Le Jour ni l’Heure
septembre 2015
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 2 septembre 2015, 15 h 42Mardi 1er septembre 2015. Saint Gilles — 244/121. Plieux. Réveillé tôt, insomnie. Levé à 7 heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et route de Lectoure vue de la salle des Vents, veille également, après-l’orage. Comptes : le site de la banque ne fonctionne pas. P. me signale que j’ai oublié de mettre en ligne l’entrée du journal d’avant-hier. Agenda. 10:04 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, Le Bosquet le 27 août, Les Pignés le 25. Journal 2015, entrée du 29 août, mise en ligne oubliée le 30. À partir de 11 h et jusqu’à 1 h, réunion de chantier à propos de la tour : M. Thouin, architecte des Monuments historiques, Mme X., architecte des Bâtiments de France, M. Calmettes représentant le conservateur régional des Monuments hitoriques, MM. Sourbès et Manoer ( ?), entrepreneurs en maçonnerie et en charpenterie, & je. Grand débat entre les deux premiers sur la question des ouvertures de la surélévation, M. Thouin pour (4 côtés), Mme X. contre (2 côtés seulement). Agrément “final” ( ???) sur les 4 côtés, ouvertures devront être dotés de volets. Vive satisfaction mienne. Montons tous sur les échafaudages, pour ma part pour la 1ère fois, parviens à surmonter le vertige par l’exemple des autres (on passe par une échelle au cinquième niveau et on monte encore de deux étages par des échelles extérieures — tour extérieur au niveau du toit actuel, temps clair, vue splendide). Le Jour ni l’Heure, La Route (de Lectoure, photographie de la veille). Écouté trois fois le magnifique Styx de Christiophe Quéval, puis Le Temps retrouvé, également superbe. Excellente humeur. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Communiqué pour l’In-nocence et le NON, n° 2065, sur Mme Merkel et les “valeurs”. Puis nouvelle attaque d’aboiements du chien LC, enfermé derrière le grillage de Mme Tr. Environ trois heures encore de perdues, et bien sûr bien davantage. Accablement. Photographié avec Pierre les couvertes 60x60 n° 75 (Le Clair de lune au Cassé) et 100x100 n° 44 ( ?), Souvenir de L’Isle-Bouzon II. Atelier. Commencé une couverte 60x60 n° 76, très difficile (pour moi), Nature morte à la carafe d’eau. Dîné aux nouvelles, tarte au fenouil et aux champignons. Vu Saint Laurent, très long, de Bertrand Bonello, 2014, stupéfait du rôle de Jacques de Bascher, décidément. Pierre est allé se coucher car il se lève tôt. Autoportrait. Sors seul, rencontre les L/C, charmants comme d’habitude, les ennuie longuement avec mes histoires. Marché jusqu’au chêne du chemin de la Rouquette. Journal. Couché à 1 h et ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 2 septembre 2015, 15 h 45
modifiée le jeudi 3 septembre 2015, 12 h 05Mercredi 2 septembre 2015. Sainte Ingrid — 245/120/ Plieux. Réveillé avec Pierre qui se lève à 6 h & ½, essaie en vain de me rendormir, levé à 7 h & ¼. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et détail du Clair de lune au Cassé. Philippe Meirieu et al. à France Culture. Encore une matinée très tweeteuse, communiqué de l’In-nocence sous deux formes et sur six sites, etc., d’où grand retard désormais coutumier. Retour de Pierre vers midi. Le Jour ni l’Heure, couverte 100x100 n° 44, Souvenir de L’Isle-Bouzon II, et couverte 60x60 n° 75, Le Clair de lune au Cassé (Plieux). Écouté Cassandre, de Christophe Queval. Pierre me lit les articles “Aliénor d’Aquitaine” de la Britannica et “Louis VII” du Larousse encyclopédique (quelques erreurs). Visiteurs. Comptes : - 162,45 / vir. Amazon, =46,97 / prél. Urssaf, - 685,14 / hôtel Mercure Orléans (pré-paiement), -121,15 / facture carte 210815 Blurb, - 113,10 / vir. M. David Jordan (mécénat), + 100,00 / facture carte Lulu 210815, - 83,49 / facture carte Amazon 080815, - 25,99 / facture carte Lulu, - 3,13 / idem / idem / vir. Amazon, 1,80. Visiteurs (dame belge et nouveau mari, ancienne propriétaire de la maison L.C., avant Xavier Dupuy, ont racheté la maison de la traductrice, plus bas) (Pierre les fait visiter). Agenda. 15 :31 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, trois photographies des deux tableaux photographiés la veuille (Le Clair de lune au Cassé et Souvenir de l’Isle-Bouzon II), route de Lectoure le 31 août. Chronologie, cinq journées d’avril 1982. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Échanges avec Me Hourdin et Jules de Mongolfier. Écrit à Alain Finkielkrautt. De l’In-nocence, programme, démographie. Chien de la voisine, aboiements. Atelier, repris Le Clair de lune au Cassé, noirci les verts et les bleus, blanchi puis jauni les jaunes. Couverte 60x60 n° 76, La Carafe. Dîné aux nouvelles, propagande remplaciste de tous les instants, décidé (enfin) le boycott. Raviolis aux cèpes, jardinière de légumes au pesto, poires à la vapeur et framboises. Vu un peu des “Racines et des Ailes” sur la Creuse, très “ça crée du désir”. Promenade avec Pierre sur le versant sud, chemin de la rivière très obscur et beaucoup d’arbres renversés par l’orage récent, du mal à nous ouvrir un passage. Remontés par le vallon d’Enduré, Rose des Vents, pas de chatte. De l’In-nocence, programme, suite. Journal. Couché à 1 h & ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 2 septembre 2015, 15 h 46
modifiée le vendredi 4 septembre 2015, 13 h 12Jeudi 3 septembre 2015. Saint Grégoire — 246/119. Plieux. Levé avec Pierre à 7 h 20. Temps gris. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et détail de Souvenir de L’Isle-Bouzon II. L’IN-NOCENT. Très agaçant tél. de Radio-Courtoisie, qui m’annonce la présence de Jean-Yves Le Gallou à l’émission de lundi (j’aime bien JYLG mais c’est diviser par deux, en dernière minute, une émission arrêtée depuis des semaines, pour laquelle je fais huit cent kilomètres et dépense une fortune que je n’ai pas. Décliner ?) (D’un autre côté, c’est peut-être l’amorce de l’union que j’appelle de mes vœux ?). Comptes : - 162,45 (inchangé) / “À venir”, - 242,34 / “Débiteur depuis 3 jours”. Agenda. 11 :59 /// Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Souvenir de L’Isle-Bouzon II, dét., Souvenir de L’Isle-Bouzon II, Clair de lune au Cassé. Chronologie, cinq journéees d’avril 1982. Le Jour ni l’Heure, Paysage préposthume n° 236, et deux photographies de Jacques de Bascher, dont une avec moi, par M. Philippe Heurtault. Communiqué pour l’In-nocence. De L’In-nocence, revu le chapitre de programme “Démographie”, peu modifié. Àprès-midi tranquille, pas d’aboiements de chien. Atelier, couverte 60x60 n° 76, Nature morte à la carafe d’eau. Lecture par Pierre du Quijote, troisième départ, conversation entre Don Quichotte et Sancho. Plus de nouvelles, nouveau régime de boycott, piano à la grange de Meslay. Vu Duplicity de Tony Gilroy, 2008, avec Julia Roberts et Clive Owen. Marché seul sur le plateau, jusqu’à la rangée de chênes, parlé à la chatte de la Rose des Vents à l’aller. De L’In-nocence, suite. Journal. Couché à 1 h & ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le samedi 5 septembre 2015, 11 h 03Vendredi 4 septembre 2015. Sainte Rosalie — 247/118. Plieux. Très peu dormi, réveillé très tôt, levé avec Pierre à 6 h & ½. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, doublon “traité” du précédent. Intense matinée de tweets. Comptes : - 196,89 / vir. Apple, + 22,36 / commission frais lettre information compte débiteur, - 27,00 / cotisation “Esprit libre”, - 21,80 / commission d’intervention, - 8,00 / “À venir”, - 1375,73 / “Débiteur depuis 4 jours”. Agenda. 13 :02 /// Le Jour ni l’Heure, détail du tableau en cours, Nature morte à la carafe d’eau, couverte 60x60 n°76. Chronologie, cinq journées d’avril 1982. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. De l’Inocence, chap. “Démographie”. Atelier, Nature morte à la carafe d’eau, suite. Lecture par Pierre du Quijotte, chapitres autoréférentiels, réflexions sur le roman, “visite” à Dulcinée au Toboso. À 8 h - 10, visite de Jean Doniès et d’un ami, Pierre les fait visiter malgré l’heure mais je ne les vois pas et ne l’apprendrai qu’après. Dîné plus tard que d’habitude, poêlée de champignons aux légumes, poires à la vapeur aux framboises et confitures de figues blanches de Mme L. Vu I know where I am going, 1947, de Michael Powell et Emeric Pressburger, très belles vues d’Écosse, nostalgie. Promenade avec Pierre jusqu’aux chênes, nuit claire et froide. Croisé très brièvement les L./C. au retour. De l’In-nocence, suite. Journal, mais tombe de sommeil. Couché à 1 h.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 6 septembre 2015, 9 h 49
modifiée le dimanche 6 septembre 2015, 10 h 16Samedi 5 septembre 2015. Sainte Raïssa — 248/117. Plieux. Levés à 8 h. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit, très “traité” et dét. technique d’une belle maison à Fleurance, au crépi bien conservé. Beau temps. Émission de Finkielkraut sur Racine (plus ou moins) puis, en ce moment, de Jean-Noël Jeanneney sur Renan. Comptes : - 312,79 / prél. Canal Sat., - 76,00 / prél. Canal Plus, - 39,90 / “À venir”, - 1259,79 / “Débiteur depuis 5 jours”. Agenda. 10 :38 /// Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et détail d’une maison à Fleurance, couverte 60x60 n° 76, état de la veille. Chronologie, avril 1982, Paris, fini le mois. Le Jour ni l’Heure, état de la couverte 60x60 n° 76 au 5 septembre (La Carafe), détail de l’autoportrait de la veille, en tranche (demi-nez, demi-œil, demi-moustache). Carton de l’In-nocence pour les ateliers de Belle-Fontaine. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne (I know where I’m going, 1945). De l’In-nocence. Longue crise d’aboiement du chien de la voisine, pour célébrer une visite de Mme Tr. Atelier. Couverte 60x60 n° 76, Nature morte à la carafe d’eau (le flacon). Lecture par Pierre du Quijote, le chevalier au miroir. Dîner ici pour l’annivrsaire de Jeanne, escalopes de foie gras aux champignons, figues et poires, saint-émilion, coulommiers et chèvre, sorte de clafoutis aux poires (assez étouffe-chrétien). Infusion au gingembre devant l’histoire. Essayé ensuite de reprendre l’affaire de l’album 2014 commandé (et payé) par M. Grangier, mais Blurb ne foncionne plus sur le nouvel ordinnateur, il faut un “java” ancien, mais pour importer le “java” ancien il faut certaines conditions auxquelles je ne comprends rien. Exaspération, abattement, deux heures de perdues, ce n’est qu’un problème technique parmi d’autres et plus personne à qui m’adresser. Journal (où explique plus ou moins cela, pour me calmer). Couché à 1 h. & 1/2.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 7 septembre 2015, 10 h 40Dimanche 6 septembre 2015. Saint-Bertrand — 249/116. Plieux. Pas trop mal dormi, levé à 7 h & ½, autoportrait dans la tour Saint-Clar, pour la veille, oublié (en fait non, mais de toute façon ceux qui avaient été faits n’étaient guère utilisables). Le Jour ni l’Heure, autoportrait dans la tour Saint-Clar, donc. Souci de l’album 2014 en rade, souci du Smartphone envahi par iCloud, à peine utilisable. Agenda. 08 :58 /// Déjeuner en bas avec Pierre. Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, couverte 60x60 n° 76, état au matin même. Nouvelle tentative avec Pierre pour nous débarrasser de iCloud sur le téléphone portable, cette fois-ci nous réussissons. Autre tentative sur l’ordinateur principal, mais tout saute. Envois de sauvegarde (Dictionnaire, journal, De l’In-nocence, agenda, répertoire, etc.). Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Bain. Bagages, très laborieusement. Quitté Plieux peu avant 3 heures. Valence-d’Agen. Lauzerte. Saint-Laurent-Lomie (église). Château de Marcillac, commune de Saint-Cyprien, canton de Montcuq, Lot. Église Saint-Clément à Cézac (Clément Marot). Château de Bonnac. Saint-Clément, belle maison paysanne, parlé à son propriétaire. L’Hospitalet, tour de l’église, beau chœur gothique. Pern. Autoroute à l’endroit habituel, Cahors-Sud. Émission sur Louis XIV sur RCF. Un peu de la Walkyrie. Radio-Remplacisme. “Dîné” sur l’aire des Champs-d’Amour, à peu près à la hauteur de Bourges. Jambon sauce madère, riz, carottes, émenthal, camembert. Parlé à Pierre. Orléans. Hôtel Mercure-Centre, concierge très aimable, ch. 811 comme demandé. Tweeter, Facebook. Journal. Couché à 2 heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mardi 8 septembre 2015, 13 h 48Lundi 7 septembre 2015. Orléans, hôtel Mercure-Centre, ch. 811. Peu dormi, réveillé à 7 h par le maudit portable que je croyais pourtant avoir éteint. Tweeter, beaucoup d’activités, d’approbations et d’insultes. Le Jour ni l’Heure, autoportrait dans la chambre, la veille au soir, et château de Marcillac, à Saint-Cyprien, Lot. Déjeuner en bas, serveuse pas trop polie, “Bonjour !” et passe son temps à faire l’instruction d’un stagiaire comme si les clients n’étaient pas là. Trop mangé, petite saucisse, bacon, poulet, jambon blanc, coppa, saucisson, œufs brouillés, muesli “décadent” avec yaourt aux abricots, crêpe et gaufre au sirop d’érable. Agenda. 10 :29 /// Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, Mercure-Centre Orléans, et château de Marcillac, Lot. Journal 2015, entrée de la veille, relecture est mise en ligne. Bain. Quitté l’hôtel à midi, y laissé les bagages et la voiture, tour à pied dans Orléans, où le changement de peuple est très avancé. Église Saint-Paul, beaux vitraux “modernes”. Tourelle Renaissance en arrière de la “maison de Jeanne d’Arc”. Assez long moment dans la cathédrale, vitraux de Carron, tombe du cardinal Touchet, etc. Retourné à l’hôtel, pris mes affaires et la voiture, quitté Orléans vers 2 h & ½. Essence. À Paris vers 4 h & ½, parc de stationnement des Invalides, deux “voyages” vers l’hôtel pour les bagages. Pariscope. Pharmacie (Allopurinol). Bourgogne & Montana, ch. 67. Re-bain. Parlé à Pierre. Sorti à 6 h. Métro, toute une expédition. Assemblée nationale, changé à Concorde, rechangé à Franklin-Roosevelt, Michel-Ange-Molitor. En avance, tourné dans le quartier, été revoir le 16 rue de Varize en souvenir de W. À Radio-Courtoisie à 7 h 25 comme convenu, émission en direct avec Henry de Lesquen et Jean-Yves Le Gallou, pas une très bonne combinaison car tous deux sont très beaux parleurs et ne me laissent guère le temps de m’expliquer et d’aller au bout de mes idées. Dîné aux Trois Obus, porte de Saint-Cloud, avec les mêmes et l’assistante de Lesquen, Joëlle, et Mme de Lesquen, née Villèle. Poulet “crispy”, très bon, tiramisu, bon bordeaux, trop bu. Rentrée en métro, Porte de Saint-Cloud, changé à Miromesnil, Invalides (bien meilleure solution). Dans la chambre à minuit. Parlé à Pierre. Journal. Couché à minuit.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 9 septembre 2015, 11 h 19Mardi 8 septembre 2015. Paris, hôtel Bourgogne & Montana, ch. 67. Assez mal dormi, longue insomnie (trop de vin), rendormi et finalement réveillé par le chien Le Coz EN RÊVE !!!. Été cherché dans la voiture un exemplaire du Grand Remplacement car j’ai vendu l‘exemplaire relié que j’avais à Mme Joëlle de Radio-Courtoisie ; mais il n’y en pas d’autre. Déjeuné en bas, blanc de poulet, saumon, une petite saucisse, une petitre tranche de jambon, un œud sur la plat, coulommiers ; pruneaux et ananas dans leur jus avec muesli. Jus d’ananas, café. Parlé à Pierre. Bain. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et tombeau du cardinal Toucher dans la cathédrale d’Orléans, dét. Rangé la chambre. Reçu peu après 11 h M. Thibaud Croisy, qui envisage de “monter” Théâtre ce soir. Cependant il œuvre dans le théâtre public et estime, certainement à juste titre, qu’aucun directeur de théâtre subventionné de voudra prendre le risque de monter une pièce de moi, même pas du tout incorrecte politiquement en soi. Impasse, donc. Parlé à Alain Finkielkraut. Rendez-vous à 2 h & ½ au musée Mendjinsky. Comptes : - 2402, 24 / chèque Céline, - 829,62 / Agenda. 13 :34 / prél. Credipar, - 759,88 / prél. Sofinco, - 90,80 / prél. Cardif assurance, 119,51 / int. déb. – 69,64 / “À venir : - 46,10 / “Débiteur depuis 8 jours” / Agenda. 13 :40 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, Le Cardinal (Toucher, Orléans). Retrouvé Alain Finkielkraut au musée Mendjinsky, rue de Vaugirard, vu avec lui l’exposition Manessier, accrochage et surtout éclairages assez médiocres mais bon nombre de très beaux tableaux. Portraits de Finkielkraut. Bavardons longuement sur le trottoir, après ; un homme qui passe nous dit « Quel concentré de haine ! » ? Rentré à l’hôtel. À 6 heures, entretien avec Mme Michaela Wiegel pour la Frankfurter Allgemeine Zeitung. Journal 2014, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. À 8 h & ½, retrouvé Me Hourdin et Me Boucard au restaurant Tante Marguerite, en bas de l’hôtel, excellent et très agréable dîner avec eux. Lieu aux betteraves, agneau, figues. Rentré à 11 h & ½. Parlé à Pierre. Journal. Couché à 1 h & ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 10 septembre 2015, 10 h 34Mercredi 9 septembre 2015. Paris, hôtel Bourgogne & Montana, ch. 67. Assez peu dormi, levé à 7 h 20. Ennuis d’ordinateur, boîte à lettres fonctionne très mal, Wanadoo a disparu et les trois quarts des messages semblent perdus. Déj. en bas, blanc de poulet, saumon, œuf sur le plat, pruneaux et pamplemousses dans leur jus avec du muesli, petit pain aux raisins, jus de pamplemousse, café. Parlé à Pierre. Messagerie en partie revenue, mais état général très capricieux et instable. Beaucoup de messages récents semblent perdus. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, doublon du précédent, mais “traité”, et portrait d’Alain Finkielkraut au musée Mendjisky devant une tapisserie de Manessier, Arbre nocturne. Comptes : - 2002,24 / vir. PayPal, + 400,00 / “À venir”, - 144,42 / “Débiteur depuis 9 jours”. Suite des problèmes techniques, ordinateur fonctionnne de plus en plus mal. Agenda. 12 :24 /// Le Jour ni l’Heure, agenda de la veille et autoportrait de la nuit, portrait d’Alain Finkielkraut devant une tapisserie de Manessier. Journal, relecture et mise en ligne. Été au musée Rodin, beau temps, mais le bâtiment lui-même est fermé ; jardin, exposition, principalement des plâtres. Rentré vers 3 h & ½, dormi un moment, bain, sorti à 6 heures, été au Kremlin-Bicêtre pour l’émission de Martial Bild à TvLibertés. Métro, changé à Sèvres-Babylone et à Jussieu. Solange Bied-Charreton, Philippe Martel, Philippe Milliau, etc. Caroline Parmentier, Nicolas Gauthier, Philippe Randa, jeune femme de Valeurs actuelles de retour de Syrie. À peu près deux heures d’enregistrement de l’émission (“Bistro Libertés”), prise de bec avec Me Nicolas Gardères. Je trouve que je ne m’en tire pas trop mal mais cette opinion n’est pas nécessairement très partagée. Devais dîner avec Philippe Martel, Philippe Milliau s’agrège à nous. Hippopotamus, face à TvLibertés. Martial Bild et les anciens de Radio Courtoisie à une autre table. Filet d’aloyau, pommes de terre frites, salade, deux verres de cotes-du-Rhône. Rentré vers minuit suivant le même itinéraire. Autoportrait. Journal. Couché à 2 heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le vendredi 11 septembre 2015, 12 h 16Jeudi 10 septembre 2015. Paris, hôtel Bourgogne et Montana, ch. 67. Très peu dormi, réveillé très tôt, insomnie, levé à 6 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et deuxième portrait d’Alain Finkielkraut au musée Menjisky, mardi 8 septembre. Déjeuné en bas, saumon, blanc de poulet, un peu de jambon et de saucisson, coulommiers, pruneau, pamplemousse et ananas en jus, muesli, petit pain aux raisins, jus de pamplemousse, café. Toute sorte d’ennuis d’ordinateur, ce portable ne fonctionne plus du tout et “plante” sans arrêt, beaucoup de temps perdu. Comptes : + 1135,85 (repassé positif) / vir. Verlag Antaios (Le Grand Remplacement en allemand), + 2000 / retraite, + 1138,09 / vir. PayPal, + 400,00 / “À venir”, - 249,42. Agenda. 10 :25 /// Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et autre portrait d’Alain Finkielkraut le 8 septembre. Bain. Bagages. Été chercher la voiture au parc de stationnement (≠115 €). Quitté l’hôtel (≠ 910 €) vers 1 heure. Voyage assez tranquille, beau temps. Dormi un peu sur l’aire du Héron cendré, à Poupry, Eure-et-Loire, au nord d’Orléans, et photographié là un ensemble de table et chaises de pique-nique, en congloméré, pas mal. Orléans, Châteauroux, Limoges, Brive, etc. Quintette de Schubert (celui de ma mort). Raté la sortie Cahors-Sud, dû faire le long détour par Montauban et l’A62 ( ?), dépense inutile, essence prodiguée en vain, temps perdu, etc. Quitté l’autoroute à Valence-d’Agen. À Plieux à 8 h et ½, me gare comme Pierre au pied de la maison au sud et pas sur la piazzeta, problèmes de voisinage, ambiance un peu tendue. Omelette aux champignons et aux pommes de terre. Télévision ne marche pas. Promenade au Cassé avec Pierre, mais des champs monte une odeur épouvantable (pastèque ou melons pourris sur le plateau, engrais au Cassé ?). Nouveaux plans de l’architecte pour l’“espace sommital” de la tour, ouvertures semblent très haut placées par rapport au corps, assis à un bureau on ne verrait rien ( ?). Message de l’hôtel Bourgogne & Montana, ai encore oublié une chemise malgré mes efforts d’inspection, vais devoir faire face à leurs expéditions ruineuses. Lettre à Mme Michaela Wiegel, du Frankfurter Algemeine Zeitung, sur la traduction de “grand remplacement” (avec copié/collé des débats Marcel Meyer / Uwe Heise / moi. Journal, mais tombe de sommeil. Couché à 1 h.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le samedi 12 septembre 2015, 16 h 15Vendredi 11 septembre 2015. Saint Adelphe — 254/111. Plieux. Bien dormi, levé à 7 h 20, Pierre déjà parti. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit pénultième, doublon du précédent, très “traité” , et mobilier de pique-nique de l’aire du Héron cendré, à Poupry, au nord d’Orléans, sur l’A10. Déjeuné seul en bas, Céline en vacances pour quinze jours. Écrit au Daniel de l’hôtel Bourgogne & Montana, à M. Yann Vallerie (abandonné le projet de voyage dans les Côtes-d’Armor), à M. Anthony Jan (conférence à Annecy, 25 septembre). Comptes : + 1004,66 / échéance prêt travaux de la tour, - 131 ;19 / “À venir”, - 256,42. Agenda. 12 :02 /// Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille à la première heure et table et chaises de Poupry, Chonologie, dix journées de mai 1982. Le Jour ni l’Heure, Victor Hugo par Rodin au musée Rodin le 9 septembre, Alain Finkielkraut devant Aube sur la garrigue, de Manessier, le 8 au musée Mendjisky, détail (Psyché ?) de L’Histoire de Psyché, vitrail de Louis Barillet, même lieu, même jour. Bain. Pas de visiteurs. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne tout en menant de front de nombreux échanges divers (mail, téléphone, TeamViewer) avec M. Antoine Granger, le collectionneur de mes albums photographiques qui, très légitimement, s’inquiétait du sort de sa dernière commande, l’album Le Jour ni l’Heure 2014. Lui explique la situation, le blocage technique. Il m’aide à en sortir, grâce au partage d’écran. Y passons deux ou trois heures, mais le “chantier” de l’album à corriger est de nouveau disponible, vais pouvoir m’y remettre aussitôt. Communiqué pour l’In-nocence, toutefois (sur les 4 de Visegrad). Atelier, repris la Nature morte à la carafe d’eau. Lecture par Pierre du Quijote. — Don Quichotte et le Chevalier aux miroirs. Dîner, rechute partielle du sevrage médiatique, regardé un partie du journal de France 2, indispensable à l’observation de l’évolution de la langue. Aubergines et pommes de terre, salade d’endives. Tarte aux figues. Vu Colonel Blimp, 1943, de Michael Powell et Emeric Pressburger, très long. Promenade avec Pierre jusqu’à la D953, heure tardive et froid. Commencé la révision de l’album Le Jour ni l’Heure 2014, un peu moins de travail que prévu, mais il faudrait retrouver les originaux anciens. Couché à 1 h & ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 13 septembre 2015, 18 h 30Samedi 12 septembre 2015. Saint Apollinaire, 255/110. Plieux. Levé à 7 heures 20. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et hôtel Biron, 1728, Jean Aubert, mercredi 9 septembre 2015. Vu l’enregistrement de l’émission de mercredi dernier sur TVLibertés, assez décevant, moi surtout (voix ne porte pas (au propre et au figuré)). Publication du communiqué de la veille, six sites, énorme dépense de temps. Paperasserie pour les Bâtiments de France, rempli et signé quatre exemplaires de la nouvelle demande d’autorisation, corrigée par M. Thouin. Pierre va à Fleurance poster ce gros dossier. Comptes : + 1004,66 (inchangé) / “À venir”, -1311,36. Agenda. 12 :53 /// Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et hôtel de Biron, images diverses des 8 et 9 septembre à Paris, portraits d’Alain Finkielkraut, œuvres de Rodin, Louis Barillet, Alfred Manessier. Chronologie, dix journées de mai 2015. Bain. Journal 2015, relecture et mise en ligne. Album Le Jour ni l’Heure, 2014, corrections. Atelier, couverte 60x60 n° 76, Nature morte à la carafe d’eau, suite, lecture par Pierre du Quijotte, Don Quichotte et le jeune poète. Dîné aux nouvelles (plus ou moins), gnocchis au pesto et jardinière de légumes, poires à la vapeur et framboises. Vu The Conversation, 1973, de Francis Ford Coppola, avec Gene Hackman. Marché avec Pierre jusqu’à la route départemetale, ai froid. Album Le Jour ni l’Heure 2014, à peu près achevé les corrections, passerai la commande après ultime vérification. Changé une photographie. Journal. Autoportrait. Couché peu avant 2 heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 14 septembre 2015, 12 h 52Dimanche 13 septembre 2015. Saint Aimé — 256/109. Plieux. Levé à 8 h - 20. Temps gris. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit (miroir de la bibliothèque) et garçon à la casquette, détail d’une affiche du métro parisien. L’IN-NOCENT, beaucoup de tweets et de facebookeries diverses, av. un certain succès. Agenda. 12 :20 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, garçon à la casquette, cathédrale d’Orléans, troisième portrait de Finkielkraut, Nuit au port de Manessier. Le Jour ni l’Heure, église Notre-Dame de la Nativité à L’Hospitalet et petit château de Lamothe à Castelsagrat. L’IN-NOCENT, suite des tweets et “statuts”, assez rapide augmentation du “following”, longue et vaine querelle avec un M. Hemsen qui m’accuse de « tromperie » car je ne serais pas ce que je prétends être ( !) — beaucoup de temps perdu. Visiteurs, un couple d’Agen, sympathisants politiques, m’ont vu la veille sur TVLibertés, souhaitent me rencontrer, thé avec eux. Suite de la vaine querelle. Atelier, couverte 60x60 n° 76, Nature morte à la carafe d’eau, suite, lecture par Pierre du Quijote, la noce au village, la ruse de Basile, etc. Dîné aux nouvelles, curieuses palinodies allemandes, lentilles, carottes, pommes de terre, figues, poires à la vapeur et framboises. Vu La Poursuite impitoyable, The Chase, 1966, d’Arthur Penn, avec Marlon Brando et Robert Redford. Marché seul jusqu’à Saint-Vidal, temps un peu moins froid. Effroyable retard, pas pu m’occuper de l’album Le Jour ni l’Heure 2014 de M. Granger, pourtant presque prêt. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Journal. Autoportrait. Couché peu avant deux heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mardi 15 septembre 2015, 13 h 05Lundi 14 septembre 2015. Sainte-Croix — 257/108. Plieux. Levé à 8 h. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et vue de Lauzerte, dimanche 6 septembre 2015. Beaucoup de temps perdu encore à la petite “affaire Hemsen”. Tél. de Philippe Milliau qui souhaite faire une version (très) concentrée de mes interventions à l’émission enregistrée sur TV Libertés mercredi dernier — accord. Agenda. 12 :23 /// Le Jour ni l’Heure, église de Saint-Laurent-Lolmie et portail du château de Marcillac. Chronologie, mêmes images et Lauzerte, autoportrait de la nuit, château de Lamothe, église de l’Hospitalet. Bain. Journal 2015, relecture et mise en ligne. Communiqué pour l’In-nocence et le NON, soutien à la manifestation lancée par le Siel. Atelier, Nature morte à la carafe d’eau, qui va s’éclaircissant. Lecture par Pierre du Quijote, Don Quichotte dans la grotte de Montesinos. Dîné aux nouvelles, tarte au thon et aux champignons, excellente. Poires à la vapeur. Regardé une émission assez intéressante sur Versailles et le pouvoir sous les trois Républiques. Vu aussi un peu d’une autre sur Marly. Marché avec Pierre à Saint-Vidal, temps un peu moins froid que les nuits précédentes. Le Jour ni l’Heure, voulu terminer la mise au point de l’album 2014 corrigé, mais toute sorte d’ennuis techniques, blocage général, dois reprendre toutes les corrections à zéro et ne peux mener à bien celle qui portait sur églogual avec un u car dans la version corrigée la photographie elle-même est gâchée. Autoportrait, après deux heures du matin. Couché à 2 heures et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 16 septembre 2015, 16 h 09Mardi 15 septembre 2015. Saint Roland — 258/107. Plieux. * Levés à 8 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et château de Marcillac vu de loin, par-dessus les arbres. L’IN-NOCENT, intensément. Publié le communiqué de la veille. Tweeter 4803. Comptes : - 55,34 / Chèque au Mrap (amende), - 1000 / prél. Sepa Orange, - 60,00 / “Débiteur depuis un jour”. Agenda. 12 :47 /// Le Jour ni l’Heure, église Saint-Clément à Cézac et détail d’un vitrail de Pierre Carron à la cathédrale d’Orléans. Chronologie, agenda de la veille et même images que ci-dessus, plus cinq journées de juin 1982, retour à Paris avec Rodolfo après séjour chez Casimir Estène à la villa Chêne-Roc. Réunion de chantier dans la cour, M. Thouin, M. Manoer, la jeune femme de l’inspection du travail, le jeune homme de l’entreprise Sourbès. Nouvelle réunion de la commission dans deux jours, pour examen des nouveaux projets d’ouverture. De l’In-nocence, chapitre “Écologie”, assez peu révisé. Ultimes retouches à l’album Le Jour ni l’Heure 2014, puis mis en train la transmission à Blurb pour l’impression. Atelier, couverte 60x60 n° 76, Nature morte à la carafe d’eau, encore pâlie. Lecture par Pierre du Quijote, les tréteaux de maître Pierre. Dîner aux nouvelles, gnochis et champignons au parmesan et au pesto, poires à la vapeur et framboises. Pas de télévision, promenade nocturne sur le plateau, jusqu’à l’embranchement La Rouquette/La Bonnefont. Commandé à Blurb un exemplaire de l’album Le Jour ni l’Heure 2014 (pour M. Granger). Commandé dix exemplaires brochés et trois exemplaires reliés du “nouveau” Grand Remplacement (env. 150 €, avec le port). Commandes Amazon, Quignard, Bacqué. Journal. Couché à 1 h & ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 17 septembre 2015, 11 h 31
modifiée le jeudi 17 septembre 2015, 11 h 32Mercredi 16 septembre 2015. Sainte Édith — 259/106. Plieux. Réveillé à 5 h du matin par des aboiements de chiens. Rendormi. Levé à 8 heures. Été directement à Lectoure avec Pierre pour analyses d’urine après traitement, au laboratoire. Petit déjeuner en bas avec Pierre. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et toits au musée Mendjisky le 8 septembre, très “traités”. Invités par les charpentiers (très gentils) à monter au sommet de la tour car ils ont enlevé les voliges, on peut enfin se tenir debour entre les poutres de la charpente, et passer de là sur les échafaudages. Belle lumière, vue superbe, excellent moment. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, un des charpentiers sur le toit et château de Bonnac, à Cézac, Lot, 6 septembre 2015. Courrier, encore perdu un point de permis dans ces maudits abords de Paris où la vitesse autorisée change tous les cinq cents mètres. Comptes : + 7,66 / chèque (entrées et livres, couple de visiteurs), +63,00 / “À venir”, - 1251,36. Agenda. 16 :04 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, toit de Paris pris du musée Mendjinsky, vitrail de Carron à Orléans, église Saint-Clément de Cézac, jeune charpentier sur le toit de la tour à Plieux, château de Bonnac à Cézac. Chronologie, cinq journées de juin 1982, Paris. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mis en ligne. Communiqué pour l’In-nocence et le NON, camp d’entraînement militaire pour les jeunes réfugiés. L’IN-NOCENT, beaucoup d’activité, tweet comique à succès, pas d’atelier. Dîner aux nouvelles, lentilles et carottes, pommes de terre, etc., poires à la vapeur et framboises. Vu une bonne partie de Elle et Lui (1957), de Leo McCarey. Promenade nocturne au Cassé avec Pierre. L’IN-NOCENT, pas mal de temps perdu. De l’In-nocence, chapitre “Éducation”. Journal. Autoportrait. Couché à 2 h & ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le vendredi 18 septembre 2015, 16 h 27Jeudi 17 septembre 2015. Saint Renaud — 260/105. Plieux. Levé à 8 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et toit de la tour après enlèvement des tuiles et des voliges. Déjeuné seul en bas. Vaisselle. L’IN-NOCENT. Du mal à retenir une chambre à Annecy, bizarrement tout est plein. Finalement, Pré Carré. Comptes : + 7, 66 (inchangé) / “À venir”, - 1251,36. Agenda. 11 :19 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda et autoportrait de la veille, échafaudages, château de Bonnac. Cinq journées de juin 1982. Journal 2015, entrée de la veille, relecture. Le Jour ni l’Heure, pavillon Colas des Francs à Orléans (Jacques Ier Androuet du Cerceau, 1552), jeune charpentier aux jumelles sur le toit, quatrième portrait d’Alain Finkielkraut au musée Mendjisky. Bain. Journal 2015, relecture et mise en ligne. De l’In-nocence, chap. “Éducation”, suite. Atelier, Nature morte à la carafe d’eau, suite, réassombri certaines parties. Dîner aux nouvelles, thon, gnochis, carottes, courgettes, lentilles, pesto. Poires à la vapeur et carottes. Vu deux épisodes de Rome, série anglaise, bien. Promenade jusqu’à la route, seul, nuit froide. De l’In-nocence, “Éducation”, suite. L’IN-NOCENT. Journal. Couché à 2 heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le samedi 19 septembre 2015, 11 h 14Vendredi 18 septembre 2015. Sainte Nadège — 261/104. Plieux. Levé à 8 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, dans la bibliothèque, et cheval sur fond bleu, détail d’un vitrail de Pierre Carron, 1996, dans la cathédrale d’Orléans. Déjeuné seul en bas. Vaisselle. Matinée de tweets, très politique. L’IN-NOCENT. Appel de Karim Ouchikh, longue conversation avec lui. Le Jour ni l’Heure, Penseur de Rodin en plâtre, musée Rodin, 9 septembre. Décidé d’aller à Paris pour la manifestation du 24. Retenu une chambre d’hôtel. Décalé ma réservation à Annecy, arriverai juste à temps pour la conférence. Rappelé Karim Ouchikh. Ah, le matin, rendez-vous pris chez le médecin, mardi à 19 h 30, et parlé aux cousins O’Lanyer. Comptes : - 7,66 (inchangé) / “À venir”, - 1577,76. Agenda. 16 :19 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, Cheval de Pierre Carron à Orléans, Penseur de Rodin, Alain Finkielkraut au musée Mendjisky. Chronologie, cinq journées de juin 1982. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Été à un vernissage chez la princesse Salvioni, parlé à Jeanne Lloan, à Mme Cerdan, à M. Sigala, à M. Dulau, à Simone Aeberhard, au maître de stage, à une dame qui me déclare sa complète sympathie politique — tout ce monde-là très aimable. En revanche Mme T., très portraiturée par les peintres, ne répond pas à mon salut. Dîner aux nouvelles, excellente omelette aux champignons, salade verte. Vu un peu de La Bûche, un peu d’un film “social” dont l’action se situe à Forbach et pas mal de Chassé-Croisé à Manhattan. Promenade nocturne avec Pierre jusqu’au rang de chênes. De l’In-nocence, “Éducation”, “Europe”. Autoportrait. Journal. Couché à 1 h & ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 20 septembre 2015, 11 h 11Samedi 19 septembre 2015. Sainte Émilie — 262/103. Plieux. Levés à 8 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et grand paysage aux deux châteaux de la veille, vue de la fenêtre, très “traité”, pas mal. Déjeuner en bas avec Pierre. Important groupe de motards des deux sexes, sur rendez-vous, Pierre s’en occupe mais femme eurasienne extérieure au groupe en profite pour aller partout toute seule et déboule dans la bibliothèque inanoncée, à mon assez vif agacement. Article paru dans le Frankfurter Allgemeine Zeitung, photographie affreuse (j’ai l’air d’un vieux dément), titre bêta (“Le Maître à penser du Front national”), mais article pas mal, il paraît, informé, informatif et objectif, d’après MM. Laurent Husser et Marcel Meyer. Essayé d’appeler Émilia Bascou, en vain. Temps pluvieux. Comptes : + 47,35 / vir. Kobo Inc., + 39,69 / “À venir”, - 1530,41. Agenda. 11 :04 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, bon paysage aux deux châteaux (vue de la fenêtre), très pictorialisé, Penseur de Rodin, Cheval de Pierre Carron dans la cathédrale d’Orléans. Chronologie, cinq journées de juin 1882. Le Jour ni l’Heure, toits de Plieux vus de la tour, jeune charpentier blond vu de dos, vue sur la cour prise du toit de la tour. Bain. Journée du Patrimoine. Visiteurs. Jeanne Lloan ici pour prêter main forte à Pierre. Devaient venir les participants à un rallye organisé par la ville de Lectoure mais ne se présente pas le moindre, syndicat d’initiative a dû changer d’avis. Aucune nouvelle non plus de Catherine Rouvier, qui s’était annoncée au début de la semaine. Pendant les visites de la bibliothèque, lis Richie, de Raphaëlle Bacqué, assez amusant dans le genre sinistre. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Commence à travailler au discours pour jeudi prochain. Atelier, Nature morte à la carafe d’eau, mais s’est beaucoup banalisée. Lecture par Pierre du Quijote, le repas chez le duc et la duchesse. Dîné aux nouvelles, raviolis aux cèpes et jardinière de légumes, poires à la vapeur et mûres, coulis de figues. Vu le premier acte de Parsifal, Baden-Baden, sans y comprendre grand chose comme d’habitude — un Parsifal absurde. Promenade nocturne avec Pierre, été seulement jusqu’à la route départementale à cause du froid. Discours devant l’ambassade d’Allemagne, suite. Autoportrait. Journal. Couché à 1 h & ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 21 septembre 2015, 12 h 29Dimanche 20 septembre 2015. Saint Davy — 263/102.Plieux. Levé à 8 h - 20. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et macaron de l’hôtel Biron, visage de femme, 1728. Assez beau temps. Déjeuné en bas avec Pierre. L’IN-NOCENT. 10 :57 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, macaron de l’hôtel Biron, deux vues prises du sommet de la tour, charpentier blond au T-shirt “Tout faire”. Chronologie, cinq journées de juillet 1982. Le Jour ni l’Heure, assez belle maison paysanne à Cézac, Lot ; vue “traitée” (sans grand résultat) d’Orléans la nuit prise de la chambre 811 de l’hôtel Mercure-Centre ; église Saint-Clément de Grauffet, Cézac, Lot. Bain. Assez fort influx de visiteurs à l’occasion des Journées du Patrimoine. Suis réquisitionné pour prêter main forte à Pierre et Jeanne. Ai d’abord affaire à deux dames assez difficiles, mère et fille ( ? Olympe), la mère très hostile à l’art de Marcheschi. Ensuite groupe plus nombreux plus sympathique. Échanges divers avec Catherine Rouvier, qui pense passer puis finalement pas. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Pas d’atelier, pas de travail sur le discours du 24. Dîné avec Pierre et Jeanne, jambonneau rapporté naguère de Cadarcet, jardinière de légumes et semoule, poires à la vapeur, mûres et confitures de myrtilles. Promenade avec Pierre et Jeanne au Cassé, temps moins froid, beau clair de lune. Discours du 24 septembre, peu (7000 signes). Tél. de Catherine Rouvier, tjs. à Bard. chez les Bois. Journal. Couché à 1 h et ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mardi 22 septembre 2015, 10 h 47Lundi 21 septembre 2015. Saint Matthieu — 264/101. Plieux. Levé à 8 h. Retour de Céline, après 15 jours de vacances à Mimizan. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, doublon du précédent, mais très“traité”. Vitraux modernes de l’église Saint-Paul d’Orléans, longues recherches pour essayer de découvrir de qui ils sont, parlé même au curé, aimable, qui ne sait pas mais doit me rappeler (quelqu’un sait). Agenda. 11 :20 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, vitrail de Saint-Paul d’Orléans le 7 septembre, trois photographies du dimanche 6 septembre, Cézac, Lot, Orléans. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autre vitrail de Saint-Paul d’Orléans le 7 septembre, Andrieu d’Andres de Rodin au musée Rodin le 9. Monté au sommet de la tour. Retour du joli blond blessé en juille — en fait il n’a passé qu’une soirée à l’hôpital mais a été immobilisé trois semaines. Plus tard il me surprend dans la cuisine pandant une séance de craquatation boulimique : terrine de cerf et vin d’Ancenis. Pas de visiteurs. Longue session d’aboiements du chien Le Coz, un éclat toute les deux minutes pendant une heure ou deux. Tél. à la gendarmerie pour savoir où en est cette affaire, mais celle de Miradoux est fermée. Demandé aux ouvriers de baisser leur radio pour ne pas déranger la voisine (et moi, naturellement). Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Communiqué de l’In-nocence et du NON, de nouveau sur la manifestation de jeudi. Atelier, Nature morte à la carafe d’eau, mais cette toile s’est terriblement banalisée depuis l’esquisse, qui n’était pas mal. Lecture par Pierre du Quijote, Don Quichotte et Sancho chez le duc et la duchesse, suite. Dîné aux nouvelles, jardinière de légumes, pleurottes et semoule, poires à la vapeur et mûres. Regardé une émission sur la vie à la cour de Richard II d’Angleterre, mais bien niaise, à la nouvelle mode. Promenade au clair de lune sur le plateau, jusqu’à l’embranchement la Rouquette / La Bonnefont. Discours pour le 24, mis au point un “chemin de fer” complet, sans doute trop long (8400 signes). Journal. Autoportrait. Couché à 2 h - 20.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 23 septembre 2015, 11 h 17Mardi 22 septembre 2015. Saint Maurice — 265/100. Plieux. Levés à 8 h. Temps gris. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, mais Flickr ne marche plus, la touche “Importez ” a disparu. Comptes : + 13.829,45 / vir. Sepa CSP Bloc 3 Midi-Pyrénées (subventions travaux de la tour, État (ou Région ???), + 13.800 / Prél. Le Monde, - 17,90 / “À venir”, - 1559,86 / Compte crédit immobilier (emprunt travaux de la tour), - 13.506,78, “à venir”, - 23,123,82. Agenda. 10:36 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, vitraux de Saint-Paul d’Orléans le 7 septembre, Andrieu d’Andres de Rodin le 9 septembre. Chronologie, dix journées de juillet 1982, séjour à Bernicot chez les Valette, dans l’Hérault des montagnes, avec Jean-Paul Marcheschi. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, Orléans le 7 septembre 2015, détail d’un vitrail de Pierre Carron, Pensive de Volti et Jeanne d’Arc de Denis Foyatier, 1855, place du Martroi. Bain. Discours pour le 24, l’imprimé, puis corrigé l’impression (11.000 signes !). Été avec Pierre chez le docteur Capdecomme à Lectoure, rendez-vous à 7 heures, très longue attente, lu Richie, de Raphaëlle Bacqué, distrayant et instructif. Passé à 8 h et ½. Bons résultats des analyses faites la semaine dernière, plus trace d’infection. Docteur écrit lettre pour le spécialiste. Me trouve très raide, dit que je devrais faire une cûre pour les cervicales et/ou voir un kinésithérapeute. Rentrons à 9 h et ½. Diné en regardant une émission de Stéphane Bern sur Jeanne d’Arc, jusqu’à ce que ça sente par trop le roussi et qu’il soit question de la question. Gnocchi, carottes, courgettes, pesto. Promenade avec Pierre jusqu’à la route seulement, grand froid de nouveau. De l’In-nocence, repris le chapitre “Éducation”, ajouté un paragraphe (né de la lecture du livre sur Decoings). Journal, mais tombe de sommeil. Autoportrait, bizarrement pas mauvais (aprce que très flou !). Couché à 1 h & ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 24 septembre 2015, 8 h 13Mercredi 23 septembre 2015. Saint Constant, 266/99. Plieux. Assez “mauvaise” nuit (mais pas désagréable), insomnie carabinée (“thème de l’échec”), réveillé à 5 heures ou avant, impossible de me rendormir. *. Levé à 8 heures, assez jolie lumière brumeuse. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Baiser de Rodin, 1889, 9 septembre 2015, musée Rodin. Tél. à la clinique Esquirol-Saint-Hilaire d’Agen pour confirmation du rendez-vous de l’après-midi. Comptes : + 13829,45 (inchangé) / “À venir”, - 1559,86. Crédit immobilier, - 36.630,60. Tél. à la banque pour virement des fonds de l’État vers compte “Crédit immobilier” (travaux de la tour), rendez-vous le 30 septembre à 11 heures. Agenda. 11 :08 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la nuit, vitrail de Pierre Carron à Orléans, Pensive de Volti et Jeanne d’Arc de Foyatier, 7 septembre 2015. Pas de Chronologie. Impression d’une version corrigée du discours. Écrit à M. Anthony Jan (cf. Annecy), à un would be lecteur allemand. Le Jour ni l’Heure, Rochers au couchant de Manessier, 1974, 8 septembre 2015, Mallet-Stevens, atelier Barillet, 1932 (musée Mendjisky). Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Bain. Mme de Loynes ici, dernier jour d’ouverture au public. Pierre me conduit à Agen. Temps et ciels si jolis que nous revenons pour prendre l’appareil photographique. Nombreux clichés en chemin. Agen, clinique Esquirol-Saint-Hilaire, docteur Cuvilier, urologue. Très peu d’attente, homme aimable, doigt dans le cul, trouve ma prostate « petite et souple », constate comme le docteur Capdecomme la veille qu’il n’y a pas d’infection et me renvoie en souriant avec pour tout traitement de « boire davantage ». Autres photographies au retour, Gers à Astaffort, été à Barbonvieille, assez jolie petite église, belle maison, puis celle qui est en face de Saint-Mère, hélas abîmée par une balustrade. Rentrés vers 6 heures, enchantés de notre après-midi. Agenda. 19 :35 /// L’IN- NOCENT. Dîné aux nouvelles, raviolis et jardinière de légumes au pesto. Vu un peu d’un film danois idiot puis remonté faire le soir ce qui est fait d’habitude le lendemain matin. Le Jour ni l’Heure, autoportrait à notre retour d’Agen, château de Sainte-Mère sur la route du retour. L’IN-NOCENT. 22 :48 /// Imprimé deux autres exemplaires du discours du 24. Échanges avec Karim Ouchikh, qui me rassure sur la longueur du texte. Envoyé note Bourgogne & Montana, dernier séjour, à Marcel Meyer pour le NON. 23 :37 /// Journal, 00 :54 /// Couché à 1 h & ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le vendredi 25 septembre 2015, 7 h 18Jeudi 24 septembre 2015. Sainte Thècle — 267/98. Plieux. Mauvaise nuit, insomnie. Rév. à 4 h & ½, rendormi à 7, levé à 8 h. Beau temps. Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, château de Sainte-Mère. Journal de la veille mis en ligne la veille. Bain, bagages, très aidé par Céline. Transposé les fichiers “vivants” de l’ordinateur fixe au portable. Quitté Plieux quelques minutes après dix heures. Valence-d’Agen. Lauzerte. Perdu du temps du côté de Saint-Cyprien, Cézac, L’Hospitalet, Pern. Autoroute. Thé à la menthe à l’aire des Portes de Corrèze. Sonates 4 et 5 pour violoncelle et piano de Beethoven. Troisième trio de Schumann. Émission sur Lévy-Strauss, avec sa biographe. Deuxième tasse de thé à la menthe sur une aire de Sologne. À Paris vers 5 heures. Déposé bagages à l’hôtel, été mettre la voiture au parc de stationnement des Invalides. Toilette sommaire. Parlé à Pierre. Ressorti à sept heures moins le quart. Métro, Assemblée nationale, changé à Concorde, Porte Maillot. Accès de la rue Marbeau interdit, barré par les forces de police. Mauvais temps, froid relatif, pluie. Allocution de Karim Ouchikh, textes de Robert Ménard et de Christian Vanneste, allocution en allemand de Mlle Detmer, traduits par une jeune femme comiquement expéditive. Mlle Detmer brûle un drapeau européen, à ma grande désapprobation (silencieuse). Mon discours, trop long. Celui de Jean-Yves Le Gallou. Celui de M. Perceval, de L’Action française. Celui de Me Frédéric Pichon, vice-président du Siel, qui dit qu’il y a à cette manifestation plus d’un millier de personnes, ce qui me semble, hélas, assez exagéré. Succès relatif de tout le monde, et de la manifestation elle-même. Décline la proposition de Karim Ouchikh d’un “verre” à douze ou quinze, au-dessus de mes forces. Rentré à pied avec Afchine Davoudi, seul représentant de l’In-nocence(ah non, Michel Le Floch, aussi), tandis que Mme C. était la seule réprésentante du NON. Avenue de la Grande Armée, Étoile, dîné dans une brasserie des Champs-Élysées, demi-poulet, deux verres de vin rouge. Il prend son métro à Franklin-Roosevelt. Grand Palais, esplanade des Invalides, hôtel peu avant minuit. Agenda. 00 :23 /// Couché après une heure.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le samedi 26 septembre 2015, 11 h 11Vendredi 25 septembre 2015. Paris, hôtel Bourgogne & Montana, ch. 67. Pas trop mal dormi, mais très peu. De nouveau réveillé par les aboiements du chien Le Coz EN RÊVE. Mis en ligne, non sans difficulté, le discours de la veille (n’y arrive pas sur le site du NON). Agenda. 07 :12 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, butte au peuplier. Déjeuner en bas, blanc de poulet, saumon fumé, jambon, gorgonzola, pruneaux et ananas au muesli, jus de pamplemousse, café. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Été chercher la voiture au parc de stationnement, quitté l’hôtel vers 11 heures (302 €, payés par le Siel). Sorti de Paris à 11 h & ½. Bon et beau voyage, temps superbe, ciels couverts, terre lumineuse, puis ciels bleu avec nuages sur le splendide Bugey. Se gâte seulement sur la fin, abords d’Annecy par une route absurdement conseillée par le GPS, très encombrée et paysages totalement massacrés sur trente kilomètres (Rumilly 20), affreux embouteillages dans Annecy, hôtel difficile d’accès, son garage aussi, portail très étroit. Chambre banale sur cour banale. Douche. Rendez-vous à 7 h en bas avec M. Anthony Jan et un des ses accolytes, transportons des livres. À 7 h. et ½ à la salle Gasmier, Gasnier, quelque chose comme ça, non, Galbert. Longue attente dans la tradition identitaire, jeunes gens très gymnastiqués, deux ou trois très jolis. M. David Jordan, venu de Genève. Mme Pégida, non Pelofi, Anna Pelofi ( ?), venue d’Aix-les-Termes. Autres dames. Vends et signe une dizaines de livres, surtout des Grand Remplacement (ai oublié Révoltez-vous !). Commençons seulement vers 8 h & ¼. Conférence, donc. Puis moment “convivial”, bu un verre de vin blanc et mangé trois tranches de saucisson, parlé avec des responsables locaux du Front national, curieusement peu optomistes malgré leurs succès. Ramené à l’hôtel avec livres restant par un jeune homme très gentil, de Servier (+ ou -). Couru dans la vieille ville à la recherche d’un restaurant ouvert, beaucoup d’animation encore, jolies places, jolies rues, un peu trop touristisées, et on me refuse partout. Finalement, brasserie, café de Leiffe, escalope savoyarde (poulet, bacon, sauce blanche), verre de Mercurey. Rentré peu après minuit, autoportrait, journal, couché à 1 h & ½, lu Richie, éteint à 2 heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 27 septembre 2015, 8 h 09Samedi 26 septembre 2015. Annecy, hôtel Le Pré Carré, ch. 44. Très bien dormi, silence parfait, rêve très intéressant, touristico-politique, admirablent structuré. Levé à 8 h. L’IN-NOCENT. Déj. en bas à 8 h & ½, assez modeste, jambon en rouleau, fromage, saucisson, saint-nectaire et un autre fromage non identifié, prob. local, assez crémeux, très bon. Salade de fruit et muesli. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit, dans la chambre, et vue prise de la chambre le matin même, très “traitée”, pas mal. Conversation avec Pierre, un peu ratée. Dit être agacé parce que tt le monde nous dit qu’on ne peut pas acheter Le Grand Remplacement sur la Toile, ça ne marche pas. Ne sais à qui m’adresser pour réparer cela. Agenda. 10 :59 /// Le Jour ni l’Heure, agenda de la veille et autoportrait de la nuit, La Vie comme à Annecy, vue prise la matin même de la chambre et traitée très pictorialement. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Douche. Sorti vers midi et demi. Été à l’office du tourisme mais il est fermé. Monté au château. Long moment là, plutôt agréable, très peu de monde, très belles salles un peu gâchées par la signalétique ou par un piano, collection de paysages des XVIIIe et surtout XIXe s., coll. de beaux coffres savoyards. Toiles de Fabrice Hybert, installations de Penone, exposition Miailhe et surtout Alexeiev et Parker, etc. Autre partie des bâtiments, tour P., musée à propos du lac, puis tour de la Reine, pièce d’Emmanuel Saulnier. Redescendu par une autre rampe, vu plusieurs maisons habitées par François de Sales, cherché longuement celle de Mme de Warens en demandant à des brocanteurs et des libraires, qui n’en ont aucune idée. En fait la maison a été démolie pour la contruction d’un nouvel évêché, inauguré le 22 septembre 1792 ! (les Français arrivent le 26 !!!). Lieu de la rencontre Jean-Jacques-Warens, “grille d‘or”, dans la cour. Ancien evêché auj. conservatoire de musique, ovales de Viallat au plafond du vestibule en passage. Promenade au Pasquier, dizaines de femmes voilées de la tête aux pieds. Préfecture de la Haute-Savoie. Retour à l’office du tourisme, cette fois ouvert, mais peu intéressant. Rentré à l’hôtel vers 6 heures. Thé. Parlé à Pierre. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de l’après-midi (dans les toilettes du château) et vue d’une partie dudit château prise à travers des verres pseudo médiévaux irréguliers et teintés. L’IN-NOCENT. Nouvelles. Ressorti vers neuf heures, avec appareil photographique sur trépied. Hôtel de ville (1855), mais il y a encore du monde. Recherche d’un restaurant, trop de monde (et de bruit) partout. Restaurant japonais, complètement débordé, très lent. Sashimi, quatre brochettes de poulet, thé au jasmin. Lu Richie. Photographies nocturnes avec trépied, belle maison voisine du restaurant puis hôtel de ville de nouveau, avec très longue attente pour qu’il n’y ait personne. Entre-temps, cornet de glace (au spéculoos). Réception à l’hôtel de ville (pour des Italiens), entré, mais intérieur bien abîmé (sauf l’escalier). Rentrés à 11 h & ½. Parlé à Pierre. Agenda. 00 :10 /// Journal. Couché à 1 h. Fini Richie. Éteint à 2 h - 20.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 28 septembre 2015, 11 h 29Dimanche 27 septembre 2015. Annecy, hôtel Le Pré Carré, ch. 44. Beaucoup moins bien dormi que la nuit précédente, voisins bruyants au-dessus de ma tête au milieu de la nuit, puis réveillé définitivement à 7 h 20 par bruits mécaniques, est-ce le nettoyage municipal ou l’ascenseur ? Compteurs. Agenda. 07 :52 /// Le Jour ni l’Heure, hôtel de ville d’Annecy, 1855, François Justin. Déjeuné en bas, famille de bourgeois syriens, femme très voilée (“réfugiés ?”). Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Bagages. Quitté l’hôtel vers 11 heures, 430 €, très cher pour ce que c’est. Annecy. Été voir l’hôtel Impérial, encore belle allure, mais foule bien laide, tout alentour. Décidé d’aller à Rumilly, très mal guidé par le GPS, qui me fourvoie dix fois du côté de Gran-Gevrier, jusqu’à ce que je prenne l’affaire en main directement. Route poubelle, puis s’améliore un peu sur la fin. À Rumilly vers 1 heure (pour Jérôme Vallet). Petite ville bien ingrate, très poussiéreuse et encrassée, qui semble en très profonde dépression économique, surtout autour de l’église et de la mairie. Zone plus dynamique vers le Sud, Carré des Arts ( ?), nouveaux quartiers, musée. Été sur les hauteurs pour une vue d’ensemble, direction de Celaz, chemin de la Grange rouge, joli coin au bout, vaches et âne sous des arbres fruitiers. Une fois de ce côté, continué la route de Cessens, en suivant la vallée de la Nephaz. Beaux pays. Col du Sapenay. Vue ample sur le lac du Bourget, mais paysage bien abîmé. Chindrieux. Aix-les-Bains, dont assez déçu (ce n’est pas sur le lac !). Très curieuse maison baroque nouille à la sortie sud. Passé près de Chambéry. Autoroute. Arrêt pour consulter la carte sur une aire de repos en çà de La Tour du Pin, aperçu de là les toits de ce qui semble une très belle maison, sorti à La Tour du Pin pour tâcher de la retrouver, perdu deux heures pour peu de chose, la découvre finalement, commune de Saint-Clair-de-La-Tour, parle à la propriétaire, entre dans son jardin, belle grange ruinée assez semblable à celle de Berlioz à La Côte-Saint-André, maison assez abîmée (“véranda”). Traversé deux fois La Tour-du-Pin en pleine travaux, monté à l’église voir le tryptique et un autre, moderne. Rautoroute, Bourgoin-Jallieu. Tour de Lyon par le nord, autoroutes récentes, puis nouvelle. Approché de Villefranche-sur-Saône. Tarare. Frédéric Martel reçoit Stéphane Chaunu. Thiers. Clermont-Ferrand. Aire de Menat. Parlé à Pierre. Jarret de porc aux lentilles, tarte meringuée au citron, thé à la menthe. Pontgibaud. Ussel. Brive. Quitté l’autoroute à Cahors-Sud comme d’habitude. Pern. Saint-Cyprien. Lauzerte. Valence-d’Agen. À Plieux vers 1 heure du matin, Pierre couché depuis longtemps. Autoportrait dans la lumière de la lune, pas mal. Journal, assez minimal. Couché à 2 h. et ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mardi 29 septembre 2015, 10 h 02Lundi 28 septembre 2015. Saint Venceslas — 271/94. Plieux. Assez bien dormi. Levé à 8 h 20. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et vue de Rumilly prise du bout du chemin de la Grange rouge. Répondu à Jérôme Dupuis. Agenda. 11 :12 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, agenda de la veille et autoportraut de la nuit, vue générale de Rumilly. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, fontaine aux Cygnes à Rumilly, détail du triptyque de La Tour du Pin, château du Rocher du Roi à Aix-les-Bains (Jules Pin pour Jean Archiprêtre, 1900). Réponses, entretien pour le National Zeitung. Promenade avec Pierre dans la vallée, jusqu’au deuxième gué. Atelier, Nature morte à la carafe d’eau, l’ai blanchie, vernie et “craquelée”. Lecture par Pierre du Quijote, arrivée de la duègne-comtesse. Communiqué pour l’In-nocence & le NON (sur le banissement du mot “race”). Dîné aux nouvelles, petites quenelles sauce armagnac et jardinière de légumes. Vu sur la chaîne Histoire une émission sur Joseph Bonaparte puis une autre sur Lucien, prince de Canino. Lu le livre de Gérard Pince pour en écrire la préface. Journal, mais tombe de sommeil dès les premiers mots. Couché à minuit et ½.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 30 septembre 2015, 9 h 30Mardi 29 septembre 2015. Saint-Michel — 272/93. Plieux. Très bien dormi, levé à 7 h & ½ avec Pierre. Beau temps. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et La Comète de Donati, tableau de Gabriel Loppé, musée du château d’Annecy. Comptes : 13868,75 (dont 13.000 subventions de l’État pour les travaux de la tour, à transférer) / vir. CPAM d’Auch, + 31,20 / id., + 8,10 / “À venir”, - 3197,76. Agenda. 09 :56 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, La Comète de Donati de Gabriel Loppé (1858), fontaine aux Cygnes à Rumilly (1860), château de la Roche du Roi à Aix-les-Bains (1900), triptyque de La Tour du Pin, 1542, dét., la cité fortifiée. Cinq journées de juillet 1982, fini juillet, départ pour l’Espagne, midi de la France avec Flatters et Pamela Valette. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, Impérial Palace d’Annecy, femme voilée à Rumilly, château d’Annecy à travers un vitrail. Bain. Longue conversation téléphonique à propos de Finkielkraut avec le gentil Jérôme Dupuis, pour L’Express. En sortant pour me promener, tombe sur une réunion de chantier dans la cour dont je ne m’étais pas avisé, mais M. Thouin n’est pas enccore arrivé. Vais faire mon tour dans la vallée, jusqu’au premier gué, descendu et remonté par le chemin de la rivière, temps très agréable, ensoleillé et frais. Au retour, retrouve ces messieurs au sommet de la tour, en grande conversation sous les poutres, tout tassés : M. Thouin, M. Manoer, jeune représentant de la maison Sourbès. M. Thouin m’apprend qu’on ne dispose toujours pas de l’autorisation définitive, mais les tergiversations ultimes sembleraient porter seulement sur le système de fermeture des volets. Photographié la couverte 60x60 n° 76, Nature morte à la carafe d’eau, terminée la veille, mais le bord supérieur est encore a retoucher. Atelier, bloc de bois rectangulaire trouvé dans la tour, le peint (depuis la veille). Lecture par Pierre du Quijotte, Don Quichotte et Sancho sur Chevillard. Communiqué pour l’In-nocence, les terrains à bâtir. Lecture du livre de Gérard Pince. Dîné aux nouvelles, excellente omelette aux pommes de terre et aux champignons, restes d’une tarte aux épinards préparée pour dimanche soir. Film récent de Woody Allen, Magic in the Moonlight, 2014, bien faiblard. Continué la lecture du livre de Gérard Pince. Journal. Couché peu après 1 h.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 1er octobre 2015, 12 h 04Mercredi 30 septembre 2015. Saint Jérôme — 275/92. Plieux. Levé à 7 h 20. Temps pâle. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, dans la salle des Pierres, de profil, très timbre-poste, et Nature morte à la carafe d’eau, dét. Comptes : + 13.818,67 / prél. Orange, - 141,42 / vir. Institut de retraite comp., + 91,34 / “À venir”, - 3.112,34 // Comptes de crédit immobilier, - 36.630,60. Agenda. 09 :23 /// Le Jour ni l’Heure, agenda et autoportrait de la veille, Nature morte à la carafe d’eau, dét., Impérial Palace et château d’Annecy, femme voilée à Rumilly. Été avec Pierre à Fleurance, rendez-vous avec Mlle Colin à la B.N.P., nous dissuade de faire servir la subvention de l’État à un remboursement partiel de l’emprunt, ce qui entraînerait de coûteuses pénalités (!!!) : plutôt laisser l’argent sur le compte et le faire servir au paiement direct des factures (ou au remboursement prévu, mensuel, de l’emprunt). Poste, envoyé l’exemplaire n° 1 de l’album Le Jour ni l’Heure 2014 à M. Antoine Granger. Pharmacie. Rentré à midi et demie. Le Jour ni l’Heure, immeubles récents à Rumilly, couverte 60x60 n° 76, Nature morte à la carafe d’eau (La Table de verre). Visiteurs, stagiaires au Prieuré, assez difficiles, totalement inintéressés par l’“art carbonique” (dixit Pierre, qui les reçoit). Lis Quignard dans la tour Saint-Clar. Reçu de livre de Robert Redeker sur la vieillesse. Journal 2015, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Visiteurs sur rendez-vous, personnes des Vieilles Maisons françaises, châtelains de la Somme (Pierre, et re-Quignard dans la tour). Atelier, bloc de bois, lecture par Pierre du Quijote, conseils de Don Quichotte à Sancho Pança pour le gouvernement de son île. Dîné aux nouvelles, raviolis aux cêpes et jardinière de légumes, poires à la vapeur et framboises, vu Cartel (The Counselor), de Ridley Scott, 2014. Commencé à écrire la préface du livre de Gérard Pince, Le Choc des ethnies, sans l’avoir lu entièrement. Journal. Autoportrait. Couché à 1 h & ½.
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