Le Jour ni l’Heure
juillet 2017
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le samedi 1er juillet 2017, 17 h 33
modifiée le dimanche 2 juillet 2017, 19 h 14Samedi 1er juillet 2017. Saint Thierry — 183/183. Mouline de Belin, Lectoure. Assez peu dormi, réveillé à six heures, par rien, sans doute parce que je m’étais couché plus tôt que d’habitude — la chambre est parfaitement silencieuse. Essayé de me rendormir, presque en vain. Déjeuné à la table d’hôtes avec deux pèlerines de Saint-Jacques, dames du Pas-de-Calais, venues du Puy qui partent à pied pour La Romieu. Pain d’épices, beurre, confitures. Parlé avec l’hôtesse, Mme A., qui nous montre aussi le gîte rural attenant. Fait seuls un tour du domaine, dans son très joli vallon. Difficultés avec la voiture, l’ouvre-porte ne marche plus, pendant une dizaine de minutes. Rentrés à la maison vers 11 heures. Temps très gris et pluvieux. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit, à la Mouline de Belin, et portrait de Tomas Meabe (fondateur des Jeunesses socialistes espagnoles) par Alberto Arrue, musée de Bilbao, lundi 29 mai 2017. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, El Arenal al fondo, tableau de Maria Purificacion Herrero, 1999, et La Sainte Face, de Zurbaran, musée de Bilbao toujours, plus château d’Amou, dans les Landes, même 29 mai 2017. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, tableau de l’Italie en 1492, Savonarole, Ludovic Sforza, préparatifs de Charles VIII, offre de Bajazet (qu’Henri Martin lui conseille en vain d’accepter). Dormi un peu avec Pierre. Comptes : Dernière connexion le 30/06/2017 à 15h51 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -1.723,70 € /// Crédits -103.493,63 € /// Solde au 30/06/2017 -1.723,70 € /// À venir -759,88 € | Prévisionnel -2.483,58 € Débiteur depuis 1 jour /// 30/06 FACTURE CARTE DU 090617 EDIT J.LAFITTE LEVALLOIS PER C -640,00 € (???????? Ah, si, Who’s Who) /// 30/06 PRLV SEPA URSSAF RHONE ALPES - CNCESU CE ECH/30061 -547,28 € /// 30/06 FACTURE CARTE DU 26/06/17 BLURB, INC. CARTE 4974XXXXXXXX -267,81 (quatre albums photographiques, 2 En Lomagne, 2 Le Portrait de Mme L., un standard, un “supérieur” (relié)) /// € 30/06 FACTURE CARTE DU 070617 FLEURONS LOMAGN LECTOURE CARTE -163,35 € (courses dîner chez Marcheschi, foie gras, vin) /// 30/06 VIR SEPA RECU /DE DAVID JORDAN /MOTIF VERSEMENT DE SOU +100,00 € (mécénat) /// 30/06 FACTURE CARTE DU 080617 TOTAL BRIIS S FORGE CARTE 4974 -95,12 € (carburant) 30/06 FACTURE CARTE DU 030617 AMAZON PAYMENTS PARIS2441535/ -73,12 € 30/06 VIR SEPA RECU /DE AMAZON MEDIA EU SARL /MOTIF PAYMENT. +66,69 € /// 30/06 FACTURE CARTE DU 20/06/ 17 AMAZON EU SARL PARIS2090401/ C -62,11 € (livres de Gunther Anders, dont un que nous avions déjà) /// 30/06 FACTURE CARTE DU 290517 LIBRERIA MUSEO CARTE 4974XXXXX -55,00 € (Bilbao, catalogues) /// 30/06 FACTURE CARTE DU 120617 INDIGO PARIS 000000750701/ CAR -39,60 /// € 30/06 FACTURE CARTE DU 090617 ECUME DES PAGES PARIS EME AR C -38,50 € 30/06 FACTURE CARTE DU 030617 AMAZON PAYMENTS PARIS2441535/ -25,27 € /// 30/06 FACTURE CARTE DU 030617 ADY*LULU CARTE 4974XXXXXXXX450 -22,78 € /// 30/06 FACTURE CARTE DU 090617 CAFE DE FLORE PARIS CARTE 4974 -20,00 € (sandwich, verre de vin) /// 30/06 FACTURE CARTE DU 08/06/17 COFIR LA FOLIE- RUEIL MALMAIS -19,60 € (dîner aire d’autoroute) ///30/06 FACTURE CARTE DU 090617 CLUNY SORBONNE PARIS 05 CARTE-17,50 € (librairie Compagnie ?) /// 30/06FACTURE CARTE DU 080617 TOTAL GIDY CARTE 4974XXXXXXXX -9,45 € /// 30/06 FACTURE CARTE DU 080617 ASF GIGNAC RUEIL MALMAIS CARTE -9,10 € /// 30/06 FACTURE CARTE DU 030617 AMAZON PAYMENTS PARIS2441535/ -8,51 € /// 30/06 FACTURE CARTE DU 030617 AMAZON EU SARL PARIS2090401/ C -6,78 € /// (quid du Bourgogne et Montana ? Pierre ?) [oui : c. 600 € (deux nuits)] /// Agenda. Groupe de visiteurs (4). 17:37:39 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant la nuit, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Atelier, L’Échelle. Lecture par Pierre du Travailleur. Dîné aux nouvelles, raviolis aux cèpes, jardinière de légumes, salade verte aux avocats. Poire à la vapeur et framboises. Un peu d’un film de Christian-Jaque, quelque chose des Anges. Remonté vers neuf heures et demie. Réduit l’entretien pour l’Institut des Hautes Études Politiques et Stratégiques de 10.000 à 9.000 signes. Quitté la maison et Plieux à 11 heures. Regagné la Mouline de Belin, dont nous avons la clef. Autoportrait. Lu Günther Anders. Journal. Couché à une heure.
lire l’entrée du samedi 1er juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 2 juillet 2017, 23 h 09
modifiée le lundi 3 juillet 2017, 9 h 30Dimanche 2 juillet 2017. Saint Martinien — 183/182. Lectoure, Mouline de Belin. Bien dormi, réveillé par une nuit noire, mais rendormi. Très joli rêve sur une très belle petite ville très prospère et très lancée nommée Marus. Levés à 8 heures moins le quart. Sortis nous promener et faire des photographies avant le petit-déjeuner. Temps gris et pluvieux, malheureusement. À notre retour l’hôte nous explique l’histoire et le fonctionnement du moulin, avec une maquette très détaillée. Petit déjeuner peut-être un peu tendu (par en-dessous) mais poli avec une jeune femme d’origine basque mais vivant à Marseille, venue avec son compagnon faire une conférence à Lectoure sur la maison d’édition L’Épure et sur Trente façons de saucer,son livre. L’hôtesse explique en grand détail toutes les confitures et la fabrication du pain, et un excellent gâteau de millet. Pain grillé, beurre, confitures, gâteau plat, donc. Partons assez vite après. Passé à la jolie chartreuse de Vacquier, ou Bacquier, 1784, sur le plateau qui domine la mouline — très belle vue sur Lectoure, mais le temps est très gris. À Plieux vers onze heures, comme la veille. L’Arrière-Pays toute la journée, beaucoup d’échanges assez intéressants, parfois tendus, en particulier avec M. Jean Messiha, le responsable du programme du FN. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit précédente, à la Mouline de Belin, et quatre photographies du jour même, deux de la Mouline, par temps très gris et même pluvieux (l’une volontairement floue), l’une de la cathédrale de Lectoure vue de Vacquier, et l’une de Vacquier même, ou Bacquier, ou Bacquié. Notturno de Schœck. Bain, lecture par Pierre d’Henri Martin, Charles VIII en Italie, Milan, Plaisance, Florence, Rome, rapports avec Alexandre VII. Suite de la mise en place des photographies de Le Jour ni l’Heure. L’Arrière-Pays. Atelier, L’Échelle, mais on n’y voit pas grand chose. Lecture par Pierre de Jünger, Le Travailleur, passage assez déplaisant sur la culture. Dîner aux nouvelles, tarte aux champignons, poireaux et carottes, salade verte, poire à la vapeur et framboises. Vu un peu de La Poursuite du diamant vert, peu, puis promenade avec Pierre sur le flanc nord et retour à travers le village en fête, encore beaucoup de monde pour le troisième soir, mais nous avons décidé de rester. L’Arrière-Pays, échanges avec M. Messiha, cette fois-ci en PM. Agenda. 23:03:54 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Journal. Grand vacarme de la troisième nuit de la fête à Plieux, mais ça s’arrête à deux heures. Autoportrait. Couché vers trois heures.
lire l’entrée du dimanche 2 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 3 juillet 2017, 9 h 34
modifiée le mardi 4 juillet 2017, 9 h 26Lundi 3 juillet 2017. Saint Thomas — 184/181. Plieux. Assez bien dormi, levé à huit heures moins le quart. Temps très gris, brumeux, bas et pluvieux. L’Arrière-Pays, autoportrait de la nuit et grand tableau de Jean-Louis Germain, quatre grands figures masculines (c. 1985 ??? ou années 2000 ?), château de Cauzac, dimanche 4 juin 2017. Agenda. 09:34:09 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Relu et envoyé l’entretien pour l’Institut (italien) des Hautes Études Stratégiques et Politiques (IASSP), 9000 signes (après réduction). Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, Chronologie, tableau de Joaquin Sorolla, La Mesa petitoria, 1892, musée de Bilbao, et château de Gaujacq, 1693, les deux du lundi 29 mai 2017 ; et atelier de Jean-Louis Germain à Cauzac, dimanche 4 juin 2017. Bain. Dictionnaire des délicatesses du français contemporain, article “musique”. Dormi un peu avec Pierre. Atelier, L’Échelle, mais j’y vois mal, il faudrait peut-être la sortir. Lecture par Pierre du Travailleur, à quoi je ne comprends décidément pas grand chose. Dîné aux nouvelles, semoule, lentilles, œuf à cheval, poire à la vapeur et framboises. Vu (ou revu ?) Légendes d’automne, d’Edward Zwick, 1994, d’après Jim Harrisson, avec Brad Pitt, Anthony Hopkins, Julia Ormond. Promenade sur le plateau, village parfaitement remis en ordre après la fête, Pierre protège un minuscule lapin harcelé par un chat. Forte lumière de la lune. Marché jusqu’à l’embranchement La Rouquette / La Bonnefont. L’Arrière-Pays. Vaisseaux brûlés, Éric Laurrent, Clara Stern, Anders. Index des Églogues et des Vaisseaux brûlés, Éric Laurrent. Journal. Couché à deux heures et demie. (Journée excellemment administrée, sauf inutiles traînasseries sur la fin).
lire l’entrée du lundi 3 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mardi 4 juillet 2017, 9 h 30
modifiée le mercredi 5 juillet 2017, 18 h 12Mardi 4 juillet 2017. Saint Florent — 185/180. Plieux. Levé (par erreur) à 7h 20, Pierre déjà parti (pour Condom). Beau temps. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, avec Timor, et Le Lit, tableau de Jean-Louis Germain photographié à Cauzac le dimanche 4 juin 2017, après dîner. Agenda. 09:30:10 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, trois photographies du jeudi 25 mai, départ pour Pau et Bilbao, château et église de Flamarens, château de Herrebouc, très curieuse et somptueuse ville basque de 1942, à la sortie de Maubourguet vers les Pyrénées. Bain. L’Arrière-Pays, beaucoup d’agitation toute la journée autour d’une émission de Canal + où une dame Oberti (Valérie ? Virginie ?), journaliste, s’indigne de mon invitation à France Culture, à la grande approbation de Yan Barthès et de l’ensemble du plateau. Communiqué pour l’In-nocence (n° 2003, sur le discours d’Emmanuel Macron à Versailles). Écrit à Patrice de Rambuteau. Écrit à Me Rimokh (par mail). Atelier, L’Échelle. Lecture par Pierre du Travailleur, mais je décroche de plus en plus. Dîné aux nouvelles, pizza du pizzaiolo en camion, que Pierre est allé chercher à L’isle-Bouzon (la pizza). Salade verte. Poire à la vapeur et framboises. Regardé L’Enlèvement des Sabines, 1961, de Richard Pottier, avec Roger Moore et Mylène Demongeot. Promenade avec Pierre au Cassé, retour par la boulevard extérieur. Dictionnaire des délicatesses du français contemporain, article “musique”, suite. Vaisseaux brûlés, Éric Laurrent, éditions de Minuit. Index des Églogues et des Vaisseaux brûlés, Éric Laurrent. Journal. Couché à deux heures et demie.
lire l’entrée du mardi 4 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 5 juillet 2017, 18 h 34
modifiée le jeudi 6 juillet 2017, 18 h 47Mercredi 5 juillet 2017. Saint Antoine-Marie — 186/179. Plieux. Levé peu avant huit heures. L’Arrière-Pays, suite de l’agitation autour du morceau d’émission de Canal Plus me concernant. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, au vase sacrificiel, et portrait de Jeanne d’Autriche, princesse du Portugal, par Sanchez Coello, au musée des Beaux-Arts de Bilbao le 29 mai 2017. L’Arrière-Pays, suite de l’agitation autour de l’émission Oberti/Barthès, d’où grand retard. Le Jour ni l’Heure, trois autres œuvres du musée de Bilbao le 29 mai, Tête de femme (sa mère), de Markus Lüpertz (bronze, 1987), Le Dormeur du val, toile d’Anselm Kiefer, 2014, dét., et Le Médiateur (!), 1982, d’Hubert Schmalix. Café avec Pierre. Bain, lecture par Pierre d’Henri Martin, vol. VIII, Charles VIII en Italie, voyage de retour vers la France, la bataille de Fornoue, 1495. L’Arrière-Pays, cartons meyeriens. Visite convenue de l’ancien sous-préfet et de son troisième fils, Clément, préparateur en mathématiques à Stanislas. Thé, macarons de Valence-d’Agen (Labat), excellents (if I may say so myself). Comptes : Dernière connexion le 01/07/2017 à 17h17 //// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -1.385,97 € /// Crédits -103.493,63 € //// Solde au 04/07/2017 -1.385,97 € /// À venir -1.767,56 € | Prévisionnel -3.153,53 € Débiteur depuis 5 jours /// 04/07 PRLV SEPA CANALSAT - GROUPE CANAL PLUS ECH/040717 -76,00 € /// 04/07 PRLV SEPA CANAL PLUS ECH/040717 ID EMETTEUR/FR16ZZ -39,90 € /// 04/07 COMMISSIONS COTISATION ESPRIT LIBRE -22,05 € 04/07 FRAIS DE TENUE DE COMPTE AVEC REMISE -1,25 € /// 03/07 VIR SEPA RECU /DE SOFIA /MOTIF CPN /REF +476,93 € (lectures dans les bibliothèques ?) /// Solde au 04/07/2017 -103.493,63 € /// À venir 0,00 € | Prévisionnel -103.493,63 € /// Agenda. 18:34:16 //// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Atelier, L’Échelle. Lecture par Pierre de Jünger, Le Travailleur. Dîné aux nouvelles, tarte aux champignons, carottes et poireaux, salade verte. Poire à la vapeur et framboises. Vu un peu d’un film américain Renaissance (Self/less), 2015, de Tarsem Singh, avec Ryan Reynolds et Ben Kingsley. Promenade avec Pierre sur le plateau, rentrés par le chemin de La Rouquette à Enduré. Journal 2017, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Entretien pour Breizh.Info. Pas de journal, l’entretien fera l’affaire.
lire l’entrée du mercredi 5 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 6 juillet 2017, 19 h 10
modifiée le vendredi 7 juillet 2017, 10 h 48Jeudi 6 juillet 2017. Sainte Marietta Goretti — 187/178. Plieux. Levé à huit heures dix, Pierre déjà parti. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et Denis, fons vert, portrait de Jean-Louis Germain, 2000, dét., vu à Cauzac le dimanche 4 juin 2017. Continué l’entretien pour Breizh.Info, l’ai relu, et expédié vers midi. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, deux photographies du 25 mai 2017, clocher de l’église Saint-Orens de Larreube, près de Maubourguet, et façade au soleil de l’église de Morlaàs, le soir ; autre tableau de Jean-Louis Germain, Paysage, 1985, 4 juin 2017 à Cauzac. Troisième puis deuxième quatuor de Schoeck. Bain. Un visiteur, homme de mon âge à peu près, fort civil, originaire de Provence mais vivant par choix dans le Morbihan, en cure à Lectoure et satisfait d’elle est de ses résultats. Montons dans la tour. N’aime pas Soulages mais apprécie Marcheschi. Le Jour ni l’Heure, photographies, mise en ligne. L’Arrière-Pays. Comptes : Dernière connexion le 05/07/2017 à 18h29 /// Bonjour M. CAMUS Avoirs -3.153,53 € (ouille…- /// Crédits -103.493,63 € /// Solde au 05/07/2017 -3.153,53 € /// À venir 205,22 € | Prévisionnel -2.948,31 € Débiteur depuis 6 jours /// 05/07 CHEQUE 5947169 -889,20 € (Céline) /// 05/07 PRLV SEPA CREDIPAR ECH/050717 ID EMETTEUR/FR21ZZZ1 -759,88 € (voiture) /// 05/07 PRLV SEPA CARDIF ASSURANCE VIE ECH/050717 ID EMETT -118,48 € (assurance pour l’emprunt). Crédit immobilier : Solde au 05/07/2017 -103.493,63 € /// À venir 0,00 € | Prévisionnel -103.493,63 €. Agenda. 19:09:52 //// Atelier, L’Échelle, petit bloc de bois. Dîné seul, Pierre au collège pour la soirée de fin d’année. Cocktail de blinis, restes de tarte aux champignons et anchois, assez indigeste. Vin rosé. Poire au four à la confiture de figues. Regardé Chantage, premier film parlant d’Hitchcock, tout de même assez sommaire. Marché seul sur le plateau, jusqu’à l’embranchement La Rouquette / La Bonnefont (on y voit comme en plein jour). Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Mise en ligne en guise de journal de la veille de l’entretien pour Breizh Info, dont je m’aperçois à cette occasion qu’il abonde en fautes (que je fais corriger). Tweets, collection de tweets récents. Journal. Couché vers une heure et demie, après le retour de Pierre.
lire l’entrée du jeudi 6 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le vendredi 7 juillet 2017, 10 h 58
modifiée le samedi 8 juillet 2017, 17 h 35Vendredi 7 juillet 2017. Saint Raoul — 188/177. Plieux. Levé à 8 heures. Très beau temps clair, pas trop chaud (jusqu’à présent). Entretien paru dans Breizh.Info, mais il ne semble pas intéresser grand monde. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et portrait posthume, 1600, de don Diego de Covarrubias y Lieva, 1512-1577, évêque de Ségovie puis de Cuenca, président du Conseil de Castille, par La Greco, musée Greco de Tolède, vu en prêt au musée des Beaux-Arts de Bilbao, avec Pierre & Jeanne, lundi 29 mai 2017. Comptes : Dernière connexion le 06/07/2017 à 19h05 /// Bonjour M. CAMUS Avoirs -2.948,31 € ///Crédits -103.493,63 € /// Solde au 06/07/2017 -2.948,31 € À venir 0,00 € | Prévisionnel -2.948,31 € Débiteur depuis 7 jours /// 06/07 VIR SEPA RECU /DE SCAM /MOTIF S C A M /REF VRT SEPA 17 +205,22 € (???) /// Agenda. 10:57:36 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Tél. de Karim Ouchikh, longue conversation avec lui sur un projet sien de pétition. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, donjon de Bassoues (corr. aut. : Basques) le jeudi 25 mai 2017, avec Pierre et Jeanne, et deux tableaux du musée de Pau le 26, Paysage d’Algérie, de Marius de Bouzon, 1879-1958, et Intérieur ensoleillé, 1935, de Blanche Camus, 1884-1968. Les trois sonates pour violoncelle et piano de Martinu. Bain. L’Arrière-Pays. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Communiqué pour l’In-nocence n° 2004, “Sur les projets de réforme du baccalauréat”. Atelier, L’Échelle, et Insoumission, exemplaire unique. Lecture par Pierre du Travailleur. Dîné aux nouvelles, reste du grand dîner du collège, canapés chauds divers, pizzas, quiches, saucisses, filets de harengs, salade de semoule, fenouil, olives, etc. Vin rosé. Dessert du collège, miettes de biscuit au chocolat enrichi par nos soins de myrtilles. Vu une partie d’un film, mais j’ai oublié quoi [Futures vedettes, 1955, de Marc Allégret, d’après Vicky Baum — on y voit Brigitte Bardot chanter la Mort d’Isolde…]. Promenade avec Pierre au Cassé, retour par le boulevard extérieur. Travaillé au texte de la pétition Ouchikh. Mis au point une première version. Journal. Couché vers une heure.
lire l’entrée du vendredi 7 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le samedi 8 juillet 2017, 17 h 31
modifiée le dimanche 9 juillet 2017, 12 h 26Samedi 8 juillet 2017. Saint Thibaut — 189/176. Plieux. Réveillés par Céline dans la bibliothèque. Levés à 8 heures et demie. Assez beau temps. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et dét., la plaie, du Chrit de miséricorde, c. 1485, de Diego de la Cruz au musée des Beaux-Arts de Bilbao le lundi 29 mai. “Répliques”, Alain Finkielkraut reçoit Sylvain Tesson et quelqu’un d’autre [Frédéric Gros], rediff. L’Arrière-Pays, beaucoup d’activité. Répondu à Afchine d’Avoudy. Le Jour ni l’Heure, trois tableaux du musée de Pau le vendredi 26 mai 2017, Blanche Camus, Après-midi d’été, André Gorse, Inondation près de Guiche, 1882, Debat-Ponsan, Le Sillon, 1897. Concerto pour violoncelle de Schœck et Sommernacht. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, retour de Charles VIII en France par Pise et Asti, son séjour à Lyon, 1496. Dormi un peu avec Pierre. Visiteurs. Comptes : Dernière connexion le 07/07/2017 à 10h54 /// Bonjour M. CAMUS // Avoirs -2.948,31 € /// Crédits -103.493,63 € /// Solde au 07/07/2017 -2.948,31 € /// À venir 0,00 € | Prévisionnel -2.948,31 € /// Débiteur depuis 7 jours /// Agenda. 17:30:04 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Atelier, L’Échelle, qui décidément ne prend pas bonne tournure, Commencé une couverte 60x60 a fond blanc, grumeleux. Lecture par Pierre du Travailleur, auquel je suis de plus en plus étranger. Dîné aux nouvelles, excellente omelette aux pommes de terre et aux champignons, salade de riz, semoule, œufs, jambons, fenouil, olives, etc. Poire à la vapeur et framboises. Vu plusieurs choses en zappant mais principalement Broken City, 2013, de Allen Hughes, avec Mark Wahlberg et Russell Crowe. Marché avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l‘embranchement La Rouquette / La Bonnefont. Travaillé au texte de la pétition Ouchikh, avec beaucoup de difficultés à respecter la contrainte autoimposée des mille cinq cents signes. L’envoyée avant minuit comme convenu (11:59…). Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Journal. Couché à une heure et demie.
lire l’entrée du samedi 8 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 9 juillet 2017, 12 h 34
modifiée le lundi 10 juillet 2017, 12 h 00Dimanche 9 juillet 2017. Sainte Amandine — 190/175. Plieux. Bien dormi. Levé un peu avant huit heures. Temps très gris, assez frais. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et buste d’homme du IIe s., d’origine syrio-romaine, musée des Beaux-Arts de Bilbao, lundi 29 avril 2017. L’Arrière-Pays, très activement toute la matinée. Agenda. 12:33:50 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie, trois tableaux du musée des Beaux-Arts de Pau, vus le vendredi 26 mai 2017 : Georges Michel, Le Moulin d’Argenteuil, c. 1830 ; Stanislas Lépine, La Pêche à l’épervier, 1880 ; Émile René Ménard, Baigneuses sur la grève, 1920 — mis en ligne, mais pas le temps de les “traiter”, après midi très agitée. Café avec Pierre. Pièces diverses de Thomas Ades, dont les Five Eliot Landscapes. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, les affaires d’Italie toujours, chute et mort de Savonarole, mort de Charles VIII. Nouvel entretien pour “Boulevard Voltaire”, à propos des déclarations de Mgr l’archevêque de Strasbourg sur le Grand Remplacement. Pas mal de visiteurs, dont une dame qui vit à Genève, amie de feue Mme Tschann, très aimable. M. Christophe Fois, de Tours, lecteur, avec son épouse, me fait signer une dizaine de volumes, montent au sommet de la tour avec Pierre, suis hélés assez contraint par l’entretien pour “Boulevard Voltaire” à expédier d’urgence, ce qui est fait à sept heures et demie. Téléphonage de Karim Ouchikh, à propos de la pétition, dont il a un peu modifié et allongé le texte. Dîné aux nouvelles, tarte aux champignons, carottes et poireaux, salade verte et avocats. Poire à la vapeur et framboises. Vu un peu d’un film sans queue ni tête avec le sexy Jason Stratham. Promenade sur le plateau avec Pierre, jusqu’à l‘embranchement La Rouquette / La Bonnefont. Échanges divers en vue de traduction de la pétition. Journal de la veille, sans parvenir à le mettre en ligne. Journal. Couché à deux heures.
lire l’entrée du dimanche 9 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 10 juillet 2017, 12 h 07
modifiée le mardi 11 juillet 2017, 11 h 03Lundi 10 juillet 2017. Saint Ulrich — 191/174. Plieux. Levés à huit heures. Temps pluvieux. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et beau dét., Saint Joachim et sainte-Anne devant la Porte Dorée, c. 1450-1460, d’un panneau d’un maître aragonais anonyme, musée des Beaux-Arts de Bilbao, lundi 29 mai 2017. Publication de mon entretien dans “Boulevard Voltaire”. L’Arrière-Pays. Tél. de Philippe Martel, qui viendrait la semaine prochaine. Agenda. 12:06:59 //// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Le Jour ni l’Heure, trois photographies prises au musée des Beaux-Arts de Pau le vendredi 26 mai 2017, deux détails du Bureau de coton à La Nouvelle-Orléans, de Degas, 1873, et buste de Degas, 1907, par Paul Paulin, né à Chamalières en 1852. Bohulav Martinu, les deux concertos de violoncelle. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, portrait enthousiaste de Louis XII. Journal 2017, entrée de l’avant-veille, relecture et mise en ligne. Forte douleur au bas du dos, “tour de rein”, lumbago (?), semi-paralysie. Atelier ce-néanmoins, couverte 60x60 blanc jaune rose et gris. Dîner aux nouvelles, raviolis aux cèpes, jardinière de légumes, salade verte, poire à la vapeur et framboises. Vu un peu de quelque chose, mais j’ai oublié quoi. Promenade avec Pierre sur le plateau, croisé les Coulet-Lavaudan devant Saint-Vidal, parlé avec eux de mes maux, marché avec Pierre jusqu’à l’embranchement La Rouquette/ La Bonnefont, passé chez eux au retour pour y prendre un “patch” irradiant contre les inflammations locales, que Pierre m’applique au retour. L’Arrière-Pays. Journal 2017, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Dictionnaire des délicatesses du français contemporain, article “musique”, suite. Journal. Couché vers 2 heures, non sans mal.
lire l’entrée du lundi 10 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mardi 11 juillet 2017, 11 h 10
modifiée le mercredi 12 juillet 2017, 9 h 46Mardi 11 juillet 2017. Saint-Benoît — 192/173. Plieux. * Levés à huit heures et quart, mais cette fois-ci je peux à peine bouger. Doliprane. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et détail de La Danse, toile, 1970, de Carmelo Ortiz de Elgea [corr. autom. : Igea] au musée de Bilbao, avec Jeanne et Pierre, lundi 29 mai 2017. L’Arrière-Pays, mais peu. Agenda. 11:09:15 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, trois tableaux ou détails de tableaux du musée des Beaux-Arts de Pau le vendredi 26 mai 2017 : Raffaelli, L’Allée aux platanes (dét., la maison rose) ; Henri Rouart, Une allée à La Queue-en-Brie, dét., homme qui marche tout à fait dans le fond ; Albert Lebourg, Notre-Dame vue du quai de la Tournelle. Concertos pour orchestre et pour quatuor à cordes de Martinu. Café avec Pierre. Écrit au Cercle Royal gaulois de Bruxelles et à un homme qui voulait que j‘écrive à l’Avocat Général Bilger pour lui dire que j’étais prêt à accepter une invitation à dialoguer de sa part. Journal 2017, entrée de la veille relecture et mise en ligne. Atelier, couverte 60x60 n° 80 (?), mais elle ne va nulle part. Bain tardif. Sortis immédiatement après pour aller chez les Coulet-Lavauden à 7 heures. Promenade dans leur belle Jaguar pour leur montrer Brimont, face à Castéra-Lectourois, qu’ils n’ont pas trouvé sur mes seules indications ; flop total, l’endroit a été passablement abîmé, on ne peut pas s’en approcher et il ne les intéresse pas du tout. Passés à Castéra-Lectourois et revenus vers Lectoure par la route du bas, très jolie. Passés près de la mouline de Belin, dans la jolie vallée. Retour à Plieux, chez les Coulet-Lavauden. Autoportrait dans leur salon rouge. Tour au jardin avec M. Caulet. Champagne, rouleau divers, chauds, sur la terrasse, puis dîner idem, salade aux œufs de caille, magret au melon, coupe de fruits et de glace. Infusion. Rentrés vers une heure, moi toujours très peu ingambe. Journal. Couché à deux heures.
lire l’entrée du mardi 11 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 12 juillet 2017, 10 h 02
modifiée le jeudi 13 juillet 2017, 12 h 22Mercredi 12 juillet 2017. Saint Olivier — 193/172. Plieux. Peu dormi, réveillé à deux heures et demie, levés peu après sept heures, moi toujours à demi-paralysé du bas du dos, douloureux. Temps très gris. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, dans le salon groseille de l’hôtel Lavauden, et dét., le livre et la clef, du Saint Pierre en larmes de Murillo au musée des Beaux-Arts de Bilbao. La gentille petite-fille de Céline, Mlle Vénécia, ici. Pierre accroche dans la salle des Pierres Mobilisation générale (au-dessus de la porte gauche du jardin) et Oiron I (le “petit”, 80x80), au dessus de la porte du “dépôt”, sous la frise ; aussi le grand Souvenir d’Uchon dans l’atelier. Comptes : Dernière connexion le 08/07/2017 à 17h27 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.862,86 € /// Crédits -102.588,02 € /// 11/07 REMISE CHEQUES BORDEREAU 03143788 +64,00 € //// 10/07 VIR SEPA RECU /DE CAISSE D ASSURANCE RETRAITE ET DE LA+1.139,22 € /// 10/07 ECHEANCE PRET 01038 60311711 -1.117,77 € //// Crédit immobilier : Solde au 11/07/2017 -102.588,02 € /// À venir 0,00 € | Prévisionnel -102.588,02 € /// Agenda. 10:01:41 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, trois tableaux du musée des Beaux-Arts de Pau photographiés le vendredi 26 mai 2017, Gaston Balande, Le Pont d’Eyguine, 1936 : Gaston Balande, Improvisation, 1923 ; Armand Guillaumin, Paysage de la Creuse, c. 1900. Piano de Debussy par Samson François. Bain. Lecture d’Henri Martin par Pierre, Louis XII en Italie, coalition contre Ludovic le More. Dormi un peu avec Pierre mais réveillé par le chien de Mme Le Coz, très excité toute l’après-midi. Tél. de Karim Ouchikh. Me fait part de l’envoi d’un message que je n’ai pas reçu, le cherche dans le courrier dit “indésirable”, et tombe sur l’annonce par Le Figaro de la mise en vente de mon cher château de Bonnabaud, celui de Mme Deschamps, à Saint-Pierre-le-Chastel, face au puy de Dôme. Très excité par cette nouvelle. Tâche d’appeler les propriétaires, en vain. Recherches diverses à ce propos, “crise fantasmatique”(je n’ai évidemment pas un sou pour l’acheter). Traduit en anglais notre pétition. Dictionnaire des délicatesses du français contemporain, article “musique”, suite. Attendons MM. Davoudi et du Bertrand qui doivent venir dîner, préparatifs divers, mais ils n’arrivent pas. M’aperçois finalement que je me suis trompé de jour, le jour convenu est mercredi prochain. Dînons en partie de ce qui avait été prévu pour eux, salade “J’y-fous-tout”, salade verte, poulet tiède, jambon, lardons, champignons, œufs mollet, mimolette, gorgonzola. Vin rosé. Poires à la vapeur et à la cannelle, framboises. Vu Les Misérables, de Richard Boleslawski, 1935, av. Fredrich March et Charles Laughton. Marché sur le plateau après, croisé les Caulet-Lavauden, conversation sur les différences entre le zona, le lumbago et la sciatique, recommandent de voir une rebouteuse (à Castet-Arrouy), puis un kinésithérapeute. Marché jusqu’au bout du chemin goudronné, après quoi il est trop boueux (grosses pluies). Grande agitation intérieur relative à Bonnabaud (850.000 €), suite. Demandes de traduction de la pétition Camus-Ouchikh. Journal. Couché à près de trois heures.
lire l’entrée du mercredi 12 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 13 juillet 2017, 12 h 33
modifiée le vendredi 14 juillet 2017, 16 h 48Jeudi 13 juillet 2017. Saints Henri et Joël — 194/171. Plieux. Assez bien dormi, levés à huit heures et quart, temps gris, suis toujours aussi endolori, tout le bas du dos est bloqué. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et bon portrait de l’archevêque de Valence don Juan Francisco Ximénez del Rio par Vicente Lopez, 1799-1800, photographié au musée des Beaux-Arts de Bilbao le lundi 29 septembre 2017. L’Arrière-Pays. Essayé de joindre mon cousin Pierre Chassaigne à propos de Bonnabaud. Chien Le Coz. Comptes : Dernière connexion le 12/07/2017 à 09h56 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.862,86 € /// Crédits -102.588,02 € /// Solde au 12/07/2017 -2.862,86 € /// À venir 0,00 € | Prévisionnel -2.862,86 € /// Débiteur depuis 13 jours (aucun mouvement). Agenda. 12:32:18 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Le Jour ni l’Heure, trois tableaux photographiés au musée des Beaux-Arts de Pau le vendredi 26 mai 2017 au matin : Kees van Dongen, portrait, 1924, de Mme Anne Diriant ; Georges Noël, The Shinto Garden, 1990 ; Émile Jacque, Une attelée en Brie, 1904. Piano de Schuman par Murray Perrahia, coffret envoyé par M. Bertrand Dermoncourt. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, règne de Louis XII, les affaires du Milanais, siège de Novarre, Ludovic le More. L’Arrière-Pays. Traduction de la pétition. Journal 2017, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Dictionnaire des délicatesses du français contemporain, article “musique”, suite. Atelier, repris L’Échelle. Entreprenons la (re-)lecture de L’Homme sans qualités, vaste entreprise. Dîné aux nouvelles, deuxième très bon repas (à mon gré) dû à l’erreur de la veille sur la date de venue d’invités : sala du Chef, poulet, jambon, champignons, croutons, mimolette, gorgonzola, etc. Vin rosé, pas assez transparent pour mon goût. Tarte aux poires, très industrielle. Vu un film français très bizarre des débuts du parlant et de Jean Gabin, Chacun sa chance, de Hans Steinhoff, 1930 ; puis Stéphane Bern sur Michel-Ange (raté ses amours). Promenade nocturne assez longue dans l’espoir qua cela pourrait soulager mes douleurs de… coccyx, hanches ? Large et beau tour sur le plateau, mais nous devons rentrer par la route départementale assez longuement, c’est sans doute assez dangereux. Pierre me met un autre patch. L’Arrière-Pays. Journal. Couché à deux heures.
lire l’entrée du jeudi 13 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le vendredi 14 juillet 2017, 12 h 31
modifiée le samedi 15 juillet 2017, 18 h 59Vendredi 14 juillet 2017. Fête Nationale (Férié) — 195/170. Levé à 8 heures. Toujours aussi mal au bas du dos (coxalgie ?). Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et beau paysage madrilène d’Aureliano de Berruete, 1909, musée des Beaux-Arts de Bilbao. Projets de cartons pour Marcel Meyer. Tél. de mon cousin Pierre Chassaigne, de son château du Cheix, à propos de Bonnabaud — il va me mettre en contact avec le représentant local de son agence Mercure. Comptes : Dernière connexion le 13/07/2017 à 12h29 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.862,86 € /// Crédits -102.588,02 € /// Solde au 13/07/2017 -2.862,86 € /// À venir -60,00 € | Prévisionnel -2.922,86 € //// Débiteur depuis 13 jours (aucun mouvement). Agenda. 12:30:23 ////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Le Jour ni l’Heure, deux détails d’un portrait de série de l’atelier de Velasquez ou de Juan Carreno de Miranda représentant l’infante Marguerite ou bien la reine Maria Anna, musée de Pau, vendredi 26 mars 2017, plus table aux éléphants, détail, hôtel Continental de Pau, même jour. K. 310 et 540, par Brendel. Bain, lecture par Pierre d’Henri Martin, deuxième campagne d’Italie de Louis XII. Très occupé tout la journée par la pétition, et par des difficultés techniques liées à elle. Bonnabaud très présent dans mon esprit, d’autre part. Journal 2017, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Pierre va à un vernissage au Prieuré. Combine laborieusement trois traductions en anglais de la pétition. Atelier, couverte 60x60 n° 80 (?), blanc, jaune, rose et gris. Troisième repas de “restes” du non-dîner Davoudi-du Bertrand, salade de poulet, gratin de patates douces, etc., mais cette fois sans vin. Revu Julietta, de Marc Allégret, avec Dany Robin et Jean Marais (et Jeanne Moreau), d’après Louise de Vilmorin. Marché avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement La Rouquette / La Bonnefont. Écrit à Karim Ouchikh (qui est à Fontgombault), au responsable technique de la pétition (peut-être un peu sèchement, par fatigue et manque de temps). Journal. Couché à deux heures.
lire l’entrée du vendredi 14 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le samedi 15 juillet 2017, 19 h 14
modifiée le dimanche 16 juillet 2017, 10 h 54Samedi 15 juillet 2017. Saint Donald — 196/169. Plieux. Bien dormi, levés à 8 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Sainte Catherine d’Alexandrie de Zurbaran, c. 1635, dét., musée des Beaux-Arts de Bilbao, 29 mai 2017. Affaire de la pétition, suite, échanges divers avec M. Ian. et avec Karim Ouchikh. Échanges de mails avec l’agent Mercure, réf. Bonnabaud. Message très agaçant du responsable du Cercle royal gaulois, à Bruxelles. Le Jour ni l’Heure, trois photographies du 26 mai 2017 à Pau, deux tableaux du musée, Portrait de femme en Diane, 1713, par Largillière, et du marquis de Candau, par Alexis Loir, pastel 1772 ; cinquième détail du magnifique badigeon blanc du magasin fermé du cours Bosquet. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, déconfiture des armées françaises dans le royaume de Naples, mort d’Alexandre VI Borgia, échec du cardinal d’Amboise à l’élection pontificale. Suites des affaires de la pétition, mais ça s’arrange : il n’y aura plus besoin de confirmation et les noms de famille de ceux qui les ont donnés apparaîtront. Totale satisfaction, en somme. Vif soulagement. Léger mieux du côté du coccyx, peut-être. Agenda. 19:12:15 //// Atelier, couverte 60x60 n° 80 (?) (blanc/jaune/rose/gris). Lecture par Pierre de L’Homme sans qualité. Dîné aux nouvelles, steaks de soja, carottes, légume inconnu (panis ?), salade verte, poire à la vapeur et framboises. Vu La Fin du jour, 1938, de Julien Duvivier, avec Victor Francen, Louis Jouvet, Michel Simon, Gabrielle Dorziat, etc. Promenade sur le plateau avec Pierre, jusqu’à l’embranchement La Rouquette/ La Bonnefont. Croisé les Coulet-Lavauden et passé chez eux au retour pour récupérer dans un sac, à la porte, un petit pull-over oublié. Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays, diffusion de la pétition. 1300 signatures. Journal 2017, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Couché à deux heures.
lire l’entrée du samedi 15 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 16 juillet 2017, 11 h 01
modifiée le lundi 17 juillet 2017, 16 h 28Dimanche 16 juillet 2017. Notre-Dame du Mont Carmel — 197/168. Plieux. Levés à 8 heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et beau dét., grande maison blanche, d’un tableau de Dario de Regoyos au musée des Beaux-Arts de Bilbao, El Urumea (Le Fleuve Urumea) (à Saint-Sébastien ?), lundi 29 mai 2017. Déjeuné en bas avec Pierre. L’Arrière-Pays, diffusion de la pétition. Agenda. 11:00:47 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Quelques rangements. Benjamin Olivennes et son amie Mélisande ici vers une heure. Passés à table presque directement à cause de possibles visiteurs (payants) dès deux heures. Plat unique, salade J’y-fous-tout, salade verte, poulet tiède, lardons, jambon, bacon, champignons, croutons, œufs mollets, mimolette, gorgonzola. Vin rosé hyper pâle. Tarte aux poires de Lectoure, armagnac. Café dans la bibliothèque. Montés dans la tour et visite générale des lieux, en sens exactement inverse à celui de la visite guidée coutumière. Raccompagne nos invités sur la Plaza Mayor vers quatre heures et demie (ils se dirigent sur Albi). L’Arrière-Pays, affaire de la pétition, suite. Préparé une couverture pour l’album photographique Château de Plieux. Atelier. L’Échelle et une couverte 60x60 déjà ancienne que je ne cesse de reprendre et modifier en palimpseste. Pierre me lit L’Homme sans qualité (Bona Dea). Pas vraiment dîné, mangé un peu de tarte aux poires qui restait en buvant de l’infusion. Regardé Les Aristos, de Charlotte de Turckheim, nul de chez nul, mais pour les histoires de château à sauver nous sommes public captif, et puis il y a un joli garçon (qui d’ailleurs monnaie ses charmes pour essayer de sauver le château (lui-même assez joli)) ; puis Kingdom. Promenade au Cassé avec Pierre, retour par le boulevard extérieur (du Cassé). Travaillé à l’album Village de Plieux. Journal. Couché à deux heures.
lire l’entrée du dimanche 16 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 17 juillet 2017, 16 h 43
modifiée le mardi 18 juillet 2017, 8 h 32Lundi 17 juillet 2017. Sainte Charlotte — 198/167. Plieux. Levés à huit heures dix. Belle matinée, très lumineuse. Assez net progrès du côté de l’os iliaque (?). Contrariétés maintenue, en revanche, du côté de la pétition, qui avance peu, abonde en signatures ridicules, et suscite les critiques habituelles de tous ceux qui ne font rien et critiquent tous ceux qui essaient comme ils peuvent de faire quelque chose. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et détail, le visage, du grand portrait d‘Anna de Noailles par Zuloaga, 1913, musée des Beaux-Arts de Bilbao, lundi 29 mai 2017. Téléphonage du représentant Mercure pour l’Auvergne, M. Renaud Valentin : rendez-vous demain à deux heures à Bonnabaud. L’Arrière-Pays, autour de la pétition. Le Jour ni l’Heure, trois tableaux du musée de Pau le vendredi 26 mai : un Marquet de Ciboure, Barques, 1927 ; Agar et l’ange, de Cantarini ; Saint Jérôme de Ribera, 1633. Tél. de Philippe Martel, qui viendra jeudi. Agenda. 16:42:22 ///// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Écrit à M. Marc Seminckx, du Cercle royal gaulois. Atelier, L’Échelle, petit bloc de bois. Lecture par Pierre de L’homme sans qualités, le couple ami. Dîné aux nouvelles, restes du déjeuner Olivennes, poulet, mimolette, gorgonzola, salade verte, jambon, etc. Tarte aux poires. Revu mon cher Pride and Prejudice, 2005, de Joe Wright, avec Donald Sutherland, Matthew Macfadyen et l’exquise Keira Knightley. Promenade sur le plateau avec Pierre, jusqu’à l’embranchement La Rouquette / La Bonnefont. Écrit à M. Phon, à Marcel Meyer, à Élizabeth Mazeron, à MM. Ouchikh et Iannuzziello. Journal. Couché à deux heures.
lire l’entrée du lundi 17 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mardi 18 juillet 2017, 8 h 53
modifiée le samedi 22 juillet 2017, 11 h 45Mardi 18 juillet 2017. Saint Frédéric — 199/166. Plieux. Réveillés comme la veille par le coq de la chartreuse, très en voix ces temps-ci. Levés à 7 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Portrait d’une dame en bleu, 1897-1905, de Raimundo de Madrazo, musée des Beaux-Arts de Bilbao. Question de Jane Austen à France Culture, justement. Agenda. 08:53:25 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’entrée de journal de la veille a été mise en ligne… la veille. Bain. Pierre et moi quittons Plieux à dix heures exactement. Valence-d’Agen. Lauzerte. Sainte-Alauzie. Pern (la déviation a été résorbée). Brive. Usssel. Quitté l’autoroute à Laqueuille. D’immondes éoliennes souillent et gâchent la première vue sur la chaîne des puys, vers Perpezat. Rochefort-Montagne. Massagettes. La Miouze. À Bonnabaud à deux heures exactement. M. Renaud Valentin, l’agent Mercure. M. et Mme Borgeau, les (co-)propriétaires, très aimables. Parlé de Mlle Deschamps. Tour extérieur du château, counter-clockwise. Jardin. Cour intérieure. Visite de la partie nord. Donjon. Visite de la partie sud. M. Valentin doit partir, autre rendez-vous. Écurie (très jolie). Grange. Étable. Eté avec M. Borgeau au bout du domaine, au nord. Thé avec M. et Mme Borgeau dans la cour, à cette heure-là très lumineuse. M. Borgeau nous accompagne jusqu’à la tombe de Mlle Deschamps, au cimetière de Saint-Pierre-Roche, au sommet de la butte, près de la porte de l’église. Très belle vue sur les Dores d’un côté de la butte, sur les Dômes de l’autre, bien que le panorama soit abîmé par une vilaine stabulation, en plein milieu, juste au-dessous du Puy-de-Dôme. Un centre de pompiers tout neuf, placé n’importe comment, gâche aussi la vue sur l’église, probablement, de la vallée, quand on vient de Pontgibaud. Quitté M. Borgeau devant l’église de Saint-Pierre-Roche, donc. Envisagé d’aller voir le Château-Dauphin, à Pontgibaud, mais opté finalement pour une promenade sur les lieux où j’ai répandu une partie des cendres de ma mère, près du puy de Champbourguet, au-dessus de La Tour-d’Auvergne. Vu au passage l’auberge de Mazaye. Choix. Olby. Passé près de Cordès, sans voir le château. Orcival, belle vue sur l’église mais en partie gâchée, préalablement, par d’affreux panneaux publicitaires. Problèmes d’essence. Paysages magnifiques. Tullière et Sanadoire. Lac de Guéry. Le Mont-Dôre, mais n’y trouvons pas d’essence, la station-service est fermée. Dû aller à La Bouboule. Rejoint de La Bourboule la route du Mont-Dôre à La Tour-d’Auvergne. La stèle. Chambourget. Commencé à marcher huit heures. Monté jusqu’au rocher des cendres à travers de hautes landes magnifiques, dans une lumière admirable. Vue sublime sur la chaîne du Sancy, le roc de Courlande, les monts du Cantal, le plateau de Millevache, etc. La Tour d’Auvergne, revue ma chère plaque à Joseph Malègue, et dîné juste en face, très plaisamment, dans un restaurant dont on comprend mal, toutefois, au vu du chef, que les services de l’hygiène le laissent ouvert ; et qui de toute façon ne saurait être recommandé aux raffinés. La patronne, aimable, juge ma vue prodigieuse parce qu’elle croit que je déchiffre de notre table la plaque à Malègue, qu’en fait je connais par cœur. Elle pense qu’il s’agit d’un médecin. Terrine aux myrtilles. Bavette à la truffade. Crème brûlée aux myrtilles. Demi-châteaugay. Tour dans La Tour-d’Auvergne, montés sur la butte basaltique. Décidé de rentrer à la maison car n’y a pas grand intérêt à coucher dans la région pour devoir gagner Plieux dare-dare le lendemain, à cause des visiteurs. Tauves. Autoroute à Laqueuille, là où nous l’avons quittée le matin. Dormi jusqu’à Brive. Philippe Solers sur Céline (enregistrement ancien). France Musiques incroyable, enchaînnant sans une seconde transition des musiques sublimes et des gingles immondes. À Plieux à deux heures. Journal minimalissime. Couché à deux heures vingt.
lire l’entrée du mardi 18 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 19 juillet 2017, 18 h 48
modifiée le jeudi 20 juillet 2017, 9 h 44Mercredi 19 juillet 2017. Saint-Arsène — 200/165. Plieux. Réveillés à cinq heures et demie par le coq de la chartreuse. Rendormis. Levé à neuf heures moins le quart, après le passage de Céline dans la bibliothèque — elle est là avec sa petite-fille, Mlle Vénécia, qui viendra saluer et jouer avec le bol tibétain. Dû écrire d’urgence à Al-Jazzira qui proposait un entretien mais il aurait fallu que j’aille à Paris, et à l’avocat-général Bilger. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, sur le rocher des cendres de ma mère, à Champbourguet, et château de Bonnabaud, façade est (la meilleure). L’Arrière Pays. Le Jour ni l’Heure, livraison de midi, une seule photographie, château de Bonnabaud, façade sud, dur le jardin. Café avec Pierre. Parlé de Bonnabaud, avantages et inconvénients, qualités et défauts. Sonates pour piano de Mozart et adagio K. 540, Claudio Arrau. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, Louis XII à Gênes, 1507. L’Arrière-Pays. Grand retard. Comptes : Dernière connexion le 14/07/2017 à 12h28 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.922,86 € /// Crédits -102.588,02 € /// Solde au 18/07/2017 -2.922,86 € /// À venir -322,53 € | Prévisionnel -3.245,39 € Débiteur depuis 19 jours //// 17/07 PRLV SEPA ORANGE ECH/170717 ID EMETTEUR/FR18ZZZ002305 MDT/M0037646421 REF/5B052T631 B052T6317E831E LIB/VOTRE ABONNEMENT INTERNET (FACTURE: XXXXX6317E8) - P -60,00 € //// Agenda. 18:46:37 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Visite d’Afchine Davoudi et de Mathieu François du Bertrand. Champagne avec eux au sommet de la tour, dîner dans la salle des Pierres, salade Gifutu, poulet, lardons, champignons, jambon, œufs mollets, gorgonzola, mimolette. Très bon gâteau apporté par eux de Lectoure. Infusion dans le bibliothèque. Rentrent à Beaumont-de-Lomagne vers onze heures et demie. Journal. Couché à une heure.
lire l’entrée du mercredi 19 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 20 juillet 2017, 9 h 56
modifiée le vendredi 21 juillet 2017, 17 h 14Jeudi 20 juillet 2017. Sainte Marina — 201/164. Plieux. Mauvaise nuit, réveillé par le coq de la chartreuse à conq heures et demie; Pierre est déjà levé et fait la vaisselle en bas. Nous rendormons plus ou moins, plutôt moins que plus. Levés à huit heures, moi presque complètement paralysé de nouveau, forte douleur à droite, au niveau du rein (mais osseuse, ou musculaire). Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, et autre photographie de Bonnabaud, prise de l’extérieur du mur du jardin. Temps gris et pluvieux. Comptes : Dernière connexion le 19/07/2017 à 18h33 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.940,76 € /// Crédits -102.588,02 € /// Solde au 19/07/2017 -2.940,76 € À venir -304,63 € | Prévisionnel -3.245,39 € /// Débiteur depuis 20 jour /// 19/07 PRLV SEPA EDITION ABONNES DU MONDE.FR ECH/190717 ID EMETTEUR/FR50ZZZ441333 MDT/SLMP001416457 REF/SEM---190717PRL0000001543407920 LIB/SEM---190717PRL0000001543407920 -17,90 € /// Agenda. 09:55:42 ////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Écrit à Philippe Bilger, rendez-vous pris avec lui. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, trois photographies du château de Bonnabaud, mardi 18 juillet 2017. Café avec Pierre. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, Louis XII en Italie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, Bonnabaud pour et contre, relecture et mise en ligne. Pierre va faire des courses à Agen et chercher Philippe Martel à la gare. Visiteurs, que fais visiter moi-même, donc : d’abord un couple de Lyonnais, en cure à Lectoure, intéressés et très gentils ; puis deux couples d’estivants près de Marsolan, ensemble, l’un du Vexin français, l’autre de l’Eure-et-Loir, très cordiaux également. Pierre revenu leur fait visiter la tour, pendant que j’installe Ph. M. Verre avec lui (qui boit du coca-cola qu’il a apporté), puis Pierre, longue conversation. Montons aussi dans la tour. Dîné vers huit heures avec Pierre et Philippe, terrine des Pyrénées offerte par Benjamin Olivennes et Mlle Mélisande, excellente. Rôti d’agneau aux pommes de terre, salade verte. Fromages des Pyrénées également offerts par le jeune ménage olivennien. Pellehaut. Gâteau basque et glace au rhum et aux raisins. Comparaison plutarquienne de Stéphane M. et de Jean-Paul C. Philippe Martel monte se coucher dans la tour, où nous lui avons mis une lampe grâce à un très long fil, tandis que Pierre et moi allons nous promener sous les étoiles et sur le plateau jusqu’à l’embranchement La Rouquette/ La Bonnefont. Au retour, vu pour la première fois une lumière électrique nocturne dans la tour. L’Arrière-Pays. Journal. Couché peu après une heure.
lire l’entrée du jeudi 20 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le vendredi 21 juillet 2017, 17 h 38
modifiée le samedi 22 juillet 2017, 11 h 17Vendredi 21 juillet 2017. Saint Victor — 201/164. Plieux. Réveillé à cinq heures et demie par le coq de la chartreuse comme tous les matin, réflexions diverses sur le concept de “nocence”, rendormi, levé une bonne fois à sept heures et demie, très endolori de nouveau à la hauteur du rein droit. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et château de Bonnabaud, flanc ouest (il est difficile de parler de façade — quel serait le contraire d’une façade ?). L’Arrière-Pays, divers échanges très courtois avec Jean-Paul Cluzel, dont nous parlions hier à table, par une étonnante coïncidence. Philippe Martel se lève tard, très content de sa nuit, dit-il. Il a déjeuné en bas aux bons soins de Céline, longtemps après nous. Suis étonné de n’avoir pas de nouvelles de l’agent Mercure, M. Valentin, qui devait appeler. L’Arrière-Pays, deux autres photographies du château de Bonnabaud, chambre Louis XIII (?) dans le donjon roman et vue prise des bois, plus une vue sur le puy de Dôme et la chaîne des puys prise de l’autre bout du hameau. Pierre déjeune avec Philippe Martel en bas. Dutilleux, Sarabande et cortège, 1942 ; sonatine pour flûte et piano, 1943 ; sonatine pour hautbois et piano, 1947 ; sonate pour piano, 1946-48. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, 1508, la coalition contre Venise. Dormi un peu. Les “guides” (scoutesses) qui sont là depuis trois jours font un vacarme épouvantable dans le parc de la chartreuse, sous nos fenêtres (que ne leur apprend-on les saintes vertus du silence, plutôt…). Comptes : Dernière connexion le 20/07/2017 à 09h52 /// Bonjour M. CAMUS Avoirs -2.940,76 € /// Crédits -102.588,02 € /// Solde au 20/07/2017 -2.940,76 € /// À venir -398,71 € | Prévisionnel -3.339,47 € /// Débiteur depuis 21 jours (aucun mouvement). Agenda. 17:36:25 //// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Thé avec Philippe et Pierre. Atelier. Couverte 60x60 n° 80 (?) (blanc, rose, jaune et gris), L’Échelle, Insoumission (exemplaire unique). Lecture par Pierre de L’Homme sans qualités (Moosbrugger). Conversation avec Philippe Martel dans la salle des Vents. Dîner de restes avec Pierre et lui dans la salle des Pierres, très à mon goût : rôti d’agneau, poulet froid, salade verte aux lardons et au gorgonzola, mayonnaise, sauce à la menthe, vin rosé gris glacé apporté par Philippe. Gâteau basque et glace hum-raisin. Promenade sur le plateau avec Philippe et Pierre, jusqu’à l’embranchement La Rouquette / La Bonnefont. Rentrés par le petit bois d’Enduré. Très brève crise d’angoisse de Ph., d’ordre médical (il a oublié de prendre un médicament). Bibliothèque, perdu deux bonnes heures à chercher dans Dupin, Hocquard, du Bouchet, une épigraphe pour l’album de photographies Village de Plieux. Fini par la forger moi-même, en la prêtant à Jean de Faudoas. Journal. Couché à deux heures et demie.
lire l’entrée du vendredi 21 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le samedi 22 juillet 2017, 11 h 41
modifiée le dimanche 23 juillet 2017, 17 h 48Samedi 22 juillet 2017. Sainte Marie-Madeleine — 203/162. Plieux. Peu dormi, levé à sept heures vingt. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et joli bâtiment d’écurie du château de Bonnabaud. L’Arrière-Pays, assez activement. Comptes : Dernière connexion le 21/07/2017 à 17h34 /// Bonjour M. CAMUS //// Avoirs -2.940,76 € /// Crédits -102.588,02 € /// Solde au 21/07/2017 -2.940,76 € /// À venir -398,71 € | Prévisionnel -3.339,47 € Débiteur depuis 22 jours /// (inchangé). Agenda. 11:23:41 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Conversation avec Philippe Martel. Le Jour ni l’Heure, trois photographies prises au château de Bonnabaud le mardi 18 juillet 2017, deux vues extérieures, flancs est et sud, et tableau de Claude Morino (Bourgeau), 1939-1982, le frère de M. Bourgeau. Pierre déjeune en bas avec Philippe. Sonates diverses de Dutilleux. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, éloge très appuyé de Georges d’Amboise. Pierre conduit Philippe Martel à la gare d’Agen. Dois faire face à des visiteurs difficiles, Belges des Flandres, petite fille d’abord assez revêche, père mal élevé et presque agressif (annonce que les poutres de la salle des Pierre peuvent rompre d’un seul coup à tout moment), m’interrompt au milieu de mes phrases, va à gauche et à droite sans m’écouter, etc. Ella beaucoup plus amène, tâche de compenser la rustrerie de son mari. Curieusement il est pris d’une logorrhée post-visitatoire, dans la cour, on ne peut plus l’arrêter (contre la festoient par l’État français du Patrimoine). Ils sont à cette maison d‘hôtes dont les photographies nous avaient horrifiés, quand nous en cherchions une pour les trois jours de la fête de Plieux, et dont ils disent le plus grand bien. Philippe Martel m’envoie des photographies d’une “plage” dans le hall de la gare d’Agen. Retour de Pierre. Autres visiteurs. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne.L’Arrière-Pays. Atelier, L’Échelle, exemplaire unique d’Insoumission, etc. Dîné aux nouvelles, restes de restes de restes, excellents : rôti d’agneau, poulet froid, home-made mayonnaise, salade verte, fromage des Pyrénées des Olivennes avec sa confiture de cerises noires, un délice ; fond de bouteille de rosé gris ; poire à la vapeur et glace au rhum et aux raisins. Regardé Landes, 2013, de François-Xavier Vives, avec Marie Gillain et Jalil Lespert. Promenade nocturne au Cassé avec Pierre, malgré la forte douleur au bassin, maintenant permanente. Fini le choix des photographies pour l’album Plieux (“village”) et fait la maquette d’une couverture. Envoyé le tout à M. Pohon. Journal. Couché à deux heures et demie, très fatigué par la douleur maintenant assez forte et permanente au bas du dos.
lire l’entrée du samedi 22 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 23 juillet 2017, 18 h 04
modifiée le lundi 24 juillet 2017, 8 h 20Dimanche 23 juillet 2017. Sainte Brigitte — 204/161. Plieux. Mauvaise nuit, les deux coqs de la chartreuse déchaînés dès cinq heures, Pierre a fait des cauchemars, il se lève, j’ai grand mal au bassin, il se recouche, nous nous rendormons à moitié et nous levons finalement à neuf heures moins le quart, complètement épuisés. Petit déjeuner en bas. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, oublié, doublon du précédent, deux heures et demie du matin, et assez joli portrait de jeunesse de Mlle Deschamps, vers 1910-1920, auteur inconnu — l’œuvre est malheureusement sous verre, beaucoup de reflets, que je corrige comme je peux. L’Arrière-Pays, échange assez tendus avec Guillaume Durand. Suis assez abattu par la douleur persistante et qui va même s’intensifiant, se faisant ressentir même quand je ne bouge pas du tout : scoliose, cancer des os ? Le Jour ni l’Heure, trois photographies encore de Bonnabaud les mardi 18 juillet, le mail de la façade ouest, le puits de la cour, XVIe s. (ou XVIIIe ?), la chambre du second étage du donjon, avec ses profonds coussièges. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, la popularité de Louis XII, le mariage de Claude de France. L’Arrière-Pays. Douleur iliaque persistance, fatigante et déprimante. Temps gris pâle. Agenda. 18:02:27 //// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Atelier, L’Échelle, Insoumission. Lecture par Pierre de L’Homme sans qualités, la visite à la cousine influente. Dîner aux nouvelles. Omelette aux champignons et aux pommes de terre, salade verte. Poire à la vapeur et framboises. Vu deux épisodes de Kingdom. Promenade avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement La Rouquette-La Bonnefont. Écrit à Jérémie Sercy. L’Arrière-Pays. Couché à une heure et demie.
lire l’entrée du dimanche 23 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 24 juillet 2017, 8 h 26
modifiée le mardi 25 juillet 2017, 18 h 18Lundi 24 juillet 2017. Sainte Christine — 205/160. Plieux. Mauvaise nuit encore, réveillé à six heures par les coqs de la chartreuse, ça devient invivable. Très endolori encore. Levé à sept heures, épuisé. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et La Place du mort, auberge du lac de Guéry le mardi 18 juillet 2017, entre Bonnabaud et Champbourguet. Agenda. 08:28:06 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Bien. Quitté Plieux avec Pierre à dix heures. Miradoux. Flamarens. Sistels. Donzac. La Magistère. Puymirol. Léger détour pour Saint-Robert, joli portail et loggia romans (?). À Cauzac à 11 heures. Messe pour le repos de l’âme de Jeanne Germain dans la chapelle, célébrée par deux bénédictins dont un monsignor (père abbé), revêtus d’habits sacerdotaux magnifiques. Déjeuner à une cinquantaine dans la superbe “grange” XVIIIe de l’avant-cour du château, en face de monseigneur X. et entre une dame anglaise qui a une propriété à jardin dans le Hampshire et une Portugaise qui a une maison également à jardin à Boisse, commune de Castelnau-Montratier. Pizza, couscous, brie, très bon gâteau d’Agen. Branle-bas au milieu du repas à l’arrivée du prince consort de Danemark et de son frère. Le prince est assis un moment à côté de moi mais la conversation est un peu difficile (il semble assez fatigué, et moi aussi). Après déjeuner, passés à l’atelier de Jean-Louis Germain avec les deux bénédictins, puis belle et longue promenade à pied avec JLG, Thierry Morel, son ami commissaire d’exposition surtout en Angleterre, Pierre et le chien Hill, sous le château, à travers bois, puis le long d’un lac, jusqu’à la jolie église de Sainte-Eulalie, récemment restaurée, peut-être un peu trop, mais ça lui passera. Autoportrait au bord du lac et portrait avec Jean-Louis Germain. Il téléphone chez lui pour qu’on vienne nous chercher, ce que fait sa gouvernante, mais le chien refuse de monter dans la voiture, il la suit difficilement jusqu’au village de Cauzac et nous marchons de nouveau de là jusqu’au château. Sirop de menthe dans la cuisine avec JLG, sa cousine, Thierry Morel, Pierre, et un couple de Puymirol. Remarqué en allant pisser un très joli Monticelli, que montre à Pierre. Repris la route vers six heures. À Plieux vers sept heures, complètement épuisé et surtout aux trois-quarts paralysé du milieu. Jeanne Lloan est venue faire visiter l’après-midi, pas mal de monde nous dit-elle, gentil mot d’un lecteur breton. Dînons avec Jeanne, mais je ne mange presque rien (salade verte aux avocats, poire à la vapeur et framboises). L’Arrière-Pays. Journal. Couché un peu après une heure.
lire l’entrée du lundi 24 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mardi 25 juillet 2017, 18 h 31
modifiée le mercredi 26 juillet 2017, 11 h 02Mardi 25 juillet 2017. Saint-Jacques le Majeur — 206/159. Mauvaise nuit, levé à sept heures, dans le pire état depuis le début de cette crise. Grand mal à me tirer du lit, justement, cri de douleur au moindre mouvement du bassin. Le Jour ni l’Heure, autoportrait au lac de Cauzac et photographies des bénédictins de la veille avec la cuisinière marocaine de Jean-Louis Germain, voilée et en grande tenue marocaine, très élégante et souriante. Essayé, après le petit déjeuner, de joindre le docteur Capdecomme, mais ça ne répond pas. Travaillé un peu comme je puis, mais chaque mouvement est douloureux. Reçu un message de M. Bourgeau et lui ai répondu assez longuement. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, trois autres photographies de Cauzac la veille, l’avant-cour, le parc, Jean-Louis Germain et moi au bord du lac. Bain, avec le plus grand mal à entrer et sortir de la baignoire. Dormi un peu avec Pierre. Cherché le numéro d’autres médecins de Lectoure, mais finalement pu joindre le docteur Capdecomme, qui viendra demain après-midi. Thé avec Pierre. Agenda. 18:30:00 ///// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Atelier. L’Échelle. Lecture par Pierre de L’Homme sans qualités, les chapitres sur Diotima. Pierre va chercher à l’Isle-Bouzon une pizza commandée plus tôt. Dîné aux nouvelles. Pizza, donc. Salade de fenouil et d’avocats. Poire à la vapeur, cannelle et framboises. Revu (pour ma part) The Remains of the Day, Les Vestiges du jour, de James Ivory, 1993, d’après Kazuo Ishiguro, avec Anthony Hopkins, Emma Thompson, James Fox et Christopher Reeve. Pas de promenade, puis à peine bouger. Dictionnaire des délicatesses du français contemporain, article “musique”, suite. L’Arrière-Pays. Pas de journal, utiliserai la lettre à M. Bourgeau. Les guides, dans le parc de la chartreuse, font beaucoup de bruit jusqu’à une heure et demie du matin. Couché quand elles se taisent enfin.
lire l’entrée du mardi 25 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 30 juillet 2017, 10 h 18
modifiée le vendredi 4 août 2017, 22 h 31Mercredi 26 juillet 2017. Sainte Anne — 207/158. Plieux. Réveillé à six heures par les deux coqs de la chartreuse comme tous les jours ces temps-ci. Vaguement rendormi une demi-heure, levé vers sept heures, non sans mal car plus endolori que jamais, presque paralysé du bassin. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et église Sainte-Eulalie de Cauzac le lundi 24 juillet. L’Arrière-Pays. Comptes (perdus). Agenda. 11:33:26 ///// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. L’Arrière Pays. Le Jour ni l’Heure, ornements sacerdotaux des moins olivétains de Castelarrasin à Cauzac, lesdits moines dans l’atelier de Jean-Louis Germain à Cauzac, porche du château de Cauzac, vu d’une fenêtre du château lui-même : le tout du lundi 24 juillet 2017. Nielsen, concerto pour flûte et Voyage imaginaire aux îles Féroé. Bain, lecture par Pierre d’Henri Martin, 1509-1512, victoires françaises en Italie. Gaston de Foix. Bon nombre de visiteurs toute l’après-midi mais pas de docteur Capdecomme. Tél. de M. Renaud Valentin. Convient à demi-mots que le prix de B. est surévalué mais n’est pas très optimiste quant aux possibilités d’un prêt-relais appuyé sur Plieux. Propose de me mettre en relation avec un agent Mercure régional pour une évaluation (coûteuse) ou un “avis de valeur”, beaucoup plus superficiel ( ?) — de toute façon je n’ai pas un sou (et même moins que ça). Passé l’après-midi, malgré la forte douleur au bas du dos, à d’ultimes réglages pour les albums Château de Plieux, Plieux, et, d’un autre type, Le Jour ni l’Heure, 2016. Atelier, Ballon noir, objet trouvé. L’Échelle. Lecture par Pierre de L’Homme sans qualités, le salon de Diotima, S. A. le comte non-médiatisé Lendsdorff. Dîné aux nouvelles, gnocchis, carottes, courgettes ; poires à la vapeur et mûres, confiture de mirabelles. Vu un peu d’un film américain de Bertrand Tavernier, In the Electric Mist (Dans la brume électrique), 2009, d’après James Lee Burke, avec Tommy Lee Jones et John Goodman. Le docteur Capdecomme arrive à dix heures. Rien à voir avec la goutte, rien à voir avec un lumbago, mes maux relèvent de l’arthrose et de problèmes à la Première Sacrée — un si beau nom est une consolation. Traitement à la cortisone (ça, ça sonne mal, en revanche). Puis il faudra faire des radios, quand je pourrai bouger un peu. Écrit à un éditeur italien, à propos du Grand Remplacement. Accepté ses propositions, à quelques modifications près. Écrit à Jean-Louis Germain. Continué les mises au point des différents albums en cours, surtout Plieux, plusieurs permutations. Hélas, sur le tard, mon propre site n’est plus accessible. Journal. Couché à deux heures.
lire l’entrée du mercredi 26 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le vendredi 28 juillet 2017, 12 h 18
modifiée le vendredi 28 juillet 2017, 23 h 43Jeudi 27 juillet 2017. Sainte Nathalie — 208/157. Plieux. Réveillés à six heures par les coqs de la chartreuse, rendormi, levés à neuf heures moins le quart, après le passage de Céline dans la bibliothèque. Catastrophe, mon propre site ne fonctionne toujours pas, il paraît bel et bien en panne. Écrit à M. Pohon, dans un certain affolement. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Le Concile de Cauzac, Jean-Louis Germain en grande conversation entre deux bénédictins, près de la poterne. Message de M. Pohon, qui va essayer de remettre notre site en fonctionnement avant son départ en haute mer lundi. Comme je ne peux pas travailler, énormément de L’Arrière-Pays, dont une interminable joute absurde et drôle avec un remplaçant pseudonymé “Ziggy”. Le Jour ni l’Heure, trois autres photographies de Cauzac, le château vu du lac de Sainte-Eulalie, l’église de Sainte-Eulalie, le pigeonnier, lundi 24 juillet 2017. Nielsen, Voyage imaginaire aux îles Féroé, again, et concerto pour clarinette, assez brillant mais peu convaincant à mon gré. Bain, lecture par Pierre d’Henri Martin, 1512, victoire et mort de Gaston de Foix à Ravenne, effondrement des rêves italiens de Louis XII. Traitement à la cortisone assez efficace, semble-t-il — douleurs moindres, me déplace un peu mieux. L’Arrière-Pays, assez sottement, mais comiquement, toute l’après-midi. Atelier, Le Ballon. Lecture par Pierre de Musil. Dîner aux nouvelles, restes d’une tarte préparée lundi pour Jeanne de Loynes, restes de gnocchis. Dois manger sans sel. Poire à la vapeur, cannelle et framboises. Émission de Stéphane Bern sur Caroline Bonaparte, pas mal, heureux de revoir Caserte, quelques bizarreries à propos de l’escalier de l’Élysée, appelé vaste alors qu’il est tellement riquiqui. Marché avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement La Rouquette / La Bonnefont. L’Arrière-Pays encore. Journée assez molle et bêta, avec l’excuse du site HS (et la cortisone). Agenda. 02 :32 :47 //// Journal. Couché à trois heures.
lire l’entrée du jeudi 27 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 30 juillet 2017, 11 h 11
modifiée le dimanche 30 juillet 2017, 11 h 25Vendredi 28 juillet 2017. Saint Samson — 209/156. Plieux. Réveillé à 6 heures comme tous les matins ces temps-ci par les coqs de la chartreuse, vaguement rendormi, levé à huit heures vingt. Le site ne fonctionne toujours pas mais ressuscitera partiellement plus tard dans la matinée. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et grand détail d’un tableau de Jean-Louis Germain dans son atelier de Cauzac, jeune homme blond de face, toile inachevée, 24 juillet 2017. Me suis intéressé à un château de Bélinay, à vendre, près de Paulhac, dans le Cantal, bien, en nettement meilleur état que Bonnabaud et beaucoup moins cher. Message de M. Borgeaud, justement. Nouvelles tentatives de rattrapage au moins de cet agenda, mais le site fonctionne très mal, des paragraphes entiers disparaissent, il faut tout recommencer. Écrit à M. Pohon pour lui expliquer ce qui se passe, mais il est sur le départ. /// L’Arrière-Pays, peu. Le Jour ni l’Heure, autre dét. d’un tableau de Jean-Louis Germain à Cauzac, jeune homme brun nu, de face, bras croisés, et autre photographie de l’église Sainte-Eulalie de Cauzac, avec un joli morceau de paysage dans le lointain (Ô ma France ô ma bien-aimée), 24 juillet 2017. Roc de Courlande, avec au premier plan le rocher des cendres de ma mère, à Champbourguet, commune de La Tour d’Auvergne. Première symphonie de Nielsen. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, belle déculottée des Français de Trivulce sous Novare, journée des Éperons (pour la fuite) en Picardie, années difficiles du règne de Louis XII, 1512-1514. Mort de Jules II della Rovere, élévation de Léon X de Médicis, 1513. Arrivée de deux premiers albums Châteaux, très bien, et Paysages préposthumes ; mais l’un et l’autre doivent faire l’objet encore de petites modifications indispensables, auxquelles j’espère que M. Pohon pourra se livrer avant son incommunicadoness en haute mer ; et les prix seront absurdement élevés, malgré le faible pourcentage de l’auteur (10€ sur 120). Visiteurs. Tentatives épuisantes de mettre à jour cet agenda, mais c’est un travail de Pénélope, chaque fois qu’on ajoute quelque chose quelque chose d’autre disparaît. Atelier, Le Ballon, L’Échelle. Dîné aux nouvelles, raviolis aux cèpes. carottes, courgettes. Poires à la vapeur et mûres. Vu Petrus, de Marc Allégret, 1946, bien plat, avec Fernandel, Dalio, Pierre Brasseur et Simone Sylvestre. Promenade avec Pierre au Cassé, retour par le boulevard extérieur. Suite des tentatives de rattrapage, mais ça tourne au cauchemar, le site est un tonneau des Danaïdes, il avale tout ce qu’on lui verse, je m’embrouille dans les copies, il faut réécrire plusieurs fois plusieurs journées. Comptes : Dernière connexion le 28/07/2017 à 23h09 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -2.940,76 € /// Crédits -102.588,02 € /// Solde au 27/07/2017 -2.940,76 € /// À venir -1.463,96 € | Prévisionnel -4.404,72 € Débiteur depuis 29 jours. Les guides dans le parc de la chartreuse font un vacarme épouvantable, “chantent”, hurlent plutôt, et scandent leurs activités avec une exaspérante corne de brume, ou quelque chose comme ça. Hurle moi-même, à l’instant (ça dure depuis une semaine). Agenda (troisième version). 00:31:22 (quatrième version) 01:06:05 /// Journal de la veille (très en situation), relecture et mise en ligne. Journal. Couché à trois heures, épuisé par ces combats contre l’hydre cybernétique, qui avale tout.
lire l’entrée du vendredi 28 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le samedi 29 juillet 2017, 11 h 18
modifiée le dimanche 30 juillet 2017, 10 h 01Samedi 29 juillet 2017. Sainte Marthe — 210/155. Plieux. Très peu dormi, réveillé à sept heures par les coqs, levé à sept heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et château de Bonnabaud, flancs nord et ouest, mardi 18 juillet 2017. Beau temps. L’Arrière-Pays. Très gêné toujours par l’extrême incertitude qui semble entourer le site, au moindre changement tout peut disparaître. Agenda. 11:17:29 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Départ des guides, à grand bruit comme tout ce qu’elles font. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne, sans problème apparent. Le Jour ni l’Heure, trois vues encore de Bonnabaud le 18 juillet 2017, dont la reproduction d’une photographie ancienne et vue de la chambre Louis XVI de Mlle Deschamps. Deuxième symphonie de Nielsen, Les Quatre Éléments. Bain, lecture par Pierre d’Henri Martin, dernières années du règne de Louis XII. Monsieur de Condom, lecteur, qui achète & fait signer des livres. Travaillé à l’article “musique” du Dictionnaire des délicatesses du français contemporain, qui prend des proportions colossales (on pourrait presque en faire un petit livre), mais suis travaillé par la crainte que tout saute, la “page” entière, toute la page “M” du Dictionnaire, c’est-à-dire des dizaines de milliers de signes, ou au moins tout mon travail récent. N’empêche, avance bien malgré cette inquiétude, ou à cause d’elle. Atelier, La Balle, L’Échelle. Lecture par Pierre de L’Homme sans qualités. Dîné aux nouvelles, tarte aux légumes et salade verte ; poire à la vapeur et framboises. Tâché de regarder un peu je ne sais quoi mais sorti assez vite, promenade sur le flanc nord. Vaisseaux brûlés, mais tout marche de nouveau très mal, avalanche d’avis plus inquiétant les uns que les autres, et tout cela sous l’épée de Damoclès d’une disparition de mer de M. Pohon pour plusieurs semaines. Message de lui, justement, répondu (mais un message de moi, de la veille, paraît s’être perdu). Index des Églogues & des Vaisseaux brûlés, “Corée” et “Pierre”, très incertainement. Échanges avec Mme de Mazeron, qui doit passer avec ses filles. Journal. Couché à deux heures et demie.
lire l’entrée du samedi 29 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 30 juillet 2017, 10 h 10
modifiée le vendredi 4 août 2017, 22 h 30Dimanche 30 juillet 2017. Sainte Juliette — 211/154. Plieux. Assez bien dormi, mais peu. Levés à huit heures moins le quart. Temps gris. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Plieux vu de la vallée du nord à la dernière lumière, la veille au soir. Déjeuné en bas avec Pierre-Auguste. Agenda, ça semble marcher beaucoup mieux, les dates sont revenues, mais je n’arrive pas à remettre en un seul morceau deux des journées précédentes, ce qui n’a guère d’importance en soi, sauf pour l’œil, mais m’agace, et implique encore une certaine dose d’incertitude et de danger (si j’essaie de recoller les blocs toute l’entrée disparaît — heureusement j’en ai gardé copie, cette fois). 10:08:51 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Bain. Visite convenue d’Élisabeth Mazeon et de ses filles Lisa et Lucie Lafontaine, dont l’une vient d’entrer à l’École des Chartes et dont l’autre fait un stage à l’auberge de Gramont auprès de M. Corbière. Mme Mazeron parle de sa vie à Toulouse. Jus de fruits, très mauvais biscuits apéritifs du marché de Fleurance. Raccompagnons ces dames sur la Plaza Mayor vers midi et demi, alla Gattopardo — elles se dirigent vers la cour de Jégun. Le Jour ni l’Heure, trois photographies relatives à Bonnabaud encore, reproduction d’une aquarelle (?) d’Ambroise Tardieu représentant le château au XIXe s., vue sur les Dômes prise des environs de l’église de Saint-Pierre-le-Chastel, vue sur les Dores prises des toits de Bonnabaud. L’Arrière-Pays. Visiteurs, jeune couple, couple d’artistes, mais je ne les vois pas. En profite pour lire le petit livre de Sébastien Jallamion, récit d’une descente aux Enfers. Bien travaillé toute l’après-midi, article “Musique” du Dictionnaire des délicatesses du français contemporain, bien avancé. Téléphonage de M. Pohon, avant sa disparition entre les îles du golfe du Morbihan. Le site paraît fonctionner à peu près, très à peu près, ce qui est un peu inquiétant. Je me demande ce qu’il en est pour les lecteurs, mais les services semblent rétablis malgré l’avis curieux que je reçois chaque fois que je mets quelque chose en ligne ( « bien été enregistré mais n’a pu être répertorié », ou quelque chose comme ça). Procédons à d’ultimes retouches relatives aux albums photographiques (six, plus Le Jour ni l’Heure !). Atelier, commencé une couverte 60x60 Lunel (Les Vignes), d’après une photographie prise de voiture en route vers le Gard cet hiver. Lecture par Pierre de L’Homme sans qualités, retour à Bonadea, Musil décidément très misogyne. Dîné aux nouvelles, raviolis aux cèpes, carottes, courgettes, salade verte. Poire à la vapeur et framboises. Vu deux épisodes de Kingdom, sans enthousiasme pour ma part, sinon comme pour un juste tableau de l’hébétude aboulique qui vient (forcément c’est assez ennuyeux, d’autant que la relative sexyté de départ s’est beaucoup atténuée). Promenade avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement La Rouquette / La Bonnefont : lune assez étroite, mais très lumineuse. Écrit à Philippe Stoeckel (qui m’avait écrit cf. Bonnabaud). L’Arrière-Pays. Trav. à Tweets, recueilli des tweets récents. Journal. Couché peu après une heure.
lire l’entrée du dimanche 30 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 31 juillet 2017, 9 h 19
modifiée le mardi 1er août 2017, 12 h 21Lundi 31 juillet 2017. Saint Ignace de Loyola — 212/153. Plieux. Levé à sept heures. Temps gris. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et portrait en cour dans l’atelier de Jean-Louis Germain à Cauzac. Agenda, mais de nouveau beaucoup de difficultés : il est impossible de mettre en ligne une journée entière, tout saute régulièrement et disparaît. Tout cela peu compréhensible pour moi, mais apparemment aussi pour M. P. 09:18:25 //// Ah, si, y parviens finalement, mais à condition que ce soit en morceaux (???). ///// Rapports avec le site en toutes ses branches très acrobatiques et précaires, donc. Le Jour ni l’Heure, Chronologie, toutefois. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, trois reproductions partielles de tableaux du musée de Pau le vendredi 26 mai 2017, autoportrait de Vittorio Ghislandi, portrait d’adolescent par Romney, détail du Départ de Tobie, de Francique Millet — pas le temps de les “traiter” sur Flickr, toutefois, et ensuite j’oublie. Bain. Visite de M. et Mme C., avec leurs enfants Diane et Mathieu. Lui avait parlé d’acheter un tableau mais en fait s’y intéresse peu, peut-être après les avoir vus, non plus d’ailleurs qu’à Plieux. Paraissent curieusement pressés. Sympathisants politiques. Après leur départ, travaille encore à l’article “musique”, mais l’horizon recule à mesure que j’avance (c’est un sujet inépuisable). Tél. de Flatters. Message de Philippe Stoeckel. Communiqué pour l’In-nocence, sur les inéligibilités. Atelier. Couverte 60x60 Lunel (Les Vignes), phase d’enthousiasme. Lecture par Pierre de L’Homme sans qualités. Dîné aux nouvelles, gratin aux patates douces et aubergines, salade verte, mais horribles tranchées et consécutives débâcle(s), comme les jours précédents, mais pires, sans doute dus à la cortisone (ou à l’autre médicament ?). Nette amélioration “au niveau du bassin”, en revanche. Vu un peu d’un film américain, Ten Seconds to Hell (Tout près de l’enfer) (Berlin 1945), d’Aldrich, 1959, av. Jack Palance, et beaucoup du Comte de Monte-Cristo, de Josée Dayan, avec Gérard Depardieu : c’est bien mauvais, mais très détaillé. Promenade avec Pierre sur le plateau, seulement jusqu’au rang des chênes à cause de la pluie. L’Arrière-Pays, Tweets, et tentative sur Vaisseaux brûlés, mais le site fonctionne décidément très mal (on ne peut rien “rechercher”, ce qui rend l’ensemble impraticable). Journal. Couché vers une heure et demie.
lire l’entrée du lundi 31 juillet 2017 dans le journal↪ lire le journal
Ce bouton permet de se déplacer rapidement dans le site de Renaud Camus. masquer les messages d’aide |
Ces boutons fléchés permettent de se déplacer dans les différentes pages de la chronologie Le Jour ni l’Heure. Les autres boutons vous proposent diverses options. Survolez-les avec la souris pour en savoir plus. masquer les messages d’aide |