Le Jour ni l’Heure
juillet 2020
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 1er juillet 2020, 19 h 34
modifiée le jeudi 2 juillet 2020, 9 h 40Mercredi 1er juillet 2020. Semaine 27, Saint Thierry — 183/183. Plieux. Bien dormi, mais peu. Rendormi après de départ de Pierre, rêvé à Alain Finkielkraut, très amical. Levé à sept heures vingt. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, au pied du chêne (chaque fois que je veux écrire chêne il sort crâne) d’Henri IV à Merles, et confluent du Tarn et de la Garonne en aval de Moissac. L’Arrière-Pays, beaucoup trop, temps perdu (Twitter 42.900). Téléphonage de Mlle Viguier, du garage Peugeot, et avec M. Guizelin, du garage Skoda, location-vente sur trois ans, 60.000 kms, hésitation entre la 3008 et le Karoq, assez sensible différence de prix (85 € par mois). Le Jour ni l’Heure, beau pigeonnier de Millioles à Moissac, carton “Une consolation au moins intellectuelle est que l’antiracisme, pour imposer la colonisation, le changement de peuple et de civilisation, le Grand Remplacement, le génocide par substitution, est obligé d’instaurer une répression policière et judiciaire féroce de la liberté d’expression, un deux-poids-deux-mesures éclatant de la Justice, une véritable tyrannie idéologique. ” ; et maison des Enfants juifs à Moissac, la veille. Bain, lecture par Pierre de Michelet, Histoire de la Révolution française, séance du 15 janvier 1793, femmes à la mode qui pique-niquent dans les tribunes, défense par Michelet des régicides (bien qu’il pense qu’ils ont commis une erreur, non de droit ou de justice, mais d’opportunité — il cherche querelle à Lamartine, Histoire des Girondins, 1847, trop sévère à son gré avec la Gironde). Tél. de Mme Ruelle. Visiteurs, homme qui était déjà venu en 1999 pour Albers, avec sa famille, très enthousiastes, dit Pierre. Lu la biographie de Philip Johnson, assez agaçante par son hostilité constante (mais Johnson était peut-être très antipathique, je ne l’ai pas assez pratiqué pour m’en rendre compte). Comptes : Dernière connexion le 01/07/2020 à 13h29 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs 725,70 € /// Crédits -69.694,55 € /// Solde au 30/06/2020 725,70 € /// À venir -932,49 € | Prévisionnel -206,79 € /// 30/06 PRELEVEMENT URSSAF RHONE ALPES - CNCESU CE DU 30/06 - MOTIF : PRELEVEMENT CNCESU M. CAMUS RENAUD DU 30 - REF : RBB-CESUAPVT4232020061290082324 LIB -547,53 € /// 30/06 PAIEMENT CB CHATEAU ST JEAN DU 18/06 A MONTLUCON - CARTE*4502 -507,20 € (chambre et dîner) /// 30/06 PAIEMENT CB MELIA VENDOME B DU 17/06 A PARIS - CARTE*4502 -297,86 € (chambre, enterrement de Jean Paspail) /// 30/06 PAIEMENT CB AMAZON DU 14/06 A PAYLI2090401 - CARTE*4502 -194,20 € /// 30/06 PAIEMENT CB AMAZON DU 14/06 A PAYLI2441535 - CARTE*4502 -176,53 € 30/06 PAIEMENT CB AMAZON DU 13/06 A PAYLI2441535 - CARTE*450 -117,91 /// € 30/06 VIREMENT DE DAVID JORDAN MOTIF: VERSEMENT DE SOUTIEN - REF : DA001000-200629-14-2569 +100,00 € /// 30/06 PAIEMENT CB AMAZON DU 30/05 A PAYLI2441535 - CARTE*4502 -93,32 € /// 30/06 PAIEMENT CB AMAZON DU 30/05 A PAYLI2441535 - CARTE*4502 -84,99 € /// 30/06 PAIEMENT CB AMAZON DU 14/06 A PAYLI2441535 - CARTE*4502 -44,89 € /// 30/06 PAIEMENT CB MUSEE AMERIQUES DU 03/06 A AUCH - CARTE*4502 -39,00 € /// 30/06 PAIEMENT CB AMAZON DU 10/06 A PAYLI2090401 - CARTE*4502 -29,92 € /// 30/06 PAIEMENT CB PEAGE APRR DU 17/06 A ST APOLLINAIR - CARTE*4502 -26,00 € /// 30/06 PAIEMENT CB HRC33622BOURGES DU 17/06 A MARMAGNE - CARTE*4502 -24,90 € /// 30/06 PAIEMENT CB PEAGE COFIROUTE DU 16/06 A RUEIL-MALMAISON - CARTE*4502 -19,80 € /// 30/06 PAIEMENT CB GALIGNANI DU 17/06 A PARIS - CARTE*4502 -18,50 € /// 30/06 PAIEMENT CB MUSEE AMERIQUES DU 03/06 A AUCH - CARTE*4502 -16,30 € /// 30/06 PAIEMENT CB MAISON DE LA PRESSE DU 12/06 A LECTOURE - CARTE*4502 -14,80 € /// 30/06 PAIEMENT CB APPLE (IRLANDE) DU 17/06 - CARTE*4502 -9,99 € /// 30/06 PAIEMENT CB APPLE (IRLANDE) DU 13/06 - CARTE*4502 -9,99 € /// 30/06 PAIEMENT CB AMAZON DU 29/05 A PAYLI2090401 - CARTE*4502 -5,20 € /// 30/06 PAIEMENT CB APPLE (IRLANDE) DU 13/06 - CARTE*4502 -3,49 € /// 29/06 VIREMENT DE AMAZON MEDIA EU S.A.R.L. MOTIF: FCS000366313472 PAYMENT-NUM 1 29133127 - REF : FCS000366313472 +1.072,68 € //// 29/06 VIREMENT DE INSTIT RETRAITE COMPLEME ENSEIG ET CRATI MOTIF: IRCEC:RAAP 06-06 - REF : IR +30,26 € /// 29/06 VIREMENT DE AMAZON MEDIA EU S.A.R.L. MOTIF: FCS000340464612 PAYMENT-NUM 1 29333782 - REF : FCS000340464612 +27,53 € /// 29/06 VIREMENT DE AMAZON.COM.CA, INC MOTIF: FCS000366725292 PAYMENT-NUM 1 2 96555775 POP GOODS AND SERVIC ES - REF : 991993092641 +17,64 € /// 29/06 VIREMENT DE AMAZON SERVICES INTERNATIONAL IN MOTIF: FCS000366414832 PAYMENT-NUM 1 2 92955606 POP GOODS AND SERVIC ES - REF : 991992956548 +5,04 € /// Agenda. 19:30:11 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Dîner aux nouvelles, gnocchi aux carottes, glace au rhum et aux raisins et shortbread. Vu And Then We Danced, Et puis nous danserons, film gay géorgien de Levan Akin, 2019. Promenade avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement. L’Arrière-Pays. Journal de la veille. Journal. Couché peu après une heure.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 2 juillet 2020, 9 h 50
modifiée le vendredi 3 juillet 2020, 16 h 11Jeudi 2 juillet 2020. Semaine 27, Saint Martinien — 184/182. Plieux. Pas mal dormi, levé à huit heures moins dix, après le retour de Pierre. Pierre Nora aux Matins de France Culture, pour le Duby de la Pléiade. Temps gris. Comptes : Dernière connexion le 01/07/2020 à 19h19 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -206,79 € /// Crédits -69.694,55 € /// Solde au 01/07/2020 -206,79 € /// À venir -442,05 € | Prévisionnel -648,84 € /// Débiteur depuis 1 jour /// 01/07 VIREMENT VERS PEYRON-BUSQUET CELINE - MOTIF : SALAIRE DE JUIN 2020 -932,49 € /// Agenda. 09:50:07 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Chien Le Coz pénible et maintenant, pour comble, il y en a un autre qui lui répond. Journal, entrée de l’avant-veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, arbre dit d’Henri IV à Merles, mardi 30 septembre ; carton : “Le génocide par substitution, ou Grand Remplacement, ou destruction des Européens d’Europe et de leur civilisation, est le crime contre l’humanité du XXIe siècle” ; moulin de Moissac, 30 juin. Bain tôtif, car suis de garde (mais il n’y aura pas de visiteur). Reçu un petit escabeau pour la bibliothèque. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Fait un petit tour en ville, aperçu les Coulet-Lavaudan, mais Jean-Paul Coulet est en train d’apprendre à reculer avec une énorme remorque et ce n’est pas le moment de l’embêter avec une nouvelle consultation à propos des voitures (Karoq/3008). Atelier, commencé une nouvelle couverte 60x60 (n° 110 ?), Devon (paysage maritime). Lecture par Pierre de Rebatet, Les Décombres, la drôle de guerre. Dîné aux nouvelles, jardinière de légumes et œuf à cheval, chips, glaces au chocolat, au rhum et aux raisins, au pruneau et à l’armagnac, shortbread. Vu paresseusement, chacun croyant que l’autre s’y intéresse, une bonne partie de La Bonne Année, de Claude Lelouch, 1973, avec Lino Ventura et Françoise Fabian. Promenade sur le plateau avec Pierre, marché jusqu’à l’embranchement La Rouquette / La Bonnefont. L’Arrière-Pays. Journal. Couché un peu après une heure.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le vendredi 3 juillet 2020, 16 h 30
modifiée le samedi 4 juillet 2020, 9 h 40Vendredi 3 juillet 2020. Semaine 27, Saint Thomas — 185/181. Plieux. Pas mal dormi, réveillé par Pierre sur les sept heures. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et plaque à Moissac sur la maison où dîna Napoléon, le 29 juillet 1808, avec le conventionnel Delbrel. L’Arrière-Pays, pas mal de temps perdu. Démission d’Édouard Philippe. Il est remplacé à midi par un certain Castex, maire de Prades. Le Jour ni l’Heure, deux autres plaques à Moissac le mardi 30 juin, l’une à propos de la maison des Enfants juifs, l’autre de Bouli et Shatta Simon, ses fondateurs. Bain. Me coupe les cheveux sottement après, pour la première fois depuis l’hiver et mes hospitalisations diverses. Comptes : Dernière connexion le 02/07/2020 à 09h47 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs 92,97 € /// Crédits -69.694,55 € /// Solde au 02/07/2020 92,97 € /// À venir -742,05 € | Prévisionnel -649,08 € /// 02/07 VIREMENT DE MR PIERRE JOLIBERT +300,00 € (?????) /// 02/07 COMMISSIONS COTISATION A UNE OFFRE GROUPEE DE SERVICES ESPRIT LIBRE -20,12 € /// 02/07 VIREMENT DE APPLE DISTRIBUTION INTERNATIONAL MOTIF: CCI : 0148066715,PURPOSE:PUBLISHER ROYALTIES,APPLE - REF : 0148066715 +19,88 € /// Agenda. 16:29:24 ///////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Pris ma décision pour la voiture : Peugeot. Parlé en conséquence avec Mme Viguier, rendez-vous pour le lendemain. Parlé à Mme de Loynes, en rééducation à Fleurance. Tweets III, effort pour rattraper le retard, sans y parvenir tout à fait. Petite promenade en ville, pour prendre un peu de soleil (jusqu’à la nouvelle fontaine). Atelier, paysage maritime anglais (Devon), 60x60 n° 110 (?). Dîner aux nouvelles, Jean Castex Premier ministre. Espèce de pâtes inédites et carottes, puis glace à la poire et shortbread. Revu Le Charme discret de la bourgeoisie, de Bunuel, 1972, un peu moins pénible que dans mon souvenir mais tout de même bien bêta. Promenade avec Pierre sur la plateau, jusqu’à l’embranchement. Journal. Couché à une heure et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 5 juillet 2020, 0 h 00
modifiée le dimanche 5 juillet 2020, 11 h 20Samedi 4 juillet 2020. Semaine 27, Saint Florent — 186/180. Plieux. Levé à sept heures vingt. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et grande plaque installée par les Enfants juifs eux-mêmes, en mémoire de leur refuge, lors de leur retour en 1950, à Moissac, 30 juin 2020. Agenda, journée de la veille. Découvre que Landogne est à vendre (490.000 €). Bain. Lecture par Pierre de Michelet, Histoire de la Révolution française, journées du 15 au 20 janvier 1793, votes à la Convention sur la culpabilité, la peine, le sursis à exécution de la condamnation du roi. Assassinat de Le Pelletier de Saint-Fargeau, conventionnel régicide (le 19). Été avec Pierre à Agen, garage Peugeot, Mlle Viguié, décidé de l’achat en location vente d’une 3008, 619 € par mois. Mlle Viguié ne peut pas imprimer le contrat, elle nous l’enverra — de toute façon je n’ai pas mon carnet de chèque pour un dépôt de garantie, il faudra encore repasser. Courses au Géant Casino d’Agen, saumon cru, crevette, fromages. Été voir le château de Goulens, commune de Layrac, entre Layrac et Astaffort, entrés dans le parc. Les façades extérieures ont été très dix-neuviémisées mais il y a une jolie façade sur cour, Renaissance, que malheureusement on voit mal d’un portail latéral. Tourné dans la campagne au hasard à l’ouest de Goulens. Trouvé par hasard l’église Saint-Marie-d’Amans, en ruine, en partie romane, près d’un joli cimetière en un site paisible. Rentrés vers une heure, poussée boulimique, sandwiches au saint-nectaire avec des lardons cru (à la grand indignation affolée de Pierre), shortbread, café. Le Jour ni l’Heure, château de Goulens, maison moderne proche de Sainte-Marie-d’Amans, pour Enquête sur la réalité des choses. Après-midi de traînasseries molles, L’Arrière-Pays. Atelier, Devon, phase favorable. Lecture par Pierre de Rebatet, automne 1939, lui est engagé à Romans. Dîné, saumon cru, excellent, mais aurait mérité que nous ayons plus faim, la forte collation de la mi-journée nous a un peu coupé l’appétit. Vin de Buzet, ouvert à midi. Saint-nectaire encore et fromage de brebis pyrénéen. Glace à la poire, shortbread. Vu un peu d’un documentaire déjà vu sur Jacques Ier d’Angleterre, un peu de Dead End, d’après Stephen King, avec Christophre Walker, et un peu de The Dukes of Hazzard, de Jay Chandrasekhar, 2006, avec le sexy (là) Seann William Scott. Mais nous allons nous promener sur le plateau, jusqu’à l’embranchement. Comptes : Dernière connexion le 03/07/2020 à 16h26 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs 92,97 € /// Crédits -69.694,55 € /// Solde au 03/07/2020 92,97 € /// À venir -955,26 € | Prévisionnel -862,29 € /// Agenda. 23:59:05 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal (Landogne en vente). Couché vers une heure et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 5 juillet 2020, 11 h 26
modifiée le lundi 6 juillet 2020, 9 h 57Dimanche 5 juillet 2020. Semaine 27, Saint Antoine-Marie — 187/179. Plieux. Bien dormi, levé peu après sept heures. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Déjeuné en bas avec Pierre, mangé un gâteaux aux noix de l’Aveyron offert par M. Rionceny. Landogne. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et ruines de l’église Sainte-Marie-d’Amans, Layrac, 4 juillet 2020 au milieu du jour. Agenda. 11:25:43 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Dictionnaire, article “spécieux”. Le Jour ni l’Heure, autre photographie du château de Goulens, cette fois de profil, 4 juillet 2020 ; carton “Halte au vol des mots, comme de tout le reste. Les seuls indigènes en France, c’est nous ; les seuls décoloniaux aussi ; la seule colonisation en cours, celle dont sommes les victimes” ; abside plate de l’église romane en ruine Sainte-Marie d’Albans, près de Goulens, à Layrac, 4 juillet 2020. Bain, lecture par Pierre de Michelet, Histoire d la Révolution française, 21 janvier 1793, exécution de Louis XVI. Quatre groupes de visiteurs dans l’après-midi. Thé avec Pierre. Vaisseaux brûlés, Lamalou-les-Bains, Albert des Capitales, La Douleur, de Marguerite Duras. Atelier, Devon, couverte 60x60 n° 110 (approximativement) ; lecture par Pierre de Rebatet, Les Décombres, le narrateur biffin à Romans, Isère. Dîner aux nouvelles, crevettes sautées, riz, jardinière de légumes et champignons, glace à la poire et shortbread. Regardé quelque chose en partie, j’ai oublié quoi. Promenade avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l‘embranchement. Dictionnaire des Églogues et des Vaisseaux brûlés, Lamalou-les-Bains, Albert des Capitales. Journal (phrasier). Couché vers une heure.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 6 juillet 2020, 10 h 06
modifiée le mardi 7 juillet 2020, 23 h 35Lundi 6 juillet 2020. Semaine 28, Sainte Marietta G. — 188/178. Plieux. Levé à sept heures et demie. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et chapiteau roman animalier de l’église Sainte-Marie-d’Amans, à Layrac, 4 juillet 2020. Pierre devait aller à Agen rapporter signé le dossier Peugeot mais par un accord tacite nous nous en abstenons. Agenda. 10:05:44 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Vaisseaux brûlés (La Douleur, Albert des Capitales). Index des Églogues et des Vaisseaux brûlés. Le Jour ni l’Heure, autre chapiteau de l’église en ruine Sainte-Marie d’Amans, à Layrac, 4 juillet 2020, retour d’Agen ; carton : “Médiatiquement, avec une trentaine de morts indigènes, tu peux encore t’acheter une demi-bavure policière sur un occupant” ; église Sainte-Marie d’Amans, abside plate, vue du bas, 4 juillet. Bain, lecture par Pierre de Michelet, séance de la Convention du 22 janvier 1793. Dame non pas anglaise mais hollandaise qui vient visiter à trois heures avec M. Fritsch, de l’agence Patrice Besse — elle est assez enthousiaste mais n’achètera pas car elle cherche un endroit où loger beaucoup de monde. Dictionnaire, article “spécieux”. Atelier, Devon. Lecture par Pierre des Décombres, Rebatet soldat à Romans, hiver 1939-1940. Dîner aux nouvelles, aubergines grillées, jardinière de légumes, glace à la poire et biscuits écossais. Télévision, ai oublié quoi. Promenade avec Pierre sur le plateau, été au Cassé, retour par le boulevard extérieur (du Cassé). L’Arrière-Pays. Journal (dame hollandaise, Landogne). Couché peu avant deux heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mardi 7 juillet 2020, 23 h 58
modifiée le mercredi 8 juillet 2020, 9 h 46Mardi 7 juillet 2020. Semaine 28, Saint Raoul — 189/177. Plieux. Levé à sept heures et demie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille et église, village et château de Plieux, retour d’Agen, samedi 4 juillet 2020, peu avant deux heures. L’Arrière-Pays, très activement. Le Jour ni l’Heure, abside de l’église Saint-désoré de Saint-Désiré, Allier, 17 juin 2020, retour des funérailles de Jean Raspail ; carton “Antiracistes, remplacistes et industriels de la MHI sont rassurés : le nouveau gouvernement ne devrait en aucune façon remettre en cause le génocide par substitution et la préférence occupante” ; croisée du transept de Saint-Désiré de Saint-Désiré, 17 juin 2020. Démêlés avec Peugeot, rupture (à cause du chèque demandé, passé sans crier gare de sept cent cinquante euros à seize cent cinquante), avec Skoda (rendez-vous pour le lendemain matin) ; avec la manufacture de porcelaine Raynaud, à Limoges, car nous donnons un thé la semaine prochain et manquons de tasses (leur site ne fonctionne pas mais ils ou plutôt elles sont très aimables). Bain en bas, car il n’y a pas d’eau à notre étage. Lecture pas Pierre de Michelet, le fédéralisme (dont les Girondins ne sont pas coupables). Été à Fleurance rendre visite à Jeanne Lloan à l’hôpital — elle va beaucoup mieux, ne souffre plus et a excellente mine. Elle reçoit la visite de sa voisine. Nous allons de là à Lectoure, à la brocante de l’ancien hôpital, à la recherche d’un plateau à poignées latérales mais n’en trouvons pas. Intermarché de Lectoure. Atelier, Devon, suite. Lecture par Pierre de Rebatet, Les Décombres, il est affecté du côté de Briançon. Dîné aux nouvelles, penne à la bolognaise, anchois, glace à la poire et biscuits. Documentaire sur la “paix impossible”, 1919-1922. L’Arrière-Pays. Agenda. 23:58:10 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal. Couché vers une heure et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 8 juillet 2020, 9 h 52
modifiée le jeudi 9 juillet 2020, 11 h 15Mercredi 8 juillet 2020. Semaine 28, Saint Thibaut — 190/176. Plieux. Levés à huit heures vingt. Beau temps. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne publique (les mots à l’envers : indigènes, indigénisme, décolonial, anticolonialisme). 09:51:48 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Bain, lecture par Pierre de Michelet, Histoire de la Révolution française, l’éducation, le plan de Le Pelletier de Saint-Fargeau, ses funérailles, dernière manifestation d’unité entre la Gironde et la Montagne. Été à Agen avec Pierre, rendez-vous à onze heures au garage Skoda avec le beau Thibault, dont c’est justement la fête. Signature d’un contrat d’achat, non, de location-vente, d’un Skoda Karoq qui doit être livré à l’automne, 609 € par mois sur trois ans contre 619 pour la 3008 Peugeot, à quoi s’était ajouté en dernière minute 1650 € à payer tout de suite, ce qui a fait échouer la négociation à la dernière minute. Bon, affaire réglée. Été au Géant Casino d’Agen, acheté du saumon et de la truite, et du vin vert portugais, et pas mal d’autre chose. Magasin de Layrac dont j’oublie le nom, à la sortie vers Astaffort, à cause d’oublis. Lavé la voiture. Tout ça très gai. À Plieux à deux heures. L’Arrière-Pays. Re-M. Fritsch, de l’agence Patrice Besse, avec des acheteurs potentiels cette fois beaucoup plus avertis, un homme et son architecte — longue visite très détaillée, rapports plaisants, beaucoup parlé de château du voisinage, s’en vont sur les sept heures. Tél. de Me Rimokh qui était l’après-midi à la XVIIe Chambre pour l’affaire du tweet “banquise”, et qui a eu quelque mal à obtenir le renvoi car j’ai stupidement oublié de demander au docteur Capdecomme le certificat médical sur mes hospitalisations qu’il avait réclamé. Renvoi au 25 novembre, néanmoins. Pas d’atelier, mais photographié avec Pierre des tableaux récents, lumière parfaite. Excellent dîner de ma composition, panaché de saumon et de truite crus, riz, saint-nectaire, vinho verde (mais comment s’appelait celui que nous buvions tant au Portugal il y a quarante ans, il y avait sur le flacon une très belle villa baroque où nous fûmes, Rodolfo et moi ?), glace à la poire et biscuits Casino au caramel et au beurre salé, une tuerie pour les natures rustiques et peu rafinées de ma sorte. Vu Once Upon a Time… in Holywood, de Quentin Tarantino, 2019, avec Leonardo Di Caprio et Brad Pitt. Marché dans la nuit avec Pierre sur le plateau jusqu’au rang de chênes. L’Arrière-Pays. Journal, très peu inspiré et très répétitif (seul à avoir raison ou fou ?). Couché vers une heure et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 9 juillet 2020, 11 h 11
modifiée le vendredi 10 juillet 2020, 11 h 46Jeudi 9 juillet 2020. Semaine 28, Sainte Amandine — 191/175. Plieux. Levé peu avant huit heures. L’Arrière-Pays. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et dernier état de Coronavirus, couverte 60x60 n° 110, Autoportrait XII, dét. Comptes : Dernière connexion le 05/07/2020 à 09h58 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -797,13 € /// Crédits -69.694,55 € /// Solde au 08/07/2020 -797,13 € /// À venir 988,63 € | Prévisionnel 191,50 € /// Débiteur depuis 3 jours /// 08/07 VIREMENT DE SCAM MOTIF: S C A M - REF : VRT SEPA 185 +165,16 € /// 08/07 CHEQUE 3328024 -100,00 € (???) /// 06/07PRELEVEMENT PSA FINANCE DU 06/07 - MOTIF : 100P3077570 32 050720 VOTRE IDENTIFIANT ESPACE CLIENT :P0221019349 NOTRE SITE : WWW.PSA-FINANCE-FRANCE.FR - REF : 100P3077570 LIB -742,05 € /// 06/07 PRELEVEMENT CARDIF ASSURANCE VIE DU 06/07 - MOTIF : WY0201015610242867000507200T1 - REF : WY0201015610242867000507200T1237985 LIB -97,31 € /// 06/07 PRELEVEMENT CANALSAT DU 06/07 - MOTIF : PRLV CANAL ABONNEMENT MENSUEL - REF : 14096819001A20070400760000704005055 LIB -76,00 € /// 06/07 PRELEVEMENT CANAL PLUS DU 06/07 - MOTIF : PRLV CANAL+ ABONNEMENT MENSUEL - REF : 14096819003A20070400399000703939838 LIB -39,90 € /// Agenda. 11:10:26 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Parlé à Jeanne de Loynes. Le Jour ni l’Heure, deux tableaux de l‘atelier photographiés la veille, Devon, couverte 60x60 n° 111, et Sains titre, enjambements I, couverte 60x60 n° 104 ; carton “Patriotes, antiremplacistes, adversaires du remplacisme global et du génocide par substitution : rendez-vous tous les dimanches matin à dix heures devant les monuments aux Morts. Si vous êtes seul, méditez. Si vous êtes deux ou davantage, agissez”. Bain, lecture par Pierre de Michelet, Histoire de la Révolution française, les relations de la France et de l‘Europe au début de 1793, l’Angleterre, Naples, Acton et lady Hamilton, Rome, le cardinal de Bernis principal conseiller du pape, assassinat de l’ambassadeur Basville [corr. autom. : “Bastille”]. Pas de visiteurs. Commencé à répondre aux questions de American Renaissance, assez agressives, ou du moins provocantes (ce qui du coup devraient permettre de préciser nettement certains points). Thé avec Pierrounet-le-Rebouteux. Brève sortie pour prendre un peu le soleil, tour du château et trois tours du jardin haut aux aboiements inévitables du chien Le Coz. Atelier, Devon, fignolages, mais aussi modifications des accords chromatiques [sic]. Excellent dîner peu diététique, pâté de sanglier de la cour de Cadarce, saint-nectaire et tome de Savoie, vin rouge bon marché très correct (bergerac), glace à la poire et biscuits Casino au caramel et au beurre salé. Vu The Lost City of Z, 2016, de James Gray, avec Charlie Hunnam, dans le rôle du beau (dans le film) Percy Fawcett. Promenade sur le plateau avec Pierre, jusqu’à l’embranchement, par une nuit assez noire. L’Arrière-Pays. Journal. Couché vers une heure et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le vendredi 10 juillet 2020, 11 h 58
modifiée le dimanche 12 juillet 2020, 19 h 16Vendredi 10 juillet 2020. Semaine 28, Saint Ulrich — 192/174. Plieux. Levé à sept heures et demie. Journal de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, autoportrait d la nuit, particulièrement dur, et couverte 60x60 n° 106, abns titre, enjambements II, photographie de l’avant-veille. Commencé un rangement plus méthodique du département de poésie de la bibliothèque, grâce aux nouveaux escabeaux (Hardy, Pesanha, Nobre, etc.). Agenda. Comptes : Dernière connexion le 09/07/2020 à 11h06 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs 191,50 € (???) /// Crédits -69.694,55 € /// Solde au 09/07/2020 191,50 € /// À venir 0,00 € | Prévisionnel 191,50 € /// 09/07 VIREMENT DE CAISSE D ASSURANCE RETRAITE ET DE LA SANTE DU TRAVAIL MOTIF: ASSURANCE RETRAITE - REF : 12115777 CAMUS 0620 +1.169,60 € /// 09/07 PRELEVEMENT AXA DU 09/07 - MOTIF : I0000462761027-AXA 60P69447L070720 - REF : I0000462761027 LIB -180,97 € /// 08/07 VIREMENT DE SCAM MOTIF: S C A M - REF : VRT SEPA 185 +165,16 € /// Agenda. 11:57:43 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, couverte 60x60 n° 110, Coronavirus (autoportrait XII), et dét. de la couverte 60x60 n° 104 (que j’aime beaucoup), Sans titre, enjambements I ; plus deux cartons, “RDV tous les dimanches matins à 10 heures devant les monuments aux Morts”, et, plus développé, “Si vous êtes horrifié par la sytématique préférence occupante du régime remplaciste, de ses juges et de ses médias, rdv tous les dimanches matins à 10 heures devant les monuments aux Morts”. Pataquès avec Pierre qui est allé faire des courses à Lectoure et devait prendre le certificat médical du docteur Capdecomme, mais le certificat n’est pas sur la table prévue, il attend longuement et nous ratons une “tuerie” qu’il avait projetée ; malentendu complet, gueule générale. L’Arrière-Pays, très activement, campagne pour le rdv devant les monuments aux morts mais aussi pour une marche blanche à Aiguillon pour la gendarme tuée, le samedi 11 juillet à 15 heures. Bain, mais sans lecture de Michelet, car je fais la gueule, ce dont j’avoue que c’est le comble. Atelier, Devon, et lecture de Rebatet, Les Décombres, tout de même. Dîner aux nouvelles, restes de pâté de sanglier, macaroni à la sauce bolonaise, aubergines et courgettes, tome de savoie, bergerac, glace à la poire et shortbread. Vu je ne sais quoi, j’ai oublié [Documentaire déjà vu sur la vie économique et sociale aux États-Unis à la fin du XIXe siècle, “Vanderbilt et les autres”]. Tranchées, débâcle. Promenade nocturne sur le plateau avec Pierre, jusque‘à l’embranchement. Nous rendons compte au retour que nous allons croiser le chien qui me hait, pour je ne sais quels motifs, politiques ou autres, et, bien qu’il soit tenu en laisse, mais l’épreuve de sa hargne est tout de même pénible, rebroussons chemin et rentrons par le chemin de l’église. L’Arrière-Pays. Journal (visite à Philip Johnson à la Glass House, New-Cannan, été 1969). Couché vers une heure et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le samedi 11 juillet 2020, 11 h 42
modifiée le dimanche 12 juillet 2020, 19 h 20Samedi 11 juillet 2020. Semaine 26, Saint Benoît — 183/173. Plieux. Bien dormi, levé peu avant huit heures. L’Arrière-Pays, beaucoup d’agitation, plutôt favorable. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Comptes : Dernière connexion le 10/07/2020 à 11h55 /// Bonjour M. CAMUS // Avoirs -926,27 € /// Crédits -68.719,65 € /// Solde au 10/07/2020 -926,27 € /// À venir 0,00 € | Prévisionnel -926,27 € /// Débiteur depuis 1 jour /// 10/07 ECHEANCE PRET 01038 60311711 -1.117,77 € /// Agenda. 11:42:13 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et carton “À 15 heures ce samedi, à Aiguillon, Lot-et-Garonne, marche blanche en l’honneur de la gendarme Mélanie Lemée, tuée par un chauffard. Halte aux violences occupantes ! Halte à la préférence occupante !” Bain. Quitté Plieux vers un heure, seul. Castel-Arrouy. Sainte-Mère. Astaffort. Marmot-Pachas. Laplume. Moncault. Montana-d’Auvignon. Château de Saint-Loup. Bruch. Marché dans Bruch, par une grande chaleur. Photographies, notamment de la tour nord de l’enceinte et aussi de la mairie-bibliothèque, bien massacrée par la Grande Pelade et par d’horribles portes. Port-Sainte-Marie. À Aiguillon pour la “marche blanche” en hommage à la gendarme Mélanie Le Mée à trois heures moins vingt. Docile aux organisateurs qui ont vu grand, me gare très loin du centre. Marche sous un soleil de plomb, en passant devant la gendarmerie, jusqu’à la place principale, devant le palais ducal et l’hôtel de ville. Quand la marche s’ébranle elle se dirige vers la gendarmerie devant laquelle je suis déjà passé, non loin des pelouses où je suis garé, puis elle retourne à la place centrale et la dépasse pour le monument aux Morts, à l’arrière. Brève allocution du maire, dépôt de gerbes, sonnerie aux morts, chanson aimée de la défunte. Fais un tour à l’arrière, pour retrouver la maison de Franck Chabot, que je ne suis pas sûr d’avoir correctement identifiée. Maison de l’organiste et compositeur Marc de Ranse, 1881-1951. Plusieurs belles maisons. Je demande à l’équipe technique de la marche blanche un verre d’eau mais elle n’a plus de verres et me donne une bouteille d’un litre et demie que je n’ose ensuite abandonner, y ayant bu au goulot. Retourné péniblement, en passant pour la troisième fois devant la gendarmerie, au lointain parc de stationnement, où ma voiture est l’une des dernières. Photographie pour “Enquête sur la réalité des choses” une villa blanche en excellent état, à la sortie de la ville. Port-Sainte-Marie. Feugarolles, ancien château, un temps hospice, bien abîmé. Cherché en vain un château de Castelviel, impossible d’approcher. Vu en revanche Salles, début XVIIIe (?), pas mal. Incident avec la voiture, qui déclenche une alarme folle et ne veut plus bouger parce que la porte est mal fermée, ce dont je mets longtemps à m’apercevoir. [corr. autom. : “Espions”], tour en ruine. Raté La Couture et Andiran, trouve désormais très difficile de chercher mon chemin en conduisant, et puis il fait très chaud et je suis fatigué par la (triple) longue marche. Saumont, château devenu maison pour les vieillards. Laplume. Mormont-Pachas, montée à l’église, pas jolie en soi, mais très fleurie. Me fourvoie sur une route pour Layrac, tente de rattraper le coup et me retrouve à Goulens. Astaffort. Sainte-Mère. À Plieux vers sept heures. L’Arrière-Pays. Dîné aux nouvelles, omelette aux champignons et aux macaronis (sic), fini le vin vert portugais, très agréable, et la tome de Savoie, glace à la poire et très bonnes tiges au chocolat et à la poire du pied du clocher de Lectoure. Vu Henry VIII and His Six Wives, de Waris Hussein, 1972, bon aide-mémoire conjugal. L’Arrière-Pays. Me débats interminablement avec le site Leica pour tâcher en vain d’obtenir le logicial qui permet de copier sur son ordinateur les photographies qu’on faites — je suis certes bouché à l’émeri mais le site est horriblement mal fait (cet appareil Leica est l’achat le plus imbécile et exaspérant que j’aie jamais fait). Journal. Couché vers une heure et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 12 juillet 2020, 19 h 10
modifiée le lundi 13 juillet 2020, 16 h 39Dimanche 12 juillet 2020. Semaine 28, Saint Olivier — 194/172. Plieux. Bien dormi, levé à huit heures moins vingt. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Déjeuné en bas avec Pierre. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, au retour de la marche blanche, et tour de Bruch, la veille également. Été comme convenu au monument aux Morts, selon l’idée du général Piquemal (rendez-vous des patriotes avec eux-mêmes, avec les morts et avec d’autres patriotes, éventuellement, devant les monuments aux morts (lui proposait les églises, j’ai corrigé pour la neutralité du CNRE). Pierre gentiment m’accompagne, pour la photographie témoin. L’Arrière-Pays, à ce propos, justement, et candidature présidentielle du général Martinez. Le Jour ni l’Heure, villa immaculée à Aiguillon la veille pour “la réalité des choses”, portrait-témoin devant le monument aux Morts le matin, château de Salles sur la commune de Feugarolles la veille. Bain, lecture par Pierre de Michelet, hiver de 1793, les menées de Dumouriez, présenté comme la figure les plus négative de la Révolution (et Marat, alors ?). Retard général, aggravé par les aboiements continuels du chien Le Coz. Tél. d’une dame inconnue qui veut que je l’appelle par son prénom sous prétexte que nous sommes de la même génération, ce que naturellement je refuse véhémentement, après quoi tout ne peut que très mal se passer (mais quand à commencé ce délire ?). Elle est passée il y a quelques semaines me remettre des brochures sur la bienheureuse Mère Adèle de Trenquelléon et sur George Sand en Agenais. Humeur de chien (c’est le cas de le dire…). Agenda. 19:06:12 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Atelier, couverte 60x60 n° 111, Devon (la mer, le ciel). Lecture par Pierre de Rebatet, Les Décombres, retour à Paris au service d‘espionnage de l'armée, fabrique de faux passeports. Dîné aux nouvelles, roulé de saumon aux coquilles saint-jacques (Géant Casino d’Agen), courgettes, mayonnaise pierrique, bâtons à la poire et au chocolat du pied du clocher d électeur et shortbread. Vu ou revu sur la chaîne “Histoire” une émission double sur “les paradoxes de l’Occupation”, gens d’extrême-droite dans la résistance, gens de gauche dans la collaboration. Tranchées. Marché toutefois jusqu’à l‘embranchement avec Pierre. Journal. Couché vers vers une heure et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 13 juillet 2020, 17 h 11
modifiée le mercredi 15 juillet 2020, 13 h 07Lundi 13 juillet 2020. Semaine 29, Saints Henri & Joël — 195/171. Plieux. Levé à sept heures et demie, journal, entrée de la veille, américanisation voie de l’africanisation, relecture et mise en ligne. Déjeuné en bas avec Pierre, Céline est en vacances pour une semaine. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, devant le monument aux Morts de Plieux, et autre côté, nord, de la tour nord de l’enceinte de Bruch, Lot-et-Garonne, on my way to Aiguillon, samedi 11 juillet 2020, deux heures. Perdu encore un temps fou à me débattre avec Leica, Adobe, Yahoo et même mes très haïs iCloud. Moments horribles, mais je parviens finalement à copier les photographies prises avec le discret Leica samedi dernier à Aiguillon (d’ailleurs parfaitement sans intérêt) ; toutefois ça devrait être payant à partir de la mi-octobre, apparemment (on voulait beaucoup avoir mes “coordonnées bancaires”, dans tout cela). Toute la matinée y passe, stupidement (penser qu’il faudrait repasser par les mêmes horreurs pour pouvoir copier les photographies sur l’autre appareil, le portable, en voyage…). Le Jour ni l’Heure, la marche blanche à Aiguillon dans la vitrine d’un bâtiment vide, puis la réunion devant le monument aux morts à la fin (photographies très laides, surtout la seconde). Mis aussi un carton, mais l’ai retiré tant il était peu au point. Bain, lecture par Pierre de Michelet, mars 1792, menaces d’invasion, les Girondins obstinément légalistes, à la fureur croissante des Montagnards et de la foule ; premières menaces sur leur tête. Aboiements furieux du chien Le Coz à cause d’un éventuel visiteur chez nous, sa maîtresse est à côté de lui au téléphone dans son jardin et n’a pas un geste ou un mot pour le faire taire — une telle indifférence au dérangement qu’on crée est pour moi stupéfiante mais j’imagine qu’il est source de jouissance, au contraire, voire de bonne conscience politique, qui sait ? Poursuis les lents et mols rangements, livre par livre, catalogue par catalogue (Luca Giordano, Jérôme Leroy). 17:06:14 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Tél. du général Martinez, candidat à la présidence de la République. Rattrapage pour Tweets III. Tour du château et trois tours du jardin haut. Atelier. Devon. Lecture par Pierre des Décombres, Paris, début mai 1840, premières rumeurs de l’effondrement. Dîné aux nouvelles, jardinière de légumes, aubergines, œuf à cheval, semoule ; petits pains au lait et confiture de figues. Vu un documentaire de la chaîne histoire, j’ai oublié sur quoi (comme tous les jours) [non, une bonne partie de Bohemian Rhapsody, un biopic sur Freddy Mercury; 2018, Brian Singer]. Marché avec Pierre dans la nuit sur le plateau, mais pas pu dépasser Saint-Vidal, car horribles tranchées, comme tous les jours également ces temps-ci. Poursuivi néanmoins le rattrapage pour Tweets III, jusqu’à terme. Journal (la candidature Martinez). Couché vers deux heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mardi 14 juillet 2020, 10 h 33
modifiée le mercredi 15 juillet 2020, 12 h 45Mardi 14 juillet 2020. Semaine 29, Fête Nationale (Férié) — 196/170. Pas mal dormi, levé avec Pierre à sept heures et demie, joli matin, beau temps frais, pas d’aboiements Le Coz jusqu’à présent. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Les Tables d la loi, panneaux de contreplaqué se décollant dans la rue haute, contre le mur de notre jardin. Déjeuné en bas avec Pierre, qui va ensuite faire des courses à Lectoure pour notre grand “thé” de l’après-midi, pour lequel nous n’avons que trois tasses présentables (celles que nous avons commandées à grands frais à Limoges ne sont pas arrivées…). L’Arrière-Pays, et trois tweets directement dans Tweets III. Lu Édouard Berth, assez étonnant. Agenda. 10:33:09 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Bain en bas, car il n’y a pas d’eau au second étage. Quitté Plieux à midi moins le quart avec Pierre. En avance, voulu revoir le château d’Agre, mais on ne peut plus l’approcher. Village de Saint-Loup, mairie bien massacrée dans les formes. La Mothe-Rouge, jolie maison très ancienne mais essentiellement Louis-Philippe, où déjeuné chez les Rivière dont c‘est la campagne avec les Delvolvé de Malause et un bâtonnier de Toulouse dont je n’ai pas retenu le nom et son épouse. Ces messieurs connaissent un nombre stupéfiant de vers, surtout d’inspiration fantaisiste (Georges Fourrest, par exemple). Excellent déjeuner froid, où brillent de délicieux canapés de morue sur caviar d’aubergine et un exquis jambon on ne peut plus home-made, le fils Paul de nos hôtes procédant même à l’élevage et à la mise à mort du cochon. Passé en chemin à l’église de la Chapelle, que les Toulousains ne connaissaient pas. À Plieux vers cinq heures, les mêmes, visite générale comme convenu, monté même jusqu’à la salle des Saisons pour la première fois depuis l’été dernier et mes hospitalisations. Thé dans la bibliothèque, bâtons à la poire et au chocolat et pannetone du Pied du clocher de Lectoure. Raccompagnons nos hôtes sur la plazza Mayor un peu après sept heures. L’Arrière-Pays. Dîné aux nouvelles. Vu Bastille Day, 2016, de James Watkins, avec le sexy Richard Madden. Promenade avec Pierre sur le plateau, été au Cassé, banc de Bismarck, revenu par le boulevard extérieur. Journal, exaspération désolée face au message de sympathisants qui m’écrivent n’avoir reçu aucune réponse après leur inscription parmi les Partisans. Couché vers deux heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 15 juillet 2020, 12 h 53
modifiée le jeudi 16 juillet 2020, 11 h 59Mercredi 15 juillet 2020. Semaine 29, Saint Donald — 197/169. Plieux. Levé à sept heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et église de Marmont-Pachas le samedi 11 juillet 2020. Déjeuné en bas avec Pierre. Éliminé quelques dizaines de photographies pour faire de la place sur l’ordinateur. Tél. à Landogne, rendez-vous. Agenda. 12:51:36 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Le Jour ni l’Heure, « Arrêtez le massacre ! », la mairie défigurée de Saint-Loup, Tarn-et-Garonne ; intérieur de l’église de Lachapelle, id., et pareillement le 14 juillet 2020 ; église Saint-Barthélemy de Laplume, samedi 11 juillet 2020 (au retour d’Aiguillon). Bain, lecture par Pierre de Michelet, 9-10 mars 1793, Danton, les Girondins en accusation, la Terreur se précise au prétexte de l’invasion — création du Tribunal révolutionnaire. Trois visiteurs. Entretien pour M. Grégoire Canlorbe et American Renaissance. Tél. de Françoise O’Lanyer. Atelier, deux des “enjambements”, mais il faudrait des pinceaux propres et neufs. Lecture par Pierre des Décombres, mai 1940, ça craque de partout. Dîné aux nouvelles, bloc de saumon fumé, jardinière de légumes aux champignons, glace au rhum et aux raisins et restes de bâtons à la poire et au chocolat. Promenade vespérale dans la vallée, pour la première fois depuis des semaines (entre les hospitalisations 2 et 3 ? — malheureusement la “recherche“ ne marche pas, pour “Le Jour ni l’Heure” (cherché en vain “Luca Giordano”)). Entretien pour American Renaissance, fini un brouillon complet, mais très brouillon. Journal (Ungaretti au Mex). Couché à deux heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 16 juillet 2020, 12 h 16
modifiée le vendredi 17 juillet 2020, 10 h 08Jeudi 16 juillet 2020. Semaine 29, Notre-Dame du Mont-Carmel — 198/168. Plieux. Bien dormi, levé à huit heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit (premier autoportrait au Leica), et coffret rococo de l’église Saint-Pierre de Lachapelle contenant un tibia de saint Prosper, envoyé de Rome en 1776 (le style est extraordinairement anachronique). L’Arrière-Pays. Reclassements de la bibliothèque, suite. Long tél. de Philippe Martel, avec la nouvelle d’une autre candidature présidentielle qui se confirmerait (on serait “très tenté”). Comptes : Dernière connexion le 11/07/2020 à 11h39 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -986,27 € /// Crédits -68.719,65 € /// Solde au 15/07/2020 -986,27 € /// À venir -23,47 € | Prévisionnel -1.009,74 € /// Débiteur depuis 6 jours /// 15/07 PRELEVEMENT ORANGE DU 15/07 - MOTIF : VOTRE ABONNEMENT INTERNET (FACTURE: XXXXX6310E8) - P - REF : 5B052T631 B052T6310E831E LIB -60,00 € /// Agenda. 12:15:47 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Le Jour ni l’Heure, trois photographies prises à Aiguillon la samedi 11 juillet 2020 en marge d la “marche blanche” pour Mélanie Lemée : médaillon à la mémoire du compositeur Marc de Ranse, 1881-1951, sur sa maison ; belle maison du XVIIe s. (?) non loin de là ; La République, trois hommes luttant, statue, 1995, de Guillaume Foüan, 1956-2012. Bain, lecture par Pierre de Michelet, 9-10 mars 1793, discussions autour de la création du Tribunal révolutionnaire, les Girondins directement menacés ; la Vendée, Cathelineau : origines populaires de l’insurrection. Visiteurs, lis dans la tour Saint-Clar la biographie de Philippe Johnson ; certains demandent à me voir, je décline, et pour le lendemain aussi. Diverses entreprises de remise en ordre : de la bibliothèque, du “bureau” de l’ordinateur, ce qui n’empêche pas, au contraire, les plantages à présent quotidiens et les longues pertes de temps subséquentes. Entretien pour American Renaissance. Atelier, enjambements II et III, ah, et aussi le tondo qui était dans la salle des Saisons, qui s’est cassé en tombant, qui est irréparable et qu’il faut consacrer dans sa forme cassée, repeinte. Lecture par Pierre de Rebatet, Les Décombres, mai 1940 à Paris, chaos total dans les bureaux de la Guerre. Dîné aux nouvelles, gnocchis pas bons et sans pesto. Glace aux rhum et aux raisins avec des vestiges de bâtons à la poire du Pied de la la tour. Vu Le Château de verre, 1950, de René Clément, d’après Vicky Baum, avec Michèle Morgan, Jean Marais, Jean Servais, Elina Labourdette. Promenade nocturne avec Pierre sur le plateau, mais dû rebrousser chemin au rang des chênes à cause de tranchées, comme pratiquement tous les soirs dernièrement. L’Arrière-Pays. Journal, les frères Thuile et leurs maisons, le Mex à Alexandrie et le château de Beauregard à Montpellier, “recherches”, François Livi, Enrico Pea, Toile, etc. (mauvais petit film sur Beauregard, où les Thuile sont évoqués mais pas nommés) — rédaction, relecture, mise en ligne. Couché après deux heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le vendredi 17 juillet 2020, 10 h 30
modifiée le dimanche 19 juillet 2020, 0 h 31Vendredi 17 juillet 2020. Semaine 29, Sainte Charlotte — 199/167. Plieux. Levé à sept heures et demie. Temps gris. Le Jour ni l’Heure, autoportrait d la nuit et « Arrêtez le massacre ! », mairie-bibliothèque de Bruch, Lot-et-Garonne, beau bâtiment du XVIIIe s. victime de la Grande Pelade et d’affreuses huisseries métalliques, 11 juillet 2019. Déjeuné en bas avec Pierre. Tél. de la jeune femme de Peugeot avec de nouvelles propositions incorporant tout, rien à payer tout de suite, 719 € sur trente-six mois au lieu de 619, soit 3.600 € pour n’en pas payer 1650 tout de suite, même moi je vois tout de suite l’absurdité de la chose, d’autant qu’à Skoda c’est 609 € par mois tout compris et de toute façon le contrat est déjà signé. Comptes : Dernière connexion le 16/07/2020 à 12h11 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -986,27 € /// Crédits -68.719,65 € /// Solde au 16/07/2020 -986,27 € /// À venir -23,47 € | Prévisionnel -1.009,74 € /// Débiteur depuis 7 jours /// (aucun mouvement). Agenda. 10:30:22 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Plantage de cet ordinateur, comme presque tous les jours désormais. À peu près trois heures de perdues et une bonne partie de l’entretien pour American Renaissance. Le Jour ni l’Heure, trois photographies du château de Goulens le samedi 4 juillet 2020. Bain, lecture par Pierre de Michelet, la Vendée républicaine. Me débats toute l’après-midi avec l’entretien. Atelier, le tondo. Lecture par Pierre de Rebatet, Les Décombres, descente et fouille de la police chez lui, sur l’ordre de Mandel dit-il. Dîné aux nouvelles, bisque de homard et jambon du chien sur toasts, glace au rhum et au raisins avec de l’alcool de rogomme et shortbread. Vu ou plutôt revu deux parties d’un documentaire de la chaîne histoire sur les “Princesses américaines”, filles de milliardaires qui épousent des aristocrates anglais comme Consuelo Vanderbilt, duchesse de Marlborough. Promenade sur le plateau avec Pierre, jusqu’à l’embranchement. L’Arrière-Pays. Journal, retard général. Couché peu après une heure.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 19 juillet 2020, 1 h 02
modifiée le lundi 20 juillet 2020, 10 h 22Samedi 18 juillet 2020. Semaine 29, Saint Frédéric — 200/166. Plieux. Levés vers huit heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et “Enquête sur la réalité des choses”, balcon d’une maison moderne à Aiguillon, rue George-Sand (je crois). Déjeuné en bas avec Pierre, non, dans la bibliothèque, nous remontons, à cause de l‘horrible odeur d’urine du chien. Nouvelles de l’incendie apparemment criminel de la cathédrale de Nantes, “communiqué“ frénétiquement toute la journée à ce propos, communiqué commun avec les généraux Martinez et Piquemal (rédigé par ce dernier), communiqué du CNRE (rédigé par moi), rendez-vous demain à dix heures sur le seuil des cathédrales. Le Jour ni l’Heure, Devon, couverte 60x60 n° 111, état de la semaine dernière, et deux cartons relatifs au rendez-vous de demain. Bain, lecture par Pierre de Michelet, la trahison de Dumouriez, Camus fait prisonnier, le fils Égalité en fuite. L’Arrière-Pays toute la journée, à propos de Nantes. Pas même d’atelier. Dîné aux nouvelles, saumon cru, courgettes, gorgonzola, toasts, rosé gris, glace au rhum et aux raisins avec de la (?) rogomme offerte jadis par M. D., de Cahors, et shorbread. Vu La Faute de l’abbé Mouret, 1970, de Georges Franju, avec Francis Huster (le film est tourné dans un bel endroit (pour le Paradou), je n’ai pas le temps de chercher où). Promenade nocturne avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement. L’Arrière-Pays encore. Comptes : Dernière connexion le 17/07/2020 à 10h28 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -986,27 € /// Crédits -68.719,65 € /// Solde au 17/07/2020 -986,27 € /// À venir -23,47 € | Prévisionnel -1.009,74 € /// Débiteur depuis 8 jours /// (aucun mouvement). Agenda. 00:57:36 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal. Couché vers deux heures et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 20 juillet 2020, 11 h 32Dimanche 19 juillet 2020. Semaine 29, Saint Arsène. Plieux. Levé à sept heures. Journal de la veille, relecture et mis en ligne. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et nouvel appel pour un rendez-vous le matin même devant les cathédrales. Bain. Quitté Plieux avec Pierre à neuf heures et quart. Crainte d’être en avance, passons du côté de Céran (mais pas à Céran), route plus ou moins inédite pour Montestruc-du-Gers en évitant Fleurance. Assez jolie maison rose derrière un étang (Petre), superbes fenêtres gothiques géminées sur un pan de mur isolé, un peu plus loin. Crains ensuite d’être en retard, mais non. À dix heures tapantes devant la cathédrale d’Auch, personne au rendez-vous. Tour dans Auch avec Pierre, ensuite, malgré la très grande chaleur. Colonne Napoléon (peinte sur un immeuble voisin de la cathédrale), belle tour à fenêtre d’angle de la maison de la Maîtrise, portes du Petit Lycée, été revoir l’escalier de la maison dite d’Henri IV qu’on nous avait dit avoir brûlé mais il n’y paraît pas. Vilain buste de Du Barthas. Magasin de mode Armand Thiéry, face à l’hôtel de ville (en biais), ouverture dominicale, acheté trois paires de chaussettes. Pierre suggère de passer par Duran, où j’avais le souvenir de maigres ruines médiévales dans un fouillis végétal sur un rocher, mais nous ne retrouvons rien de pareil, seulement la belle porte d’un parc bourgeois, hélas rendue imphotographiable par une voiture. Rendu visite à Jeanne Lloan dans son centre de rééducation de Fleurance, elle a très bonne mine et marche assez bien pour nous raccompagner jusqu’à la porte, où nous rencontrons Mme le docteur Capdecomme, de garde, éternellement sur la brèche. Rentrés vers une heure, idée d’une tuerie boulimique, mais nous ne disposons que d’un gros pâté en bocal, trop gros pour deux, et y renonçons, nous rabattant sur du café avec les excellents biscuits aux amandes du marché de Fleurance (je crois). L’Arrière-Pays. Visiteurs. Vie de Johnson (!). Entretien pour American Renaissance. Tour de la maison et trois fois du jardin haut. Atelier, Devon, ces petits fignolages qui gâchent tout. Lecture par Pierre de Rebatet, Les Décombres, début juin 1940, il est reversé dans les troupes d’active mais menacé d’arrestation. Sa haine pour Mandel. Dîné aux nouvelles, accras de morue, jardinière de légumes, rosé gris, glace au rhum et aux raisins arrosée de rogomme et accompagnée de shortbread. Surf télévisuel bref et vain, sortis relativement tôt, bavardé en chemin avec M. et Mme Saint-Geniès, marché jusqu’à l’embranchement La Rouquette/La Bonnefont (où apparemment il n’y a plus le chien pénible ; on ne voit plus non plus, sur l’autre versant, le chien Cookie, qui lui était très sympathique et très beau). L’Arrière-Pays. Fini l’entretien avec M. Canlorbe pour American Renaissance (38.000 signes, presque un petit livre — il m’a dit que plus ce serait long mieux ce serait). Journal, mais à titre purement symbolique, car attaque de sommeil. Couché avant minuit.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le lundi 20 juillet 2020, 11 h 49
modifiée le mardi 21 juillet 2020, 9 h 42Lundi 20 juillet 2020. Semaine 30, Sainte Marina — 202/164. Plieux. Assez bien dormi, levé à sept heures, relu et envoyé l’entretien avec M. Canlorbe pour American Renaissance. Retour de Céline, après une semaine de vacances. L’Arrière-Pays, peu. Émission de France Culture sur Marx, mais il y est question de tout sauf de Marx. Long téléphonage de Philippe Milliau. Appelé Landogne pour confirmation. Furieux aboiements Le Coz, à l’instant, parce que Pierre s’est permis de descendre dans notre jardin. Agenda. 11:49:13 ///////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. L’Arrière-Pays. Chronologie, deux photographies prises à Auch la veille, moi seul devant la cathédrale (manifestation de masse en défense du patrimoine chrétien), et escalier de la maison Henri IV. Carton (“Les noirs américains réclament à présent leur propres État, etc.”). Bain, lecture par Pierre de Michelet, mars 1793, brochure et lettre horribles de Camille Desmoulins et de Robespierre appelant en fait à la mort des Girondins. Pas mal de visiteurs, dont un lecteur habitué qui fait signer force livres (mais que je ne vois pas). Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Écrit à M. Pohon, à M. Resca, envoyé enfin les certificats médicaux à Me Rimokh. Atelier, Devon, rendu l’ensemble plus foncé, sauf la mer, éclaircie. Lecture par Pierre de Rebatet, Les Décombres, juin 1940, épisode militaire cocasse sous un officier juif, occasion d’un vif débordement antisémite. Dîner aux nouvelles, gnocchi, courgettes. Revu Les Maudits, 1946, de René Clément, avec Henri Vidal et Dalio, prétexte à une vignette assez antisémite elle aussi, probablement (on fait jouer le traître à Dalio, juif éternel depuis La Grande Illusion). Promenade nocturne avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement. Journal. Couché vers une heure et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mardi 21 juillet 2020, 9 h 47
modifiée le mercredi 22 juillet 2020, 11 h 31Mardi 21 juillet 2020. Semaine 30, Saint Victor — 203/163. Plieux. Levé peu après sept heures. Temps gris, mais qui semble aller s’améliorant. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne (le modernisme suicidaire). L’Arrière-Pays. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et carton (“Jamais on n’aurait dû abolir les races. Elles l’ont vraiment très très très mal pris”). Précipitation (rendez-vous à trois heures). Agenda. 09:47:09 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Bain. “Bagages”. Quitté Plieux un peu après onze heure. Valence-d’Agen. Lauzerte. Sainte-Alausie. Pern. Cahors-Sud. Autoroute. Dormi un peu. Brive. A 89. Quitté l’autoroute à Bromont-Lamothe à 15:00. Pontaumur. À 15:22 au château de Plieux, non, Landogne (!!!!!), reçus par les propriétaires. Longue visite très exhaustive, sauf les communs, revu le grand escalier dépouillé de ses faux-marbres de papier peint, la chambre de ma mère, celle où ma grand-mère lisait dans son lit sous un parapluie, la mienne où il reste quelque trace du papier bleu de l’époque, celle de Viviane Pourchon, etc., la salle à manger, très améliorée (on se croirait à Nohant), le joli verger, etc. Thé dans le salon, au même endroit qu’il y a cinquante ans — d’ailleurs le plan n’a pour ainsi dire pas changé. N’avons pas vu le temps passer, partons à huit heures. Tél. au grand hôtel d’Aurillac, mais il est plein. Combrailles, revu le château par-dessus son mur. Sauvagnat. Herment, cherché un restaurant le seul qui est ouvert nous fait perdre beaucoup de temps pour nous dire après longue consultation des cuisines que décidément il est trop tard. Lastic. Bourg-Lastic, le seul restaurant plus ou moins ouvert est vraiment peu engageant. Ussel, après longue déviation due à des travaux sur un pont de chemin de fer. Passons devant un restaurant vietnamien qui nous accepte malgré l’heure avancée, Saïgon Palace, boulevard Clemenceau. Raviolis de crevette à la vapeur, poulet au caramel, nougat chinois et glace à la vanille et au café (moi). Autoportrait. Nous consultons sur la suite, voir Conros le lendemain matin avant de rentrer ici pour l’ouverture au public n’aurait pu se faire qu’en couchant à Aurillac, nous y arriverions très tard, peur de pas trouver de chambre en nous aventurant dans des pays perdus, abandonnons le projet et décidons de rentrer à la maison. Émissions sur Marx, in fine. À Plieux à deux heures et demie du matin. Journal, ouverture purement symbolique. Couché vers trois heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 22 juillet 2020, 11 h 46
modifiée le jeudi 23 juillet 2020, 9 h 41Mercredi 22 juillet 2020. Semaine 30, Sainte Marie Madeleine — 204/162. Plieux. Assez peu dormi, naturellement, levé à sept heures et demie. Poursuivi l’entrée de la nuit du journal. Céline est là mais nous croit absents, donc pas de petit déjeuner jusqu’à demande expresse, qui la surprend beaucoup. Autoportrait de la veille, superbe, au Saïgon Palace d’Ussel, et longue perspective intérieure à Landogne, à partir de l’ancien billard. Nouveau plantage de l’ordinateur, perdu encore deux bonnes heures, ça devient intolérable et pourtant je ne cesse de mettre à la poubelle des fichiers et des photographies, mais je ne peux me débarrasser du haï iCloud, qui me harcèle et exige toute sorte de codes dont je n’ai pas la moindre idée, même et surtout pour sa suppression. Comptes : Dernière connexion le 19/07/2020 à 00h55 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -903,33 € /// Crédits -68.719,65 € /// Solde au 21/07/2020 -903,33 € /// À venir -165,18 € | Prévisionnel -1.068,51 € /// Débiteur depuis 12 jours /// 20/07 VIREMENT DE KOBO INC. - PUBLISHER PAYMENTS (ACC.: KO1224) MOTIF: ROYALTY PAYMENT WL00003295 - REF : COTR0560215 +82,94 € /// Agenda. 11:46:27 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Deux photographies de Landogne la veille, salle à manger et vue générale, façade est : carton : “Bien sûr on ne comprend rien au macro-remplacisme davocratique tant qu’on ne s’avise pas de la préférence occupante, qui est l’un de ses principaux modus operandi. En revanche, constater la préférence occupante, qui est une évidence éclatante, aide beaucoup à comprendre la davocratie remplaciste macronienne”. Bain, lecture par Pierre de Michelet, avril 1793, le danger monte pour les Girondins. Tél. d’une dame qui n’a pas payé son billet d’entrée et celui de sa compagne et veut passer pour y remédier, ce que P. accepte, à ma grande désapprobation, d’où tirage. Chien Le Coz très pénible. Journal, entrée de la veille, complétion, relecture et mise en ligne. Dictionnaire, très peu, article “coupes sombres, coupes claires’. Dîné aux nouvelles, canapés au thon, courgettes et champignons, glace au rhum et aux raisins arrosée de rogomme, biscuits. Deux épisodes non consécutifs sur la reine mère Élisabeth, Elizabeth Bowes-Lyons. Promenade nocturne avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement. L’Arrière-Pays. Journal (Perth en 1962). Couché vers une heure et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 23 juillet 2020, 9 h 52
modifiée le vendredi 24 juillet 2020, 11 h 02Jeudi 23 juillet 2020. Semaine 30, Sainte Brigitte — 205/161. Plieux. Assez bien dormi, levé à huit heures moins dix. Beau temps pâle. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et Landogne, façade occidentale. Émission sur Marx et Engels (ça c’est beaucoup amélioré). Comptes : Dernière connexion le 22/07/2020 à 11h43 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -903,33 € /// Crédits -68.719,65 € /// Solde au 22/07/2020 -903,33 € /// À venir -312,88 € | /// Prévisionnel -1.216,21 € /// Débiteur depuis 13 jours /// (aucun mouvement) /// Agenda. 09:52:20 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Le Jour ni l’Heure, deux “intérieurs à Landogne” (ma chambre et celle d sema mère), 21 juillet 2020 ; et un carton : “La seule colonisation qui compte aujourd’hui est la colonisation africaine de l’Europe, imposée par Davos et cent fois plus massive que la vieille colonisation européenne de l’Afrique. Les seuls décoloniaux véritables sont les indigènes européens révoltés.” Bain, lecture par Pierre de Michelet, Histoire de la Révolution française, avril 1793, discours héroïque de Vergniaud, les Girondins déclinent l’appel aux assemblées primaires, ce qui, selon Michelet, évite la guerre civile, sauve la République et les condamne à mort. Visiteurs. Téléphoné aux messieurs de Landogne pour demande de renseignements sur les devis. L’Arrière-Pays, l’affaire de la fourchette (d’Adama Traoré). Tweets III, comblé le décalage. Quitté Plieux avec Pierre vers sept heures et demie. Très beau soir, campagne superbe. Mauvezin beau comme jamais, de l’ouest. Traversé Gimont. Château de Caumont, à Cazaux-Savès, soirée pour l’inauguration d’un nouvel éclairage de la cour d’honneur. Très bien reçu par les hôtes Ghislain et Mathilde de Castelbajac, et à vrai dire par tout le monde, à mon grand étonnement (ça change d’Aiguillon, où personne ne me connaissait). Les Certaines, nouvelle invitation pressante au Garané. Président de la fondation Bamberg, à Toulouse, bavardé assez longuement avec lui et avec une femme qui l’accompagnait. Ex-professeur de philosophie, grand ami de mon neveu Christophe. Champagne, vin rouge, sandwiches au magret, charcuteries diverses, etc. Allocution de Ghislain de Castelbajac. Parlé assez longuement à son épouse, vraiment charmante, beaucoup remerciée pour cette fête très réussie. Rentrés vers minuit. Journal. Couché vers une heure.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le vendredi 24 juillet 2020, 11 h 00
modifiée le samedi 25 juillet 2020, 9 h 59Vendredi 24 juillet 2020. Semaine 30, Sainte Juliette — 212/154. Plieux. Pas trop bien dormi, trop bu, agitation nerveuse. Levé vers sept heures et demie. Beau temps. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, au château de Caumont (moi à peu près invisible), et autre Intérieur à Landogne, “carrefour au premier étage”, escalier, palier, couloir, chambre de la mère. Dernière émission de France Culture sur Marx, finalement bien meilleure que la pénible première ne me l’avait donnée à penser. Comptes : Dernière connexion le 23/07/2020 à 09h50 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -903,33 € /// Crédits -68.719,65 € /// Solde au 23/07/2020 -903,33 € /// À venir -312,88 € | Prévisionnel -1.216,21 € /// Débiteur depuis 14 jours /// (aucun mouvement). Agenda. 11:00:28 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal, entrée de la veille, suite. Le Jour ni l’Heure, deux autres photographies de Landogne le 21 juillet 2020, le verger et la façade est vue de l’orée du verger ; carton “Il n’y aura de révolte qu’avec des mots nouveaux, ou bien pris en un sens nouveau, plus vrai : indigènes, occupants, race, décolonisation, libération du territoire, davocratie, préférence occupante, remplacisme global, antiremplacisme, antiantiracisme, nocence, in-nocence, négationnisme de masse, génocide par substitution, etc. ”. Bain. Lecture par Pierre de Michelet, Histoire de la Révolution française, avril 1793, la machine infernale est en marche. Journal, entrée de la veille relecture et mis en ligne. Chien Le Coz insupportable toute l’après-midi, fait en permanence la police chez nous, aux encouragements susurrés de sa maîtresse qui lui répète « Allons, allons, calme-toi, tu vas déranger le monsieur, je vais te faire rentrer si tu continues », mais elle n’en fait bien avant qu’il ait bien fini. Dictionnaire, “coupes claires”, “ça sent l’écurie”. Je garde la forteresse tandis que Pierre va au vernissage du palais Salvioni [corr. autom. : “Salivons”]. Vais à huit heures au dîner Coulet-Lavaudan, rencontre Pierre qui revient du vernissage, il m’y entraîne voir les tableaux qu’il a aimés, nombreux paysages du Gers (tout le monde est dans le jardin au buffet). Dîner Coulet-Lavaudan sur la terrasse, champagne, canapés, artichauts Bourguiboul (non, nom provençal que j’oublie, très Caves du Vatican), brochettes de fruits de mer, fromages, tiramisu, infusion. Parlé surtout de maisons, leur maison à construire dans les Landes, Landogne, Conros, Plieux, etc. Promenade post-prandiale dans la nuit avec Pierre, jusqu’à l’embranchement. Journal. Couché vers une heure.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le samedi 25 juillet 2020, 10 h 19
modifiée le dimanche 26 juillet 2020, 9 h 33Samedi 25 juillet 2020. Semaine 30, Saint Jacques le Majeur — 207/159. Plieux. Pas mal dormi, levé à sept heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la veille, chez les Coulet-Lavaudan, dans ce ridicule costume blanc indien trop grand (ou c’est moi qui ai rapetissé et maigri) ; et graffiti à Landogne, portrait de M. de Chaumont (?). “Répliques”, rémission sur l’âge avec Bruckner et Redeker. Comptes : Dernière connexion le 24/07/2020 à 10h59 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs -903,33 € /// Crédits -68.719,65 € /// Solde au 24/07/2020 -903,33 € À venir -360,87 € | Prévisionnel -1.264,20 € /// Débiteur depuis 15 jours /// (aucun mouvement). Agenda. 10:19:22 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Journal, entrée de la veille relecture et mise en ligne. Écrit à Danièle Levin et à Mme de Castelbajac. Le Jour ni l’Heure, deux photographies encore du château de Landogne, lambeaux de papier peint de mon époque dans mon ancienne chambre et graffiti inconnus de nous à l’époque sur le palier du grand escalier. Carton : “Emmanuel Macron nomme enfin un expert chargé de se pencher sur la colonisation et les rapports avec l’Algérie. Mais en choisissant Benjamin Stora, spécialiste de la première Guerre d’Algérie et de la vieille colonisation de l’Afriqe par l’Europe, il risque d’offusquer le débat en le renvoyant à un lointain passé. La colonisation, c’est maintenant, et c’est celle de l’Europe.” Bain, lecture par Pierre de Michelet, avril 1793, prise de Thouars par les Vendéens, mort de Dampierre, agitation dans les provinces, l’étau se resserre autour des Girondins. Lecture interrompue par des visiteurs, assez nombreux toute l’après-midi. Lis la biographie de Philip Johnson dans la tour Sainte-Mère. Tél. de Philippe Martel qui m’informe que le très dangereux Frank Buhler prépare une campagne contre moi auprès de tous les membres du CNRE (à partir de mon tweet d’un gif pornographique figurant une pipe avec le hashtag “OnVeutRespirer” au moment de la révélation de la fellation obtenue sous menace de fourchette par Adama Traoré de son co-détenu Steven — le tweet me rendrait indigne de présider le CNRE). Alerte aux accusations de pédophilie sur Twitter, de la part d’un certain Romain Mattesi, et signalées aussitôt par moi à la police, à la gendarmerie, à Twitter, à Me Rimokh et à un huissier de Justice (ah, c’est du sport, l’anti-colonialisme ; mais en général le danger vient surtout de l’extrême-droite antisémite et ultra-catholique : un courageux anonyme déguisé sous de nom de Louis de Frotté me reprochait d’être un lâche parce que je ne m’attaquais pas aux vrais maîtres, i.e. les juifs, et de n’avoir aucune légitimité pour m’attaquer au Grand Remplacement puisque je n’avais pas fondé de famille chrétienne et élevé des enfants dans la foi (« Les enfants, il les enfile», a tweeté Romain Mattesi). Journal (tout ça). Pas eu le temps de passer à l’atelier. Dîné aux nouvelles, potage aux cinq légumes, tranches d’aubergines grillées, gorgozonla, vin rouge (pas très bon), poire à la vapeur avec de la confiture de figues. Revu Mirage, 1965, d’Edward Dmytrik, avec Gregory Peck et Walter Matthau. Promenade avec Pierre sur le plateau, marché jusqu’à l’embranchement, rencontré les Coulet-Lavaudan au retour. Journal, suite. Couché peu avant deux heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le dimanche 26 juillet 2020, 9 h 38
modifiée le mardi 28 juillet 2020, 0 h 52Dimanche 26 juillet 2020. Semaine 30, Sainte Anne — 208/158. Plieux. Levé à sept heures. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et cheminée du XVIIIe siècle, provenant de l’ancien manoir, dans les hauts combles de Landogne, mardi dernier, 21 juillet 2020. L’Arrière-Pays, le rendez-vous aux monuments aux morts. Petit déjeuné monté par Pierre dans la bibliothèque, pour aller plus vite. Chien Le Coz déjà pénible, parce que Pierre a eu le front de descendre dans notre cour. Agenda. 09:38:02 //////// Journal de la veille, relecture et mise en ligne publique (en accès libre) (l’affaire du pompier, ou #Onveutrespirer, ou Traoré, ou Buhler). Grande agitation sur les réseaux (mais pas spécialement à propos de cela), en oublie même l’envoi de la mi-journée du Jour ni l’Heure. Bain, lecture par Pierre de Michelet, fin mai 1793, la Commune, les Douze, les Jacobins, l’Êvéché, l’Assemblée impuissante, embrouillamini majeur où se joue la tête des Girondins. L’Arrière-Pays. M. Resca et son épouse ici à quatre heures comme convenu. M’apporte un catalogue en trois volumes de mon œuvre peint. Thé avec eux, pastis landais offerte par Mme Lavauden, et shortbread pas très bon. Visiteurs. M. et Mme Resca montent au sommet de la tour avec Pierre. Passons dans l‘atelier, leur offre le petit Semi-Paysage (gris foncé, gris clair rose, vert pâle). Affaire Buhler, embrasement, lettres crépitent. Pas d’atelier. Dîner léger, restes de gorgonzola, vin rouge, poire à la vapeur et confiture de figues. Regardé un film, j’ai oublié quoi. Promenade avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement. Affaires Buhler, ou du pompier, suite. Journal (lettres).
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mardi 28 juillet 2020, 0 h 49
modifiée le mercredi 29 juillet 2020, 7 h 44Lundi 27 juillet 2020. Semaine 31, Sainte Nathalie — 209/157. Plieux. Réveillés par Céline dans la bibliothèque. Retard. Le Jour ni l’Heure, autoportrait avec M. Resca devant le monument aux Morts de Plieux la veille et ancienne chambre de Viviane Pourchon à Landogne, c. 1966-1968, revue le mardi 21 juillet 2020. Crépitements de l‘“affaire Buhler” toute la journée, messages de lui toutes les demi-heures, annonce son intention d’alerter contre moi ses “cinq millions de visiteurs par jour”, déclare que la vengeance est un plat qui se mange froid (allusion à ma requête polie, il y a quelques mois, de ne pas placer ses publications sous la bannière du CNRE), et finit, dans sa fureur, comme toujours ce genre de gens en de pareilles situations, par me tutoyer. Quelques lettres de soutien et une de désaveu très net de M. Alain Lamy. Le Jour ni l’Heure, buste de Mario Cavaglieri par Marounia Brun de La Serve, c. 1940 (?), et La Cambodgienne, de Cavaglieri lui-même, 1926, tous les deux au musée d’Auch, après la gendarmerie, 3 juin 2020. Bain, lecture par Pierre de Michelet, la crise de la fin mai 93. Visiteurs. Affaire de la pipe, entrée dans la danse de Julien Havasi, lettre effroyable, qui, d’indignation, m’aurait porté en temps normal à la démission immédiate, mais je ne puis, puisque Buhler l’exige. Tél. de Philippe Martel. Conversation avec un agent immobilier, rendez-vous le lendemain dans le Cantal. Retenir une chambre à Aurillac. Longue lettre de Karim Ouchikh, pondérée, et longue conversation téléphonique avec lui. Dîné aux nouvelles, accras de morue, jardinière de légumes, glace à la poire et pastis landais de Mme Lavauden. Revu Saboteur (Cinquième Colonne), d’Hitchcock, 1942, avec Robert Cummings, Priscilla Lane, Otto Kruger, Norman Lloyd. Promenade nocturne avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement. L’Arrière-Pays, suite de l’affaire de la pipe, lettre de défi de Julien Havasi. Agenda. 00:49:13 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Mis en ligne la lettre de Julien Havasi, puisque je croyais que c’était son défi. Journal. Couché à deux heures et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le mercredi 29 juillet 2020, 8 h 44
modifiée le jeudi 30 juillet 2020, 1 h 25Mardi 28 juillet 2020. Plieux. Levé à sept heures et demie. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit. Journal, entrée de la veille, relecture et mise en ligne. Bain. Quitté Plieux avec Pierre à dix heures. Valence-d’Agen. Lauzerte. Suivi notre ancienne route vers Cahors par Montcuq. Cahors, très encombrée, bien que nous nous tenions sur la rive gauche du Lot. Arcambal, vu enfin le château depuis des lustres aperçu de l’autoroute. Il est un peu décevant, en très mauvais état, mais apparemment habité. Routes minuscules et belles entre Arcambal et Vers sur la rive gauche du Lot. Léger détour vers le sud, cette fois sur la rive droite, pour la belle église romane de Notre-Dame de Velles, malheureusement fermée. Route de Cahors à Figeac, quittée pour Livernon, beau clocher roman. Assier, vu la façade d’accès du château fermé, fait le tour de son parc par l’extérieur ; la façade est, qu’on apercevrait par dessus les murs est gâché par d’inexplicables portants métalliques, très laids (art contemporain ?). Belle église Renaissance d’Acier, tombeau du sénéchal de Quercy. Le Bourg, autre belle église romane, Saint-Saturnin du Bourg, bien que la façade ait été un peu abîmée au début du XXe siècle. Dans le chœur roman, quatre grands et mystérieux tableaux, magnifiques, dont nous de pouvons démêler d’abord s’ils sont de merveilleuses toiles abstraites contemporaines ou bien de grandes toiles classiques en état de délabrement, d’effacement et de confusion chromatique avancée — de toute façon, c’est superbe. Lacapelle-Marival, grand château en partie du XIIe siècle, avec des éléments plus tardifs, dont une façade classique. Une aile est occupée par la mairie. Latronquière. Labastide-du-Haut-Mont, dernier village du Lot et peut-être son point le plus élevé, 778 m. à côté. Entrés là dans le Cantal. Roumégoux. Le Rouget-Pers. Téléphoné à M. C. car nous sommes légèrement en retard. Petite route pour Omps. Trouvé à trois heures et quart M. C. à l’entrée de l’allée qui mène au château de La Plaze, ou d’Omps, 1783, très élégant et lumineux, en bon état, que visité en grand détail, jardins, grange et intérieur, sous sa houlette. Rencontré brièvement les propriétaires, famille de Jaham, dont Mme de Jaham, récemment veuve. À ma grande surprise, tous me connaissent et, disent-ils, m’apprécient, ce que rend vraisemblable la bibliothèque. Assez longuement parlé ensuite avec l’agent, très sympathique, à l’orée de l’allée, puis suivi un très beau chemin qui gravit la pente qui fait face au château. Croisé Mme de Jaham et sa fille, retour de promenade. Gravi ensuite la même pente en voiture, cette fois par la droite, jusqu’à une belle grange (mais moins belle que celle du château). Retournés en arrière pour photographier en vue d’un tableau un paysage qui m’avait plu à l’aller, mais nous n’avions pas le temps de nous arrêter. Repassés par Omps, montés au cimetière pour voir les montagnes. Sansac, vu le château de loin, essayé en vain de l’approcher, puis passés sur l’autre rive de la Cère pour tâcher, sans grand succès, de l’apercevoir d’en face. Redescendus de la rive sud sur Crespiat et Conros. Vu le château de Conros de l’ouest, dans la lumière, d’une ferme. Passé sur son versant est, l’avons contemplé du portail, mais on le voit assez mal, puis descendus dans des prairies du bout du par, qui offrent sur lui un assez bon panorama, mais totalement à contre-jour. Rejoint Aurillac, montés au château Saint-Étienne, très laid, et encore enlaidi par la sursignalisation. En avons fait le tour, par le parc, forcés de passer sur une terrasse au milieu d’un groupe de “jeunes” pas trop rassurants, mais tout se passe bien (ou en tout cas pas mal). Été prendre nos quartiers au Grand Hôtel de Bordeaux, ch. 113. Ressortons peu après pour dîner, et nous installons en face à le brasserie Le Damier. Assez bonne table d’abord, mais sous un haut parleur. Demandons à changer, assez mauvaise petite table pour deux, dans un couloir. Sonorisation pénible, donc, et bébé hurlant dans le voisinage. Service assez lent, et couteau dont la lame qui coupe est la droite, pas la courbe, ce dont on ne m’informe qu’à la fin d’un pavé de bœuf, qui aurait été bon sans cela. Avant, os à moelle, mais sans toasts. Après, tarte aux myrtilles et glace à la vanille. Bouteille de saint-pourçain. Beaucoup marché dans Aurillac, à la recherche d’un grand bâtiment blanc, ancien collège, aperçu plutôt du château Saint-Étienne, mais nous ne l’avons pas trouvé (il s’agit peut-être d’une façade sur cour ?). Nombreuses belles portes du XVIIe et surtout du XVIIIe siècles. Autoportrait contre l’une d’elle, à pointes de diamant. Maison consulaire, massacrée dans les règles de l’art. Hôtel de ville, préfecture, statue de Sylvestre II, statue du général Delsols (pas sûr du nom). Rentrés à l’hôtel vers minuit, déferlement buhlérien annoncé, journal (les mystérieux tableaux de Saint-Barthélemy du Bourg, Lot). Couché vers deux heures.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 30 juillet 2020, 1 h 52
modifiée le vendredi 31 juillet 2020, 9 h 20Mercredi 29 juillet 2020. Semaine 31, Sainte-Marthe — 211/155. Aurillac, Grand Hôtel de Bordeaux, ch. 113. Très mal et très peu dormi, soit parce que j’ai trop mangé et trop bu, soit parce que la climatisation fait un bruit d’avion au départ soit à cause du souci. Levé à sept heures vingt. Agenda. M’interromps pour aller en bas déjeuner avec Pierre, clientèle très remplaçante, serveuse qui ne peut rien poser sans lâcher l’objet de vingt centimètres. Œufs brouillés, petites saucisses, bacon, jambon blanc, saucisson, cantal, roquefort, muesli dans de la compote de pommes, petit pain aux raisins, deux cannelés de Bordeaux (pas bons). Jus de fruits mélangé, café. Bain. Quittons l’hôtel de Bordeaux et Aurillac à dix heures. Repassés à Omps pour aller à Laroquebrou. Vu du bas l’impressionnant château, entrés dans l’église et en avons fait le tour, perdu malheureusement le cache du Canon. Sousceyrac, vu le restaurant du Déjeuner de Sousceyrac, dans une maison totalement massacrée. Été voir malgré la hâte et le retard le château de Grugnac, par un long et très mauvais chemin qui abîme la voiture trop basse, mais il est superbe, tout à fait “mon genre”. Saint-Céré [corr. autom. : “Géré”]. Château de Presque (de loin). Gramat. Autoroute à hauteur de Gourdon. Sortis à Cahors-Sud. Pern. Sainte-Alausie. Lauzerte. Tout paraît très différent d’être vu à une heure inhabituelle, et l’on remarque des maisons et des sites qui passent inaperçus à d’autres moments. Tél. à Céline pour la prier de mettre un panneau annonçant une ouverture légèrement retardée. Valence-d’Agen. À Plieux vers deux heures et demie. /// Déjà des gens qui attendent pour la visite, personnes très sympathiques avec un petit chien blanc, qui ont loué la maison Forzy. Passé l’après-midi à tâcher de rattraper les retards, L’Arrière-Pays, agenda, journal. La campagne bühlero-havasienne bat son plein mais n’est encore rien, apparemment, car tous les messages venus de ce bord-là sont assortis des pires menaces pour le cas où je ne démissionnerai pas (« Bon ça y est tu démissionne ou il faudra que je t’y force avec Piquemal et Martinez ? »). Lettre aux membres du CNRE. Pas d’atelier, pas le temps. Diné aux nouvelles, omelette aux champignons, salade de fenouil, glace à la poire et fenouil. Documentaire sur la reine Élisabeth et un autre sur le prince Philippe, en partie. Promenade nocturne avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement. Retour au front, fini la lettre aux membres, l’ai relue et envoyée, puis mise dans le journal en guise d’entrée du jour. Couché à deux heures et demie.
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le jeudi 30 juillet 2020, 9 h 27
modifiée le vendredi 31 juillet 2020, 10 h 03Jeudi 30 juillet 2020. Semaine 31, Sainte Juliette } 212/154. Plieux. Assez bien mais peu dormi levé à sept heures vingt. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et magnifique château de Grugnac, non loin de Sousceyrac. Lettre de M. Havasi réclamant que je cesse de le nommer (!!!!!) et déclarant qu’il n’est pas homme à ne pas réagir quand on lui déclare la guerre (!!!!). Beau temps. Comptes : Dernière connexion le 25/07/2020 à 10h18 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs 633,51 € (ça alors, divine surprise ! Qu’a-t-il bien pu se passer ?) /// Crédits -68.719,65 € /// Mes Dépenses Mes Recettes 29/07 VIREMENT DE AMAZON MEDIA EU S.A.R.L. MOTIF: FCS000478255292 PAYMENT-NUM 1 31781173 - REF : FCS000478255292 +842,33 € (ah, voilà l’explication !) /// 29/07 VIREMENT DE AMAZON MEDIA EU S.A.R.L. MOTIF: FCS000478132142 PAYMENT-NUM 1 31801566 - REF : FCS000478132142 +20,78 € /// 29/07 VIREMENT DE AMAZON.COM.CA, INC MOTIF: FCS000482026492 PAYMENT-NUM 1 3 21688123 POP GOODS AND SERVIC ES - REF : 991993937874 +15,16 € 29/07 VIREMENT DE AMAZON MEDIA EU S.A.R.L. MOTIF: FCS000480269872 PAYMENT-NUM 1 31928312 - REF : FCS000480269872 +8,57 € /// 27/07 VIREMENT DE PAYPAL EUROPE SARL ET CIE SCA MOTIF: YYW1009785537285 - REF : YYW1009785537285 PAYPAL VIREMENT +650,00 € /// Agenda. 09:27:06 //////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Repris l’entretien avec M. Rémi Lélian pour L’Incorrect et l’ai envoyé en fin de matinée. Le Jour ni l’Heure, deux photographies du mardi 28 juillet 2020, chœur de l’église Saint-Saturnin du Bourg, Lot, avec les mystérieux grands tableaux, et château d’Omps, Cantal. Carton “Avec la canicule, l’occupant redouble d’égorgements. C’est la race, que fait remonter la chaleur ?”. Bain, lecture par Pierre de Michelet, journées de juin 1793, le “peuple” incessamment dans la Convention à réclamer la tête des Girondins, l’horreur se précise. Communiqué du CNRE n° 131, “Été sanglant”. Visite de Rémi Pellet, avec un ami très réservé, très hostile ou très ennuyé, on ne saura pas. Dictionnaire des délicatesses du français contemporain. Atelier, Devon, fignolages, la maison blanche, marges. Dîner aux nouvelles, blinis, pesto, glace à la poire, shortbread. Regardé un peu d’un film de René Clément, La Course du lièvre à travers les champs, 1972, avec Jean-Louis Trintignant, mais nous sortons assez vite. Promenade avec Pierre sur le plateau, bavardé avec un homme du village qui a épousé une Camerounaise et vante beaucoup la vie au Cameroun où rien de coûte rien, marchons jusqu’à l’embranchement et retour. Grand chaleur. Journal (le château d’Oms).
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(affichage dans une nouvelle fenêtre)◎ créée le vendredi 31 juillet 2020, 10 h 13
modifiée le lundi 3 août 2020, 16 h 32Vendredi 31 juillet 2020. Semaine 31, Saint Ignace de Loyola — 213/153. Plieux. Bien dormi, levé à sept heures vingt. Le Jour ni l’Heure, autoportrait de la nuit et château de Laroque à Laroquebroou, Cantal, mercredi 29 juillet 2020 à onze heures. Beau temps. Comptes : Dernière connexion le 30/07/2020 à 09h23 /// Bonjour M. CAMUS /// Avoirs 663,77 € /// Crédits -68.719,65 € /// Solde au 30/07/2020 663,77 € /// À venir -987,96 € | Prévisionnel -324,19 € /// 30/07 VIREMENT DE INSTIT RETRAITE COMPLEME ENSEIG ET CRATI MOTIF: IRCEC:RAAP 07-07 - REF : IR +30,26 € /// Agenda. 10:12:35 /////// Le Jour ni l’Heure, Chronologie. Dictionnaire des délicatesses (1.037.525 signes) — recherché les anciens envois du professeur Lapacherie. Le Jour ni l’Heure, deux photographies du mardi 28 juillet dans le Cantal, Intérieur à Omps (le vestibule) et château de consort, façade occidentale dans le soleil du soir ; carton “D’avance je présente mes excuses à ceux que mon tweet pourrait choquer : On a le droit d’être blanc”. Bain, lecture par Pierre de Michelet, juin 1793, vers l’arrestation des Girondins, précipitée par la nouvelle du massacre de Lyon. Communiqué du CNRE n° 132, à propos du journal La Nouvelle République qui dénonce comme un odieux geste raciste des autocollants portant “It’s ok to be White”, on a le droit d’être blanc. Dictionnaire, transcrit un long passage de Jean-Gérard Lapacherie à propos de “celui convaincu”, “ceux empêchés”, etc.. Atelier, Enjambements III, vert foncé. Lecture par Pierre de Rebatet, Les Décombres, début juin 1940, la débâcle du côté de Chambourcy. Diné aux nouvelles, tranches d’aubergine, carottes, champignons, secoue et sauce au soja, poire à la vapeur et confiture de figues. Revu Belle de jour, de Bunuel, 1966, avec Catherine Deneuve et Jean Sorel. Promenade avec Pierre sur le plateau, jusqu’à l’embranchement. L’Arrière-Pays. Journal. Couché à une heure et demie.
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