable, mais ils vont encore nier” concerne le fait que quelqu’un ait bien tenu ce propos à la tribune, nullement, si vous suivez honnêtement et attentivement les échanges, le fait que vous en fûtes, vous, l’auteur. J’ai même pris la peine de vous le repréciser en réponse d’un échange en croyant percevoir votre confusion.
« Bref, la réalité — que tout le monde peut prendre le temps d’aller vérifier tranquillement sur Twitter : pas de chance pour vous, tout y est public à vie — est l’exact inverse de ce vous écrivez à mon propos (journaux du dimanche 16 novembre 2014).
« Si vous ne savez pas utiliser Twitter, retournez à vos grimoires du Graal-Plieux. Si votre immense toupet n’a pas encore étouffé toute votre dignité, rétablissez la vérité.
« Je ne sais pas si vous pouvez lire ce mur, donc je laisse aux bons soins d’Emmanuel Saussier de vous transmettre ce message. C’est d’ailleurs eu égard à cet estimable ami commun que je perds ainsi mon temps avec vous malgré vos mensonges (indulgente concession : volontaires ou non) : les désaccords ne sont rien à mes yeux face à la diffamation. Surtout que vous tombez mal, car je suis précisément — et c’est ma seule et modeste réputation dans le milieu journalistique — un “enculeur de mouches” sur l’exactitude des chiffres, des dates et des citations.
« En vous souhaitant une bonne soirée. »
voir l’entrée du lundi 17 novembre 2014 dans Le Jour ni l’Heure
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