Le Jour ni l’Heure
novembre 2017

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mercredi 1er novembre 2017, 8 h 40
modifiée le jeudi 2 novembre 2017, 19 h 09
Mercredi 1er novembre 2017.
Toussaint (Férié) — 305/60. Plieux. Très peu dormi, réveillé à 5 h et 1/2, vaines et courtes tentatives de réendormissement après pissatation, levé avant six heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, à bout de bras, presque abstrait, et vue d‘ensemble des albums photographiques, En Lomagne oublié. L’IN-NOCENT. Beau temps. Comptes : Dernière connexion le 28/10/2017 à 12h29 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -3,15 € /// Crédits -99.860,05 € /// Solde au 31/10/2017 -3,15 € /// À venir 0,00 € | Prévisionnel -3,15 € /// Débiteur depuis 1 jour (suis donc “repassé positif” hier, grâce au chèque de Jeanne) ///,,31/10,FACTURE CARTE DU 111017 BLURB, INC. CARTE 4974XXXXXXXXn-558,16 € (commande d’albums pour essais) /// 31/10 FACTURE CARTE DU 041017 SARL ARTEMPO AGEN CARTE 4974XX -430,10 € (fourniture peinture, plus un chevalet, 189 €) /// 31/1 FACTURE CARTE DU 111017 BLURB, INC. CARTE 4974XXXXXXXX -147,70 € (commande d’un album à titre d’essai avant mise en vente) /// 31/10 VIR SEPA RECU /DE DAVID JORDAN /MOTIF VERSEMENT DE SOU +100,00 € (mécénat) /// 31/10FACTURE CARTE DU 121017 LULU CARTE 4974XXXXXXXX4502 US -89,67 € (commande Seconde Carrière d’Adolf Hitler) /// 31/10 VIR SEPA RECU /DE AMAZON MEDIA EU SARL /MOTIF PAYMENT.+65,61 € /// 31/10 FACTURE CARTE DU 051017 DROUET FREDERIC MONTAUBAN CART -55,00 € 3(ophtalmologiste) ////1/10 FACTURE CARTE DU 021017 CASA AGEN BOE CARTE 4974XXXXXX -53,83 € (porcelaine blanche à peindre) /// 31/10 FACTURE CARTE DU 021017 AMBIANCE STYLE BOE CARTE 4974X -42,00 € (porcelaine blanche à peindre, théière) /// 31/10 FACTURE CARTE DU 201017 ASF RUEIL MALMAIS CARTE 4974XX -20,70 € (autoroute) /// 31/10 FACTURE CARTE DU 041017 WIKIMEDIA 877-6 CARTE 4974XXXX -20,00 € (don Wikipédia) /// 31/10 FACTURE CARTE DU 021017 CASA AGEN BOE CARTE 4974XXXXXX -17,94 € (porcelaine blanche à peindre) /// 31/10 FACTURE CARTE DU 05/10/17 HOTEL MERCURE MONTAUBAN CARTE-11,90 € (buffet après ophtalmologiste) /// 31/10 VIR SEPA RECU /DE AMAZON MEDIA EU SARL /MOTIF PAYMENT. +9,77 € ///31/10 VIR SEPA RECU /DE AMAZON MEDIA EU SARL /MOTIF PAYMENT. +5,88 € /// 30/10 REMISE CHEQUES BORDEREAU 03143793n +3.000,00 € (prêt Jeanne de Loynes) /// 30/10 VIR SEPA RECU /DE AMAZON AUSTRALIA SERVICES INC. /MOTI +7,44 € /// Agenda. 08:39:44 ////////  Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Déjeuné en bas avec Pierre. Tentatives de cuisson de porcelaine, réussi une grande coupe que je n’aime pas spécialement (utilisé les couleurs qui restaient) mais complètement raté l’assiette “Bonnabaud”, à refaire. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, mis en ligne seulement une vue générale de Vézenobres. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, les relations se détériorent de nouveau entre François Ier et Charles-Quint — années 1540. Promenade avec Pierre au Cassé, photographié une magnifique rose ultime. Atelier, petite coupe noire à l’intérieur, gris et bleu pâle à l’extérieur. Travaillé à la cinquième édition du Grand Remplacement, note idoine, notes en bas de page, lettre à M. Pohon. Dîné de fête pour la Toussaint, blinis, tarama, houmous, tzatziki, très bon vin blanc de Carcassonne de M. Hardy. Vu une partie d’un James Bond, Spectre, avec Daniel Craig, qui ferait un parfait Poutine. Déferlement dément de Defalvard le Choux, qui intervient sous chacun de mes statuts Facebook, avec la même citation de moi (sur l’inceste) (il est tout de même mal placé pour me reprocher ce qu’il appelle mes vues sur les relations entre parents et enfants…). Suite des travaux pour Le Grand Remplacement. Écrit à Karim Ouchikh. Repris l’article “race’ du Dictionnaire des délicatesses mais attaque de sommeil. Couché peu après une heure. 

lire l’entrée du mercredi 1er novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le jeudi 2 novembre 2017, 19 h 57
modifiée le vendredi 3 novembre 2017, 8 h 29
Jeudi 2 novembre 2017.
Défunts — 306/59. Plieux. Levé à sept heures. Écrit sur Facebook non pas une “réponse”, certes — il n’est pas question d’avoir le moindre échange avec cet individu — mais une réaction au déferlement defalvardesque. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et couverte-coupe (grande). L’IN-NOCENT, beaucoup. Long échange avec Karim Ouchikh. Le Jour ni l’Heure, photographie de l’album “En Lomagne”, belle rose au Cassé, ces deux-là de la veille, et belle maison au Plan des Aires, Vézénobres, dimanche 22 octobre 2017. Collation en bas avec Pierre, restes de la veille, vin blanc de M. Hardy, confiture de figues, café. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, année 1542, campagnes dans le Hainaut et en Roussillon. Promenade avec Pierre, flanc nord, mais en sens inverse de l’habitude, car c’est une improvisation. Atelier. Troisième théière, plus claire ; retouches à la petite coupe de la veille. Lecture par Pierre de Musil, la sœur d’Ulrich contemple le suicide. L’IN-NOCENT. Agenda. 19:57:23 /////// Dîné aux nouvelles, jardinière de légumes aux champignons, semoule, sauce au sol, salade verte. Poires à la vapeur et framboises. Émission de Stéphane Bern sur Agatha Chritie, belle maison près de Torquay, oubliée des Demeures de l’esprit (?). L’IN-NOCENT. Intense discussion sur l’affaire” sur le “mur” de Benjamin Goldnadel (et ailleurs). Journal, mis la réplique à Marien Defalvard Le Choux. Couché à trois heures et demie. 

lire l’entrée du jeudi 2 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le vendredi 3 novembre 2017, 8 h 55
modifiée le samedi 4 novembre 2017, 13 h 02
Vendredi 3 novembre 2017.
Saint Hubert — 307/58. Plieux. Levé à 7 heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et album photographique Châteaux, publicité. Sandrine Bonaire aux “Matins de France Culture”. Comptes : Dernière connexion le 01/11/2017 à 08h25 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs 28,01 € /// Crédits -99.860,05 € /// Solde au 02/11/2017 28,01 € // À venir -487,74 € | Prévisionnel -459,73 € /// 02/11 VIR SEPA RECU /DE APPLE INC /MOTIF CCI : 0099828747,PU +31,16 € (?)  /// Agenda. 08:54:32 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Long tél. d’une folle (MDLC ?) qui veut parler à Céline puis à Pierre et nous adjure de ne pas accepter des colis qui nous ont été envoyés par la poste (????). Refuse de dire qui elle (ou il, ce n’est pas net)) est. Le Jour ni l’Heure,  halles de Saint-Clar gâchées par l’Office du tourisme, pour “Arrêtez le massacre !”, château e Saint-Léonard, les deux du 28 octobre 2017, et maisons au Plan des Aires, Vézénobres, 22 octobre 2017. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, années 1544-45. Promenade avec Pierre dans la vallée, curé la rivière, chien Gary nous aperçoit et se tient coi (jamais je n’ai constaté pareille efficacité d’un geste unique). Atelier. Deuxième grande coupe basse, gris noir à l’intérieur, gris bleu et rouge à l’extérieur. Petite coupe n° 4, retouche. Lecture par Pierre de Musil, sa sœur chez Ulrich. L’IN-NOCENT. Commencé l’allocution du 9. Dîné aux nouvelles, gnocchi au pesto, jardinière de légumes, poire à la vapeur et framboises. Vu Monika, de Bergman, spectacle déchirant de la Suède avant la substitution ethnique. Suite de l’allocution pour le 9, mais attaque de sommeil, couché peu après minuit. 

lire l’entrée du vendredi 3 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le samedi 4 novembre 2017, 13 h 13
modifiée le dimanche 5 novembre 2017, 19 h 35
Samedi 4 novembre 2017.
Saint Charles Borromée —308/57. Plieux. Bien et beaucoup dormi, levé à 8 heures - le quart. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et album “Château de Plieux”, photographié le 1er novembre. Émission de Finkielkraut sur l’élevage, un cinéaste, un M. de Largillière. L’IN-NOCENT, très intensément, donc, retard. Comptes : Dernière connexion le 03/11/2017 à 08h48 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs 504,71 € /// Crédits -99.860,05 € /// Solde au 03/11/2017 504,71 € /// À venir -987,74 € | Prévisionnel -483,03 ///      03/11 VIR SEPA RECU /DE PIERRE JOLIBERT /MOTIF /REF +500,00 € (vente des convertisseurs, billets d’entrée à Plieux, quelques livres) /// 03/11 COMMISSIONS COTISATION ESPRIT LIBRE -22,05 € /// 03/11 FRAIS DE TENUE DE COMPTE AVEC REMISE -1,25 € /////// Le Jour ni l’Heure. Chronologie. L’IN-NOCENT, beaucoup, trop. Le Jour ni l’Heure, trois photographies prises à Vézénobres le 22 octobre2017, couple de transformateurs (?) au Plan des Aires, grande sereine enjambant la route, au château, vue générale de Vézénobres, peinture, 2000, de Jean-Pierre Douton, dans une chapelle latérale gauche de l’église Saint-André. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, débuts du concile Trente. Promenade avec Pierre sur le flanc sud, vallon d’Enduré. Atelier. Porcelaines diverses, grande coupe basse, noire et rose et bleu mêlés. Petite coupe verte et jaune, reprise. Lecture par Pierre de L’Homme sans qualités, Clarisse et Meingast, Walter et son beau-frère Sigmund. Communiqué pour l’In-nocence, n° 2021, sur la prétendue fin de l’état d’urgence. Journal 2017, entrée du jour. Écrit à Mme Christiane Achalme, à Abidjan. Dîné aux nouvelles, excellente omelette aux champignons et pommes de terre, sale verte aux noix. Poire à la vapeur et framboises. Vu Jingsaw, Le Mystère de la Villa blanche, 1962, film policier anglais de série B, de Val Guest, qui a le mérite de  se passer à Lewes au temps de mes débuts dans le Sussex. Journal 2017, entrée du jour, relecture et mise en ligne. L’IN-NOCENT. Couché à deux heures et demie. 

lire l’entrée du samedi 4 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le dimanche 5 novembre 2017, 19 h 33
modifiée le lundi 6 novembre 2017, 8 h 51
Dimanche 5 novembre 2017.
Sainte Sylvie — 309/56. Plieux. Levé à sept heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Grande Coupe basse n° 2, intérieur noir moiré, extérieur rose-bleu. Déjeuné avec Pierre en bas, diverses cuissons de porcelaine. Nouvelle attaque d’irritation urinaire, qui m’avait laissé bien tranquille pendant des mois. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, album “Plieux”, photographié le 1er novembre ; petite coupe rose et bleu-vert photographiée hier, avant cuisson réussie ; villa ancienne fermée, à Vézénobres, le 22 octobre 2017. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, Ignace de Loyola, les débuts des jésuites en Italie, puis (rien à voir avec les jésuites) le massacre des Vaudois de Provence, autour de Mérindol, 1544, “génocide” oublié (de moi). Calvin installe sa dictature à Genève. Promenade avec Pierre, été seulement jusqu’au rang des chênes, sur le plateau, faute de temps. Atelier, assiette plate, nouvelle version du paysage “Bonnabaud” (le puy de Dôme et le Nid de la Poule). Plusieurs des cuissons du matin sont assez réussies. L’IN-NOCENT. Agenda. 19:31:12 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal. Dîné aux nouvelles. Raviolis aux cèpes, jardinière de légumes. Salade verte aux noix. Poire à la vapeur et framboises. Vu un peu de The Doors, d’Oliver Stone, 1991, avec Val Kilmer, sexy. Remonté assez tôt. Journal 2017, entrée du jour, relecture et mise en ligne. Repris le texte pour le 9. Couché à deux heures et demie. 

lire l’entrée du dimanche 5 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le lundi 6 novembre 2017, 9 h 01
modifiée le mardi 7 novembre 2017, 11 h 10
Lundi 6 novembre 2017.
Sainte Bertille — 310/55. Plieux. Peu dormi. Douleur au bas-ventre à droite, revenue, après des mois de tranquillité. Levé à 7 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et album Le Portrait de Mme L., publicité, photographie du 1er novembre. Agenda. 09:01:05 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, entrée du jour, mise en ligne. Allocution pour le 9. L’IN-NOCENT, nouveau problèmes autour d’un tweet en effet un peu aventuré, délateur content de lui (TheQuietStrength.) Le Jour ni l’Heure, deux photographies du château de La Caze, le 23 octobre 2017 au matin, et autoportrait devant les salles basses de la mairie de Vézénobres, sur la terrasse, dimanche 22 octobre. Bain tardif, lecture d’Henri Martin, mort de Clément Marot à Turin. Promenade avec Pierre dans la vallée, nettoyage de la rivière au premier gué, autoportrait assisté. Atelier, essayé en vain (jusqu’à présent) de récupérer l’assiette “Bonnabaud”, la première ; de même une petit coupe déjà cuite elle aussi (commencée jadis à la peinture ordinaire). L’IN-NOCENT, sérieuse inflammation autour du tweet dénoncé à la place Beauvau, à la Licra, à Twitter, etc. Twitter le supprime. Diné aux nouvelles, jardinière de légumes et semoule, poire à la vapeur et framboises. Rien regardé, remonté tôt. Allocution pour le 9, beaucoup plus longue que prévu, c’est sans doute une erreur, d’autant plus que je suis totalement incapable de l’apprendre par cœur. Imprimé plusieurs exemplaires, certains pour la “presse” (!). L’IN-NOCENT, le délateur enchanté (et bien sûr anonyme, selon les règles de la profession). Couché à une heure et demie. 

lire l’entrée du lundi 6 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mardi 7 novembre 2017, 12 h 12
modifiée le mercredi 8 novembre 2017, 8 h 39
Mardi 7 novembre 2017.
Sainte Carine — 311/54. Plieux. Levé à 7 heures avec Pierre, qui reprend le collège et que je ne vais pas voir de plusieurs jours. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille au premier gué et album Le Jour ni l’Heure, 2016, publicité. L’IN-NOCENT, autour du “logement social”. Tél. d’une dame de Gem. à propos des mic-macs de colis (un premier paquet est arrivé hier et nous n’avons même pas eu l’occasion de le refuser, ni le courage de l’ouvrir : bombe, anthrax ?). Dame très aimable, toutefois, et se nomme. Comptes : Dernière connexion le 04/11/2017 à 13h09 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -612,35 € /// Crédits -99.860,05 € /// Solde au 06/11/2017 -612,35 € /// À venir -696,17 € | Prévisionnel -1.308,52 € /// Débiteur depuis 1 jour ///  06/11 CHEQUE 5947173 -889,20 € (Céline) /// 06/11 PRLV SEPA CARDIF ASSURANCE VIE ECH/061117 ID EMETT -111,96 /// € 06/11 PRLV SEPA CANALSAT - GROUPE CANAL PLUS ECH/061117 -76,00 € //// 06/11 PRLV SEPA CANAL PLUS ECH/061117 ID EMETTEUR/FR16ZZ -39,90 € /// Tél. de Karim Ouchikh, sur ma demande. Tél. à Christian Combaz — tout s’arrange à merveille. Agenda. 12:09:02 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal, écriture et mise en ligne. Ouvert le paquet : se sont de beaux draps. Cherché partout ma montre, perdue depuis des jours, et l’ai finalement retrouvée dans le tumulus du bureau. Bain. Bagages. Quitté Plieux vers quatre heures et demie. Valence-d’Agen. Lauzerte. Sainte-Alauzie. Pern. Autoroute à Cahors-Sud. Brive. Limoges. Châteauroux. Dîné tardivement à L’Empire des Signes de Saint-Florent sur-Cher, où je suis le dernier et seul client — à l’autre bout, la famille.  Parlé à Pierre de la voiture, dans le noir, mais panique soudaine à l’idée que le portail du terrain vague va être fermée (L’Empire du Milieu est alors entièrement éteint). Bourges, hôtel Bourbon, où l’on me dit que Renaud Camus est déjà là et a déjà pris sa chambre réservée. Finalement non. Autoportrait. Le Jour ni l’Heure, autoportrait du moment même et coupe n° 6, un peu ratée. L’IN-NOCENT. Éteint vers 1 heure et demie.  

lire l’entrée du mardi 7 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mercredi 8 novembre 2017, 9 h 40
modifiée le jeudi 9 novembre 2017, 8 h 39
Mercredi 8 novembre 2017.
Bourges, hôtel Mercure Bourbon, ch. 203. Réveillé à 7 heures et demie. Agenda de la veille. Chambre donne sur une avenue très bruyante mais surtout voisin hurleur, qui règle ses affaires par téléphone en beuglant, un enfer — il dirait sans doute qu‘il parle “normalement”, mais c’est justement ce qu’il ne faut pas faire dans une chambre d’hôtel. Petit déjeuner en bas, dans une belle chapelle classique un peu abîmée. Là c’est le personnel de service qui parle trop fort, dans la cuisine, et ça résonne sous les voûtes. Le chuchotement, principe de base du vivre-ensemble, le vrai. Jus de raisin, café, saucisse de volaille, œufs brouillés, tranches de dinde, jambon, bon fromage local. Coulis de framboises et muesli, pamplemousse, pruneaux dans leur jus. Petit pain aux raisins, macarons. Chambre, même gueuleur, imperturbable. Accès de fureur, coups sur la cloison, aucun effet. Temps pluvieux et froid. 09:38:26 //// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal du jour, rédaction et mise en ligne, malgré l’insupportable voisin, qui n’en finit pas de régler ses affaires en beuglant. Bain. Quitté l’hôtel (147 €) peu après midi mais y laissé la voiture. Marché jusqu’au centre de la ville. Beau bâtiment du musée Estève, défiguré par un énorme Calder, juste devant la jolie façade Renaissance. Cathédrale, où passé un très long moment à contempler surtout les splendides vitraux du double déambulatoire. Couple de chômeurs de Marseille, incroyablement cabossés par la vie, très pieux. Flanc sud, hôtel de ville (ancien palais épiscopal ?), magnifiques jardins. Si enthousiaste de la cathédrale que me suis offert dans une librairie voisine un énorme et somptueux volume sur elle, récent et ruineux (moins que mes albums, toute fois). Dans la librairie, lecteur très enthousiaste à mon endroit, M. Chambolivaud, un nom comme ça (les libraires lui parlent avec beaucoup de considération, et ne cessent de le nommer, à l’américano-paysan). Retourne au musée Estève, bien maltraité dans sa structure architecturale, décidément (vitrine juste devant une splendide cheminée Renaissance, et affreux praticable DEDANS). N’ai jamais trop aimé Estève, en plus. Centre Avaricum, pour du déodorant au Monoprix (en ai cherché dans les parfumeries du centre, et me suis pas mal fait snobé). Retourne à l’hôtel, parle assez longuement à Pierre, de la voiture. La sonnerie du téléphone portable ne retentit pas, et nous ne savons pas la rétablir. Compte sur Combaz, qui sait tout faire. Quitte Bourges vers 4 heures et demie. Dans une de ces belles forêts de la France du centre, tant vantées par Larbaud, affreuse crise de larmes, à partir des pieux chômeurs de la cathédrale. Troisième symphonie de Schumann, qui la précipite. Dois m’arrêter. Étrange grosses usines, ou silos, sur un petit port fluvial, en çà de La Charité (n’ai pas de cartes ici, ni de connexion dans cette chambre). Longue traversée encombrée de La Charité, décidément très belle. Route barrée pour Clamecy (beaucoup de routes barrées, dernièrement). Me retrouve à Donzy. Photographie une maison sur une île au milieu d’une rivière, est-ce à Donzy ? Nuit venue. Pas de Clamecy. Longue et assez pénible traversée d’Auxerre, me fourvoie passablement. Tonnerre, que contourné. Petite ville au nom double avec un joli château, mairie, je crois. Photographie nocturne. Route pour Chaource, nouvelle déviation (m’accroche à Quelque-Chose-les-Chaource). Chaource tout de même, y cherche un restaurant, pizzeria très animée ne me tente pas. Route pour Bar-sur-Seine. Autre beau château dans un village, mais le voit mal. Dîné à Bar-sur-Seine, hôtel du Commerce. Andouillette au Chaource, charlotte aux poires, demie Chablis (ah, suis passé à Châblis, aussi…) (36 €). Re-route pour Bar-sur-Aube. Du mal à trouver l’hôtel Saint-Nicolas, où j’ai réservé. Femme m’attend, à même téléphoné à Plieux, inquiète de ne me voir paraître  — me dit Pierre, auquel je parle aussitôt. Message à Karim Ouchikh, qui a essayé de m’appeler (le téléphone ne sonne pas). Très mauvaise connexion, puis plus du tout de. Journal pour le 9, après minuit. Couché vers 1 heure et demie.

lire l’entrée du mercredi 8 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le jeudi 9 novembre 2017, 8 h 43
modifiée le vendredi 10 novembre 2017, 9 h 48
Jeudi 9 novembre 2017.
Bar-sur-Aube, hôtel Saint-Nicolas, ch. 12. Réveillé et levé à 6 heures et quart. Toujours pas de connexion. Relecture du journal. Agenda. Me prépare à aller voir si la connexion ne marcherait pas du côté de la “réception”. 07:26:50. Déjeuné, jambon blanc, camembert, gâteau, chose blanche locale, salade fruit au muesli. Agenda dans la salle des petits déjeuners, avec télévision au-dessus de la tête. 08:42:45 //// Le Jour ni l’Heure. Chronologie. L’IN-NOCENT. Douche. Quitté l’hôtel Saint-Nicolas et Bar-sur-Aube à dix heures. À Colombey-les-Deux-Églises à dix heures et demie. Groupes du Siel de la Marne et de la Haute-Marne. Attendons Karim Ouchikh et Christian Combaz, qui sont partis de Paris le matin. Interview à France 5, à Canal Plus, au Figaro. Assiste dans l’église à une partie de la messe. Laurent Wauquier. Arrivée de Karim et Christian. Depôt des gerbes officielles, président de la République, président du Sénat, président de l’Assemblée générale, tous in absentia. Maire de Paris, Anne Hidalgo, présente. Gerbes inofficielles, Laurent Wauquier, Florian Philippot. Déposons les nôtres, Karim Ouchikh et l’un de ses responsables locaux celle du Siel, Karim Ouchikh et moi celle du Conseil National de la Résistance européenne. Moment de battement, attendons le départ des journalistes, pour enregistrer tranquillement, de l’autre côté de l’église. Lis mon allocution sur le prompteur tenu au-dessus de sa caméra par Combaz. Puis Karim Ouchikh parle sans notes. Passage sur notre versant de l’église de Nicolas Dupont-Aignan, à la tête d’une cinquantaine de personnes, et qui salue discrètement Karim. Allons enregistrer une petite dernière partie sur l’autre versant de l’église, près de la tombe. Vais chercher mon appareil pour quelques photographies de Colombey. Allons en caravane, à trois voitures, à Bar-sur-Aube. Déjeunons au restaurant …, sous de très belles voûtes médiévales. Déjeuner à une dizaine, Ouchikh, Combaz, les responsables locaux du Siel et moi. Terrine de volaille. Agneau. Châblis. Restons longtemps à table après déjeuner, c’est moi qui donne le signal du départ, craignant la nuit tombante. Deux exemplaires du Grande Remplacement à un M. Havasi, d’origine hongroise. Séparation vers quatre heures et demie. Même route que la veille, en sens inverse et de jour (mais gris et bas). Bar-sur-Seine, belle église tardivement gothique, XVIe s. Plus loin, château repéré la veille, un peu décevant le jour (Villemoyen ?). Déviation, belles forêts de nouveau. Chaource. Tonnerre. Très pénible traversée d’Auxerre, comme la veille (les habitants doivent être exposés à d’affreuses pollutions). Été revoir la statue de Dupin à Varzy, puis le château, où tout est ouvert,  mais il n’est pas d’un intérêt foudroyant. Nevers, hôtel Mercure, installation très difficile et laborieuse. Ch. 114 (il y avait quelqu’un dans la 216!). Parlé à Pierre. Le Jour ni l’Heure, autoportrait avec Karim Ouchikh sur la tombe du général de Gaulle, et La Vie comme à Donzy la veille (maison au milieu du Nohain). Formidable attaque de sommeil. Agenda. 00:40:01 /////// Éteint vers une heure. 

lire l’entrée du jeudi 9 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le vendredi 10 novembre 2017, 10 h 01
modifiée le dimanche 12 novembre 2017, 10 h 38
Vendredi 10 novembre 2017.
Nevers, hôtel Mercure, ch. 114. Réveillé à 7 heures par les voisins. L’IN-NOCENT, remis en ligne le texte de mon allocution de la veille, mais je ne dispose pas encore de la version filmée. Échanges avec Combaz à ce propos. Journal. Déjeuner en bas, jolie vue sur la Loire (comme de la chambre), tranches de dinde, jambon blanc, jambon cru, coppa, deux fromages assez insipides. Jus de salade de fruits (sans les fruits, sauf quelques morceaux de pamplemousse), muesli, pruneaux, morceaux de noix et noisettes, crêpes au sirop d’érable et petit pain aux raisins. Insupportable bouillie sonore, radio qui parle et dont personne ne pourrait comprendre les paroles si on le souhaitait (ce qu’à Dieu ne plaise), le bruit pour le bruit, ou plutôt juste pour broyer le silence haï. Retour dans la chambre, L’IN-NOCENT, suite des échanges avec Combaz, mais suis incapable d’obtenir de lui, par suite de mes incapacités techniques, la version filmée du discours. État de siège, les femmes de chambre font toutes les chambres voisines en se parlant entre elles et en faisant claquer les portes, il n’y a aucune espèce d’isolation dans cet hôtel, et bien sûr pas de double porte, alors qu’il y aurait tout l’espace pour elle. Agenda. 09:59:48 ////  //// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal, relecture et mise en ligne de l‘entrée du jour. Bain. Quitté l’hôtel Mercure (146 €) et Nevers peu après onze heures. Saint-Pierre-le-Moûtier. Livry, joli village. Le Veurdre. Lurcy-Lévis. Château de Lévis. Couleuvre. Ygrande [corr. autom. Grande], revu et photographié l’église. Château de La Chaussière (c. 1900). Château de  La Salle, Vieure. Cosne-d’Allier. Bisexuelle. Contourné Montluçon, nouvel autoroute pour Guéret. Guéret, vers 2 heures. Garé sur la place de la (“nouvelle” mairie). Préfecture. Conseil général. Descendu la rue principale. Entré dans l’église. Rue de l’Ancienne mairie. Revu l’hôtel Renaissance du Conseil général. Été au musée, très bien. Très gentil préposé aux billets. Arcades, librairie, acheté le gros volume “Chaminadour” et L’Ordre du jour. La libraire, très aimable, me signale que la boucherie des parents Jouhandeau est dans la basse ville, rue de l’Ancienne-Mairie, que j’ai pourtant suivie. Y retourne, malgré la pluie. Cherche aussi une maison des parents après la vente de la boucherie, signalée par la libraire — pas sûr de l’avoir trouvée. Remonte jusqu’à l’esplanade de la mairie. Pas eu de contravention, miraculeusement. Quitte Guéret vers 4 h et 1/2. Autoroute pour La Souterraine et l’A 20. Bessines. Limoges. Brive. Voyant de l’essence s’allume juste après la dernière station-service : crains de ne pas arriver à Lauzerte. Pern [corr. autom. : Perte.]  Sainte-Alausie. Saint-Laurent-Lolmie. Arrive à la station de Lauzerte,  mais grande difficulté à comprendre et d’abord à voir exposée la méthode de paiement automatique par carte. Homme très gentil et complaisant m’aide, heureusement. Entretien avec Maurice Olander, suite. Mon enfant de Berlin, feuilleton, d’après un roman d’Anne Wiazemsky. Valence-d’Agen. À Plieux à 10 heures.  Enregistré la déclaration de Colombey telle que filmée par Christian Combaz (le prompteur était trop haut, me donne un air bizarre). Le Jour ni l’Heure, autoportrait du jour et Aurore aux doigts de rose à Nevers, le matin-même. Agenda. 00:34:01 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Couché vers 1 heure et demie. 

lire l’entrée du vendredi 10 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le dimanche 12 novembre 2017, 11 h 12
modifiée le dimanche 12 novembre 2017, 11 h 15
Samedi 11 novembre 2017.
Armistice 1918 (Férié) — 315/50. Plieux. Levé à 7 heures et demie. Bain. Déjeuné en bas avec Pierre, qui va partir pour C. Pars moi-même à 9 heures pour Auch. Retrouve à 9 h et 1/2, sur la place de la cathédrale, les membres de “Volontaires pour la France”, puis leur président M. Dellinger. Messe à la cathédrale, dite par l’archevêque. Longue cérémonie sans grande allure au monument aux Morts, le préfet est absent, représenté par le secrétaire-général. Remise de décorations, la plupart à des soldats “déployés” (chacun !) sur divers théâtre d’opération. Le secrétaire-général lit la lettre du ministre. M. Dellinger ne peut prononcer le sien, il n’a pas reçu d’autorisation (même après la cérémonie). Il le distribue. Quitte Auch peu après midi. Avais pensé passer à Fleurance chez Mme de Loynes mais c’est juste l’heure du déjeuner, donc m’abstiens. À la maison vers 1 heure. Déjeune de choses achetées pour moi par Pierre pour compenser son absence. Demi-pizza, la moitié d’un fromage de chèvres, tarte au citron meringuée, saint-émilion de M. Dellinger, reste du banquet des Volontaires, le mois dernier. Café. Proposé au général Martinez de rejoindre le Conseil National de la Résistance Européenne. Écrit à M. Barnier pour obtenir de lui l’enregistrement du discours de Baix. Me dit qu’il me l’a déjà envoyé, mais c’est sous une forme que je ne puis utiliser. Écrit à M. Pohon, réf. le Grand Remplacement V. Entretien pour “Boulevard Voltaire”. Atelier, tardivement et peu (repris la petite coupe n° 6). Dîné eux nouvelles, seul. Autre moitié de la pizza, poire au four à la cannelle et à la confiture de figues. Chaîne Histoire, doc. sur (? — j’ai oublié) et un peu de Game of Thrones, beaux paysages (plage rocheuse, vraie ?). Suite de l’entretien pour “Boulevard Voltaire”, relecture et envoi vers minuit. Journal (le musée de Guéret). Couché vers 1 heure. 

lire l’entrée du samedi 11 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le dimanche 12 novembre 2017, 11 h 22
modifiée le mercredi 15 novembre 2017, 0 h 41
Dimanche 12 novembre 2017.
Saint Christian — 316/49. Plieux. Levé à 7 heures. Froid. Dû faire l’autoportrait pour la veille, oublié. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, autoportrait du matin même, donc, pour la veille, et joli village de Livry, près de Saint-Pierre-le-Moûtier, dans la Nièvre. Temps gris, pluvieux et froid. Pas de réponse du général Martinez. Déjeuné seul en bas. Pas d’eau chaude, comme à peu près chaque fois que Pierre s’en va (il la rétablit constamment). L’IN-NOCENT. Agenda. 11:21:36 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’IN-NOCENT. Collation en bas, autre moitié du fromage de chèvre, saint-émilion de M. Dellinger, deuxième tarte au citron meringuée. Le Jour ni l’Heure, Mercure d’Ahys du musée de Guéet le 10 novembre, statue de Dupin Aîné par Boisseau à Vatan le 9 au soir, vue du parvis de la cathédrale de Bourges à partir d’une des rues qui y mène le 8, plus l’album Paysages préposthumes ouvert à la page d’un champ semi-enneigé, photographié le 31 octobre 2017. Pas d’eau chaude, pas de bain. Message du général Martinez, qui demande à consulter son État-major. Promenade dans la vallée, curé la rivière. L’IN-NOCENT. Atelier, retouche à l’une des petite coupes. Dîné aux nouvelles, coquilles Saint-Jacques au riz, mais il faudrait d’après la notice un four à micro-ondes, les fait à la place réchauffer à l’huile dans une poêle, résultat très approximatif, sauvé par des canapés d’excellent pain. Vin de M. Dellinger, suite. Autres canapés de pain grillé, cette fois avec une boîte de thon, également chauffé à la poêle. Poire à la cannelle au four avec de la confiture de figues. Vu une petite niaiserie américaine avec Robert de Niro en stagiaire auprès d’une young executive qui a des problèmes conjugaux. Diverses urgences, écrit à un M. Duprat qui se propose d’aider le CNRE. Message de M. Pohon, le nouveau Grand Remplacement (cinquième édition) est déjà en vente sur Amazon alors que dans notre esprit il ne s’agissait que d’un test. D’autre part Amazon, jusqu’à présent, ne prévoit pas de prix d’auteurs pour les commandes. Journal. Couché vers deux heures et demie. 

lire l’entrée du dimanche 12 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mercredi 15 novembre 2017, 1 h 01
modifiée le mercredi 15 novembre 2017, 1 h 03
Lundi 13 novembre 2017.
Saint Brice — 317/48. Plieux. Peu dormi, levé à sept heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille doublon de celui du matin pénultième, dans la salle des Nuits. L’IN-NOCENT, beaucoup d’agitation toute la journée. Arrivée de toute sorte de présents, une énorme couette de la dame de Géménos, un envoi tout à fait anonyme de jambon espagnol (à moins que ce ne soit de la part de la firme elle-même, dont je retweete régulièrement les séduisantes publicités ? — mais non, elle le dirait) ; un petit livre de Benjamin Randow, En moi l’incendie. Le Jour ni l’Heure, cathédrale de Bourges vue des jardins de l’archevêché. Toujours pas d’eau chaude, ni donc de bain. Promenade dans la vallée, curé la rivière, comme la veille. À mon retour, Pierre rentrant des Pyrénées, avec des cadeaux de sa mère, saucisson des Pyrénées, petits biscuits aux noisettes, chocolats de Foix. Atelier, porcelaine, suite, peint un paysage de champs dans une grande assiettes plate, dont je suis très satisfait. Lecture par Pierre de L’Homme sans qualités, début de la visite de groupe à l’hôpital psychiatrique. Deuxième entretien pour “Boulevard Voltaire” en quarante-huit heures. Dîné aux nouvelles, omelette aux pommes de terre et aux champignons, poires à la vapeur et framboises, petit biscuits aux noisettes de Mme J., chocolats fuxéens, très bons. Suite du deuxième entretien pour “Boulevard Voltaire”, pas très bon. Couché vers deux heures et demie. 

lire l’entrée du lundi 13 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mercredi 15 novembre 2017, 1 h 37
modifiée le jeudi 16 novembre 2017, 18 h 53
Mardi 14 novembre 2017.
Saint Sidoine — 318/47. Plieux. Levé vers huit heures et quart. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et bonne photographie de la veille, avant cuisson, de la grande assiette dont je suis si content. Parlé longuement à Karim Ouchikh. Essayé de joindre Alain Finkielkraut, en vain. L’IN-NOCENT. Céline fait cuire avec un relatif succès l’assiette-paysage n° 1 : les couleurs ne bougent pas trop, mais la matière reste assez âpre, pas du tout lisse. Céline est d’autre part très impressionnée par la qualité de la couette envoyée par Mme de Géménos, en plumes d’oie. Elle trouve que mes lecteurs sont bien généreux. Le Jour ni l’Heure, petite couverte-coupe numéro 5, album Paysages préposthumes, ouvert à la page de Gachepouy (“grand paysage romantique”) ; Christ de l’Apocalypse de la cathédrale de Bourges, l’épée à la bouche (“La Parole de Dieu”), mercredi, 8 novembre 2017. Énorme retard en tout, depuis trois jours, dû principalement aux deux entretiens pour “Boulevard Voltaire”, pas trop bons, mais aussi à diverses agitations autour du CNRE. Parlé longuement à Philippe Martel, qui va intégrer le CNRE. Bain, enfin. Pierre arrive comme je me prépare à sortir, marchons ensemble sur le plateau. Atelier, deuxième assiette-paysage, plate, moins réussie que la première, mais peut-être pas mal. Lecture par Pierre de Musil, suite de la visite chez les fous. Communiqué pour l’In-nocence et le NON, sur la prétendue “politique de la Ville”. Sur ce sujet, accrochage sur Twitter avec un directeur de rédaction de France-Soir. L’IN-NOCENT. Tâché en vain de joindre Fabien Niezgoda. L’enregistrement filmé de mon allocution à Colombey-les-Deux-Églises a été censuré sur YouTube, on ne peut plus la voir. Écrit à Christian Combaz. Dîné aux nouvelles, raviolis aux cèpes, pesto, carottes et courgettes, poires au four aux framboises, biscuits à la noisette, chocolats fuxéens.  Vu un documentaire sur la diplomatie d’Hitler , puis l’émission de Stéphane Bern sur Louis XIV. Remonté tard. L’IN-NOCENT. Agenda. Mise à jour sans doute assez approximative depuis dimanche matin. 01:29:13 ///// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal. Couché vers deux heures et demie. 

lire l’entrée du mardi 14 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le jeudi 16 novembre 2017, 19 h 22
modifiée le jeudi 16 novembre 2017, 19 h 29
Mercredi 15 novembre 2017.
Saint Albert — 319/46. Plieux. Levé à 7 heures avec Pierre. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit, sans intérêt, et album En Lomagne, ouvert à la page du tracteur vert. L’IN-NOCENT, beaucoup d’agitation : l4enregistrement de mon discours de Colombey a été retiré de YouTube, certainement sur dénonciation, de Délator ou d’un autre. Tâtonnements socio-webmatiques pour essayer de la faire installer ailleurs. À midi, tuerie de la maison Tuerie, avec Pierre : saucisse de foie rapportée d’Ardèche, jambon pata negra reçu en présent anonyme, pain grillé, vin rouge local, pommes de terre rissolées, tarte ronde au chocolat, biscuits aux noisettes et chocolats de Foix de Mme de G. Café. Le Jour ni l’Heure, château de La Salle, à Vieure, entre Grande et Montluçon, dans l'Allier, le vendredi 10 novembre 2017 ; grande assiette-paysage n° 2 (en fait 3, je crois) (pas mal, mais je préfère la 1) ; silos à La Chapelle-Montlinard, Nièvre, sur le canal latéral à la Loire, dernière lumière, le mercredi 8 novembre 2017. Pas de bain, pas d’eau chaude. Promenade avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement, très beau soir. Atelier, assiette-paysage n° 3 (en fait 4), inspiré par le paysage tout juste contemplé, ciel rose orangé, buisson vert sombre, champ brun, champ vert. Lecture par Pierre de L’Homme sans qualité, suite de la visite à l’hôpital psychiatrique. L’IN-NOCENT. Parlé à Philippe Martel. Parlé à Fabrice Niezgoda. Parlé à Me Rimokh. Écrit à M. Duprat. Pas vraiment dîné, poire à la vapeur et framboises, fini les chocolats de belle-maman. Vu un peu d’un film débile de Luc Besson, avec Jason Stratham. Remonté assez tôt. L’IN-NOCENT, découvert le nouveau site et le compte Twitter du Conseil National de la Résistance Européenne, très bien agencés par M. Duprat. Grands efforts pour rattraper le très sensible retard du journal, sans grands résultats. Couché vers deux heures.  

lire l’entrée du mercredi 15 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le jeudi 16 novembre 2017, 19 h 51
modifiée le vendredi 17 novembre 2017, 9 h 41
Jeudi 16 novembre 2017.
Sainte Marguerite — 320/45. Plieux. Levé à 7 heures avec Pierre. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit, routine, et grande assiette-paysage n° 3 (en fait 4), très bien (avant cuisson). Ensuite L’IN-NOCENT, toute la journée, discussion oiseuse avec le Délateur. Deuxième tuerie, suite du jambon anonyme, pain grillé, fin du vin, confiture de figues et de poires et noix (et pommes, hélas) sur le pain grillé, fruits secs. Le Jour ni l’Heure, bras reliquaire dressé de Saint-Sulpice-le-Guérétois, au musée de Guéret, le 10 novembre 2017 ; album Le Jour ni l’Heure, 2016, ouvert à la page de mon autoportrait avec Innocent X ; « Arrêtez le massacre ! », affreux praticable dans la superbe cheminée de l’hôtel des Échevins, à Bourges. 8 novembre 2017. Bain, émission scientifique sur le temps. Promenade sur le plateau, jusqu’à l’embranchement.  Vu les Coulet-Lavaudan rentrer de voyage, échangé quelques mots avec M. Coulet. Atelier, quatrième et cinquième assiette, pas très inspirée, et largement dictée par les couleurs qui restent. Retour de Pierre, citron pressé chaud. Agenda, depuis mardi soir. Comptes :  Dernière connexion le 07/11/2017 à 12h05 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -1.812,91 € /// Crédits -98.946,99 € /// Solde au 15/11/2017 -1.812,91 € /// À venir -829,11 € | Prévisionnel -2.642,02 € /// Débiteur depuis 10 jours ///      14/11 PRLV SEPA EDITION ABONNES DU MONDE.FR ECH/141117 I -17,90 € /// 10/11 ECHEANCE PRET 01038 60311711 -1.117,77 € //// 09/11 VIR SEPA RECU /DE CAISSE D ASSURANCE RETRAITE ET DE LA +1.148,33 € /// 09/11 PRLV SEPA SCAM ECH/091117 ID EMETTEUR/FR71MUT2674 -517,05 € /// 07/11 PRLV SEPA CREDIPAR ECH/071117 ID EMETTEUR/FR21ZZZ1 -759,88 € /// 07/11 VIR SEPA RECU /DE SOFIA /MOTIF CFC /REF /// Agenda. 19:49:17 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Dîné aux nouvelles, filets de hareng, riz aux champignons, salade verte. Vu un peu du Don Giovanni de Losey. remonté relativement tôt, suite des tentatives pour rattraper le retard. Corrigé sur sa demande le texte de Georges de La Fuly, l’ai mis en accès libre. Journal de l’avant-veille, relecture et mise en ligne. Journal de la veille. Journal. Foudroyant accès de sommeil, couché avant minuit. 

lire l’entrée du jeudi 16 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le vendredi 17 novembre 2017, 9 h 51
modifiée le samedi 18 novembre 2017, 15 h 55
Vendredi 17 novembre 2017.
Sainte Élisabeth — 321/44. Plieux. Assez bien dormi, mais réveillé très tôt par Pierre qui se lève à 6 h et 1/4, je ne sais pourquoi. Levé à 6 heures et 1/2. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et Collines d’Anzême, c. 1920, musée de Guéret, 10 novembre 2017. Mis partiellement à jour mon compte Flickr, où plusieurs photographies n’avaient pas été “traitées” (il en reste). Comptes : Dernière connexion le 16/11/2017 à 19h44 /// Bonjour M. CAMUS Avoirs -1.872,91 € /// Crédits -98.946,99 /// Solde au 16/11/2017 -1.872,91 € /// À venir -769,11 € | Prévisionnel -2.642,02 € /// Débiteur depuis 11 jours ///  16/11 PRLV SEPA ORANGE ECH/161117 ID EMETTEUR/FR18ZZZ002 -60,00 € /// Agenda. 09:51:17 ////  Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Suis arrivé à rattraper le retard, mais la menace de sa reconstitution est constante. L’IN-NOCENT. Le Jour ni l’Heure, L’Hiver à Gargilesse, de Léon Detroy, musée de Guéret le 10 novembre 2017 ; album En Lomagne, ouvert à la page de La Garrière, photographie datée à tort du mercredi 1er novembre et datant en fait du mardi 31 octobre ; détail du vitrail de Lazare et le mauvais riche, XIIIe s., cathédrale de Bourges, 8 novembre 2017. Pas d’eau chaude, pas de bain. Promenade dans la vallée, curé la rivière au premier gué, jeunes gens qui font du moto-cross dans les champs voisins. Atelier, assiette-paysage n° 5, Lunel, Les Vignes, en fait c’est la sixième. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Dîné aux nouvelles, gnocchi, jardinière de légumes, sauce soja,. Poire à la vapeur et framboises. Regardé L’Œil du diable de Bergman, 1960, bien mauvais, mais dormi une demi-heure au milieu, sur le canapé de la salle des Pierres. Remonté vers 10 heures et demie. Écrit à Philippe Martel, à Karim Ouchikh et à M. Duprat (une seule lettre). L’IN-NOCENT. Couché vers 2 heures.   

lire l’entrée du vendredi 17 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le samedi 18 novembre 2017, 16 h 10
modifiée le dimanche 19 novembre 2017, 9 h 49
Samedi 18 novembre 2017.
Sainte Aude — 322/43. Plieux. Pas mal dormi, surpris encore au lit par Céline dans la bibliothèque, à côté. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, à bout de bras, dans la salle des Pierres, et grande assiette-paysage n° 4, avant cuisson. Émission de Finkielkraut, sur l’immigration, avec la terrible Mme Withol de Wanden (ou qqchose comme ça). L’appelle ensuite (F., pas Mme W. de W.…), tombe sur Sylvie car l’émission était en direct, bizarrement. L’IN-NOCENT. Le compte Twitter de Conseil National est passé en vingt-quatre heures de 500 à 1500 abonnés — encourageant. Finkielkraut me rappelle, longue et excellente conversation avec lui, nous avons bien cerné le point de divergence, très net, mais tout intellectuel, et qui n’implique aucune animosité personnelle. Le Jour ni l’Heure, grande assiette-paysage n° 5, la veille ; vue de l’atelier avec trois ou quatre assiettes-paysages, sur la table ; album photographique Château de Plieux, ouvert à la page de la bibliothèque. L’IN-NOCENT. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, années 1545-1546, morts idiotes du duc d’Orléans et du comte d’Enghien, guerre avec Henry VIII, escarmouches navales près de l’île de Wight, rachat de Boulogne, débuts du Concile de Trente, Paul III allié des Protestants contre l’empereur ! Comptes : Dernière connexion le 17/11/2017 à 09h48 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -1.872,91 € /// Crédits -98.946,99 /// Solde au 17/11/2017 -1.872,91 € /// À venir -769,11 € | Prévisionnel -2.642,02 € /// Débiteur depuis 12 jours (aucun mouvement). Agenda. 16:10:27 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Promenade avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement. Atelier, très petites pièces de porcelaine. Lecture par Pierre de Musil, L’Homme sans qualité, crise au sein de l’action parallèle, le sujet fait du sur-place. Écrit à MM. Ouchikh, Martel, Duprat. Journal (à propos de la conversation du matin avec Finkielkraut). Dîné aux nouvelles, tarte aux poireaux,, champignons, carottes, un peu effondrée mais pas mauvaise. Salade verte. Poires à la vapeur et framboises. Vu Un carnet de bal, 1937, de Julien Duvivier, avec Marie Bell, Jovet, Baur, Raimu, Richard-Willm, Blanchar, Rosay, Fernandel, etc., bien mauvais. Suite du journal. Couché vers 1 h et 1/2. 

lire l’entrée du samedi 18 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le dimanche 19 novembre 2017, 9 h 56
modifiée le lundi 20 novembre 2017, 23 h 54
Dimanche 19 novembre 2017.
Saint Tanguy — 323/42. Plieux. Assez bien dormi (sous la nouvelle couette de Mme P., très chaude). Levés à 8 heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, très traité. Déjeuné en bas avec Pierre. Mis à cuire l’assiette-paysage n° 5, four à 3, 14 minutes, bons résultats. Temps très brumeux, légèrement doré. Agenda. 09:55:46 ////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne publique (conversation avec Alain Finkielkraut). Le Jour ni l’Heure, trois œuvres du musée de la Sénatorerie de Guéret, Banlieue du vide, vidéo, 2003, de Thomas Köner ; animaux empaillés dans une vitrine ; dét. de Neige à Puy-Barriou, c. 1890 (?), d’Armand Guillaumin. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, année 1547, mort d’Henry VIII, mort de François Ier, débuts du règne d’Henri II, renvoi des ministres de son père, faveur des Guise et de Montmorency. Promenade avec Pierre sur le chemin de Monplaisir. Beau temps froid. Autoportrait. Parlé à Mme le maire qui rentrait chez elle, en voiture. Atelier, très petits objets de porcelaine. Lecture par Pierre de Musil, L’Homme sans qualités, visite d’Agathe au professeur de morale. L’IN-NOCENT. Dîné aux nouvelles, tuerie de jambon espagnol et de fromage, pommes de terres rissolées, saint-émilion, poires à la vapeur et framboises. Vu… (j’ai oublié — peut-être rien). L’IN-NOCENT. Journal. Couché à 1 heure et demie. 

lire l’entrée du dimanche 19 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mardi 21 novembre 2017, 1 h 11
modifiée le mardi 21 novembre 2017, 9 h 37
Lundi 20 novembre 2017.
Saint Edmond — 324/41. Plieux. Levés sur les huit heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, à Monplaisir, et église Saint-Martin d’Ygrande, le 10 novembre 2017. L’IN-NOCENT, mais presque aussitôt méchante affaire avec une diffamatrice anonyme, simplementpatriote@jojopatriote, qui raconte qu’une femme qui “bosse” avec moi a une fille qui est une spécialiste des ados transgenre. Quelqu’un commente aussitôt que cette “information” est “troublante”. Je nie évidemment avoir la moindre idée de ce qui est là évoqué, et “bosser” avec qui que ce soit. Plus tard la diffamatrice, qui semble être une jeune femme un peu dérangée, me demande si je nie connaître Sophie Barrouyer. Bien sûr que non mais alors je me fais traiter de menteur pour avoir nié “bosser” avec la moindre mère de spécialiste des transgenres. Parlé entretemps à Sophie Barrouyer qui dit avoir parlé récemment de sa fille, qui fait un mémoire ou une thèse sur les transgenre avec Sarah Vajda et sa fille Joséphine. La diffamatrice dit ne pas connaître Sarah Vajda, puis, aussitôt après, se plaint que mon avocat ait téléphoné à sa mère, Me Rimokh ayant en effet téléphoné à Sarah Vajda, qu’il connaît. Entre temps l’incendie s’est largement répandu et mon habituel délateur, sur Twitter, un certain @TheInsideDude, tweete que non seulement je suis une saloperie politique mais qu’en plus je consulte un spécialiste des ados transgenre, ce que s’empressent de tweeter tous mes ennemis. Bref, un véritable cauchemar, qui me met dans un état de nerfs effroyables (je tremble tellement que je ne peux plus tweeter…) et me fait perdre les trois-quarts de la journée. Plusieurs conversations avec le charmant Me Rimokh, qui s’est précipité de lui-même dès les débuts de l’incendie. Parlé à Sarah Vajda. Pendant ce temps sa fille est devenue d’une ordurièreté inouië et me traite de “vielle pute de 80 pigés” (sic). Les menaces de procès formulées par Me Rimokh l’amènent à présenter des excuses, peu sincères, selon des modèles rédigés par Rimokh et moi. Le tout fini par se calmer mais a dévoré stupidement et très salement les deux tiers de ma journée. Excellent conversation sur le Conseil National avec Karim Ouchikh, toutefois, qui me rassérène un peu. Bain, très tardif. Échange téléphonique avec la “fact-checker” du New Yorker, à propos du journaliste qui est venu ici cet été avec sa femme et sa fille et dont l’article doit paraître lundi prochain. Promenade avec Pierre, mais très abrégée, seulement jusqu’au carrefour, car nous sommes tous les deux dans un état lamentable (je tousse affreusement et Pierre est gelé). Atelier, petites pièces de porcelaine. Lecture par Pierre de Musil, nouvelles tergiversations entre Ulrich et sa sœur. L’IN-NOCENT, le feu paraît s’être un peu calmé mais les dégâts causés par cette horrible petite personne sont évidemment irréversibles (elle m’accuse de la harceler !!!). Dîné aux nouvelles, semoule et jardinière de légumes au soja, poire à la vapeur et framboises. Vu The Last Hurrah, La Dernière Fanfare,  1958, de John Ford, avec Spencer Tracy et Jeffrey Hunter. Le Jour ni l’Heure, “traité” les photographies les plus récentes, sur Flickr  (mais pas les précédentes). Agenda. 01:05:21 ///// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal. Couché vers 2 heures. 

lire l’entrée du lundi 20 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mardi 21 novembre 2017, 9 h 43
modifiée le mercredi 22 novembre 2017, 22 h 48
Mardi 21 novembre 2017.
Présentation de Marie — 325/40. Plieux. Bien dormi, levé à 7 heures et demie, Pierre déjà parti. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et château de Plieux vu de Monplaisir, avant-hier dimanche. Mise à jour de photographies mises en ligne récemment mais non légendées sur Flickr. Écrit à M. Duprat. Assez beau temps très brumeux, doré. Agenda. 09:42:40 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée de la veille, suite de la rédaction. Le Jour ni l’Heure, album Châteaux, 31 octobre 2017 ; théière “bombe”, 31 octobre 2017 également ; Bourges “approches de la cathédrale”, II, 8 novembre 2017. Bain. Promenade dans la vallée, curé la rivière. Atelier, lecture par Pierre de Musil, petite pièces. L’IN-NOCENT. Dîné aux nouvelles, gnocchi, carottes, courgettes, salade verte. Poire à la vapeur et framboises. Vu La Fausse maîtresse, d’André Cayatte, 1942, puis un documentaire sur l’homme de la Continental, Geler, Geher, Geer, quelque chose comme ça. Remonté tard. Communiqué pour l’In-nocence. Journal. Couché vers une heure et demie. 

lire l’entrée du mardi 21 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mercredi 22 novembre 2017, 23 h 45
modifiée le vendredi 24 novembre 2017, 0 h 15
Mercredi 22 novembre 2017.
Sainte Cécile — 326/39. Sainte Cécile. Levé à 7 heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit, pas mal, et album Paysages préposthumes, “publicité”. L’IN-NOCENT, légère reprise de l’affaire Joséphine Vajda, par le truchement d’une sienne amie, ou alliée, ou plus vraisemblablement d’une nouvelle hypostase de la même, qui cette fois veut monter une campagne contre moi et pour encourager à mon ‘boycott”, pour mauvais traitements à une innocente jeune fille qui n’a rien fait de mal. Je réplique à chaque intervention par le texte du journal de l’avant-veille, qui ne fait chaque fois que donner plus de publicité à l’affaire, laquelle allait s’estompant. Joséphine Vajda, pendant ce temps, harcèle non pas moi, par chance, mais Me Rimokh, et me menace à travers lui d’un procès pour “atteinte à la vie privée” (!!!!!!). Il me fait part au fur et à mesure du déferlement de messages qu’il reçoit de la jeune personne, toujours dans son style ordurier (“Faut arrêter ces conneries”). Je lui dis ne craindre en rien un procès  (je n’ai fait que relater heure par heure ce qui se passait, sans la moindre inexactitude). Les choses semblent s’apaiser en fin de matinée. Plusieurs conversations avec Me Rimokh, avant et après qu’il a parlé à Alain Finkielkraut à mon sujet pour tout autre chose. Finkielkraut dubitatif. L’IN-NOCENT. Échanges très courtois avec JeanYves Camus, qui doit m’appeler. Bain. Nouvelle conversation avec Me Rimokh. Quitte Plieux avec Pierre vers 4 heures et demi dans un grand désordre et beaucoup de précipitation, en oubliant nombre de choses très importantes, dont la carte grise de la voiture. Agen, magasins Casa et ?, achat de porcelaine blanche, coupes, bols, saladiers, vase etc. Magasin Artempo, grand nombre de petits flacons pour la peinture sur porcelaine, et pinceaux (c. 175 €). Garage Peugeot Macard, rendez-vous à 6 heures pour le changement de voiture. N’avons pas affaire cette fois au familier M. Valdeavero mais à une demoiselle Delphine Ruiz. Intense paperasserie, donné une bonne cinquantaine de signatures et de paraphes (crédit, garanties, entretien, etc.). Laissé la Peugeot 508 gris métallisée, diesel, repartons avec une Peugeot 508 noire, toit ouvrant, essence. Dîné relativement tôt au “Pong”, Impérial Buffet, qui semble avoir changé de propriétaires, avoir fait peau neuve et viser à plus de sophistication. Il a adopté aussi, assez comiquement, des modes culinaires très locales, ou européennes, magret de canard, saucisson, jambon serrano, etc. Mangé beaucoup de saumon, sushi, pâtes en coquillettes, crêpe au poulet, calamars, canard laqué, poulet rissolé, courgettes, champignons noirs, etc. Thé au jasmin. Tarte au citron meringué, biscuit à la poire et sauce au chocolat chaude, biscuits chinois, glaces au caramel, au café, au citron. Rentrés à la maison vers 8 heures et demie, avec la nouvelle voiture, donc, très austère, mais nettement plus silencieuse que la précédente. Entendu à la radio feue Mme Françoise Héritier, interviewée en 2006 par Caroline Boué. Grand froid. L’IN-NOCENT, pas de repiqué de l’affaire Joséphine., front calme. Long téléphonage de M. Pohon, très amical et gentil. Comptes : Dernière connexion le 18/11/2017 à 16h08 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -1.914,01 € /// Crédits -98.946,99 € /// Solde au 22/11/2017 -1.914,01 € /// À venir -769,11 € | Prévisionnel -2.683,12 € /// Débiteur depuis 17 jours /// 22/11 CHEQUE 3672719 -41,10 € /// Agenda. 23:34:25 ///////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Journal. Couché vers 2 heures. 

lire l’entrée du mercredi 22 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le vendredi 24 novembre 2017, 0 h 58
modifiée le vendredi 24 novembre 2017, 11 h 34
Jeudi 23 novembre 2017.
Saint Clément — 327/38. Plieux. Levé à sept heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit pénultième, doublon du précédent, et tableau d’Alfred Smith, c. 1929, au musée de Guéret, 10 novembre 2017. Céline à un enterrement, déjeuné en bas avec Pierre. Ensuite L’IN-NOCENT, très intensément toute la matinée. Le Jour ni l’Heure, en retard, album Le Jour ni l’Heure ouvert à la page d’un paysage de neige pris des environs de Rochefort-Montagne ; orant de Jean de Berry dans la cathédrale de Bourges, auteur inconnu (de moi) ; photographie de moi sur la tombe du général de Gaulle à Colombey, 9 novembre 2017. Bain, symphonie Réformation. Promenade dans la vallée, curé la rivière, rentré par Subervie. Atelier, assiette rouge, puis attaqué un vase de porcelaine blanche acheté la veille à Agen à côté du magasin “Casa”. Préludes et nocturnes de Chopin (Lodéon). Retour de Pierre, lecture de Musil, L’Homme sans qualités, le frère et la sœur très discoureurs, un peu vainement, il me semble. L’IN-NOCENT. Fin du traitement sur Flickr des photographies du Jour ni l’Heure, livraison de la mi-journée. Écrit à Philippe Martel. Dîné aux nouvelles, excellente omelette aux pommes de terre et aux champignons, salade verte. Poire à la vapeur et framboises. Vu un peu de Senso puis Stage Beauty de Richard Eyre, 2004, sur l’acteur Edward Kynaston au temps de Charles II. L’IN-NOCENT. Écrit de nouveau à Martel, puis téléphonage de lui. Accepté invitation à propos de l’ancien président tchèque, Vaclav Klaus. Retransmis à Martel et Ouchikh de nombreux messages de personnes intéressées par le CNRE. Écrit à Karim Ouchikh. Comptes : Dernière connexion le 22/11/2017 à 23h31 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -1.914,01 € /// Crédits -98.946,99 € /// Solde au 23/11/2017 -1.914,01 € (aucun mouvement) /// À venir -944,56 € | Prévisionnel -2.858,57 € /// Débiteur depuis 18 jours /// Agenda. 00:57:17 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal. Couché vers deux heures. 

lire l’entrée du jeudi 23 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le vendredi 24 novembre 2017, 11 h 40
modifiée le samedi 25 novembre 2017, 10 h 30
Vendredi 24 novembre 2017.
Sainte Flora — 328/37. Plieux. Bien dormi. Levé à 8 h 10. Nathalie Dessay à France Culture, très agaçante. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et album Paysages préposthumes, ouvert à la page du chemin de Monplaisir, mardi 31 octobre 2017. L’IN-NOCENT. Chien de Mme Le Coz particulièrement insupportable, à rendre fou. Agenda. 11:39:44 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal de l’avant-veille, relecture et mise en ligne. Imprimé divers textes pour Alain Finkielkraut. Pas d’eau chaude, pas de bain. La manifestation des Identitaires a été interdite par la préfecture de police, crainte de troubles à l’ordre public. Bagages. Quitté Plieux vers quatre heures, conduisant pour la première fois la nouvelle voiture, pas mal. Nocturnes de Chopin. Retrouvé Pierre à cinq heures au pied de l’église de L. (immédiatement au nord de Valence d’Agen, nom se dérobe], où il laisse sa propre voiture. Essence à Lauzerte. Sainte-Alauzie. Pern. Symphonie Réformation. Cahors-Sud. Brive. Limoges. Châteauroux. Twitter. Facebook. Vierzon. Orléans. “Pong” d’Orléans, les derniers. Raviolis de crabe à la vapeur, lamelles de jambon, rouleau de printemps, beignets de poisson, poulet aux champignons noirs, canard laqué, gâteau à la noix de coco, lichis, nougat chinois, glaces (très entre autres). À l’hôtel Mercure-Centre vers onze heures et demie, très gentil homme barbu roux habituel, chambre 811 coutumière, mais la cathédrale n’est pas illuminée. Autoportrait. Journal de la veille. Journal. Couché vers une heure et demie. 

lire l’entrée du vendredi 24 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le samedi 25 novembre 2017, 10 h 29
modifiée le lundi 27 novembre 2017, 12 h 40
Samedi 25 novembre 2017.
Orléans, hôtel Mercure-Centre, ch. 811. Levé à 7 heures. Belle vue de l’aube sur Orléans, cathédrale très hugolesque. L’IN-NOCENT, suite des aléas sur la manifestation des Identitaires, interdite la veille. Difficultés avec Flickr, qui marche mal. Déj. en bas, jus d’ananas, café, tranches de dinde, poulet, saucisses de volaille, fromage local, ananas en jus, muesli, coulis de framboises, abricots secs. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et vue d’Orléans à l’aube, non sans mal. Agenda. 10:28:32 //////// Le Jour ni l’Heure, chronologie. Journal 2017, entrée de la veille, suite, sans avoir le temps de la mettre en ligne. Bain. Quitté l’hôtel Mercure et Orléans vers midi et demie. Paris. Pierre me laisse devant l’École militaire, près de l’affreux nouveau monument qui coupe la perspective sur le Champ-de-Mars. À trois heures sur le site supposé, La Motte-Piquet-Grenelle, de la manifestation organisée par les Identitaire, “Defend Europe”, interdite et ré-interdite. Force forces de l’ordre, quelques très petits groupes de “manifestants” qui ne manifestent rien sinon leur désarroi impuissant. Gens me serrent la main. Deux dames me parlent, l’une d’un village de l’Allier. Belle jeune femme me dit que la manifestation s’est transportée au métro Dupleix. M’y transporte moi-même mais n’y trouve qu’un groupe de jeunes Identitaires toulousains, qui me serrent la main ou se photographient avec moi. Retourne à La Motte-Piquet-Grenelle, où la non-manifestation est encore plus inexistante qu’avant. Échange quelques mots avec deux ou trois groupes minuscules. Policiers me demandent mes papiers. Rien de chez rien. Me rend place Dupleix, souvenirs d’enfance et d’adolescence, quand les Clergier habitaient au 15, rue de Presle. Entre dans l’église Saint-Léon, intéressante, où se déroule un enterrement. Cherche longuement, avenue Charles-Floquet, l’hôtel de Paul-Morand et de sa femme. Interroge un homme qui vient me serrer la main et me dit habiter le quartier, mais il ne sait pas qui est Paul Morand. Trouve l’ambassade de la République tchèque puis, finalement, l’hôtel des Morand, immense, et beaucoup plus voisin de la tour Eiffel que je ne l’imaginais. Plaque. Abords de la tour Eiffel, horrifiants. Monte à droite du Trocadéro (trois heures à tuer, beau temps, grand froid). Hôtel Shangri-la. Palais de Tokyo. Assiste à une table ronde d’un ennui mortel — l’art du rien, là aussi, comme la manifestation des Identitaires. Théâtre des Champs-Élysées. Essaie de pisser à l’hôtel Plazza mais c’est très surveillé. Place François Ier. Église arménienne, pal mal. Pisse dans un café de l’avenue Franklin-Roosevelt. Vais reconnaître les lieux du rendez-vous Rimokh-Finkielkraut, très inattendus : somptueux hôtel Napoléon III, où l’on débarque des tonnes de caisses de champagne et de petits fours (ce Rimokh est fou !). Encore un heure à tuer, vais à Artcurial, petite exposition Camille Claudel, pré-vente le surlendemain (buste de son frère en jeune Romain). Galeries de l’avenue Montaigne, rapidement. Exposition Magnelli. Au retour, croise Pierre, qui se trompait de numéro. Ensemble au 9-11, avenue Franklin-Roosevelt, cabinet Briard, sous les combles du bel hôtel. Homme très désagréable, qui n’est au courant de rien, et répète “qu’il ne peut pas nous laisser entrer” (nous ne lui demandons rien). Il va finalement en chercher un autre, moins désagréable, au courant du rendez-vous, lui, et qui lui nous fait entrer et nous demande d’attendre. Vers 7 heures, arrivée de MMes. Rimokh et Bonichot, qui annoncent qu’Alain Finkielkraut ne vient pas, qu’il est malade, maux d’estomac. Bonne conversation avec eux, très gentils. Tél. à Finkielkraut. Pierre et moi marchons récupérer la voiture au coutumier parc de stationnement des Invalides. Passons chez les Finkielkraut rue Vavin pour y laisser en bas, dans la boîte, des documents préparés pour Alain. Croise rue Vavin, sans le voir et savoir, un jeune homme, Benjamin Kouby, qui m’écrira le surlendemain qu’il m’a croisé rue Vavin. Pierre et moi quittons Paris vers huit heures et demie. Avions pensé nous rendre à Sens mais décidons après tous ces ratages, et au vu de la situation économique, de simplifier et de gagner directement Bourges, pour rentrer un jour plus tôt que prévu. Autoroute, donc, Orléans, Bourges. Vers 11 heures et demie à l’hôtel Mercure ex-Bourbon, comme précédemment. Ch. 209. Collation dans la chambre, pâtes au saumon, plus pâtes que saumon, très bons verres de sancerre blanc. Hélas, connexion ne marche pas. Gentil concierge de nuit monte pour essayer de l’établir, y passe bien trois quarts d‘heure, mais sans résultat — dit que c’est à cause de ma connexion lors de mon précédent séjour dans le même hôtel, entre temps il a changé de système, d’où l’obstination du message “délai de connexion autorisée dépassé”. Une heure et demie au moins de perdue. Journal. Couché vers deux heures. 

lire l’entrée du samedi 25 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le lundi 27 novembre 2017, 19 h 13Dimanche 26 novembre 2017. Christ-Roi — 339/36. Bourges, hôtel Mercure-Bourbon, ch. 209. Réveillés vers 8 heures 20.  Même pas ouvert l’ordinateur, puisque la connexion ne marche pas, été directement déjeuner en bas, dans l’ancienne chapelle : jus d’ananas, café, petite saucisses, bacon, tranches de dinde, jambon, fromage, puis pruneaux et pamplemousse dans leur jus, céréales, dattes, figues, coulis de framboise, crêpe au sirop d’étable. Douche. Quittons l’hôtel vers dix heures, laissons les bagages dans la voiture. Passé à l’hôtel des Échevins, ailleurs fermé. Place George-Sand. Cathédrale. Y passons une heure, puis grand messe archiépiscopale, peu de monde. Tour extérieur. Palais Jacques-Cœur, midi moins le quart, ferme à midi et quart, femme très peu aimable, nous dit qu’avec le même billet nous ne pourrons revenir l’après-midi, « Ce n’est pas un billet pour la journée ».  Visite néanmoins, un peu au pas de charge, mais c’est très vide. Allons reconnaître le musée du Berry, hôtel Cujas, fermé, puis l’hôel Lallemant, id. Re-place George-Sand. Re-cathédrale, très longuement. Porches latéraux romans, vitraux. À deux heures et demie, visité guidée de la pseudo-crypte, en fait un double déambulatoire de soutènement. Tombeau de Jean de Berry avec sa première épouse, par Jean de Cambrai. Grande Mise au tombeau Renaissance. Sépultures des archevêques. Monté au sommet de la tour (390 marches), vue bien laide et bien triste, les entoure ravagés. Porche sud. Incident avec une “mendiante” lourdement voilée qui téléphone dans son voile, appareil rivé par lui, sans les mains, et dans sa langue (?), et qui fait un bruit d’enfer. Été au musée du Berry, ancien hôtel Cujas. Salles des peintures, assez courtes, salles gauloises et gallo-romaines. (Très) Petite exposition Rodin. Couru au musée Lallemant, à l’autre bout de la vieille ville, arts décoratifs, mais surtout paysans. Acheté un pull-over qui m’avait tapé dans l’œil au passage au magasin Devred, 12, rue du Commerce (49 €,99 — offert par Pierre). Regagné l’hôtel, par grand froid, pour y récupérer la voiture. Quitté Bourges peu avant sept heures. Charost. Dîné à la brasserie de l’immense restaurant routier  qui fait face à mes chères usines Bloch puis Dassault de Déols, L’Escale, Pierre en ayant envie à cause d’un article favorable dans… Causeur. Pièce de bœuf avec des pommes de terre frites, “plateau de fromagse” (trois). Tour nocturne post-prandial des anciennes usines. Autoroute à Châteauroux, donc, Limoges, Brive, Cahors-Sud. L’IN-NOCENT sur le smartphone (est-ce un smartphone ?), mais en ne pouvant guère intervenir. Pern, Sainte-Alausie, Saint-Laurent-Lolmie, Lauzerte. Lalande, Pierre y reprend sa voiture. À Plieux vers une heure. Journal purement symboliquement, couché presque aussitôt rentrés.

lire l’entrée du dimanche 26 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le lundi 27 novembre 2017, 19 h 38
modifiée le mardi 28 novembre 2017, 18 h 48
Lundi 27 novembre 2017.
Saint Séverin — 331/34. Plieux. Levés un peu avant huit heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, dans Bourges, et portrait de Jean Baffier par Maurice Joron, 1914 (le chef-d’œuvre de Joron,  certainement, quoi en peu showy dans le genre vénitien, mais à mille coudées au-dessus de ses cardinaux habituels). Céline n’est pas là à l’heure coutumière, elle nous croit absents car nous sommes rentrés un jour plus tôt que prévu et elle est allée faire les courses directement. Déjeuné en bas avec Pierre. L’IN-NOCENT. Marien Defalvard est pris depuis quelques jours d’une nouvelle crise de sa haine obsessionnelle et gâteuse à mon égard, mais cette fois il ne se manifeste plus anonymement ou pseudonymement, c’est un gros progrès (moral, pour lui). Il est aussi passé sur Flickr, et donc dépose de petites crottes sous (presque) chacune de mes photographies (genre, sous un autoportrait où j’explore un placard, dans une chambre d’hôtel : « Vous cherchez les pissotières ? ») — le pauvre garçon se fait plus de tort qu’à moi. J’essaie de rattraper tous les retards, à commencer par cet agenda : journée de samedi. Le Jour ni l’Heure, hôtel de Bengy à Bourges, “1676” ; dét. des jolies grisailles d’un certain Michel Longuet dans la petite salle du Conseil du palais Jacques-Cœur, 1687 ; dét. du vitrail de saint Thomas, dans la cathédrale, Thomas demande à voir la plaie. Bain. Lecture par Pierre d’Henri Martin, 1548, la bataille de Mühlberg, menées de Paul III Farnèse en faveur de son fils Pierre-Louis, mort de Pier-Luigi. Promenade avec Pierre dans la vallée, beau temps. Curé la rivière au premier gué. Atelier, repris le vase moderne récent. Lecture par Pierre de L’Homme sans qualités, suite des discussions d’Ulrich avec Agathe, que je trouve assez vaines. L’IN-NOCENT, peu. Suite de la mise à jour de l’agenda. Dimanche. Lundi. 19:31:51 ////////  Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’IN-NOCENT. Dîné aux nouvelles. Raviolis aux cèpes, jardinière de légumes, salade verte. Poire à la vapeur et framboises. Revu Le Désert des Tartares, de Valerio Zurlini, 1976. Journal du vendredi précédent (!!!), relecture et mise en ligne. Journal. Couché à deux heures.  

lire l’entrée du lundi 27 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mardi 28 novembre 2017, 19 h 06
modifiée le mercredi 29 novembre 2017, 8 h 00
Mardi 28 novembre 2017.
Saint Jacques de la Marche — 332/33. Plieux. Levé à 7 heures avec Pierre. Le Jour ni l‘Heure, autoportrait de la nuit et dét. du vitrail de saint Étienne de la cathédrale de Bourges, l’adoration des idoles. Ensuite, crise autour de la publication dans The New Yorker de l’article de Mr. Thomas ChattertonWilliams, venu cet été : le tweet de moi, « La seule race que je hais est celle des claqueurs de portes » est traduit par « The only race I hate is the one knocking on the door ». Échanges avec l’auteur, léger tumulte réseausocial, échanges avec Me Rimokh. Le Jour ni l’Heure, femme au hennin du palais Jacques Cœur ; dét. du Temps vaincu par l’Amour, l’Espérance et la Renommée, de Vouet, 1645, musée du Berry ; petits panneaux portant des phrases de Platon et de Jules Claretie au restaurant des Routiers de Déols, L‘Escale — le tout du dimanche 26 novembre, avant-hier. Bain. Mélodies de Koechlin. Promenade sur le plateau, jusqu’à l’embranchement. Atelier, vase rouge bleu, vert et noir. Suites de l’affaire Williams. Écrit à Me Rimokh. Écrit à Philippe Martel, cf. les statuts du groupe “Résistance”. 19:04:02 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal, entrée du samedi. Dîné aux nouvelles. Jardinière de légumes, œuf à cheval, riz. Poires au four à la confiture de figues. Vu un peu de Madame Bovary, film américain récent, et de Richard Cœur de Lion. Remonté relativement tôt. Journal 2017, relecture et mise en ligne de l’entrée du samedi. Passé à l’entrée du dimanche mais attaque de sommeil. Couché vers minuit. 

lire l’entrée du mardi 28 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le mercredi 29 novembre 2017, 8 h 11
modifiée le jeudi 30 novembre 2017, 10 h 41
Mercredi 29 novembre 2017.
Saint Saturnin — 333/32. Plieux. Levé à sept heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et chevet de la cathédrale de Bourges le dimanche 26 novembre 2017. Comptes : Dernière connexion le 24/11/2017 à 00h55 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -1.914,01 € /// Crédits -98.946,99 € /// Solde au 28/11/2017 -1.914,01 € /// À venir -1.082,17 € | Prévisionnel -2.996,18 € Débiteur depuis 23 jours /// Agenda. 08:11:16 /// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, Juste avant après, entrée du dimanche 26 novembre, relecture et mise en ligne. Mlle Venezia ici, vient dire bonjour. Homme de Serv’Élite, un nouveau, barbu, pour le chauffage, ne trouve rien qui n’aille pas et pourtant ça ne chauffe pas. Bain. Sors vers midi. Reviens de Peyrecave car j’ai oublié l’appareail photographique. Du coup en retard pour le rendez-vous avec Pierre à midi-et-demi au parc de stationnement de l’entrée de l’autoroute à Valence d’Agen. La Magistère. Puymirol. Arrivés vers une heure et quart chez Jean-Louis Germain au château de Cauzac où sont présentes quatre dames dont Mme de Fayette, Faillette, de Marsolan, et l’Anglaise qui a un jardin fameux dans le Surrey, et la semi-Portugaise qui vit à Sainte-Alausie. Champagne dans le salon au Monticelli puis déjeuné à sept, donc, dans l’immense cuisine où s’affairent cinq domestiques dont un petit nouveau nommé Clément. Soufflé. Pintades sur canapé au foie gras. Fromage. Choux à la crème et éclairs de La Roque-Timbault. Re-salon Monticelli. Sept chocolats. café. Autoportrait sur la magnifique terrasse. Après le départ des quatre dames, visité à l’atelier, photographies. Tour dans le parc, Pierre et moi, avec les deux chiens-loups, qui malheureusement nous faussent compagnie. Quittons Cauzac vers quatre heures et demie. Cherchons une très belle maison que j’avais vue au passage la dernière fois, quand j’étais très en retard et que nous ne retrouvons pas. Bauville, château. Saint-Maurin. Pierre me montre des chapiteaux qui nous avaient échappés lors d’une précédente visite. Hélas, affreuses tranchées dues au froid et surtout à ma gloutonnerie. Valence-d’Agen. Récupérons la voiture de Pierre. À Plieux vers six heures et demie. Atelier, le vase. Lecture par Pierre de Musil. Conversation entre Ulrich et le général sur le génie. L’IN-NOCENT, peu. Nouvelles, poire à la vapeur et confiture de figues, infusion. Vu Les Amants de Vérone, d’André Cayatte, 1948, avec Serge Reggiani, Anouk Aimée, Pierre Brasseur, Louis Salou, Marianne Oswald. Journal, entrée du lundi, relecture et mise en ligne. Couché vers une heure.  

lire l’entrée du mercredi 29 novembre 2017 dans le journaljournal

chercher cette date dans la photothèque Flickr de Renaud Camus
(affichage dans une nouvelle fenêtre)
créée le jeudi 30 novembre 2017, 10 h 58
modifiée le vendredi 1er décembre 2017, 18 h 44
Jeudi 30 novembre 2017.
Saint-André — 334/31. Plieux. * Levés à 8 h & 1/4. Beau temps froid — aucun effet de l’intervention du chauffagiste hier, sol toujours aussi glacé. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, sur la terrasse du château de Cauzac, et atelier avec le vase en cours d’exécution. Tél. de Jeanne, qui propose ses secours bancaires. Tél. à Cauzac, pour m’assurer qu’on a bien retrouvés les chiens échappés par ma faute. Oui. Jean-Louis Germain est sur le départ pour le Maroc, où il nous invite. Comptes :    Dernière connexion le 29/11/2017 à 08h08 /// Bonjour M. CAMUS Avoirs -1.914,01 € /// Crédits -98.946,99 € /// Solde au 29/11/2017 -1.914,01 € À venir -1.659,74 € | Prévisionnel -3.573,75 € Débiteur depuis 24 jours /// (aucun mouvement) /// Agenda /// 10:57:53 ///////  Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal 2017, entrée de l’avant-veille, relecture et mise à jour. énervé une chambre à Paris du 7 au 13 décembre. Impossible d’avoir la 60 ai Bourgogne et Montana, vais ailleurs. Collation en Suisse, jambon espagnol sur crackers, château Bouscassé. Confiture de figues et noix, fruits secs. Le Jour ni l’Heure, trois photographies de la veille, coupe basse évasée, jeune homme à la barbe légère (dessin de Jean-Louis Germain à Cauzac) ; château de Cauzac vu du parc. Bain. Promenade dans la vallée, curé la rivière. Atelier, vase rouge, bleu profond, vert, noir. Communiqué pour l’In-nocence. L’IN-NOCENT. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Dîné aux nouvelles gnochi, carottes, poireaux, etc., mais il y a du sable dans les poireaux. Poire à la vapeur et confiture de figues et de noix. Regardé un peu de Boardwalk Empire mais prends la fuite lors d’une scène de correction d’un fils par son père. L’IN-NOCENT. Écrit à Philippe Martel. Journal, mais tombe de sommeil avant minuit. Couché à minuit. 

lire l’entrée du jeudi 30 novembre 2017 dans le journaljournal

Le Jour ni l’Heure
Ce bouton permet de se déplacer rapidement dans le site de Renaud Camus.

masquer les messages d’aide
Ces boutons fléchés permettent de se déplacer dans les différentes pages de la chronologie Le Jour ni l’Heure.

Les autres boutons vous proposent diverses options. Survolez-les avec la souris pour en savoir plus.

masquer les messages d’aide
Journal Vaisseaux brûlés Livres en ligne Le Jour ni l’Heure Plickr Librairie Galerie Vie & œuvre Index Liens Courrier
accueil général du site