Juste avant après. Journal 2017
créée le vendredi 3 février 2017, 12 h 34
modifiée le vendredi 3 février 2017, 13 h 28Plieux, jeudi 2 février 2017, deux heures du matin. Pendant le scandale, l’invasion continue. L’affaire Fillon se prolonge inexplicablement, tant le tableau paraît désormais clair. On ne comprend pas comment Les Remplacistes (de droite) peuvent perdre un temps pareil alors qu’il est parfaitement évident que leur candidat ne peut en aucune façon continuer à l’être. Il a demandé quinze jours, le temps que la justice « fasse son travail ». Mais la justice ne fera aucun travail en quinze jours, et de toute façon c’est là situer le débat sur un plan qui n’a aucune espèce de pertinence, comme font les gens qui exigent des chiffres pour “prouver” le Grand Remplacement. Quand bien même les agissements de François Fillon et de sa maisonnée n’enfreindraient pas la loi, ce qui est tout de même douteux, ils n’en seraient pas moins révélateurs de comportements et d’un état d’esprit radicalement incompatibles avec la charge à laquelle il aspire ; et, plus encore, avec la pose qu’il avait choisi d’assumer. L’affaire est réglée. Pourquoi tant tarder à tourner une page qui dans tous les esprits est dépassée depuis plusieurs jours ?
Pendant ce temps, d’une rive à l’autre de la Méditerranée, le flot humain ne ralentit pas. Tout prétexte selon lequel il serait constitué de “réfugiés” est à présent abandonné. Non, pas tout à fait : ces noirs sont réfugiés de la Libye. Ils envahissent la Libye, et, comme les Libyens n’ont pas subi le traitement à l’hébétude qui est infligé aux Européens depuis un demi-siècle, les envahis, selon l’usage immémorial, accueillent assez mal les envahisseurs, et sont mécontents de leur présence. Moyennant quoi ceux-ci deviennent comme il convenait des réfugiés, des réfugiés de leur propre invasion mal reçue. Elle le sera beaucoup mieux en Europe, ainsi que le monde entier, qui n’en croit pas ses yeux, le sait bien.
Le naufrage est devenu un moyen de transport comme un autre. On s’embarque pour chavirer, dans des embarcations soigneusement dessinées et prévues à cet effet. On chavire en effet, on est recueilli par les marines nationales, surtout française et italienne, postées en des lieux convenus pour remplir cette mission. On est transporté par elles en Europe, soigné, nourri, logé, muni d’un peu d’argent de poche, et on se voit informé poliment, avec regret, qu’il n’est pas certain qu’on puisse tous officiellement rester. Aucune importance, cet avis est une pure formalité : qu’on le puisse ou qu’on ne le puisse pas, on reste de toute façon. Et on est réparti sur tout le territoire, par les bons soins des gouvernements et de leurs administrations, ravis de pouvoir peupler un continent dont ils ont oublié qu’il l’était déjà, et même ne l’avait jamais tant été.
L’affaire Fillon et l’invasion n’ont rien d’une coïncidence, naturellement. Le scandale ne fait qu’exposer au grand jour la réalité de la caste qui organise ou permet le changement de peuple et l’asservissement de la patrie. Elle n’est pas inconsciente, ou lâche, ou paresseuse. Elle est seulement profiteuse. Le Grand Remplacement rapporte, il faut bien se dire cela. La figure de Ladreit de Lacharrière, qui payait à ne rien faire Mme Fillon à la Revue des Deux-Mondes, et qui est un champion de la “diversité”, c’est-à-dire de la M.H.I, est à cet égard essentielle. Le remplacisme n’engendre pas le profit : il est le profit.
voir l’entrée du jeudi 2 février 2017 dans Le Jour ni l’Heure
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