Le Jour ni l’Heure
février 2015

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créée le lundi 2 février 2015, 12 h 26Dimanche 1er février 2015. Sainte Ella — 32/333. Plieux. Réveillé à 4 h du matin, insomnie complète (trop mangé). Pierre de plus en plus malade, maux d’estomac, mal de tête, “cerveau et nez complètement pris” (dixit himself). Levés à 9 h & ½, mais lui se recouche presque aussitôt. Autoportrait pour la veille, oublié (“avec tout ça”, comme disait ma mère). Déjeune seul en bas, des restes de pâtisseries de la veille. Le Jour ni l’Heure, autoportrait du matin même pour la veille et chapelle Saint-Céneri, 22 août 2014. Pierre toujours bien malade, au lit. L’IN-NOCENT. Beau temps. Agenda. 12:03 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, quatre photographies de la chapelle Saint-Céneri à Saint-Céneri-le-Gérei. Le Jour ni l’Heure, chapelle Saint-Céneri, détail du tableau de Bernard Buffet et deux vues de l’église principale, prises du pont sur la Sarthe. Pierre malade toute la journée, reste couché du matin au soir. Photographies seul, sur le flanc sud, les trois couvertes récemment achevées (mais du coup, au vu des photographies, il n’est pas sûr qu’elles le soient) Promenade solitaire sur le plateau, chemin de la Rouquette jusqu’à l’embranchement pour l’autre maison, très beau temps froid, grand ciel, une certaine exaltation (qui donnera l’entrée de journal de la nuit). Pas d’atelier. L’IN-NOCENT. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Dîner seul, et du coup mangé pour deux, taboulé, raviolis aux cèpes et au pesto, restes d’oreillettes, chocolats des Giraud. Regardé Hitler : La Naissance du mal, de Christian Duguay, avec Robert Carlyle. Dictionnaire, 657.000 signes. Journal. Couché à 2 h & ½.

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créée le mardi 3 février 2015, 11 h 32Lundi 2 février 2015. Présentation du Seigneur — 33/332. Plieux. Très peu dormi, insomnie, et Pierre toujours aussi malade, se lève plusieurs fois et veut aller très tôt chez le médecin. Je l’y conduis, mais le cabinet est fermé, attendons dans la voiture. Quand le médecin arrive, passent devant nous toutes les personnes qui ont rendez-vous. Longue attente. Lis Claude Durand, Usage de faux, portrait charge de Marek Halter et de Bernard-Henry Lévy, et très accessoirement de mes “couvertes”, devenues “couvrantes”. Deux consultations en même temps, Pierre pour sa grippe, moi pour mon cholestérol, car je m’étonnais de ne m’être pas vu imposer de traitement. Mais Mme Capdecomme dit que le traitement ferait plus de mal que de bien. Me remet au Permixon et à l’Allopurinol, en revanche, en plus de l’Ofloxacine pour l’inflammation urinaire (semble efficace). Devrai refaire des examens dans trois semaines, plus échographie, plus sans doute urologue. Exaltation de la veille bien retombée (Durand + embêtements médicaux). Marchons dans Lectoure par grand froid à la recherche d’une pharmacie ouverte — seulement la troisième, celle du bas, pharmacien très aimable. Rentrons vers 11 heures. Petit déjeuner. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et portrait de Pierre, mais la photographie est mauvaise et le tableau aussi, probablement. Agenda. 12:21 ///  Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, portrait de Pierre, deux vues de l’église de Saint-Céneri-le-Gérei, détail du tableau de Bernard Buffet, La Chapelle Saint-Céneri, au musée d’Alençon. Relecture et mise en ligne du journal de la veille. Pierre toujours bien malade. Bagages. Bain. Quitté Plieux à 15:12. Valence-d’Agen. Lauzerte. Tréjouls. Castelnau-Montratier, autoroute. Brive-la-Gaillarde. Limoges. Dîné à l’aire de Salbris, salade de lentilles, taboulé et pommes de terre, demi-coquelet aux pommes de terre et aux carottes, thé. Voisins au portable, insupportables. Parlé à Pierre. En chemin, série d’émissions de France Musique sur Aldo Ciccolini, à l’occasion de sa mort ; puis critique d’Ivanov, à l’Odéon, qui donne envie de le voir. À Paris, vers 11 heures. Hôtel, parc de stationnement, rhôtel, ch. 60. Message de ma petite-nièce Agathe. Journal. Éteint à 1 h.

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créée le jeudi 12 février 2015, 17 h 28Du lundi 2 février 2015 au vendredi 6 février 2015. Séjour à Paris, procès en appel.

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créée le mercredi 4 février 2015, 12 h 54Mardi 3 février 2015. Paris. Bien dormi, levé à 8 h. & ½. Déjeuné directement, deux tranches de jambon blanc, camembert, roquefort, poires au sirop et muesli, part de gâteau aux noix. À une table voisine, Jean-Marc Ayrault, avec un autre homme politique très “rad-soc.” Parlé à Pierre, pas de Céline et rendez-vous des architectes et des archéologues annulé à cause de la neige à Plieux. Échanges à peu près apaisés avec Agathe Camus. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, à l’hôtel, et Couverte 60x60 n° 67, “aux trois blancs”. Comptes : + 1753,51 (inchangé) / “À rebours”, - 115,90. Agenda. 11:24. /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, autoportrait de la veille et Couverte n° 67. Journal 2015, relecture et mise en ligne de l’entrée de la veille. 50. Bain. Été à pied au Printemps acheter une chemise. Au retour, essayé de passer à la galerie Schmitt mais c’est fermé, entré à l’église polonaise, fait une assez longue station chez Galignani ou acheté Young Eliot, de Robert Crawford, le journal de John Evelyn dans la collection Everyman’s, le journal de Philippe Muray et Love Speaks Its Name, une anthologie gay de la collection Everyman’s également. Rentré à l’hôtel vers 5 heures. L’IN-NOCENT, beaucoup d’activité. Écrit l’article pour “Boulevard Voltaire” mais, catastrophe, au moment de l’envoyer, “plantage” général de l’ordinateur (heureusement que j’ai décidé de le remplacer !), il faut tout recommencer. Envoyé l’article reconstitué à 9 h. seulement. Rappelé Pierre, qui m’avait appelé au cœur de la crise.  Sorti à 9 h et ½, beaucoup marché encore à la recherche d’un restaurant végétarien ouvert, passé en vain rue de Verneuil, dîné finalement au restaurant japonais de la rue du Dragon où j’avais dîné à l’automne dernier avec Constance Debré, excellent, assez cher (salade de radis, 8 €, merlu grillé, 36 €), mais je suis placé malgré ma résistance à une très désagréable table centrale de sorte que tout le plaisir de la chère est gâché. Passé au retour à la librairie L’Écume des pages, acheté plusieurs livres encore, Ceci n’est pas qu’un tableau (quel vilain titre, entre nous), de Bernard Lahire, la biographie de Barthes par Thiphaine Samoyeau et La Grande Ourse, de Bonnefoy. Rentré vers minuit, les pieds déchirés par de trop longues marches dans des chaussures trop peu portées, mal cassées. L’IN-NOCENT, beaucoup d’activités encore. Journal. Lu le petit livre de Bonnefoy, hélas bien faible (on dirait du sous-Sarraute). Éteint à presque trois heures. 

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créée le jeudi 5 février 2015, 7 h 58Mercredi 4 février 2015. Paris. Très mauvaise nuit, à peine dormi (thé grillé du restaurant japonais, sale douleur aux pieds, bien déchirés au gros orteil). Réveillé à 4 h, lu Vaugelas. Dormi de 7 h à 8 h & ½. Déjeuné en bas, deux œufs au plat, deux petites tranches de jambon blanc, reblochon, roquefort, poires au jus, muesli renforcé de noix, d’amandes et de raisins de Corinthe, petit pain aux raisins. À la pharmacie pour mes pieds, pas de pommade contre la douleur, désinfectant, pansements. Article paru dans “Boulevard Voltaire”, large succès, soutien total pour mon procès. Le Jour ni l’Heure, autoportrait tintorettien de la nuit et Couverte n° 65 (28.I.2015). Répondu à certains commentateurs de “Boulevard Voltaire” (très favorables). Appel de soutien de Christian Vanneste, il propose un déjeuner vendredi mais je ne puis, puis long appel de Karim Ouchikh, qui tombe des nues, n’a pas été informé de la date de mon procès en appel avant l’article du matin dans “Boulevard Voltaire” et tâche de me persuader, tout à fait en vain, de faire remettre l’audience alors qu’il reprendrait l’affaire en main. Agenda. 12:37 ////  Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille et couverte n° 65. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Bain. Pieds dans un état lamentable. Conversation avec Philippe Millau, de TVLibertés, mais ne puis me rendre au siège de cette chaîne ni sur l’heure, ni le lendemain matin, ni vendredi matin tôt. Sorti vers 4 heures. Métro Assemblée nationale, photographies d’emplacements publicitaires vides. Fnac Saint-Lazare, racheté un cache pour l’appareil photographique. Brummell, prés. pour P. repéré la veille. Tenté par plusieurs paires de chaussures confortables mais m’abstiens par économie (à tort). Cherche une veste à col officier, Kenzo, Cerruti, Paul Smith, Lanvin. Rentre vers 6 heures. Préparation de l’allocution du lendemain. Excellent texte de Me Yohann S. Rimokh, projet de plaidoirie. Journal de 8 heures. Parlé à Pierre. Parlé à Flatters (chute de Mme Wermès). Été dîner à la brasserie l’Empire, à l’angle de la rue du Bac et de la rue de Verneuil, repérée la veille, très peu chère — œufs en meurette au roquefort, très bons, tartare pôelé (???) de saumon et salade verte, quelconque, le tout pour 19 €. Service assez lent. Lis Vauvenargues, très drôle (pas toujours volontairement — nous avons les mêmes ridicules ). Rentré vers 11 heures. Dû répondre à un entretien pour Présent. Journal. Poursuivi la lecture du considérable travail de Me Rimokh. Éteint à 1 h & ½. 

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créée le vendredi 6 février 2015, 7 h 05
modifiée le lundi 9 février 2015, 19 h 56
Jeudi 5 février 2015.
Paris. Réveillé très tôt, procès en tête, ou bien douleur aux pieds. Levé à 6 h & ½. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille aux petites heures, variante du précédent, et image du métro parisien, hélas un peu floue. Agenda. 7:48 /// Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, variante du précédent, et panneau d’affichage vide, blanc et beige, dans le métro parisien. Déjeuné en bas. Parlé à Pierre. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Matinée dans la chambre, relu les “Observations’ de Me Yohann S. Rimokh à propos de mon procès. Bain. Sorti à midi et demi. Métro, Assemblée nationale, changé à Sèvres-Babylone, sorti à Odéon, où rencontré Mme Bérengère Bonneau, qui fut de la liste aux Européennes l’an dernier et se rend à mon procès. Marché seul jusqu’au Palais, rue Dante, très en avance, station à la libraire Gibert Jeune, bien laide, détour par la rue aux bouis-bouis du coté de Saint-Séverin, Petit-Pont, Palais de Justice. File d’attente devant la Sainte-Chapelle, rencontré Mme Sophie T., autre participante de la liste du NON. Entré de l’autre côté de la Cour avec Jérôme Dupuis mais fouille là, file d’attente, puis beaucoup de mal à trouver la Chambre 7 du Pôle II de la Cour d’Appel. Espace exigu, peu de place pour le public. Avocat du Mrap, maître Pierre Mairat, poli. Longue attente, affaire de dopage cycliste, poursuite pour diffamation d’un journaliste de l’agence Reuters par le non-docteur Sainz. Sorti un moment, une dizaine de personnes venues pour moi dans le couloir d’attente, Mmes Gilbert et Ménard, Mmes Bonneau et T., Pierre Cormary, Jean-Pierre Krings, Flatters, etc. Afchine Davoudi est là mais je ne le verrai pas et il ne pourra entrer dans la salle, non plus d’ailleurs que Flatters. Ma propre affaire commence à être traitée vers 4 heures. Exposé déjà très biaisé par l’assesseur de droite, une femme, puis on me donne directement la parole, alors que je m’attendais à être interrogé. “Plaidoirie”, en suivant pour chemin de fer les attendus de la condamnation en première instance. Interrompu par la président quand je lis des communiqués de l’In-nocence. Incident avec l’assesseuse de gauche qui s’obstine à ne pas comprendre que je parle des voyous et pas des musulmans et que ce n’est pas du tout la même chose dans mon esprit. Au bord de l’“incident de séance”. Hostilité générale très marquée à mon égard, impossibilité totale d’expliquer les choses les plus simples, et par exemple que les musulmans ne peuvent être “le bras armée de la conquête”, la partie et le tout, s’ils sont eux-mêmes la conquête — que donc, encore une fois, je parle des voyous, des délinquants, des “nocents”, nullement des musulmans en général, ce qui semble parfaitement évident mais seulement à moi, manifestement. Plaidoirie de Me Mairat, ses dadas coutumiers, style “heures les plus sombres”, ce sont des discours comme les miens qui sont responsables du climat actuel, tout juste si je n’ai pas armé les frères Kouachi. Revient longuement sur l’affaire “Panorama de France Culture” sans être, lui, le moins du monde interrompu pour “hors-sujet”. Plaidoirie de l’avocat(e) général, même esprit, reitère la confusion “Musulmans, bras armé de la conquête”, comme si de rien n’était. Reprends une dernière fois la parole, reviens sur cette confusion, mais manifestement le siège de la Cour est fait et l’a été d’emblée, tout ce que je peux bien dire ne sert absolument à rien. Conversation dans le hall avec la petite dizaine de mes “supporters” présents. Marche jusqu’à l’Odéon avec Pierre Cormary et Mme Tenente. Chocolat et thé au Buci avec Mme Tenente, que laissée ensuite au métro Odéon. Rentré à pied à l’hôtel, plus trop de problème de pieds à cause des épais pansements. Dans la chambre à 7 h. Parlé à Flatters, à Pierre, à Jérôme Dupuis pour avoir son avis “objectif” sur ce qui m’a semblé un “procès stalinien”. Lui beaucoup plus modéré bien sûr, parle seulement d’un dialogue de sourds, c’est d’ailleurs l’esprit de l’article qu’il vient de mettre en ligne. Essayé en vain de joindre Mme Bonneau, qui habiterait le quartier. Dîné médiocre à la brasserie Bourbon (salade de lentilles au magret de canard, rascasse en cocote, insipide, tilleul-menthe). Parlé de nouveau à Pierre. Autoportrait dans la chambre, en tenue de prévenu. Journal. Couché vers 1 h, sans finir. Lu Vaugelas.

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créée le samedi 7 février 2015, 11 h 42Vendredi 6 février 2015. Paris, hôtel Bourgogne & Montana, ch. 60. Très peu dormi, réveillé à 5 heures, me suis levé, Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et arrachage d’affiches dans le métro l’avant-veille, station Assemblée nationale, mais la photographie est floue. Agenda. 06:54 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, autoportrait de la veille et arrachage dans le métro l’avant-veille, suite de l’entrée de la veille du journal. Déjeuner en bas, saumon, jambon blanc, deux œufs sur le plat, reblochon, excellent vieux comté (on dirait du cheddar), poires au jus et muesli, part de gâteau aux noix. Relecture et mise en ligne de la (considérable) entrée de la veille. Très en retard, du mal pour évacuer la chambre à temps, mais ils sont très gentils, ne font aucune difficulté. Bain, bagages, quitte l’hôtel vers 1 heure. Chambre, c. 1100 € (4 nuits), parking, c. 160 (id.), porteur, 20. Quartier très encombré, chef d’État étranger (?). Autoroute. Pris un autostoppeur à la barrière de péage de Saint-Arnoult, Valentin, mime. Le laisse en çà d’Orléans (il se dirige sur Bordeaux). Aire de Salbris, sandwich jambon fromage, mauvais, thé à la menthe et morceau de nougat. Drame au premier péage, plus de portefeuille, et donc de carte bleue. Finalement il est en vrac dans le coffre, mais une demi-heure à envisager le “pire” (comment rentrer à la maison ?). Chateauroux. Limoges. Brive. Terribles attaques de sommeil, essaie de dormir sur une aire nocturne et enneigée, mais crainte d’attaques d’une autre sorte, dois y renoncer. Castelnau-Montratier. Valence-d’Agen. À Plieux vers 10 heures. Pierre assez sombre, plongé depuis plusieurs jours dans de graves angoisses économiques. Dîné en (re)regardant un beau Tourneur, La Griffe du passé, 1957. Long téléphonage de Philippe Martel, confidences secrètes (politiques). Journal. Couché à minuit et demi. 

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créée le dimanche 8 février 2015, 12 h 19Samedi 7 février 2015. Sainte Eugénie — 38/327. Plieux. Bien et beaucoup dormi, levé à 8 h & ½ (!). Émission de Finkielkraut sur Maurras. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et beau garçon de l’affiche BNP, Paris. Grave conversation avec Pierre, rongé par l’angoisse économique et qui, lui, n’a pas dormi de la nuit. Colonnes comparée de chiffres, il est vrai assez inquiétants. Parle de réduire la présence de Céline, moi d’augmenter les revenus de la “librairie” (mais il dit que c’est augmenter les impôts). Très beau temps froid, campagne délicatement enneigée, blanc vert. Comptes (justement) : + 2196,62 / vir. PayPal, + 1800 / prél. Credipar (Peugeot), - 789,88 / prél. Sofinco, - 310,80 / prél. ass. emprunt, - 119,51 / prél. Télérama, - 23,00 / C.P.AM. Auch, + 13,10 / prél. Canal Sat., - 76,00 / prél. Canal Plus, - 39,90 / vir. assurance vie (?), + 6,90. Agenda, 11:28 ///  Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille et jeune homme de la campagne publicitaire BNP. Journal 2015, suite de l’entrée de la veille, interrompue par le sommeil. 60 50 12. Le Jour ni l’Heure, trois photographies parisiennes, dont un “Arrêtez le massacre ! » (Concorde), la plaque à Slowaki dans l’église polonaise et une bonne vue de toits à travers le voilage de la chambre 60, à l’hôtel Bourgogne et Montana, matin du 3 février. Belle promenade avec Pierre “à l’ouest de Magnas”, sur les hauteurs, autour de la maison dont nous ne savons pas le nom, voiture laissée à l’étang de Poumarède. Nombreuses photographies. Atelier, chocolat, retouches à la Couverte n° 68, portrait de Pierre, et vernissage massif de la 65. Reprise de la lecture par Pierre de Soumission. Remontés à 6 h. L’IN-NOCENT. Proposition de communiqué de l’In-nocence, à propos de l’Ukraine. Journal 2015, suite de la rédaction de l’entrée de la veille. Début des nouvelles, dans la chambre. À 8 h & ½ à Fleurance, aux Perles d’Asie, dîner offert par Jeanne Lloan à l’occasion (très décalée) de l’anniversaire de Pierre. Moment très agréable (et bien chaud — reste collé contre le radiateur), repas semi-végétarien, hors-d’œuvre à la vapeur (deux fois), riz cantonnais, shop-suey (légumes grillés), plus un peu du canard laqué de Jeanne ; coupe Colonel (sorbet de citron vert et vodka), plus un demi-beignet à la noix de coco (de Jeanne). Rentrés vers 11 h. Journal de la veille, relecture et mise en ligne (en laissant subsister beaucoup de fautes, dûment et bien poliment signalées le lendemain matin par l’imperturbable M. Arnoux (dont l’exemplaire de Le Jour ni l’Heure 2003-2008 est arrivé et doit maintenant être expédié)). Journal, mais tombe de sommeil. Couché à 1 h.

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créée le lundi 9 février 2015, 9 h 37Dimanche 8 février 2015. Sainte Jacqueline — 39/326. Plieux. Bien dormi, malgré les relatifs excès de table. Levé à 8 h. Beau temps glacial. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et Paysage préposthume n° 193 (la veille à Poumarède), mais m’aperçois qu’il y a une erreur de numérotation et pas de 191, que je rajoute (Le Suicide, d’ailleurs très bien). Déjeuné en bas avec Pierre. Bref passage à l’atelier, ultimes retouches au portrait de Pierre (Couverte n° 68).  L’IN-NOCENT, tentative de définition lexicographique de l’in-nocence, à la demande de M. Philippe Raynald Simon. Tél. à Jacqueline Voillat à l’occasion de sa fête mais tombe sur son répondeur germanophone, à ma grande indignation (à Lausanne !). Agenda. 12:01 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, Paysage préposthume n° 193, trois photographies du mardi 3 février à Paris, plus un Paysage préposthume n° 191 qui manquait, Le Suicide, Orléans, 17 janvier 2015. Essai de collation boulimique dans la cuisine, mais heureusement Pierre a donné aux Benzies une terrine offerte par sa mère, les agapes se réduisent à un peu de taboulé, deux toasts à la confiture de figues et cinq (petits) chocolats des Giraud. Café. Le Jour ni l’Heure, deux paysages préposthumes de la veille et un autre paysage d’hiver. Séance de photographies de tableaux sur le flanc sud, portrait de Pierre à Herstmonceux, 66x60 n° 68, et Vert/Rouge/Brun n° 65. Promenade sur le plateau avec Pierre, temps très froid mais ensoleillé, été jusqu’au dernier carrefour avant la Rouquette. Atelier, commencé une Couverte 60x60 n° 69, Vieil homme sur un seuil, autoportrait. Lecture par Pierre de Soumission, l’entretien chez Rediger. Tenté en vain de joindre Farreny. Écrit à Gérard Pesson. L’IN-NOCENT. Dîné aux nouvelles, tarte aux brocolis et salade d’endives, poire à la vapeur et framboises, cinq chocolats de Toulouse. Panachage de Margin Call et de Closer, tous deux déjà vus. Journal 2015, entrée de la veille, fin de la rédaction, relecture et mise en ligne. Journal, brève entrée du jour. Couché à 1 h & ½.

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créée le mardi 10 février 2015, 22 h 27Lundi 9 février 2015. Sainte Apolline — 40/325. Plieux. Assez bien dormi. Levé à 7 h & ½. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et Couverte n° 69, commencée la veille, premier état. Agenda. 09:25 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, autoportrait peint (Couverte 60x60 n° 69, Vieil homme sur un seuil, état de la veille), deux paysages préposthumes de la veille et un autre paysage d’hiver. Écrit à Gérard Pesson. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, Portrait de Pierre (Couverte 60x60 n° 68), couverte 60x60 n° 65 et Paysage préposthume n° 196 (Le Bois). 60 50 12. Promenade dans la vallée du nord avec Pierre, revenus par la D953 et le chemin de l’église, d’ailleurs gadouilleux. Atelier, Couverte 60x60 n° 69, Vieil homme sur un seuil, autoportrait, vient très bien. Lecture par Pierre de Soumission, fini le livre. Tenté en vain de joindre Farreny, soupçonné d’organiser son injoignabilité comme d’autres leur insolvabilité. L’IN-NOCENT. Commencé la mise sur le papier du discours du 5 février (à la Cour d’appel — très amélioré, évidemment). Dîné aux nouvelles, lentilles et pot-au-feu de légumes, tarte aux brocolis, poire à la vapeur et framboises, cinq chocolats de Toulouse. Documentaire sur Bartholdi (une sorte de Marek Halter du XIX e s.), puis fin de Miller’s Crossing, des frères Cohen. Discours à la 7e Chambre. Journal, brève entrée du jour. Couché à 1 h & ½. 

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créée le mercredi 11 février 2015, 10 h 38Mardi 10 février 2015. Saint Arnaud — 41/324. Plieux. Bien dormi, mais Pierre non, tjs. travaillé par l’angoisse économique (mais si je le note Farreny va s’obstiner à ne pas commander le nouvel ordinateur…). Levés à 8 h. Très beau temps. Préparé l’exemplaire 20 de l’album Le Jour ni l'Heure (sic — faut-il changer l’apostrophe pour les volumes suivants (c’est-à-dire réimprimer…) ou bien fait-elle “authentique”, “d’époque” ?) 2003-2008, dit “le gros”, pour M. Antoine Arnoux. Pierre va le poster, en allant faire des radios (dont les résultats seront excellents). Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille (avec le portrait de Pierre) et Couverte 60x60 n° 69 (Vieil homme sur un seuil — Autoportrait VI), état au 9 février. L’IN-NOCENT, communiqué n° 1801 de l’In-nocence (M. Manuel Valls à Marseille). Comptes : + 1888,07 / Vir Sepa caise d’assurance retraite, + 1138,09 / chèque Céline, - 899,64 / prél. Scam, 507,00 / retrait Soc. Générale rue de Bourgogne 06/02/15 à 12:42, - 40,00 / “à venir”, - 2265,68. Agenda, 12:10 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, autoportrait peint (Couverte 60x60 n° 69, Vieil homme sur un seuil, état de la veille), Portrait de Pierre (Couverte 60x60 n° 68), couverte 60x60 n° 65 et Paysage préposthume n° 196 (Le Bois) de la veille et un autre paysage d’hiver. 60 50 12. Le Jour ni l’Heure, Maison Soucaret la veille, deux autres photographies de la promenade du samedi à l’ouest de Magnas, dont un bon Préposthume, n° 198. Promenade au Cassé avec Pierre, suite de la crise psychologico-économique. Thé, toast à la confiture de figues, cinq (petits) chocolats de Toulouse (Criollo, 2, place Saint-Étienne). Atelier, Couverte 60x60 n° 69, Vieil homme sur un seuil, autoportrait, suite. Lecture par Pierre de Votre serviteur, de Christian Combaz. Remontés vers 5 h & 1/2. Article pour “Boulevard Voltaire” sur mon procès, mais la contrainte des 4000 signes (que je m’inflige à moi-même, sans contrainte extérieure) rend les explications trop partielles, difficiles. Dîné aux nouvelles, jardinière de légumes et gnocchi au pesto, restes de tarte aux brocolis, poire à la vapeur et framboises, cinq chocolats de Toulouse. Vu The King of New York, d’Abel Ferrara. Écrit à une dame qui veut louer un de mes tableaux. Journal, brève entrée du jour. Couché à 1 h & ½.

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créée le jeudi 12 février 2015, 11 h 55Mercredi 11 février 2015. Notre-Dame de Lourdes — 49/323. Plieux. Levé à 7 h & ½. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, avec le portrait de Pierre, et Paysage préposthume n° 198 (Les Champs), poliakovien. Pierre toujours dans le même état, assez lourd ; réattaque avec des colonnes de chiffres, d’où il ressort que je gagne de moins en moins d’argent. Entrepreneur pour les travaux, au pied du château, repart, revient (???). Très beau temps. Entrepreneur maçon (de Marsolan) revient, avait oublié son appareil photographique. Comptes :  + 2312,30 / remises chèques (? livres vendus ?), + 217,33 / vir. Paypal, + 200,00 / vir. Axa assurances, + 6,90 / “À venir”, - 2513,00. Agenda. 10:16 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, Paysage préposthume n° 198, Maison Soucaret la veille, deux autres photographies de la promenade du samedi à l’ouest de Magnas. Journal 2015, entrée de la veille, relecture. 60 50 12. Le Jour ni l’Heure, trois photographies de Saint-Léonard-des-Bois, 22 août 2015. Promenade sur le plateau avec Pierre, beau temps, La Rouquette, retour par les prairies en contrebas pour éviter la maison au chien, mais il aboie continument. Moment assez serein néanmoins (apparemment). Thé, toast à la confiture de figues, cinq (petits) chocolats de Toulouse (Criollo, 2, place Saint-Étienne). Atelier, Couverte 60x60 n° 69, Vieil homme sur un seuil, à peu près terminé, je crois, et j’en suis très satisfait. Lecture par Pierre de Votre serviteur, de Christian Combaz. Remontés vers 6 h. Le Monde, communiqué pour l’In-nocence, n° 1802, “Sur le modèle australien”. Journal 2015, relecture et mise en ligne. Dîné aux nouvelles, choux, pommes de terre, navets, carottes, restes de tarte aux brocolis, fromage de chèvre et miel, poire à la vapeur et framboises, trois chocolats de M. Dellinger. Regardé un panachage baroque de Eyes Wide Shut, de Chef, avec Clovis Cornillac, et de Caché, de Michael Heneke, qui finit par l’emporter. Écrit à M. Tugdual Denis. Repris l’album Le Jour ni l’Heure 2014, mais beaucoup de difficultés techniques au commencement, BookSmart a disparu. Pu finalement ajouter quatre photographies, peut-être provisoires. Journal. Couché à 2 h.

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créée le vendredi 13 février 2015, 10 h 44
modifiée le vendredi 13 février 2015, 10 h 46
Jeudi 12 février 2015.
Saint Félix —43/322. Plieux. Réveillé à 8 h. Brutale aggravation de la crise domestique. Pierre de plus en plus affolé par la situation économique, très profondément déprimé, veut interrompre le processus de travaux et d’emprunt, alors que tout est en marche et que les entrepreneurs défilent pour réaliser leur devis. En plus il faudrait payer dix mille euros à l’architecte pour rien. Ferme refus de ma part. Tension d’autant plus forte que nous ne nous disputons pas. Parle de partir (moi), car ne peux plus supporter cette atmosphère. Finalement c’est lui qui part pour C., ce qui était prévu mais seulement pour la semaine prochaine. Temps très gris, sommes totalement dans le brouillard. Visite sur rendez-vous d’une jeune femme représentant une entreprise de travaux de Riscle. Monte avec elle au sommet de la tour. Froid glacial (mais elle très gentille). Café avec elle. S’intéresse beaucoup à mes tableaux, voudrait même en acheter si elle avait de l’argent). S’en va à 11 h. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille (type “daguerréotype”, très sombre), et banale vue à l’est, du matin brumeux sur le village et le clocher. Retour de l’irritation urinaire, que je croyais révolue (psychosomatique ?). Comptes : + 2312,30 (inchangé) / “À venir”, - 2575,46. Agenda. 11:39 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, vue sur le clocher du matin, trois photographies de Saint-Léonard-des-Bois, 22 août 2014. Cinq journées de mai 1973. 60 50 12. Le Jour ni l’Heure, trois autres photographies du 22 août 2014, Saint-Léonard-des-Bois, Alençon. Cinquième symphonie de Beethoveen et agréable pot-pourri wagnérien, par Gustavo Dudamel et l’orchestre Simon-Bolivar (pas trop bon, il me semble, mais bon). Tél. de M. Dellinger. Photographié dans l’atelier et sur le flanc sud la couverte 60x60 n° 69, Vieil homme sur un seuil. Promenade solitaire, chemin de la rivière, remonté par l’avenue Lou Tapet. Thé, toast à la confiture de figues, fini les chocolats de M. Dellinger (3). Atelier, Couverte 60x60 n° 70, entrepris un portrait d’Alain Finkielkraut, d’après une photographie prise par moi sur le pont de Grenelle ; mais beaucoup de mal à attraper la ressemblance, comme d’habitude. L’IN-NOCENT. Remonté vers 6 h. Le Jour ni l’Heure, album 2014, ajouté trois photographies. Dîné aux nouvelles, excellent petit cake aux légumes, courgettes et fenouil sautés, fini un fromage de chèvre avec du miel et de vin rouge, poire au four avec  des framboises. Vu Mariage à l’anglaise, de Dan Mazer, avec Simon Baker. Album Le Jour ni l’Heure 2014, suite, mais collecté des photographies pour le fichier “Hors-série 2014”, rien ajouté à l’album. Repris le Dictionnaire des délicatesses, 658.000 signes. Journal. Couché à 2 h, lu Philippe Muray.

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créée le samedi 14 février 2015, 11 h 21Vendredi 13 février 2015. Sainte-Béatrice — 44/321. Plieux. Levé à 7 h & ½. Beau temps. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, doublon du précédent, et Couverte 60x60 n° 69 (Vieil homme sur un seuil — autoportrait, 11 février 2015). Tél. de P., très off. Échanges tendus avec une femme à propos de Gabriel Matzneff sur le “mur” de William König. Comptes : + 2412,30  / vir. PayPal, + 100,00 / “À venir”, - 2798,30. Agenda. 10:34 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, Couverte n° 69, trois autres photographies du 22 août 2014, Saint-Léonard-des-Bois, Alençon. Cinq journées de mai 1973. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Autre appel de Pierre, changement à vue, déclare avoir eu tort d’envisager de dénoncer le contrat (conversation avec ses parents ?), rasséréné, rentre le lendemain. 60 50 12. Le Jour ni l’Heure, trois tableaux d’Alençon le 22 août 2014. Rendez-vous à 4 h avec le représentant d’une entreprise voisine de Cahors, l’emmène au sommet de la tour, assez longue conversation, la moitié de l’après-midi y passe. Tout est décalé, pas de promenade, d’autant plus qu’il pleut. Tél. de M. Dellinger. Toast à la confiture de figues, deux figues.  Atelier, Couverte 60x60 n° 70, portrait d’Alain Finkielkraut, ne vient pas mal comme “portrait” d’intellectuel, philosophe ou poète, mais aucune ressemblance particulière avec Finkielkraut. Remonté vers 7 h, Le Monde pour un communiqué de l'In-nocence mais l’heure tourne et je m’aperçois que j’ai laissé passer l’heure des informations (Mme T. se moque bcp de ma façon d’appeler le journal télévisé les “nouvelles”…) sans communiqué (il eut été sur la plastification des océans). Cuisine, courgettes et fenouil à la poêle, dans l’huile, et raviolis au roquefort, excellente combinaison mais en abuse car mange seul des raviolis prévus pour deux. Poires au four. Regardé Ces Messieurs de la Santé, 1933, de Pierre Colombier, pas mal du tout (« le meilleur témoignage sur l’affaire Stavisky » (Tulard)), puis une bonne partie de Week-End, assez joli film gay anglais, jusqu’à ce que je sois bien exaspéré par l’un des personnages et laisse tomber, mais il est déjà 11 h & 1/2. Le Jour ni l’Heure, album 2014, ajouté deux photographies. Journal. Couché peu après 1 h.

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créée le dimanche 15 février 2015, 11 h 42Samedi 14 février 2015. Saint Valentin, 45/320. Plieux. Assez bien dormi, levé à 8 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, dans la chambre, et deuxième tableau de Silas Broux, Vue de l’atelier. Commentaires à un “statut” très intéressant de Jérôme Vallet. Comptes : + 2382, 31 / prél. Orange, - 29,99 / “À venir”, - 3989,75. Agenda. 11:13 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, quatre tableaux d’Alençon le 22 août 2015. Cinq journées de mai 1973, fini le mois. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. 60 50 12. Reçu un gros paquet de mon correcteur bénévole M. Arnoux, crois d’abord qu’il s’agit d’une énorme grammaire, mais non c’est un panier de délicatesses nantaises (ce serait bien plutôt à moi de lui faire des cadeaux !). Collation improvisée, du coup, autour de délicieuses rillettes de foie de lotte. Fini une bouteille de vin. Sept ou huit chocolats, que j’avais d’abord pris innocemment pour des biscuits parce qu’ils étaient vert pâle (tas de sel). Biscuits nantais (mais bien meilleurs que les Petits Lu). Le Jour ni l’Heure, trois autres tableaux d’Alençon le 22 août 2014, André Mare, Georges Lacombe. Promenade au Cassé. Croise Pierre au retour. Atelier, Couverte n° 70, portrait d’Alain Finkielkraut, léger progrès dans la ressemblance (les yeux). Lecture par Pierre de Votre Serviteur, de Christian Combaz. Deux communiqués de l’In-nocence (plastification générale, ouverture le dimanche). Album Le Jour ni l’Heure 2014, ajouté trois photographies (heideggerriennes). Tentatives pour transmettre le dossier à P., mais nous n’arrivons pas à faire passer le fichier d’un ordinateur à l’autre. Travaille sur le dossier Flickr “Hors Série 2014”, source du volume à créer, mais très incomplet. Gratin de riz aux courgettes. Poires à la vapeur et framboises, plus cake de Madame Mère, apporté de Cadarcet. Vu un peu de 7 Jours en mai et beaucoup de Diplomatie, conversation nocturne au Meurice entre Nordling et von Choltitz, Dussolier et l’admirable Niels Arestrup. Le Jour ni l’Heure, album 2014, suite. Déversement de bile de Jean Barbier, à propos de la dernière entrée de journal. Journal. Couché à 3 h.

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créée le lundi 16 février 2015, 12 h 20
modifiée le jeudi 18 juin 2015, 23 h 33
Dimanche 15 février 2015.
Saint Claude — 46/319. Plieux. *, à moitié réussi. Levés à 9 h – le ¼. Déjeuné en bas. L’IN-NOCENT, communiqué du parti n° 1803, plastification générale. Vaines tentatives habituelles pour joindre Farreny. Tél. de M. M., de Redon. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit (à 3 h du matin) et autre tableau de Georges Lacombe au musée d’Alençon le 22 août 2014, Combat de cerfs (en forêt d’Écouves ?). Agenda. 11:30 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, quatre tableaux d’Alençon le 22 août 2015. Cinq journées de mai 1973, fini le mois. Journal 2015, entrée de la veille, Combat de cerfs de la veille, trois autres tableaux d’Alençon, Mare, Lacombe. Journal 2015, entrée de la veille, début de relecture. Le Jour ni l’Heure, trois autres tableaux d’Alençon le 22 août 2014, Bernard Buffet (Chapelle Saint-Céneri, dét.), Olivier Debré. Promenade avec Pierre sur le plateau, conversation à caractère économique. Atelier, Couverte n° 70, portrait d’Alain Finkielkraut, décidé de remplacer l’immeuble naturellement dans le champ de vision par la maison de la Radio. Lecture par Pierre de Votre Serviteur, de Christian Combaz. Nouvelle lecture et correction de l’avant-projet de M. Dellinger pour la nouvelle assemblée générale de l’In-nocence, prévue pour le 25 mars. Dîné aux nouvelles, raviolis aux cèpes, courgettes et salade d’endives, poires à la vapeur et framboises. Remonte aussitôt pour l’“audioconférence” organisée par M. Dellinger entre lui, Marcel Meyer, Guillaume Giraud et moi. Parlé de l’In-nocence et du NON. Vu la fin d’un film de Minelli, Undercurrent (Lame de fond), 1946. Journal 2015, entrée de la veille, mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, album 2014, suite : ajouté trois photographies, Allier en mars. Journal. Couché à 1 h & ½.

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créée le mardi 17 février 2015, 10 h 50
modifiée le mardi 17 février 2015, 10 h 54
Lundi 16 février 2015.
Sainte Julienne — 47/318. Plieux. Levés à 8 h. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et Rochers de l’Islette à Antibes, par Eugène Boudin, Alençon, 22 août 2014. Conversation extrêmement pénible av. P., toujours aussi déprimé (monde s’eff.). Essayons de joindre ses parents, mais ils ne rappellent pas. Tél. de M. Alain de Peretti, très cordial. Beau temps. Agenda. 12:10 /// Vaine attente de l’appel des parents de P., silence très étrange (pour moi). Le Jour ni l’Heure, trois portraits du musée d’Alençon, François d’Alençon, jeune homme laid de la famille Chigi par le grand Jacob Ferdinand Voet, femme Louis XVI de Mosnier. 60. 50.12. Pas d’eau chaude, pas de bain. Promenade jusqu’au portail de la Rouquette avec Pierre, pâle soleil, conversation prudente. Atelier, suite de la Couverte n° 70, portrait d’Alain Finkielkraut, lecture par Pierre d’Éric Zemmour, en vue de l’entretien du lendemain. Discours à la Cour d’appel. Album Le Jour ni l’Heure 2014, ajouté cinq photographies. Bonne conversation avec Jean-Philippe Boursier à propos de la création d’une page Facebook “Bibliothèque de Renaud Camus” pour essayer de développer les ventes. Dîné aux nouvelles, riz au gratin et salade d’endives autour d’un fromage rapporté de C. Remontés aussitôt. Fait la maquette de la “couverture” du journal en ligne 2015, La Tour. Album Le Jour ni l’Heure 2014, sélection de photographies pour le sas “Hors-Série 2014” (la première ne valait pas grand chose, bcp. de photographies seront à changer). Dictionnaire des délicatesses, article “Madame”, suite, ajout de la fameuse citation de Morand. 659.000 signes. Journal. Couché à 1 h & ½. 

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créée le mercredi 18 février 2015, 10 h 23Mardi 17 février 2015. Mardi-Gras — 48/317. Plieux. Relevé au milieu de la nuit pour l’autoportrait oublié. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et bibliothèque municipale d’Alençon. Pierre à Lectoure pour des courses en vue du déjeuner Denis. Vagues rangements. Comptes : 2356,26 / prél. Orange, - 62,46 / vir. Kobo inc., 36,41 / “À  venir”, - 4009,53. Agenda. 10:45 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, bibliothèque d’Alençon, plus trois tableaux d’Alençon, François d’Alençon, jeune homme laid de la famille Chigi par le grand Jacob Ferdinand Voet, femme Louis XVI, de Mosnier, plus “couverture” virtuelle pour La Tour, journal en ligne 2015. Message de M. Tugdual Denis, sera en retard, a pris un avion plus tardif. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. M. Denis ici peu après midi, très aimable. Café, conversation avec lui, en grande partie sur Éric Zemmour, intervention de Pierre, mieux informé que moi. Déjeuné au premier étage à 1 h et ½, terrine de poisson de Lectoure et sauternes, daube de biche et petits légumes et saint-émilion, camembert, gâteaux “bleu de Lectoure” et re-sauternes, re-café, en regardant le film sur Marcheschi, auquel M. Denis s’intéresse beaucoup. Lui fait visiter les lieux, sur sa demande. Part vers 3 h & ½. Promenade avec Pierre, chemin de la Rouquette, jusqu’au carrefour, belle lumière. Atelier, suite de la Couverte n° 70, portrait d’Alain Finkielkraut, retour à la lecture de Votre serviteur, de Christian Combaz. Écrit pour “Boulevard Voltaire” “Un conte inédit de Christian Andersen”, de 6 à 9 heures. Dîné à 9 heures en regardant sur Mezzo de très mauvais et très laids Troyens de l’opéra de Valence. Discours à la Cour d’appel, suite. Album Le Jour ni l’Heure 2014, ajouté cinq photographies, et cherché des candidates dans les fichiers de décembre et de novembre. Journal. Couché à 1 h & ½.

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créée le jeudi 19 février 2015, 10 h 43
modifiée le jeudi 18 juin 2015, 23 h 35
Mercredi 18 février 2015.
Cendres — 50/315. Plieux. Levés à 8 h. “Conte d’Andersen” pas paru dans “Boulevard Voltaire”, le met en ligne sur Facebook (en fait la raison est purement technique : l’ai envoyé comme d’habitude à Emmanuelle Duverger, qui est en vacances). Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la pénultième nuit, doublon du précédent, et clocher et horloge du matin même. Comptes : + 2356, 26 (inchangé) / “ À venir”, - 4009, 53. Agenda. 10:18 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille. Tentative pour mettre en ligne l’entrée du journal, mais n’y parvient pas, faute de temps. M. M. ici peu après 11 heures. Conversation avec lui à propos d’une aide des associations dont il s’occupe quant à mes démêlés judiciaires. Apéritif avec lui ici, puis agréable déjeuner sur son invitationau Bastard, où deux plats sur trois excellents. Au retour, promenade avec Pierre en face d’Arton, à partir de la route de Saint-Clar. Rentrés vers 4 heures. Atelier, couverte 60x60 n° 70, portrait d’Alain Finkielkraut, recherche de la ressemblance, toujours, même Pierre s’y met, au fusain. Lecture par Pierre de Votre Serviteur, de Christian Combaz. Le Monde. Pas de communiqué. Journal 2015, entrée de la veille, mise en ligne. Album Le Jour ni l’Heure 2014, ajouté cinq photographies. Dîné aux nouvelles, omelette aux champignons et salade verte, poires à la vapeur et framboises. Remonté presque aussitôt après, Pierre regarde deux concerts de Jordi Savall à Fontfroide. Album Le Jour ni l’Heure 2014, ajouté encore cinq photographies. Discours devant la Cour d’Appel, suite. Dictionnaire des délicatesses, article “sur”, ajouté un exemple emprunté au Monde. Journal. Couché à 1 h & ½. 

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créée le vendredi 20 février 2015, 19 h 30Jeudi 19 février 2015. Saint-Gabin — 49/316. Plieux. Levé à 8 h. Beau temps froid. Le Jour ni l’Heure, très mauvais autoportrait de la veille et immeuble néo-classique défiguré d’Alençon. “Conte d’Andersen” paru dans “Boulevard Voltaire”, peu de réactions. Comptes : + 2556,26 / vir. PayPal, + 200,00 / “À venir”, - 4009, 53. Agenda. 10:17 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, bel immeuble saccagé d’Alençon le 22 août 2014, photographie du clocher de Plieux la veille à l’aube. Cinq journées de juin 1974. Journal 2014, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. 60 50 12. Le Jour ni l’Heure, trois photographies d’Alençon le 22 août 1974. Marché avec Pierre jusqu’à la Rouquette, très beau soleil, femme assez peu amène (adversaire idéologique ?), nous laisse toutefois nous avancer jusqu’à la cour. Atelier, couverte 60x60 n° 70, portrait d’Alain Finkielkraut, recherche de la ressemblance, toujours. Visite de Matthieu François du Bertrand et d’une sienne amie russe du Caucase (république adyghéenne), Oxana. Thé avec eux dans l’atelier, caramels au beurre salé de Guérande de l’envoi Arnoux. Album Le Jour ni l’Heure 2014, ajouté dix photographies, avant et après le dîner. Dîné aux nouvelles, restes assez abondants du civet de biche de Cadarcet, beaucoup de jus, ou de sauce, ou de soupe noirâtre et très savoureuse, consommée avec du pain grillé ; pot-au-feu de légumes. Poires à la vapeur et framboises, et caramels de Guérande. Regardé The Best Offer, (La Migliore Offerta), de Giuseppe Tornatore, avec Geoffrey Rush et Jim Sturgess, ambitieux, intéressant mais globalement raté. Album Le Jour ni l’Heure 2014. Discours devant la Cour d’Appel, suite. Journal. Couché à 2h.

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créée le samedi 21 février 2015, 9 h 58
modifiée le jeudi 18 juin 2015, 23 h 34
Vendredi 20 février 2015.
Sainte Aimée — 51/314. Plieux. Levés à 8 h & ½. Apprêté un volume Le Jour ni l’Heure (2003-2008, n° 21) pour un destinataire d’Aix-en-Provence. Matinée d’affaires et de calculs, à propos bien sûr des travaux de la tour — Pierre découvre des erreurs et des approximations (+/- 15.000 € tout de même…) partout. Nombreux coups de téléphone, campagne tardive pour obtenir des subventions de la Région et du département en s’appuyant sur celle de l’État. Bref, matinée entièrement paperassière et téléphoneuse. Échanges également avec M. M., sur les moyens de m’enrichir (ou de me désenpauvrer, pour commencer…). Énorme retard accumulé. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et hôtel de Guise d’Alençon (préfecture). Collation en bas autour d’une excellente terrine de maquereaux de M. Arnoux, crémant de Bordeaux, caramels au sel de Guérande, café. Le Jour ni l’Heure, jolie maison des parents de Thérèse Martin à Alençon, château de Saint-Pierre-des-Corps, brasserie de Noailles à Bordeaux, retour vers Plieux, vendredi 22 août 2014 (une journée bien remplie…). 50 60 12. Attendons encore un charpentier, mais nous sommes trompés de jour, il ne doit venir que demain. Promenade avec Pierre au Cassé, conversation psycho-économique comme c’est devenu l’habitude, redoublement de ses angoisses parce que le pré-devis de l’architecte s’élève en fait à 138.000 euros si l’on refait correctement les additions. Re-tensions, moi parlant de tout faire pour essayer de gagner un peu plus d’argent, lui de tout faire pour en dépenser moins (y compris en renonçant à la surélévation même si elle est autorisée). Atelier, longue séance de travail pour tâcher de forcer le portrait à ressembler à Finkielkraut — sur-place. Lecture par Pierre du livre de Combaz, Votre serviteur, qui évoque souvent périlleusement notre propre situation (problèmes d’argent en moins). Comptes : + 3993,45 / prél. Orange, - 62,81 / vir. PayPal + 1500 / “À venir”, - 3964,62. Agenda. 19:19 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille et sept photographies du 22 août 2014, Alençon, hôtel de Guise, Tours, Bordeaux, brasserie de Noailles. Cinq journées de juin 1973, fin du mois. Dîner aux nouvelles, lentilles et fromage de chèvre, œuf à cheval, sauternes, poire à la vapeur. Regardé un peu de Les Zozos, de Pascal Thomas, peu, remonté très vite, consacré la soirée à l’album Le Jour ni l’Heure 2014, mis le nombre requis de photographies, mais certaines sont à changer. Journal. Couché à 2 h et ½. 

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créée le dimanche 22 février 2015, 9 h 24Samedi 21 février 2015. Saint Pierre-Damien — 52/313. Plieux. Levés à 8 h & ½. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, doublon de celui de l’avant-veille et église Notre-Dame de Bordeaux, ex-Saint-Dominique, 22 août 2014 au soir. Émission d’Alain Finkielkraut sur la Russie, en cours. Comptes : + 3993,45 (inchangé) / “À venir”, - 3964,62. Agenda. 09:52 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, plus l’église Notre-Dame de Bordeaux. Dix journées de juillet 1973. Journal 2015, entrée de la veille, relecture. 60 50 12. Le Jour ni l’Heure, passé à la journée du 21 août 2014, château des Feugerets, Saint-Cyr-la-Rosière, église Saint-Cyr-Sainte-Julitte, Orne. Malentendu avec Farreny, qui a retiré de la vente le Discours à la XVIIe Chambre, croyant que le futur Discours de Chambre l’annule. Entreprise Hilaire, pour la charpente, deux hommes, mais c’est Pierre qui les reçoit et les accompagne au sommet de la tour, je ne les vois pas. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Marché avec Pierre jusqu’à Saint-Vidal malgré un très mauvais temps, pluvieux et froid. Atelier, portrait de Finkielkraut, ressemblance s’améliore (M. Dellinger reconnaîtra parfaitement le modèle, mais c’est peut-être parce qu’il lit cet agenda). Lecture par Pierre de Votre Serviteur, de Christian Combaz, parfois dangereusement proche de notre propre situation et en même temps non, pas du tout. Reçois à 5h & ¼ M. Dellinger dans l’atelier, mais montons aussitôt dans la salle des Vents pour la mise en place d’une vidéo, qu’il veut tourner. Arrivée à 6 h de son cousin M. Gimbert, très aimable aussi, plus spécialisé dans le maniement des appareils. Enregistrons deux fois un petit message pour les membres & sympathisants de l’In-nocence, à propos de l’assemblée générale du 25 mars. Ces messieurs s’en vont peu après 7 h. Décide d’en finir coûte que coûte avec l’album Le Jour ni l’Heure 2015, nombreux ajouts de photographies. Dîné aux nouvelles, lentilles, navets, carottes, pommes de terre et un peu de fromage de chèvre ; poires à la vapeur et framboises, abus de caramels au beurre salé de Guérande. Vu un documentaire sur Bismarck, surtout ses derniers jours, à l’occasion du bicentenaire de sa naissance. Remonté avant 10 h. Album Le Jour ni l’Heure 2014, choix définitif de toutes les photographies, avec l’aide de Pierre. Y travaillé très tard & très longuement. Journal, brièvement (copié un paragraphe incompréhensible de Vaugelas). Couché à 2 h, non sans avoir oublié l’autoportrait du jour.   

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créée le lundi 23 février 2015, 10 h 28Dimanche 22 février 2015. Carême — 53/312. Plieux. Peu dormi, réveillé à 6 h & ½, levé à 7. Autoportrait de la veille, oublié, pas mal (dans le genre giacometto-hammarshoïen). Le Jour ni l’Heure, autoportrait du matin même, donc, et porche roman assez modeste de l’église Saint-Cyr-&-Sainte-Julitte de Saint-Cyr-la-Rosière, dans le Perche. Déjeuner en bas avec Pierre. Agenda. 09:16 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, porche de l’église de Saint-Cyr-la-Rosière, château des Feugerets, Saint-Cyr-la-Rosière, église Saint-Cyr-Sainte-Julitte, Orne, le 21 août 2014. Cinq journées de juillet 1973, à Rome, chez Warhol. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, église de Saint-Cyr-la-Rosière, prieuré de Sainte-Gauburge vue de Saint-Cyr, jolie maison voisine de l’église, plus nouvelles versions de tableaux et de photographies envisagés ou retenus pour l’album Le Jour ni l’Heure 2014, auquel travaillé exclusivement toute la journée. Promenade avec Pierre à Magnas pour voir le jonquilles, mais elles n’ont pas (encore ?) fleuri. Très beau temps, néanmoins, très belle lumière. Atelier, portrait de Finkielkraut, la ressemblance s’améliore mais maintenant le modèle a l’air féroce alors qu’il est tout à fait souriant sur la photographie de référence. Lecture par Pierre de Votre Serviteur, de Christian Combaz, fini le livre. Le Jour ni l’Heure, album 2014, à peu près fini le choix des photographies, travaillé au “paratexte”, couverture, revers, page de garde et de faux-titre, dédicace, épigraphes, etc. Dîné aux nouvelles, tarte aux brocolis et aux champignons, salade verte, poires à la vapeur et framboises. Vu Le Rebelle, The Fountainhead, de King Vidor, 1949, avec Gary Cooper, d’après Ayn Rand et la vie de Frank Lloyd Wright — passablement gâché par la très kitsch direction d’acteurs. Remontés vers 10 h et demie, mis la dernière main à l’album Le Jour ni l’Heure 2014, que j’enverrai à Blurb pour impression en me couchant (il faut deux ou trois heures de téléchargement). Journal. Couché à 1 h & ½.

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créée le mardi 24 février 2015, 11 h 50Lundi 23 février 2015. Saint-Lazare — 54/311. Plieux. Levé avec Pierre à 7 h - le ¼. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, doublon de celui qui a servi pour l’avant-veille, et nouvelle vue du manoir de l’Angenardière à Saint-Cyr-la-Rosière, Orne, 21 août 2014. L’IN-NOCENT, mais ne parviens pas à mettre une image du nouveau livre (album). Agenda. 10:12 ///  Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, trois vues de Saint-Cyr-la-Rosière, mais n’arrive pas à mettre en place les photographies, problème lié au serveur, sans doute. Cinq journées de juillet 1973, très pudiquement traitées par l’agenda de l’époque (Capri). Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Écrit à Alexandre Albert-Galtier (à Eugene, Oregon). Écrit à M. Alexandre Javel (à Jersey). Collation en bas, deux morceaux de tarte aux brocolis et champignons, une flûte de crémant de Bordeaux, une figue. Le Jour ni l’Heure, trois photographies de Sainte-Gauburge, commune de Saint-Cyr-la-Rosière, Orne, jeudi 21 août 2014. Abandonné la gymnastique, courbatures, mal au dos. Promenade avec Pierre au Cassé. Atelier, portrait d’Alain Finkielkraut, assez nettes avancées. Lecture par Pierre de Ceci n’est pas un tableau, de Bernard Lahire. Tél. de M. Robin III (au moins) qui souhaiterait pouvoir coucher ici après sa visite jeudi — accord un peu réticent (où le mettre ?). Communiqué pour l’In-nocence (les éoliennes). Écrit à Daniel Lelong, à propos de son petit livre sur Miro. Beaucoup travaillé au Discours devant la Cour d’appel (il faudrait que j’apprenne enfin comment s’écrit cour d’Appel…). Dîné aux nouvelles, excellent cake aux légumes, restes de tarte aux brocolis et champignons, jardinière de légumes, poires à la vapeur et framboises. Dîner du Crif, très importante déclaration de Roger Cuckierman. Remonté presque aussitôt après, Pierre regarde la retransmission de concerts du festival de Maguelonne, dans la cathédrale. Travaillé beaucoup et très efficacement au Discours devant la Cour d’Appel, bien avancé. Autoportrait exaspéré (par les autoportraits). Journal. Couché à 1 h & ½. 

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créée le mercredi 25 février 2015, 11 h 34Mardi 24 février 2015. Saint Modeste — 56/309. Plieux. Levé à 7 h, peu après Pierre. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et plaque au voyageur de Magnas, dimanche 23. Rendez-vous avec M. Vincentini, entrepreneur de maçonnerie à Laplume, monté avec lui au sommet de la tour, froid de canard. Me montre des échantillons de pierre de Laplume. Grand retard. Comptes : + 3975,55 / prél. Le Monde, - 17,90 / “À venir”, - 3987,40. Agenda. 11:43 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, trois vues de Saint-Cyr-la-Rosière, plaque à Magnas, trois vues de Sainte-Gauburge, commune de Saint-Cyr-la-Rosière, Orne, jeudi 21 août 2014. Cinq journées de juillet 1973, retour à Paris. Légers aménagements de l’atelier avec Céline pour y loger le jeune M. Robin (III), qui finalement doit venir demain mercredi et non plus jeudi. Journal 2015, début de la relecture. Le Jour ni l’Heure, Pierre procureuse, manoir de la Gauberdière à La Rouge, manoir de Lormarin à Nocé, Orne, Perche, 21 août 2014. Brève promenade avec Pierre au carrefour seulement, sous une pluie battante et par un vent froid. Atelier, portrait d’Alain Finkielkraut, n’évolue pas mal. Lecture par Pierre de Ceci n’est pas un tableau, de Bernard Lahire. Remonté vers 4 h & ½, écrit mon texte pour “Boulevard Voltaire”, “Le Grand Retournement”. Dîné aux nouvelles, omelettes aux pommes de terre, jardinière de légumes, poires à la vapeur et framboises. Vu un peu du Gentleman d’Epsom, jusqu’à la première coupure publicitaire. Discours devant la Cour d’Appel. Dictionnaire des délicatesse, 660.000 signes, entrée “Au global”. Journal. Couché à 1 h & ½.

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créée le jeudi 26 février 2015, 9 h 50
modifiée le jeudi 26 février 2015, 9 h 52
Mercredi 25 février 2015.
Saint Roméo — 55/309. Plieux. Levé à 7 h & ½. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, doublon, et manoir de Courboyer, Nocé, Orne, 21 août 2014. Tél. de M. Robin III, mais c’est Céline qui le prend, à 9 h, se décommandant “à cause d’un deuil dans sa famille” — impossible de prévenir Pierre qui doit faire des courses en sortant du collège pour un dîner ce soir et un déjeuner demain (poulet, fromage, vin, gâteau, terrine de poisson, etc.). Longs aboiement rituels du chien de la voisine. Article paru dans “Boulevard Voltaire”, réactions contrastées, d’aucuns me trouvent abscons ; d’autre part la rédaction s’obstine à ne pas respecter mon système de guillemets. Comptes : + 4005,55 / vir. M. Boursier Jean (?), + 30,00 / “À venir”, - 4279,27. Agenda. 11:23 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille et manoir de Courboyer, plus Pierre procureuse, manoir de la Gauberdière à La Rouge, manoir de Lormarin à Nocé, Orne, Perche, 21 août 2014. Dix journées de juillet 1973, retour à Paris. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, Courboyer encore, la Maison-Maugis. Brève promenade avec Pierre à l’orée du bois, petite pluie froide, parlé néanmoins à Jacques Æberhard. Atelier, portrait d’Alain Finkielkraut, ébauche presque complète. Suite de la lecture par Pierre de Ceci n’est pas un tableau, de Bernard Lahire. Remontés vers 5 h & ½. Communiqué pour l’In-nocence, l’Europe puissance. Journal 2015, relecture et mise en ligne de l’entrée de la veille. Dîner prévu pour M. Robin III (Matthieu), poulet rôti aux pommes de terre et carottes, camembert, tarte aux poires, sauternes. Vu un curieux Maigret de 1944, Les Caves du Majestic, avec Albert Préjean. Photographies dans l’atelier, autoportrait, accroché le Finkielkraut pour observation. Discours devant la Cour d’Appel, suite, collationné des communiqués de l’In-nocence. Journal. Couché à 1 h & ½.

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créée le vendredi 27 février 2015, 10 h 16Jeudi 26 février 2015. Saint Nestor — 57/308. Plieux. Réveillés à 7 h par un coup de téléphone (pas pris, mais ça sonne longtemps). Temps gris et froid. Le Jour ni l’Heure, autoportrait dans l’atelier et portrait de Finkielkraut, état de la veille. Comptes : + 4405,55 / vir. PayPal, + 400 / “À venir”, - 5175,17. Agenda. 09:45 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, dans l’atelier, portrait de Finkielkraut (état de la veille), manoir de Courboyer et château de Maison-Maugis, Orne, Perche, 21 août 2014. Cinq journées de juillet 1973. L’IN-NOCENT. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, Maison-Maugis, La Vove, 21 août 2014. L’IN-NOCENT, longs échanges très aimables avec un M. CheKib Mesli. Promenade au Cassé, en partie sous la pluie, avec étape à l’aller et au retour à la maison Capéran, où travaille Pierre Ducousseau, qui me la montre. Atelier, portrait d’Alain Finkielkraut, beaucoup élargi son épaule gauche, précisé un peu la Maison de la Radio. Rosi le visage, et du coup perdu une partie du sourire. Suite de la lecture par Pierre de Ceci n’est pas un tableau, de Bernard Lahire. Remontés vers 6 h. Pierre continue de faire passer les dossiers photographiques de mon ordinateur dans les mémoires extérieures, avant envoi à David Farreny. Écrit à ma tante. Payé l’assurance de la voiture, 799 €, beaucoup - cher que pour l’Audi, et bonus 50 %. Excellent dîner, restes du poulet prévu pour M. Robin III (Matthieu), semoule, jardinière de légumes, bref, couscous, camembert, tarte aux poires, industrielle mais plaisante. Revu le début de La Guerre des mondes, de Spielberg, avec Tom Cruise. Lâché à l'arrivée des extra-terrestres. Discours devant la Cour d’Appel, fini une première version, près de 40.000 signes. Journal. Couché à 1 h & ½.

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créée le samedi 28 février 2015, 11 h 28
modifiée le jeudi 18 juin 2015, 23 h 36
Vendredi 27 février 2015.
Sainte-Honorine — 58/307. Plieux. Levés à 8 heures, assez beau temps, s’assombrit ensuite. Marc Fumaroli aux Matins de France Culture. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, et intérieur vide de la maison Capéran. Chien de la voisine aboie comme tous les matins et toutes les après-midi. Comptes : + 4364,87 / prél. Orange, - 40,68 / “À venir”, - 5134,49. Agenda. 09:55 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, maison du mort (Capéran), Maison-Maugis et La Vove, Orne, Perche, 21 août 2014, mais en fait ne peux mettre en ligne les photographies, panne du serveur. Journées d’août 1973, fini le mois. L’IN-NOCENT. Journal 2014, relecture et mise en ligne. Collation en bas, fini la tarte aux poires. Le Jour ni l’Heure, portrait de Finkielkraut et deux autres vues de La Vove, Corbon. Long tél. de M. Robin II (Gabriel). Trouvé un paquet de nourritures bretonnes envoyées par M. M.. Promenade en 8, clairière des Trônes. Atelier, portrait d’Alain Finkielkraut, la Seine, la tour Eiffel, la cravate, le sourire encore. Suite de la lecture par Pierre de Ceci n’est pas qu’un tableau, de Bernard Lahire. Remontés vers 6 h. Pierre continue de faire passer les dossiers photographiques de mon ordinateur dans les mémoires extérieures, avant envoi à David Farreny — arrivés à janvier 2014. Rédigé plusieurs messages électroniques. Dîner aux nouvelles, terrine de légumes et très austères légumes de pot-au-feu, poireau, carottes, navets cuits à l’eau ; poires à la vapeur et framboises plus petit gâteau breton du paquet M.. Regardé Möbius, d’Éric Rochant, avec Jean Dujardin et Cécile de France. Remontés peu avant 11 h. Discours devant la Cour d’Appel, repris au début, assez peu de corrections, avance bien. Journal. Couché peu après 1 h.

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créée le dimanche 1er mars 2015, 13 h 19
modifiée le jeudi 18 juin 2015, 23 h 37
Samedi 28 février 2015.
Saint-Romain — 59/306. Plieux. Bien dormi. Levés à 8 h. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, doublon du précédent, et joli manoir de Pontgirard, 21 août 2014, Orne. Émission de Finkielkraut sur l’enseignement de l’histoire, avec Jean Sévilla et Dominique Borne. Empaquetage des “mémoires extérieures” pour Farreny. Pierre se prépare à aller à Miradoux pour les y expédier et retirer différents paquets de Morcat expédiés par Blub (ou Lulu ?  oui, plutôt). Comptes : - 749,62 / Factures carte : Apple comp. (nouvel ordinateur, actuel. chez Farrreny pour mise au point), - 1221,60 / hôtel Bourgogne et Montana (4 nuits), - 1088,00 / Urssaf (Céline), - 730,04 / Apple comp. (sauvegarde automatique, mémoire extérieure nouvel ordinateur, act. chez Farreny, - 379,00 / Printemps Haussman (pull-over, cad. P.), - 297,50 / Lulu Enterprises (exempl. Morcat), - 291,87 / Blurb inc. (ex. Le Jour ni l’Heure 2014), - 222,68 / Blurb (ex. album Le Jour ni l’Heure 2013 ?), - 165,86 / Vinci Park Paris (parking des Invalides au moment du procès, cinq jours), - 144,00 / librairie Galignani 03/02 (Young Eliot, Muray, Evelyn, etc.), - 116,80 / Relais Invalides Paris (essence) 06/02, - 85,65 / Printemps Haussman 03/02/15 (chemise) : - 76,00 / librairie Écume des Pages, Paris 03/02 (Bernard Lahire, Barthes/Samoyault, Bonnefoy), - 67,00 / STB Horloge Paris 03/02 (? rest japonais Yen ?), - 46,00 / SDG Le Bourbon Paris (rest.) 05/02, - 33,10 / vir. Philipp Quillerier Lesieur, + 20,00 / Lulu Enterprise 13/02, - 19,43 / Lulu Enterprise 04/02, - 19,43 / Lulu Enterprise 04/02, - 19,43 (Morcat) / Cofir Vierzon-Nord 06/02 (autoroute), - 19,40 / L’Empire Paris (brass. angle Bac-Verneuil) 04/02, - 19,40 / HRC Arche3 Theillay 02/02 (cafétéria d’autoroute), - 15,70 / Fnac Saint-Lazare (obturateur appareil photog.), - 9,90 / Pharmacie de l’Assemblée nationale (panssements et désinfectant pour pieds), 04/02, - 9,30 / ASF Cahors (autoroute), 06/02, 9,00 / ASF Gignac (autoroute) 02/02, - 9,00 / “À venir”, 0,00 / « Vous êtes débiteur depuis 1 jour(s) ». Pierre revient de Miradoux avec des paquets de Morcat pour Paris, 14-19 mars. Agenda. 11:23 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, doublon de celui de l’avant-veille, portrait de Finkielkraut et deux autres vues de La Vove, Corbon, Orne, 21 août 2014. Journées de septembre 1973. Le Jour ni l’Heure, trois images du manoir de Pontgirard, à Monceaux-au-Perche. Promenade avec Pierre au Cassé. Atelier, portrait d’Alain Finkielkraut, suite, l’imperméable, la Seine, etc. Suite de la lecture par Pierre de Ceci n’est pas qu’un tableau, de Bernard Lahire. Remontés vers 6 h. Le Monde. Importé 100 € de PayPal. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Dîné aux nouvelles, sardines de M. M., riz, carottes et haricots verts, poires à la vapeur et framboises. Vu Vivement Dimanche, 1983, de François Truffaut, avec Fanny Ardant & Jean-Louis Trintignant. Remontés vers 10 h et 1/2.  Discours devant la Cour d’Appel, repris au début, suite des corrections, ajout (discours sur la délinquance). Journal. Couché peu après 1 h.

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